- HocamSage
Beaucoup, c'est vrai (je suppose que c'est ce qu'il faut lire, « alors que beaucoup d'autres langues ont... »).RogerMartin a écrit:
je n'irai pas jusqu'à réclamer la fin de l'Académie. Et puis je trouve intéressant qu'ils reprennent plein de créations des Québecois, qui sont finalement beaucoup plus déterminés à traduire les néologismes anglais. J'aime bien le fait qu'en France on soit les seuls à avoir "ordinateur", alors que les autres langues ont des succédanés de computer (et là c'est une création franchouillarde, pas québecoise).
Heureusement, nous ne sommes pas tout à fait les seuls. On notera d'ailleurs sans surprise que parmi les langues qui évitent computer ou une variante locale, il y en a qui ont des institutions linguistiques avec suffisamment d'aura ou de férocité pour arriver, parfois, à faire changer les choses par le haut. En Islande, la langue est très protégée par les institutions, bien sûr, et ils ont eux aussi un monsieur qui a fabriqué un mot nouveau pour ordinateur à partir de « prophétesse » . Là-bas, il y a pour le coup de vrais « gardiens de la langue ». En Turquie, aussi, le très politique institut de la langue a trouvé un néologisme pour faire concurrence à l'équivalent de computer.
- RogerMartinBon génie
Le turc est de toute façon une langue récente, entièrement reconstruite au XXe. D'où des mots géniaux genre "kuaför"... C'est moins surprenant qu'il y ait production systématique de mots nouveaux.
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Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
I User5899.
User 17706 s'est retiré à Helsingør.
Strange how paranoia can link up with reality now and then.
- DesolationRowEmpereur
Je vais être honnête : je commence à regretter quelque peu le mal que j'ai écrit de l'Académie.
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/07112017Article636456337493424621.aspx
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/07112017Article636456337493424621.aspx
Le café pédagogique a écrit:Plusieurs centaines d’enseignant•es annoncent ne plus vouloir transmettre la règle selon laquelle « le masculin l’emporte sur le féminin ». Et privilégier la règle de proximité, qui dominait depuis le latin jusqu’au français du 17ème siècle. Voici témoignages et explications depuis le lieu où se construisent nos usages des mots et du monde : depuis l’Ecole. On y verra combien ces 10 professeur•es signataires du manifeste aiment le français. Au point de l’enseigner chaque jour. Au point de considérer qu’il s’agit d’une langue toujours vivante, donc en constante et nécessaire évolution. Au point de percevoir combien la langue détermine notre représentation du réel et notre relation aux autres. Au point d’amener les élèves à réfléchir sur ce qu’est la langue, « à la fois une institution sociale et un système de valeurs » (Barthes).
- VinZTDoyen
Là, on est plus proche du poing médian, non ? Pas logique d'ailleurs, puisque le masculin semble au singulier et le féminin au pluriel.
Enfin, du moment que l'article cite Yann Barthès c'est que c'est du sérieux.
Quant au fond, savoir que des collègues torturent des enfants, ça me désole, mais hélas ne me surprend pas.
Enfin, du moment que l'article cite Yann Barthès c'est que c'est du sérieux.
Quant au fond, savoir que des collègues torturent des enfants, ça me désole, mais hélas ne me surprend pas.
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« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- gauvain31Empereur
Démonstration par fatal Bazooka à partir de 56 s
- DeliaEsprit éclairé
Ah mais non, ah mais non !
Tout faux : ces 10 professeur•es signatair•es•es ...
On y verra combien ces 10 professeur•es signataires du manifeste aiment le français.
Tout faux : ces 10 professeur•es signatair•es•es ...
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Un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle.
Amadou Hampaté Ba
- IphigénieProphète
Et, par Jupiter, l'accord de proximité en latin faisait un bien fou aux femmes: enfin un système de valeurs non sexiste, comme remarque Barthès .DesolationRow a écrit:Je vais être honnête : je commence à regretter quelque peu le mal que j'ai écrit de l'Académie.
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/07112017Article636456337493424621.aspxLe café pédagogique a écrit:Plusieurs centaines d’enseignant•es annoncent ne plus vouloir transmettre la règle selon laquelle « le masculin l’emporte sur le féminin ». Et privilégier la règle de proximité, qui dominait depuis le latin jusqu’au français du 17ème siècle. Voici témoignages et explications depuis le lieu où se construisent nos usages des mots et du monde : depuis l’Ecole. On y verra combien ces 10 professeur•es signataires du manifeste aiment le français. Au point de l’enseigner chaque jour. Au point de considérer qu’il s’agit d’une langue toujours vivante, donc en constante et nécessaire évolution. Au point de percevoir combien la langue détermine notre représentation du réel et notre relation aux autres. Au point d’amener les élèves à réfléchir sur ce qu’est la langue, « à la fois une institution sociale et un système de valeurs » (Barthes).
Dominus in senatu servusque in agris laborat.
ça vous change fissa un rapport de domination, c'te grammaire.
- DeliaEsprit éclairé
en foullant internet, on trouve ceci (site prima elementa
:
:
2) Accord de l'adjectif avec plusieurs noms.
L'épithète s'accorde avec le nom le plus rapproché :
- ardor gaudiumque insigne :
---> une ardeur et une joie remarquables.
- insignis ardor gaudiumque :
---> une ardeur et une joie remarquables.
- timidus cervus et cerva :
---> le cerf et la biche timides.
L'attribut s'accorde comme en français :
- pater et mater boni sunt :
---> le père et la mère sont bons.
Mais si les noms sont de genres différents et désignent des choses, l'attribut se met le plus souvent au neutre pluriel ou s'accorde avec le plus rapproché :
- porta et murus sunt valida :
---> la porte et les murs sont solides (=).
- audacia et temeritas incredibilis erat :
---> son audace et sa témérité étaient incroyables.
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Un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle.
Amadou Hampaté Ba
- InstantKarmaNiveau 6
Doit-on dire « je parle française » ?
C’est Jane Birkin qui va être content !
C’est Jane Birkin qui va être content !
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Le participe passer c’est tellement compliquer.
Supprimons le subjonctif pour que le français est plus simple à apprendre.
- bernardoFidèle du forum
Ces trente pages de discussion me donnent presque envie de mettre le(s) voile(s).
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Quand les blés sont sous la grêle
Fou qui fait le délicat
- bernardoFidèle du forum
L'écriture inclusive ne va pas assez loin !
- Le singulier est normatif, totalitaire, castrateur, frustrant.
Je.nous proteste.ons énergiquement devant cette.ces appropriation.s de l'idée.des idées par un.e.des seul.e.s !
Vive.nt le.s pluriel.s !
A bas la.les. dictature.s. de l'.des. unique.s !
- Les noms ont un genre ? Scandale !
On dira désormais un.e maison ! C'est au nom lui-même de se déterminer !
- Les adjectifs sous soumis aux noms ou aux pronoms auxquels ils se rapportent ? Scandale ! Libérons l'adjectif de la tutelle ignominieuse qui l'opprime !
A l'adjectif de s'accorder avec le mot qu'il s'est librement choisi comme compagnon de vie. Désormais nous écrirons : un fraîches parfum sortait des touffes d'asphodèles !
Car, sachez-le, le mot pense, le mot vit, le mot aspire à la liberté, à l'égalité, à la fraternité ... Libérons les mots, qu'ils refusent désormais de nous servir.
Et si nous ne nous comprenons plus ? Bah ! Tant pis ! L'autre a si peu à m'apprendre puisque je sais déjà tout, puisque j'ai raison, puisqu'il a tort.
- Le singulier est normatif, totalitaire, castrateur, frustrant.
Je.nous proteste.ons énergiquement devant cette.ces appropriation.s de l'idée.des idées par un.e.des seul.e.s !
Vive.nt le.s pluriel.s !
A bas la.les. dictature.s. de l'.des. unique.s !
- Les noms ont un genre ? Scandale !
On dira désormais un.e maison ! C'est au nom lui-même de se déterminer !
- Les adjectifs sous soumis aux noms ou aux pronoms auxquels ils se rapportent ? Scandale ! Libérons l'adjectif de la tutelle ignominieuse qui l'opprime !
A l'adjectif de s'accorder avec le mot qu'il s'est librement choisi comme compagnon de vie. Désormais nous écrirons : un fraîches parfum sortait des touffes d'asphodèles !
Car, sachez-le, le mot pense, le mot vit, le mot aspire à la liberté, à l'égalité, à la fraternité ... Libérons les mots, qu'ils refusent désormais de nous servir.
Et si nous ne nous comprenons plus ? Bah ! Tant pis ! L'autre a si peu à m'apprendre puisque je sais déjà tout, puisque j'ai raison, puisqu'il a tort.
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Quand les blés sont sous la grêle
Fou qui fait le délicat
- ipomeeGuide spirituel
Car le mot, qu'on le sache, est un être vivant…
- CasparProphète
bernardo a écrit:L'écriture inclusive ne va pas assez loin !
- Le singulier est normatif, totalitaire, castrateur, frustrant.
Je.nous proteste.ons énergiquement devant cette.ces appropriation.s de l'idée.des idées par un.e.des seul.e.s !
Vive.nt le.s pluriel.s !
A bas la.les. dictature.s. de l'.des. unique.s !
- Les noms ont un genre ? Scandale !
On dira désormais un.e maison ! C'est au nom lui-même de se déterminer !
- Les adjectifs sous soumis aux noms ou aux pronoms auxquels ils se rapportent ? Scandale ! Libérons l'adjectif de la tutelle ignominieuse qui l'opprime !
A l'adjectif de s'accorder avec le mot qu'il s'est librement choisi comme compagnon de vie. Désormais nous écrirons : un fraîches parfum sortait des touffes d'asphodèles !
Car, sachez-le, le mot pense, le mot vit, le mot aspire à la liberté, à l'égalité, à la fraternité ... Libérons les mots, qu'ils refusent désormais de nous servir.
Et si nous ne nous comprenons plus ? Bah ! Tant pis ! L'autre a si peu à m'apprendre puisque je sais déjà tout, puisque j'ai raison, puisqu'il a tort.
Mettons-nous au chinois: pas de genre grammatical, pas ou peu de distinction entre singulier et pluriel.
- CathEnchanteur
Bon, c'est très amusant de ridiculiser cette tentative qui a le mérite d'attirer l'attention sur un point de langue non négligeable. Enfin apparemment.
On peut tenir encore combien de pages comme ça ?
On peut tenir encore combien de pages comme ça ?
- DesolationRowEmpereur
Si si, c'est négligeable, et il est grand temps qu'on passe à la lubie suivante.
- JPhMMDemi-dieu
L'accord de proximité ?DesolationRow a écrit:Si si, c'est négligeable, et il est grand temps qu'on passe à la lubie suivante.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- IphigénieProphète
Nan: l'accord de sécurité du quotidien.JPhMM a écrit:L'accord de proximité ?DesolationRow a écrit:Si si, c'est négligeable, et il est grand temps qu'on passe à la lubie suivante.
- CeladonDemi-dieu
Pour mettre un peu plus de zizanie :
https://www.youtube.com/watch?v=mhyQEimU8Gk
https://www.youtube.com/watch?v=mhyQEimU8Gk
- RendashBon génie
JPhMM a écrit:L'accord de proximité ?DesolationRow a écrit:Si si, c'est négligeable, et il est grand temps qu'on passe à la lubie suivante.
L'accord du pendu
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- bernardoFidèle du forum
Cath a écrit:Bon, c'est très amusant de ridiculiser cette tentative qui a le mérite d'attirer l'attention sur un point de langue non négligeable. Enfin apparemment.
On peut tenir encore combien de pages comme ça ?
Entre le genre grammatical (masculin / féminin) et la réalité des objets du monde auxquels font référence les mots il y a un écart énorme ... l'arbitraire.
C'est arbitraire que "maison" soit un nom féminin et que "bâtiment" soit un nom masculin.
Faut-il compter le nombre de noms masculins et le nombre de noms féminins et voir s'il y a parité ?
Et s'il n'y a pas parité faut-il arbitrairement changer le genre des noms qui sont trop nombreux ?
Le rapport entre "le masculin l'emporte" (qui est une règle orthographique où "masculin" ne signifie rien de plus qu'un genre grammatical) et la question de la place des femmes dans notre (d'autres) société(s) est plus que ténu. A mon avis il est même nul.
"Faire le buzz" autour de ce point de langue fera-t-il avancer la cause des femmes ? On est en droit d'en douter.
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Quand les blés sont sous la grêle
Fou qui fait le délicat
- MiettesNiveau 8
Nous parlons, quand nous parlons d'écriture inclusive, du genre des mots désignant des personnes / faisant référence à des personnes (nous ne sommes pas neuneus, merci).
Et, encore une fois, le "buzz" dont vous parlez n'est pas le fait des féministes, qui écrivent en écriture inclusive depuis des années, et ne reflète pas non plus la progression, lente et "naturelle", si vous voulez, de cette pratique, qui tend peu à peu à gagner des domaines non militants.
Et, encore une fois, le "buzz" dont vous parlez n'est pas le fait des féministes, qui écrivent en écriture inclusive depuis des années, et ne reflète pas non plus la progression, lente et "naturelle", si vous voulez, de cette pratique, qui tend peu à peu à gagner des domaines non militants.
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2016-2017, lettres au collège : 6e, 5e, 4e + AP 3e
2017-2018, professeure des écoles stagiaire : CM2
2018- ? , doctorat de lettres
- YazilikayaNeoprof expérimenté
Personnellement, je n'enseignerai de mon propre chef ni écriture inclusive, ni accord de proximité.
Pour autant, voici une réflexion qui me parait intéressante.
http://m.slate.fr/story/151880/masculin-emporte-toujours-feminin
Pour autant, voici une réflexion qui me parait intéressante.
http://m.slate.fr/story/151880/masculin-emporte-toujours-feminin
- bernardoFidèle du forum
Miettes a écrit:Nous parlons, quand nous parlons d'écriture inclusive, du genre des mots désignant des personnes / faisant référence à des personnes (nous ne sommes pas neuneus, merci).
Et, encore une fois, le "buzz" dont vous parlez n'est pas le fait des féministes, qui écrivent en écriture inclusive depuis des années, et ne reflète pas non plus la progression, lente et "naturelle", si vous voulez, de cette pratique, qui tend peu à peu à gagner des domaines non militants.
Bon, mais est-ce que cette pratique a fait évoluer positivement la cause des femmes, en France, et ailleurs ?
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- CeladonDemi-dieu
Comment ? Tu ne t'en serais pas aperçu ??
- MiettesNiveau 8
Je ne vais pas vous demander de lire 30 pages de conversation, mais j'ai déjà abordé ce point. A mon sens, on ne pratique pas nécessairement l'écriture inclusive pour que, magiquement, le lendemain, les écarts de salaire se réduisent.
Nos représentations, qui prennent le masculin pour neutre (je ne parle pas ici uniquement de grammaire), ne peuvent évoluer qu'avec lenteur, et surtout, elles sont multi-causales et leurs causes sont le plus souvent invisibles.
Donc dans un premier temps, pratiquer l'écriture inclusive c'est pratiquer une écriture moins empreinte de domination masculine : on ne demande pas à ce que ça ait un impact direct, mais simplement à ce qu'on puisse tous et toutes pratiquer une langue inclusive. Voilà.
(J'ai vu une vidéo circuler sur les réseaux sociaux, que j'ai trouvée intéressante à un titre : l'homme qui s'y exprimait parlait des mouvements sociaux des années 30 ; il faisait un test. S'il dit, "les ouvriers se sont révoltés", que visualise-t-on ? ensuite, s'il dit : "les ouvrier.e.s se sont révolté.e.s", que visualise-t-on ? ce n'est pas un vain mot que de parler d'invisibilisation des femmes dans la langue : les mots conditionnent évidemment ce que l'on se représente)
Nos représentations, qui prennent le masculin pour neutre (je ne parle pas ici uniquement de grammaire), ne peuvent évoluer qu'avec lenteur, et surtout, elles sont multi-causales et leurs causes sont le plus souvent invisibles.
Donc dans un premier temps, pratiquer l'écriture inclusive c'est pratiquer une écriture moins empreinte de domination masculine : on ne demande pas à ce que ça ait un impact direct, mais simplement à ce qu'on puisse tous et toutes pratiquer une langue inclusive. Voilà.
(J'ai vu une vidéo circuler sur les réseaux sociaux, que j'ai trouvée intéressante à un titre : l'homme qui s'y exprimait parlait des mouvements sociaux des années 30 ; il faisait un test. S'il dit, "les ouvriers se sont révoltés", que visualise-t-on ? ensuite, s'il dit : "les ouvrier.e.s se sont révolté.e.s", que visualise-t-on ? ce n'est pas un vain mot que de parler d'invisibilisation des femmes dans la langue : les mots conditionnent évidemment ce que l'on se représente)
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2016-2017, lettres au collège : 6e, 5e, 4e + AP 3e
2017-2018, professeure des écoles stagiaire : CM2
2018- ? , doctorat de lettres
- InstantKarmaNiveau 6
Mais bien sûr !bernardo a écrit:Miettes a écrit:Nous parlons, quand nous parlons d'écriture inclusive, du genre des mots désignant des personnes / faisant référence à des personnes (nous ne sommes pas neuneus, merci).
Et, encore une fois, le "buzz" dont vous parlez n'est pas le fait des féministes, qui écrivent en écriture inclusive depuis des années, et ne reflète pas non plus la progression, lente et "naturelle", si vous voulez, de cette pratique, qui tend peu à peu à gagner des domaines non militants.
Bon, mais est-ce que cette pratique a fait évoluer positivement la cause des femmes, en France, et ailleurs ?
Et appeler les invalides « personnes en situation de handicap à mobilité réduite » a totalement changé leur vie.
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