- Luigi_BGrand Maître
J'ai voté M. Macron au second tour mais, d'humeur combattive, j'ai rédigé cette petite synthèse sur son programme éducatif dès le lendemain de son élection.
https://www.marianne.net/debattons/blogs/lutte-des-classes/m-macron-et-l-ecole-le-grand-louvoiement
Extrait :
Avant le premier tour, M. Macron s’était engagé à revenir sur la réforme du collège qui cristallisait tant d’oppositions en revenant sur l’abandon du dispositif d’accompagnement éducatif après la classe, en rétablissant les classes bi-langues, les parcours européens, en réintroduisant un « véritable » enseignement du latin et du grec. Autant de mesures secondaires dont la mise en œuvre restait évasive mais surtout qui ne remettaient pas en cause le cœur de la réforme : l’autonomie, avec la marge, les EPI, l’AP. Et, de fait, après le premier tour, l’équipe de M. Macron est sortie du bois : « [La réforme] ne sera pas abrogée en tant que telle. On conserve les textes. » Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l'Éducation sortante, l'a d'ailleurs bien compris puisque M. Macron ne compte pas toucher ni à l'autonomie ni à l'interdisciplinarité : « Ce n'est pas la révolution annoncée, globalement on va habiller les choses autrement. »
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- sifiÉrudit
Pour ce que j'ai compris, sous couvert "d'autonomie", il semblerait qu'il va laisser la réforme se déliter d'elle-même... Ce n'est pas la première fois que nous verrions cela: des choses qui disparaissent petit à petit, ou se changent en autre chose, l'air de rien...
- FinrodExpert
sifi a écrit:Pour ce que j'ai compris, sous couvert "d'autonomie", il semblerait qu'il va laisser la réforme se déliter d'elle-même... Ce n'est pas la première fois que nous verrions cela: des choses qui disparaissent petit à petit, ou se changent en autre chose, l'air de rien...
Sachant que la réforme a consisté essentiellement à faire disparaître des choses (heures de cours, bilangues, options, aide éducative etc...), ses objectifs ont été atteints et ne peuvent être défaits "d'eux mêmes". Un établissement autonome à qui on ne rend pas les moyens qu'il a perdu ne peut rien rétablir du tout.
- VanGogh59Expert spécialisé
Pas si simple que ça. L'autonomie devrait conduire à une foire d'empoigne entre les disciplines pour préserver des heures mais aussi entre les pro et les anti-réformes. Les CA de l'avenir risquent d'être bien agités...sifi a écrit:Pour ce que j'ai compris, sous couvert "d'autonomie", il semblerait qu'il va laisser la réforme se déliter d'elle-même... Ce n'est pas la première fois que nous verrions cela: des choses qui disparaissent petit à petit, ou se changent en autre chose, l'air de rien...
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"Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d'entre nous regardent les étoiles" Oscar Wilde
- ned3379Niveau 2
En résumé, remplaçons éducation nationale par garderie régionale, ou préparation à l'esclavage moderne locale...
- Luigi_BGrand Maître
http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/04/29/emmanuel-macron-ce-qu-il-a-vraiment-en-tete-pour-l-ecole_1566104
Réponse qui montre à la fois l'incompétence (confusion marge et EPI) et les intentions (autonomie à moyens constants) de l'équipe Macron.Libération a écrit:...les choses pourraient changer sur les 20% dégagés dans l’emploi du temps des élèves pour les enseignements interdisciplinaires (les fameux EPI), ces projets transversaux montés par deux ou trois profs qui font classe autrement. «Ce volume horaire de 20% demeure mais chaque établissement pourra décider de ce qu’il en fait: continuer les EPI, ou remettre en place des parcours bilangues (deux langues vivantes dès la sixième), ou bien des enseignements de langues anciennes», explique Fanny Anor. Qui tranchera? Le conseil d’administration de l’établissement.
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- BalthazaardVénérable
Je pense que Macron se passionne pour l'économie et se contrefiche de l'éducation mais il faut bien faire semblant. Bien malin celui qui pourra dire ce que cela augure. Je pense que le choix du ministre sera prépondérant.
- MUTISExpert
Ce qui est gênant dans ton article par ailleurs fort intéressant, Luigi, c'est qu'on peut avoir l'impression qu'aujourd'hui la situation est bonne et que les réformes envisagées vont déréguler et dérégler ce qui marcherait bien... Le projet de l'équipe Macron permet de revenir largement sur la réforme du collège mais sans l'abroger littéralement : crois-tu vraiment que l'on puisse abroger un texte, revenir sur tous les programmes, les manuels, les démarches nouvelles des équipes en une semaine et qu'on puisse rayer d'un trait de plume la réforme ??? Et tu sais que je fus un opposant de la première heure. Il faut être sérieux. D'autre part, l'AP, tel qu'il peut être mis en place avec la marge peut présenter des avantages dans certains collèges. Tu écris :
" Avant le premier tour, M. Macron s’était engagé à revenir sur la réforme du collège qui cristallisait tant d’oppositions en revenant sur l’abandon du dispositif d’accompagnement éducatif après la classe, en rétablissant les classes bi-langues, les parcours européens, en réintroduisant un « véritable » enseignement du latin et du grec. Autant de mesures secondaires dont la mise en œuvre restait évasive mais surtout qui ne remettaient pas en cause le cœur de la réforme : l’autonomie, avec la marge, les EPI, l’AP. Et, de fait, après le premier tour, l’équipe de M. Macron est sortie du bois : « [La réforme] ne sera pas abrogée en tant que telle. On conserve les textes. »
Je ne suis pas d'accord avec ta lecture
1) Les mesures annoncées de réforme de la réforme ne sont pas secondaires
2) la marge et l'AP sont regrettables quand elles entraînent des heures prises aux enseignements, pas "en soi".
3) Il était impossible de dire en arrivant : ok, j'abroge tout ce qui concerne la réforme du collège et je raye tout... Aucun candidat ne le proposait d'ailleurs
4) Les autres programmes étaient bien pires (Fillon) ou carrément fantaisistes et démagogues (Mélenchon)
" Avant le premier tour, M. Macron s’était engagé à revenir sur la réforme du collège qui cristallisait tant d’oppositions en revenant sur l’abandon du dispositif d’accompagnement éducatif après la classe, en rétablissant les classes bi-langues, les parcours européens, en réintroduisant un « véritable » enseignement du latin et du grec. Autant de mesures secondaires dont la mise en œuvre restait évasive mais surtout qui ne remettaient pas en cause le cœur de la réforme : l’autonomie, avec la marge, les EPI, l’AP. Et, de fait, après le premier tour, l’équipe de M. Macron est sortie du bois : « [La réforme] ne sera pas abrogée en tant que telle. On conserve les textes. »
Je ne suis pas d'accord avec ta lecture
1) Les mesures annoncées de réforme de la réforme ne sont pas secondaires
2) la marge et l'AP sont regrettables quand elles entraînent des heures prises aux enseignements, pas "en soi".
3) Il était impossible de dire en arrivant : ok, j'abroge tout ce qui concerne la réforme du collège et je raye tout... Aucun candidat ne le proposait d'ailleurs
4) Les autres programmes étaient bien pires (Fillon) ou carrément fantaisistes et démagogues (Mélenchon)
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"Heureux soient les fêlés car ils laissent passer la lumière" (Audiard)
"Ce n'est pas l'excès d'autorité qui est dangereux, c'est l'excès d'obéissance" (Primo Levi)
"La littérature, quelque passion que nous mettions à le nier, permet de sauver de l'oubli tout ce sur quoi le regard contemporain, de plus en plus immoral, prétend glisser dans l'indifférence absolue" (Enrique Vila-Matas)
" Que les dissemblables soient réunis et de leurs différences jaillira la plus belle harmonie ; rien ne se fait sans lutte." (Héraclite)
"Les hommes sont si nécessairement fous que ce serait être fou par un autre tour de folie, de n'être pas fou" (Pascal).
- gauvain31Empereur
Balthazaard a écrit:Je pense que Macron se passionne pour l'économie et se contrefiche de l'éducation mais il faut bien faire semblant. Bien malin celui qui pourra dire ce que cela augure. Je pense que le choix du ministre sera prépondérant.
Si ce n'est pas Bayrou ou quelqu'un qui a réfléchi pendant des années sur la question, il n'y en a rien à attendre. Ce sera juste la marionnette des hauts fonctionnaires qui contrôlent le ministère
- Dame JouanneÉrudit
Je suis malheureusement du même avis. Et j'ajouterais : même avec Bayrou cela ne changera pas grand chose. Cela fait maintenant trop longtemps que ce ministère est noyauté par les mêmes hauts fonctionnaires et le même courant de pensée. Même une personne avertie aura du mal à bouger cela.gauvain31 a écrit:Balthazaard a écrit:Je pense que Macron se passionne pour l'économie et se contrefiche de l'éducation mais il faut bien faire semblant. Bien malin celui qui pourra dire ce que cela augure. Je pense que le choix du ministre sera prépondérant.
Si ce n'est pas Bayrou ou quelqu'un qui a réfléchi pendant des années sur la question, il n'y en a rien à attendre. Ce sera juste la marionnette des hauts fonctionnaires qui contrôlent le ministère
Je sais, je suis pessimiste...
- Luigi_BGrand Maître
@MUTIS : Difficile de croire, à partir de mes écrits, que je pense que la situation de l'école est bonne : j'essuie assez souvent les accusations de "déclinisme" pour témoigner du contraire.
Je suis un fervent défenseur de l'enseignement des langues anciennes (cf mon combat depuis deux ans avec Avenirlatingrec) mais je ne pense pas moins que les sections et options sont (relativement) secondaires dans la réforme du collège : la preuve, c'est que le MEN a déjà transigé en 2015 sur ce qui devait initialement disparaître totalement. L'essentiel est ailleurs, comme dit Najat Vallaud-Belkacem.
Je n'ai porté de jugement sur la marge dans l'article. On peut simplement constater qu'avec les moyens supprimés, la marge ne peut pas être considérée comme des moyens supplémentaires accordés aux établissements.
Je ne vois objectivement pourquoi ce serait impossible. La vraie impossibilité porte sur les programmes qu'on ne peut pas changer, mais qu'il suffirait d'amender dans un premier temps.
Je suis un fervent défenseur de l'enseignement des langues anciennes (cf mon combat depuis deux ans avec Avenirlatingrec) mais je ne pense pas moins que les sections et options sont (relativement) secondaires dans la réforme du collège : la preuve, c'est que le MEN a déjà transigé en 2015 sur ce qui devait initialement disparaître totalement. L'essentiel est ailleurs, comme dit Najat Vallaud-Belkacem.
Je n'ai porté de jugement sur la marge dans l'article. On peut simplement constater qu'avec les moyens supprimés, la marge ne peut pas être considérée comme des moyens supplémentaires accordés aux établissements.
Si c'était impossible, il fallait le dire au lieu de laisser entendre le contraire jusqu'à l'entre deux-tours.3) Il était impossible de dire en arrivant : ok, j'abroge tout ce qui concerne la réforme du collège et je raye tout... Aucun candidat ne le proposait d'ailleurs
Je ne vois objectivement pourquoi ce serait impossible. La vraie impossibilité porte sur les programmes qu'on ne peut pas changer, mais qu'il suffirait d'amender dans un premier temps.
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- MUTISExpert
Luigi_B a écrit:
Je ne vois objectivement pourquoi ce serait impossible. La vraie impossibilité porte sur les programmes qu'on ne peut pas changer, mais qu'il suffirait d'amender dans un premier temps.
Je pense alors qu'il faut attendre la nomination d'un nouveau MEN. Ce sera son boulot et pas celui du candidat. Balayer les programmes ne peut pas se faire ainsi : quid des nouveaux manuels, des multiples formations, des équipes engagées dans des projets etc... Cela ne peut pas se faire d'un coup de baguette.
D'autre part, dire qu'on revient sur certains aspects de la réforme est déjà une avancée. Surtout si l'on compare à ce que proposaient les autres.
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"Ce n'est pas l'excès d'autorité qui est dangereux, c'est l'excès d'obéissance" (Primo Levi)
"La littérature, quelque passion que nous mettions à le nier, permet de sauver de l'oubli tout ce sur quoi le regard contemporain, de plus en plus immoral, prétend glisser dans l'indifférence absolue" (Enrique Vila-Matas)
" Que les dissemblables soient réunis et de leurs différences jaillira la plus belle harmonie ; rien ne se fait sans lutte." (Héraclite)
"Les hommes sont si nécessairement fous que ce serait être fou par un autre tour de folie, de n'être pas fou" (Pascal).
- Luigi_BGrand Maître
Je ne vois pas d'avancée quand rien n'est changé puisque sections et options pourront être proposées localement à moyens constants : c'est déjà ce que permet la réforme.
Les ambiguïtés de son programme ont acquis à M. Macron la plus grande partie des enseignants : pour ma part, c'est là que je vois une certaine forme de démagogie. L'avenir dira si j'ai tort.
Les ambiguïtés de son programme ont acquis à M. Macron la plus grande partie des enseignants : pour ma part, c'est là que je vois une certaine forme de démagogie. L'avenir dira si j'ai tort.
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- Dr RaynalHabitué du forum
MUTIS a écrit: quid des nouveaux manuels, des multiples formations, des équipes engagées dans des projets etc... Cela ne peut pas se faire d'un coup de baguette.
Parce que la réforme, elle, n'a pas été faite à la baguette, justement ? Avouer "on ne peux plus revenir en arrière", c'est entériner cette réforme toxique.
- BalthazaardVénérable
Luigi_B a écrit:Je ne vois pas d'avancée quand rien n'est changé puisque sections et options pourront être proposées localement à moyens constants : c'est déjà ce que permet la réforme.
Les ambiguïtés de son programme ont acquis à M. Macron la plus grande partie des enseignants : pour ma part, c'est là que je vois une certaine forme de démagogie. L'avenir dira si j'ai tort.
Cela m'étonnerait...comme beaucoup ont-ils eu le choix?
- Luigi_BGrand Maître
Je parle du premier tour, bien sûr (38% des enseignants selon l'IFOP).
http://www.ifop.com/?option=com_publication&type=poll&id=3751
http://www.ifop.com/?option=com_publication&type=poll&id=3751
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- BalthazaardVénérable
Mais même là!!! mon pire cauchemar était Fillon et voter contre Macron était courir un risque non négligeable de le voir élu.
- Luigi_BGrand Maître
Oui, le vote utile a déjà fonctionné au premier tour. Mais le sondage IFOP confirme bien que les enseignants sont à une écrasante majorité contre la réforme du collège et M. Macron a bien laissé entendre qu'il reviendrait dessus. J'ai d'ailleurs pesté contre l'intitulé de ce fil :
https://www.neoprofs.org/t109361p400-le-figaro-macron-veut-reformer-le-bac-et-revenir-sur-la-reforme-du-college#4024299
https://www.neoprofs.org/t109361p400-le-figaro-macron-veut-reformer-le-bac-et-revenir-sur-la-reforme-du-college#4024299
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- BalthazaardVénérable
Bien triste...mais franchement quel que soit le choix, ce ne seraient pas, pour moi, les programmes sur l'éducation qui l'auraient motivé.
- VanGogh59Expert spécialisé
C'est pourtant ce qui a été fait avec la réforme. Preuve qu'impossible n'est pas Najat ? :blague:MUTIS a écrit:Luigi_B a écrit:
Je ne vois objectivement pourquoi ce serait impossible. La vraie impossibilité porte sur les programmes qu'on ne peut pas changer, mais qu'il suffirait d'amender dans un premier temps.
Balayer les programmes ne peut pas se faire ainsi : quid des nouveaux manuels, des multiples formations, des équipes engagées dans des projets etc... Cela ne peut pas se faire d'un coup de baguette.
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"Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d'entre nous regardent les étoiles" Oscar Wilde
- BalthazaardVénérable
Oui je ne suis pas sur que ce soit la meilleure méthode, je vois d'ici les réactions "des syndicats", "des parents", des IPR et autres pédagos professionnels à la retraite,sans parler de quelques enseignants modèles en micro trottoir soigneusement choisis.
Je verrais plutôt un enterrement façon Louis XV
Je verrais plutôt un enterrement façon Louis XV
- archebocEsprit éclairé
Luigi_B a écrit:Je parle du premier tour, bien sûr (38% des enseignants selon l'IFOP).
http://www.ifop.com/?option=com_publication&type=poll&id=3751
Je fais partie de ces 38%. Je suis sorti du bureau de vote en ayant l'impression d'avoir voter pour Balladur.
Le vote Macron n'est clairement pas un vote d'adhésion, la méfiance est grande, et la façon dont la macro-sphère s'assoit sur les engagements pris envers Bayrou suffit à indiquer dans quel sens va très vite tourner le vent.
Il suffit de regarder qui prépare, nous dit-on, le projet éducatif : des gens qui ne peuvent pas dire leur nom parce qu'ils sont actuellement aux manettes. Vous imaginez, si Florence Robine prend du galon au ministère ?
- Dr RaynalHabitué du forum
[quote="archeboc"]
Tu commences à comprendre... Grand est le pouvoir du côté obscur... :malmaisbien:
Luigi_B a écrit:Vous imaginez, si Florence Robine prend du galon au ministère ?
Tu commences à comprendre... Grand est le pouvoir du côté obscur... :malmaisbien:
- VanGogh59Expert spécialisé
Donc plus d'un tiers des enseignants ont scié la branche sur laquelle ils étaient assis ?
Etonnant non ?
Etonnant non ?
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"Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d'entre nous regardent les étoiles" Oscar Wilde
- Dame JouanneÉrudit
Je pense le problème ailleurs : l'équipe qui pond toutes ces belles réformes est en place depuis plus de 10 ans, a duré et perdure quel que soit le gouvernement, de gauche ou de droite.VanGogh59 a écrit:Donc plus d'un tiers des enseignants ont scié la branche sur laquelle ils étaient assis ?
Etonnant non ?
Quel que soit notre vote, la branche est et sera sciée.
Après, il est sûr que Macron et son équipe n'ont pas de politique éducative claire et cela ne peut qu'encourager les hauts fonctionnaires qui détricotent méthodiquement l'éducation nationale pour la remodeler selon leurs vues (un mélange d'idéologie pédagogique et d'économies budgetaires) à continuer sur leur lancée.
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