- DesolationRowEmpereur
On va assez loin dans le grotesque.
- User17706Bon génie
Heureusement qu'ils n'ont pas encore dit que deux et deux font quatre, vous imaginez le cauchemar pour les profs de maths ?
- InvitéInvité
Est-il besoin de relayer sur le forum les stratégies et les manipulations les plus ignobles?
- User1542Niveau 10
Tamerlan a écrit:Est-il besoin de relayer sur le forum les stratégies et les manipulations les plus ignobles?
Vous avez raison Tamerlan, évitons tous les sous entendus ignobles sur ce forum.
- InvitéInvité
Vous pensez à quelque chose de particulier?
- User1542Niveau 10
Non, à quoi donc pourrais-je bien penser ?
- User1542Niveau 10
Mais votre foi m'indiffère au plus haut point.
- InvitéInvité
Je vous sens fâché Frigo
- User1542Niveau 10
Pas du tout.
Et puis ce n'est pas comme si je pouvais dire vraiment ce que je pense ici, hein .... on n'est pas franchement sur un pied d'égalité.
Pour revenir au sujet des calomnies concernant Juppé :
Et puis ce n'est pas comme si je pouvais dire vraiment ce que je pense ici, hein .... on n'est pas franchement sur un pied d'égalité.
Pour revenir au sujet des calomnies concernant Juppé :
- verdurinHabitué du forum
Franchement, Juppé est de gauche. . .
Pour atteindre le point Godwin, je me souviens qu'une propagande, de droite, disait « de Gaulle est communiste ».
Pour atteindre le point Godwin, je me souviens qu'une propagande, de droite, disait « de Gaulle est communiste ».
_________________
Contre la bêtise, les dieux eux mêmes luttent en vain.
Ni centidieux, ni centimètres.
- User14996Niveau 10
Juppé est autant de Gauche que la clique de Hollande, Macron compris.verdurin a écrit:Franchement, Juppé est de gauche. . .
Pour atteindre le point Godwin, je me souviens qu'une propagande, de droite, disait « de Gaulle est communiste ».
- gauvain31Empereur
La modération vous demande de rester concentrer sur le sujet. Trop de digressions . MERCI
- Spoiler:
- C'était mon petit plaisir de la soirée :diable:
- CeladonDemi-dieu
Je me demande si les "accommodements raisonnables de Juppé ne lui ont pas été défavorables au second tour et si même ce n'est pas cette partie de son programme d'identité heureuse qui l'a exclu de la présidentielle.
- archebocEsprit éclairé
PauvreYorick a écrit:C'est étonnant, comme déclaration. J'aurais plutôt dit que les deux sont exactement aussi stupides l'un que l'autre (c'est-à-dire considérablement).archeboc a écrit:C'est plus intelligent que de n'en voir nulle part.bruno09 a écrit:Brighelli a également un peu tendance à voir des islamistes partout.
On peut jouer sur l'ambiguïté de "partout", que ne possède pas "nulle part".
Surtout, il y avait pour intertexte la réplique de Langeron à Buxhöwden, sur le champ de bataille d'Austerlitz.
Sullien a écrit:Juppé est autant de Gauche que la clique de Hollande, Macron compris.verdurin a écrit:Franchement, Juppé est de gauche. . .
Pour atteindre le point Godwin, je me souviens qu'une propagande, de droite, disait « de Gaulle est communiste ».
Juppé a été condamné, pas Hollande et Macron. Les politiques de droite sont trois fois plus exposés à une condamnation que les politiques de gauche. Juppé est donc plus de droite que les deux autres.
- LeodaganFidèle du forum
Celadon a écrit:Je me demande si les "accommodements raisonnables de Juppé ne lui ont pas été défavorables au second tour et si même ce n'est pas cette partie de son programme d'identité heureuse qui l'a exclu de la présidentielle.
Merci ! j'allais poser la même question. A mon avis, les raisons majeures de son élimination n'ont même pas fait l'objet de questions de la part des journalistes ! il a fallu que ce soit lui qui se plaigne et attire l'attention sur le sobriquet "Ali Juppé".
- User1542Niveau 10
Celadon a écrit:Je me demande si les "accommodements raisonnables de Juppé ne lui ont pas été défavorables au second tour et si même ce n'est pas cette partie de son programme d'identité heureuse qui l'a exclu de la présidentielle.
Je le pense aussi. Dans la France de l'après Bataclan et de l'après Nice, ce discours n'est plus audible. Juppé ne l'a pas vu venir alors que Fillon s' est emparé à temps du problème.
- User17706Bon génie
Je dois dire que ça m'étonnerait un peu, mais peut-être que ça ne trahit que mon ignorance de la psychologie de la rentière de plus de 70 ans.Celadon a écrit:Je me demande si les "accommodements raisonnables de Juppé ne lui ont pas été défavorables au second tour et si même ce n'est pas cette partie de son programme d'identité heureuse qui l'a exclu de la présidentielle.
- BalthazaardVénérable
Dans ma région, cela ne m'étonne pas du tout...
- BRNiveau 9
La défaite d'Alain Juppé est avant tout le signe que les électeurs se méfient du consensus médiatique.
Alain Juppé et Nicolas Sarkozy avaient été choisi par les médias comme tête d'affiche des primaires, ils ont été largement battus.
Après la défaite de Sarkozy au premier tour de la primaire, les médias n'ont eu de cesse de pilonner François Fillon et de promouvoir ostensiblement la candidature d'Alain Juppé. On aurait presque pu imaginer qu'on était de retour en 2002, avec François Fillon dans le rôle de Jean Marie Le Pen tant la pression de la presse était intense.
La victoire de Fillon était certes acquise dès le premier tour, mais j'imaginais volontiers que le sauve qui peut médiatique permettrait un sursaut de Juppé qui pourrait peut-être frôler les 40% à la faveur d'une plus grande mobilisation des électeurs. Plus grande mobilisation il y a eu, mais c'est pour confirmer de façon humiliante la déroute de Juppé...
Les journalistes et éditocrates qui jouent les arbitres des élégances en décernant des brevets de respectabilité aux Macron, Valls et autres Juppé ne se rendent absolument pas compte du tort qu'ils leur causent. À travers l'échec de Juppé aujourd'hui et l'échec prévisible demain de Valls, Hollande ou Macron, c'est cette petite caste de privilégiés et ses plus médiatiques représentants que le peuple récuse.
Alain Juppé et Nicolas Sarkozy avaient été choisi par les médias comme tête d'affiche des primaires, ils ont été largement battus.
Après la défaite de Sarkozy au premier tour de la primaire, les médias n'ont eu de cesse de pilonner François Fillon et de promouvoir ostensiblement la candidature d'Alain Juppé. On aurait presque pu imaginer qu'on était de retour en 2002, avec François Fillon dans le rôle de Jean Marie Le Pen tant la pression de la presse était intense.
La victoire de Fillon était certes acquise dès le premier tour, mais j'imaginais volontiers que le sauve qui peut médiatique permettrait un sursaut de Juppé qui pourrait peut-être frôler les 40% à la faveur d'une plus grande mobilisation des électeurs. Plus grande mobilisation il y a eu, mais c'est pour confirmer de façon humiliante la déroute de Juppé...
Les journalistes et éditocrates qui jouent les arbitres des élégances en décernant des brevets de respectabilité aux Macron, Valls et autres Juppé ne se rendent absolument pas compte du tort qu'ils leur causent. À travers l'échec de Juppé aujourd'hui et l'échec prévisible demain de Valls, Hollande ou Macron, c'est cette petite caste de privilégiés et ses plus médiatiques représentants que le peuple récuse.
- VicomteDeValmontGrand sage
L'idée dominante dans les média après le premier tour c'était plutôt que c'était plié.
_________________
Cette insigne faveur que votre coeur réclame
Nuit à ma renommée et répugne à mon âme.
- AscagneGrand sage
Je n'ai pas vu les médias "pilonner" Fillon. En tout cas, pas les médias qui auraient pu avoir une vraie influence sur le gros de l'électorat de cette primaire.
Je ne pense pas que le "consensus médiatique" ait été prédominant dans ce cas. Les soutiens de Fillon au premier tour se sont amplifiés dans la dernière ligne droite et jusqu'au dernier instant du premier tour parce que l'électorat a découvert tardivement que c'était une option plus valable qu'un Sarkozy dévalué. Fillon a remporté le second tour parce qu'il est logique que l'électorat d'une primaire de droite, majoritairement à droite, choisisse celui qui lui correspond le plus du point de vue idéologique. Le fossé entre Fillon et Juppé au premier tour n'allait pas pousser la partie droitière des sympathisants LR à reconsidérer avec attention l'argument de Juppé ("je suis celui qui rassemble le plus à la présidentielle"). Cet argument, il restait audible auprès de la droite plus ouverte et du centre (tendance UDI NC excepté, enfin, jusqu'à ce soir, et tendance Bayrou) et éventuellement au-delà.
Je ne pense pas que le "consensus médiatique" ait été prédominant dans ce cas. Les soutiens de Fillon au premier tour se sont amplifiés dans la dernière ligne droite et jusqu'au dernier instant du premier tour parce que l'électorat a découvert tardivement que c'était une option plus valable qu'un Sarkozy dévalué. Fillon a remporté le second tour parce qu'il est logique que l'électorat d'une primaire de droite, majoritairement à droite, choisisse celui qui lui correspond le plus du point de vue idéologique. Le fossé entre Fillon et Juppé au premier tour n'allait pas pousser la partie droitière des sympathisants LR à reconsidérer avec attention l'argument de Juppé ("je suis celui qui rassemble le plus à la présidentielle"). Cet argument, il restait audible auprès de la droite plus ouverte et du centre (tendance UDI NC excepté, enfin, jusqu'à ce soir, et tendance Bayrou) et éventuellement au-delà.
- DaphnéDemi-dieu
Pour ma part j'en suis convaincue.Celadon a écrit:Je me demande si les "accommodements raisonnables de Juppé ne lui ont pas été défavorables au second tour et si même ce n'est pas cette partie de son programme d'identité heureuse qui l'a exclu de la présidentielle.
Ça plus ses condamnations.
C'est tout cela qui a fait que les électeurs de droite n'en ont pas voulu.
- CeladonDemi-dieu
C'est dingue que pendant des mois les media nous aient fait croire qu'il était le favori de la droite, tout de même !
- Ingeborg B.Esprit éclairé
C'est vrai que Fillon est un homme du peuple eloigné des privilèges Par ailleurs, ce n'est pas le'peuple qui a voté mais 4 millions de personnes qui ne sont pas représentatives du corps électoral.BR a écrit:La défaite d'Alain Juppé est avant tout le signe que les électeurs se méfient du consensus médiatique.
Alain Juppé et Nicolas Sarkozy avaient été choisi par les médias comme tête d'affiche des primaires, ils ont été largement battus.
Après la défaite de Sarkozy au premier tour de la primaire, les médias n'ont eu de cesse de pilonner François Fillon et de promouvoir ostensiblement la candidature d'Alain Juppé. On aurait presque pu imaginer qu'on était de retour en 2002, avec François Fillon dans le rôle de Jean Marie Le Pen tant la pression de la presse était intense.
La victoire de Fillon était certes acquise dès le premier tour, mais j'imaginais volontiers que le sauve qui peut médiatique permettrait un sursaut de Juppé qui pourrait peut-être frôler les 40% à la faveur d'une plus grande mobilisation des électeurs. Plus grande mobilisation il y a eu, mais c'est pour confirmer de façon humiliante la déroute de Juppé...
Les journalistes et éditocrates qui jouent les arbitres des élégances en décernant des brevets de respectabilité aux Macron, Valls et autres Juppé ne se rendent absolument pas compte du tort qu'ils leur causent. À travers l'échec de Juppé aujourd'hui et l'échec prévisible demain de Valls, Hollande ou Macron, c'est cette petite caste de privilégiés et ses plus médiatiques représentants que le peuple récuse.
- GaliNéoFidèle du forum
Parfois, je me dis qu'on devrait enlever le droit de vote aux retraités... Après tout, ils ne sont plus l'avenir de la France...
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¡ Hermano ! Dale gracias a Dios, que lo que tienes en la mano, no lo tienes por todo el año...
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