- LMVénérable
Dalva a écrit:Je n'avais pas l'impression d'avoir sous-entendu que tu attendais bêtement. C'est agréable.
Je pars du principe que ma réaction à ton message peut servir à d'autres, et que plus nous serons nombreux à faire valoir cela, mieux ce sera.
Je te laisse à ton affaire.
Ce n'est pas à ton message que je réagissais mais à celui de Véronique.
Nous nous sommes mal comprises sur ce point.
J'ai déjà fait appel à mon syndicat concernant ce problème de temps de formation et cela suit son cours.
- User5899Demi-dieu
Oui, voilà.V.Marchais a écrit:Cripure a écrit:V.Marchais a écrit:LM a écrit:On me retire 1/30e de mon salaire alors que je travaille le matin avec les élèves au clg.
Dans ce cas, pourquoi ne pas pousser la logique jusqu'au bout, te déclarer gréviste ce jour-là et rester tranquillement chez toi ? À un moment, c'st à concon, à concon et demi.
Il peut y avoir une certaine grandeur à être moins salaud que les salauds, non ?
Ou bien de la bêtise à se laisser faire par des imbéciles tyranniques.
- DalvaVénérable
Dans ce sens, pourquoi pas. Mais se voir retirer une journée pour service non fait alors qu'on a assuré son service, cela reste inadmissible. Je crois que je préfère encore les cumuler, et attaquer (et le faire savoir). Malheureusement, plus aucune de nos "journées" de formation ne tombera un mercredi après-midi apparemment. Et quand je dis "journées" : on nous a annoncé des journées, ce ne sont que des demi-journées.V.Marchais a écrit:Dalva a écrit:Je suis plutôt d'accord avec Cripure, mais pas seulement pour la raison qu'il donne. Nous ne sommes pas grévistes. Nous refusons de nous voir imposer du temps de "travail" en dehors de notre temps supposé de travail.
Si nous grévons le matin, alors il n'y a plus aucun moyen de refuser l'extension des journées de formation sur n'importe quelle journée, y compris le samedi alors que l'établissement est fermé, voire pendant les vacances scolaires, qui ne sont pas nos congés.
A ce sujet toutefois, je me demande bien comment l'Etat pourrait se débrouiller pour imposer à tous les enseignants les dates de leurs cinq semaines de congés payés. Parce qu'à un moment donné, il faut bien que nous soyons effectivement placés en congés payés, et on devrait un minimum pouvoir les choisir - pas tous en même temps.
Je comprends ce point de vue.
Disons que personnellement, je veux aussi mettre l'institution face aux conséquences de sa logique : 1ère demi-journée de formation, j'assure mes cours et je me barre à la fin. Si on me retire 1/30e, dont acte pour la fois suivante : un service non fait, c'est un service non fait.
- V.MarchaisEmpereur
Ce serait bien de laisser un peu les susceptibilités de côté et d'arrêter de tout prendre comme des attaques personnelles alors que nous sommes sur un forum public.
Pour ma part, je répondais à la remarque de Cripure. À un moment, face à un système qui déconne dans les grandes largeurs, je me fous d'avoir l'air grande. Je préfère mettre en évidence le caractère déconnant du truc.
Pour ma part, je répondais à la remarque de Cripure. À un moment, face à un système qui déconne dans les grandes largeurs, je me fous d'avoir l'air grande. Je préfère mettre en évidence le caractère déconnant du truc.
- V.MarchaisEmpereur
Dalva a écrit:Dans ce sens, pourquoi pas. Mais se voir retirer une journée pour service non fait alors qu'on a assuré son service, cela reste inadmissible. Je crois que je préfère encore les cumuler, et attaquer (et le faire savoir). Malheureusement, plus aucune de nos "journées" de formation ne tombera un mercredi après-midi apparemment. Et quand je dis "journées" : on nous a annoncé des journées, ce ne sont que des demi-journées.V.Marchais a écrit:Dalva a écrit:Je suis plutôt d'accord avec Cripure, mais pas seulement pour la raison qu'il donne. Nous ne sommes pas grévistes. Nous refusons de nous voir imposer du temps de "travail" en dehors de notre temps supposé de travail.
Si nous grévons le matin, alors il n'y a plus aucun moyen de refuser l'extension des journées de formation sur n'importe quelle journée, y compris le samedi alors que l'établissement est fermé, voire pendant les vacances scolaires, qui ne sont pas nos congés.
A ce sujet toutefois, je me demande bien comment l'Etat pourrait se débrouiller pour imposer à tous les enseignants les dates de leurs cinq semaines de congés payés. Parce qu'à un moment donné, il faut bien que nous soyons effectivement placés en congés payés, et on devrait un minimum pouvoir les choisir - pas tous en même temps.
Je comprends ce point de vue.
Disons que personnellement, je veux aussi mettre l'institution face aux conséquences de sa logique : 1ère demi-journée de formation, j'assure mes cours et je me barre à la fin. Si on me retire 1/30e, dont acte pour la fois suivante : un service non fait, c'est un service non fait.
En même temps, l'un n'empêche pas l'autre.
Je suis convoquée après mes cours.
Je n'y vais pas.
Si mon principal prétend déclarer un service non fait, je lui répond que, le cas échéant, la prochaine fois, je lui ferai bien voir ce que service non fait veut dire (et chez nous, on a encore trois formations en soirée, après 17h00...).
Et cela ne m'empêche nullement de contester le premier retrait sur salaire.
- User5899Demi-dieu
Mais les congés payés sont placés l'été, à la seule période de l'année où les établissements sont fermés (6 semaines en gros). Pendant toutes les vacances intermédiaires, je rappelle que les établissements sont ouverts et que les tableaux de permanence des équipes (direction et éducation) sont votés en CA.Dalva a écrit:Je suis plutôt d'accord avec Cripure, mais pas seulement pour la raison qu'il donne. Nous ne sommes pas grévistes. Nous refusons de nous voir imposer du temps de "travail" en dehors de notre temps supposé de travail.
Si nous grévons le matin, alors il n'y a plus aucun moyen de refuser l'extension des journées de formation sur n'importe quelle journée, y compris le samedi alors que l'établissement est fermé, voire pendant les vacances scolaires, qui ne sont pas nos congés.
A ce sujet toutefois, je me demande bien comment l'Etat pourrait se débrouiller pour imposer à tous les enseignants les dates de leurs cinq semaines de congés payés. Parce qu'à un moment donné, il faut bien que nous soyons effectivement placés en congés payés, et on devrait un minimum pouvoir les choisir - pas tous en même temps.
- User5899Demi-dieu
C'est tout à fait légitime, d'ailleurs, et je n'ai rien à dire contre cela.V.Marchais a écrit:Pour ma part, je répondais à la remarque de Cripure. À un moment, face à un système qui déconne dans les grandes largeurs, je me fous d'avoir l'air grande. Je préfère mettre en évidence le caractère déconnant du truc.
- LMVénérable
V.Marchais a écrit:Ce serait bien de laisser un peu les susceptibilités de côté et d'arrêter de tout prendre comme des attaques personnelles alors que nous sommes sur un forum public.
Pour ma part, je répondais à la remarque de Cripure. À un moment, face à un système qui déconne dans les grandes largeurs, je me fous d'avoir l'air grande. Je préfère mettre en évidence le caractère déconnant du truc.
La seule façon de montrer l'idiotie du système est de faire appel au T.A.
Mais qui est prêt à le faire? Autour de moi, personne.
Je n'ai pas attendu pour réagir autrement (je refuse de ne pas faire cours, je sais qu'on me prélèvera 1/30e donc j'agis d'une autre façon).
- DalvaVénérable
Justement, non, pas vraiment.Cripure a écrit:Mais les congés payés sont placés l'été, à la seule période de l'année où les établissements sont fermés (6 semaines en gros). Pendant toutes les vacances intermédiaires, je rappelle que les établissements sont ouverts et que les tableaux de permanence des équipes (direction et éducation) sont votés en CA.Dalva a écrit:Je suis plutôt d'accord avec Cripure, mais pas seulement pour la raison qu'il donne. Nous ne sommes pas grévistes. Nous refusons de nous voir imposer du temps de "travail" en dehors de notre temps supposé de travail.
Si nous grévons le matin, alors il n'y a plus aucun moyen de refuser l'extension des journées de formation sur n'importe quelle journée, y compris le samedi alors que l'établissement est fermé, voire pendant les vacances scolaires, qui ne sont pas nos congés.
A ce sujet toutefois, je me demande bien comment l'Etat pourrait se débrouiller pour imposer à tous les enseignants les dates de leurs cinq semaines de congés payés. Parce qu'à un moment donné, il faut bien que nous soyons effectivement placés en congés payés, et on devrait un minimum pouvoir les choisir - pas tous en même temps.
Le collège est ouvert deux jours pendant les vacances intermédiaires.
Pendant l'été, il est fermé grosso modo du 14 juillet au 20 août, mais plus souvent il est encore ouvert un peu après le 14 juillet.
Cela voudrait dire que nos dates de congés payés nous sont imposées, tout sur juillet-août, et que nous n'avons aucun droit à nous prétendre en congés à Noël, par exemple ?
J'aimerais en être sûre.
Edit
L'arrêt du conseil d'état du 26 novembre 2012 concernant le report de congés annuels pour les enseignants sous-entend quand même que les congés annuels peuvent être placés sur n'importe quelle période de vacance scolaire. A voir si cela est à entendre uniquement pour les besoins de report (pour cause de congé de maternité par exemple) ou si c'est valable pour tout le monde. Aucun texte en tout cas ne semble dire que ces congés payés doivent être placés exclusivement en juillet et août.
- V.MarchaisEmpereur
LM a écrit:V.Marchais a écrit:Ce serait bien de laisser un peu les susceptibilités de côté et d'arrêter de tout prendre comme des attaques personnelles alors que nous sommes sur un forum public.
Pour ma part, je répondais à la remarque de Cripure. À un moment, face à un système qui déconne dans les grandes largeurs, je me fous d'avoir l'air grande. Je préfère mettre en évidence le caractère déconnant du truc.
La seule façon de montrer l'idiotie du système est de faire appel au T.A.
Mais qui est prêt à le faire? Autour de moi, personne.
Ça, c'est démontrer son illégalité. C'est encore autre chose. Et, selon moi, ce n'est pas une affaire d'individu. C'est trop lourd, et je conçois qu'on n'ait pas l'énergie pour se lancer dans une telle bataille à titre individuel. C'est là que les syndicats ont un rôle important à jouer. Sud fait très bien sur ce point.
- carpemuetteNiveau 5
doctor who a écrit:carpemuette a écrit:Serge a écrit:J'ai lu que dans plusieurs formations on incitait les enseignants à poser le moins de questions possibles et à s'effacer lors de la lecture des textes pour laisser les élèves débattre entre eux et construire le sens, puis faire leur propre trace écrite (si certains confirment que c'est bien ça) ...
J'imagine qu'ils suggèrent que les élèves établissent aussi d'eux-mêmes des axes de lecture et fassent un plan en deux ou trois parties ... ou c'est à présent dispensable dans la trace écrite ? Parce que déjà que ça semble surréaliste, là on nagerait carrément dans de la science fiction. :shock:
Ici, les élèves doivent construire le sens (et ce n'est pas grave si ne n'est pas le véritable sens, d'après ce que j'ai compris, on doit accepter une façon naïve de lire : ce que j'entends, mais à quoi sert-on alors ?.)
Pas question de I, II ni du moindre plan, sclérosant pour la pensé : la lecture de texte (et non pas son analyse, nous ne sommes pas à la fac) doit être un bouillonnement qui part des émotions des élèves. Les seules traces écrites doivent être les productions de l'élève.
Compter 9 séquences bouillonnantes (c'est un minimum acceptable) par an.
Remarque, il ne me viendrait pas à l'idée de faire noter un plan de commentaire aux élèves dans leurs cahiers au collège. Le mieux que j'ai fait, c'était un résumé de quelques lignes reprenant les aspects évoqués de manière très synthétique.
Je préfère faire rédiger, collectivement, individuellement ou par groupes, un paragraphe sur un point précis du texte. Ou alors une réponse un peu longue sur une question.
Peu m'importe que les collégiens retiennent la glose. Je préfère qu'ils retiennent le texte et s'entraînent à réfléchir.
Je ne dis pas ça pour dire que faire un plan, c'est affreux, juste pour dire qu'on peut faire autrement sans ne faire que s'exprimer les élèves.
C'est ce que j'essaie de faire aussi. Je pense que sur cet aspect au moins, nous sommes dans la droite ligne de la réforme. Ouf. Ce qui m'embête plus, c'est quand l'IPR nous demande de ne pas évaluer le contenu du dit paragraphe si notre objectif est de faire rédiger. Il sera temps ensuite d'évaluer une autre fois le contenu, mais cette fois sans s'intéresser à la forme.
- prof2mathsNiveau 5
hhelene a écrit:Formatage Enseignement de sciences et technologie cycle 3
Préambule : moi je suis prof de SVT parce que mon truc, c'est le vivant. J'aime le monde vivant, je le trouve stupéfiant, et du coup, j'aime partager ma stupéfaction et ce qu'on arrive à comprendre du fabuleux fonctionnement de ce truc-là.
J'enseigne aussi la géologie. Ça m'éclate moins, mais bon, je suis formée pour et c'était dans le contrat, rien à dire. Fin du préambule.
Formatage donc, nous sommes réunis, profs de techno, SVT et physique-chimie. De toute façon, au cycle 3, il n'y a plus ni svt ni techno, il y a EST. C'est pas plus moche que SVT, comme acronyme, n'empêche, ma matière a disparu, j'aime pas.
On nous raconte que les pauvpetitsapprenants sont tous paumés en sixième avec plein de profs différents et qu'un seul prof en sciences c'est la panacée. Petite couche de culpabilisation.
Je fais remarquer que l'EIST a été largement testé ces dernières années, mais dans des conditions convenables : une heure de décharge par semaine pour concertation, effectifs systématiquement réduits, et profs volontaires. On me répond qu'avec les nouveaux statuts, l'heure de concertation est prévue dans mon temps de travail et que d'ailleurs, les CDE ont reçu des directives pour coller des trous dans nos emplois du temps sur des heures communes. Trop bien, des trous ! Et que pour les groupes, c'était écrit quelque part entre parenthèse dans les textes que ce serait bien d'en faire, à nous donc de lutter bec et ongles pour les obtenir. Trop bien, la guerre !
Je fais remarquer ensuite qu'un bilan a été fait de cette expérimentation et qu'il n'en est rien sorti de bien transcendant. On me répond que je n'ai pas lu en détail, que si, si, les élèves gagnent en autonomie. Bon, je suis vraiment godiche, je ne sais pas lire (là en bas le bilan).
Je fais remarquer encore (oui, oui, pénible je suis) que les statuts, tout chamboulés qu'ils soient, nous protègent encore de la polyvalence (en l’occurrence ici de la pentavalence). L'IPR me répond que « pas du tout, vous avez le choix de votre organisation, vous pouvez conserver plusieurs profs ». Sauf que ceux à qui on dit « ce sera complément de service à Pétaouchnok ou EST » ont moyennement le choix. Sauf que ceux qui ne sont pas d'accord mais sont minoritaires dans l'équipe scientifique ont moyennement le choix. Mais bon, de toute façon, le même IPR, cinq minutes plus tard, de préciser que « de toute façon, on ne vous le cache pas, on compte bien voir la pratique d'un seul prof de sciences se généraliser rapidement »... puis encore « de toute façon, vous êtes bien capable d'aider vos propres enfants à peu près dans toutes les matières en sixième, non » ?
Ensuite bien sûr, mise en ateliers, entre profs du même collège, pour envisager des progression à partir de propositions qui sont autant d'entrées dans le programme par thèmes (l'eau, la forêt...). On planche, on planche, on a bien du mal à y coller les notions, à en faire un truc équilibré entre les matières, on a l'impression que tout est tiré par les cheveux, en vrac, on déroule des liens quasi surréalistes qui nous font bien rigoler bien jaune. Il y a plein de schémas d'objets techniques dans les documents proposés qui me font trouver tout à coup la géologie irrésistible. La formatrice charmante passe nous voir et devant notre désarroi reconnaît que « ah oui, bon, en maintenant les différentes matières, c'est sûr, c'est compliqué, hein, c'est plus facile avec un seul prof... Mais je ne suis pas là pour vendre l'EST... »
Sion, dans un autre groupe, un collègue me raconte qu'un formateur bien moins charmant leur a fait le coup du « de toute façon vous êtes fonctionnaires » et du « si vous étiez dans le privé »....
Voilà voilà... Désolée pour le pavé, j'avais besoin. Je me relis un coup mais il restera sûrement plein de fautes et de lourdeurs. Soyez bienveillants (!), je ne suis pas prof de lettres classiques, je ne suis même plus prof de svt, je suis juste prof de gloumi.
Sur ce je vais me servir un truc un peu fort...
Merci pour ce témoignage qui confirme la volonté de nous rendre polyvalents. C'est désespérant, c'est nier l'apport dans un enseignement toute la richesse issue de la spécialisation. Bref, il ne faut surtout pas croire que tout ceci est dans l'intérêt des élèves. Sur le plan comptable, la spécialisation, c'est moins avantageux que la multivalence.
Avec ce genre de réplique « de toute façon, on ne vous le cache pas, on compte bien voir la pratique d'un seul prof de sciences se généraliser rapidement », les IPR sont des vendus.
Tu parles de pentavalence, mais tu peux y ajouter les maths qui commencent à devenir "maths-techno". Vive l'hexavalence quand il n'y aura plus qu'un gros pôle "science-fourre-tout". Tout ça c'est pour faire des économies (lire le rapport de la cour des comptes de 2013).
Je suis comme toi, écœuré. Et dire que des collègues trouvent ça super.
- Shere KhanNiveau 10
Hé ! Ho ! La Gauche ! Elle gouverne, vraiment ???
_________________
Les socialistes, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît..
Un éléphant (républicain…) ça Trump énormément (celle-là, j'en suis très fier)
- RabelaisVénérable
HS: ils deviennent vraiment pénibles avec leur histoire de sixièmes, qu'est-ce que c'est que ce mythe de traumatisme d'avoir plusieurs profs?
( hs2: je connais un petit gars de CE2 qui rêve d'avoir plusieurs profs parce que " avoir la même prof tout le temps, c'est ennuyeux ")
Fin du HS.
( hs2: je connais un petit gars de CE2 qui rêve d'avoir plusieurs profs parce que " avoir la même prof tout le temps, c'est ennuyeux ")
Fin du HS.
_________________
Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- mistinguetteFidèle du forum
Puis faut être lucide, un cp sur un double niveau avec enseignantes à tp (2), qui pratiquent des regroupements (3) avec un enseignants musique (4) et un sport (5) pratiquant le priscolaire ( +4) gère donc un emploi du temps avec 9 adultes, après 5 ans de primaire il devrait s'en sortir avec 3 de plus au college
_________________
.'..Texte sur les l'oies' commentaires du prof hg que j’adorais sur ma copie de 6e : loi/ l'oie Vous en êtes une!. J'ai évolué depuis mais mon complexe orthographique m'accompagnera toujours. Il semble qu'aujourd’hui on parle de dyslexie pour l'étourdie éternelle que j'étais...alors si c'est la science des ânes, merci de pas charger la mule.
- RabelaisVénérable
mistinguette a écrit:Puis faut être lucide, un cp sur un double niveau avec enseignantes à tp (2), qui pratiquent des regroupements (3) avec un enseignants musique (4) et un sport (5) pratiquant le priscolaire ( +4) gère donc un emploi du temps avec 9 adultes, après 5 ans de primaire il devrait s'en sortir avec 3 de plus au college
Ou comment se cacher derrière les n'enfants pour faire des économies ...
Seront-ils un jour cohérents ? Pourquoi recruter en masse si le but est de remplacer trois profs par un seul.
_________________
Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- Shere KhanNiveau 10
Exact. Ils aiment bien changer de tête. Encore une idée tartignolle des pédagoneuneus.Rabelais a écrit:HS: ils deviennent vraiment pénibles avec leur histoire de sixièmes, qu'est-ce que c'est que ce mythe de traumatisme d'avoir plusieurs profs?
( hs2: je connais un petit gars de CE2 qui rêve d'avoir plusieurs profs parce que " avoir la même prof tout le temps, c'est ennuyeux ")
Fin du HS.
_________________
Les socialistes, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît..
Un éléphant (républicain…) ça Trump énormément (celle-là, j'en suis très fier)
- ycombeMonarque
J'en ai marre de cette antienne.amethyste a écrit:
- les connaissances, c'est pas important, les élèves les ont dans leur téléphone dans leur poche
La bonne réponse est probablement: "Et, d'après certaines études, plus ils s'en servent, plus ils sont cons."
http://www.danielwillingham.com/daniel-willingham-science-and-education-blog/the-brain-in-your-pocket a écrit:
Researchers also reported a negative correlation between smartphone use and cognitive ability (as measured by brief numeracy and verbal intelligence tests), an association reported in previous research. The reason is not clear. It may be that low-cognitive-ability people seek information—look up a word meaning, calculate a tip—that high-ability people have in their heads.
_________________
Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- amethysteDoyen
Il n'y a pas une étude sur les méfaits des ondes quand le téléphone est trop près des testicules ?
- ycombeMonarque
J'ai un peu de mal avec ça. La seule analogie que j'arrive à voir, c'est lorsque certains fonctionnaires refusèrent de prêter serment à Pétain. Il fait un parallèle entre ceux qui refusent la réforme et ceux qui s'opposèrent à Pétain? Il doit y avoir quelque chose qui m'échappe.Mallet a écrit:
L'IPR X a ensuite fait référence "aux heures les plus sombres de notre histoire"
_________________
Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- MalletNiveau 6
Moi aussi, la référence m'échappe un peu!!!!!! je connais l'IPR!!!!!!!!!! ça renvoie peut-être à "déni de démocratie" au-dessus! Si j'arrive à en savoir davantage, je ferai savoir.
- V.MarchaisEmpereur
pailleauquebec a écrit:Saluons ici notre IPR qui nous a conseillé de ne pas acheter les nouveaux manuels (il fallait du courage pour oser dire cela) qui seront écrits à toute vitesse, il est donc urgent d'attendre un ans ou deux.
Parce qu'il imagine que les éditeurs qui viennent d'investir dans 4 niveaux par collection vont tout refaire dans un an ou deux ?
Sinon, autre possibilité : se tourner vers la manuels qui ont refusé de tout faire en un an, justement pour ne pas faire de la merde. Tu veux un titre ?
- Al9Niveau 10
Mallet a écrit:Moi aussi, la référence m'échappe un peu!!!!!! je connais l'IPR!!!!!!!!!! ça renvoie peut-être à "déni de démocratie" au-dessus! Si j'arrive à en savoir davantage, je ferai savoir.
Je peux vous répondre facilement, j'y étais. Le déni de démocratie renvoie au fait que l'IPR a pu croire qu'une minorité de collègue se laissait imposer le silence par d'autres, ce qui n'était pas le cas.
Après, face à l'absence de paroles, elle a prononcé ces paroles qui nous ont extrêmement choqué. La pression sur les collègues de lettres a été très importante également.
- V.MarchaisEmpereur
Et pourquoi spécialement sur les collègues de Lettres ?
- Al9Niveau 10
V.Marchais a écrit:Et pourquoi spécialement sur les collègues de Lettres ?
Il s'agissait d'une IPR de Lettres.
- ycombeMonarque
Ce n'est pas comme ça que je l'avais compris. Pour moi, le "déni de démocratie" fait référence à l'argument selon lequel la réforme a (prétendument) été votée par la représentation nationale et que s'y opposer c'est refuser une décision prise démocratiquement par les représentant des français. C'est un argument qu'on a déjà entendu.Al9 a écrit:Mallet a écrit:Moi aussi, la référence m'échappe un peu!!!!!! je connais l'IPR!!!!!!!!!! ça renvoie peut-être à "déni de démocratie" au-dessus! Si j'arrive à en savoir davantage, je ferai savoir.
Je peux vous répondre facilement, j'y étais. Le déni de démocratie renvoie au fait que l'IPR a pu croire qu'une minorité de collègue se laissait imposer le silence par d'autres, ce qui n'était pas le cas.
_________________
Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- Réforme du collège - Mathématiques : retour des formations disciplinaires
- Rouen : le Snes-FSU dénonce "l'indigence" et le "vide intersidéral" des formations sur la réforme du collège
- Réforme du collège : êtes-vous satisfaits des formations que vous avez suivies ?
- [Réforme du collège] Boycotter Le Monde & Libération pour leur partialité au sujet de la réforme du collège.
- Réforme Lycée 2010 et Réforme collège 2016 : quelles ressemblances ?!
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum