- ElyasEsprit sacré
jésus a écrit:La colle en question était programmée et annulée..comme je viens de le dire. Et c'était ma seule occasion de l'année d'en faire une...( c'est bien aussi de lire et comprendre mon message) Tout le monde n'habite pas en RP ou dans une grande ville.
J'adore la compréhension et la bienveillance accueillante des " collègues" .
On fait comment quand on ne vit pas dans une ville universitaire ou quand les collègues-amis de sa matière ne sont pas près de chez soi?
Et je suis désolé, une colle avec beaucoup de conseils ensuite ça a une grande valeur...( vous le comprenez pas? )
A force de tomber sur des "collègues" qui ne comprennent jamais rien aux galères des contractuels, ça me donne plus ou pas envie de rentrer dans le métier, et ça doit expliquer un paquet de démissions et de départs précipités de contractuel en cours d'année.
Personne ne se pose la question?
J'ai eu le CAPES en ne révisant qu'une semaine en tout et pour tout. J'y suis allé la fleur au fusil. J'avais été très malade toute l'année. Cependant, tout le travail que j'avais effectué m'a permis de réussir. Et je n'étais même pas dernier ! Il y en avait 100 derrière moi, encore
- User5899Demi-dieu
L'ENS délivre un diplômeBouboule a écrit:ben2510 a écrit:Une équivalence du DEUG, et une bourse de licence, à l'époque ou un copain à moi l'avait eu.PauvreYorick a écrit:De toute façon, ça donne droit à quelque chose, la sous-ad à l'ENS? jamais compris ce que ça impliquait.
Une admission pour suivre les études de l'ENS et obtenir le diplôme (sans être normalien).
En même temps, les militaires ont leurs corps et grade cousus sur leur tenueMarcel Khrouchtchev a écrit:N'importe qui qui se présenterait à n'importe qui en précisant le corps auquel il appartient (encore que les bi-admissibles ne forment pas un corps, mais sont des certifiés) aurait l'air ridicule. Quelle idée de faire ça...
Oui, moi aussi. On ne souligne pas assez le grand mérite de ces collègues qui acceptent de repasser sous les fourches caudines alors qu'ils sont bien installés.Leclochard a écrit:J'ajoute que j'ai bien aimé ta remarque sur les collègues âgés qui avaient l'humilité de se présenter à l'agrégation. :aau:
Elle a des yeux, mais ne voit pointkiwi a écrit:Franchement Jésus, je ne crois pas.
Vous êtes sacrément complaisant envers vous-même ! Quand je pense aux conditions dans lesquelles les profs en exercice passent et parfois réussissent l'agreg interne...jésus a écrit:La colle en question était programmée et annulée..comme je viens de le dire. Et c'était ma seule occasion de l'année d'en faire une...( c'est bien aussi de lire et comprendre mon message) Tout le monde n'habite pas en RP ou dans une grande ville.
J'adore la compréhension et la bienveillance accueillante des " collègues" .
On fait comment quand on ne vit pas dans une ville universitaire ou quand les collègues-amis de sa matière ne sont pas près de chez soi?
Et je suis désolé, une colle avec beaucoup de conseils ensuite ça a une grande valeur...( vous le comprenez pas? )
A force de tomber sur des "collègues" qui ne comprennent jamais rien aux galères des contractuels, ça me donne plus ou pas envie de rentrer dans le métier, et ça doit expliquer un paquet de démissions et de départs précipités de contractuel en cours d'année.
Personne ne se pose la question?
- SphinxProphète
Cripure a écrit:L'ENS délivre un diplômeBouboule a écrit:ben2510 a écrit:Une équivalence du DEUG, et une bourse de licence, à l'époque ou un copain à moi l'avait eu.PauvreYorick a écrit:De toute façon, ça donne droit à quelque chose, la sous-ad à l'ENS? jamais compris ce que ça impliquait.
Une admission pour suivre les études de l'ENS et obtenir le diplôme (sans être normalien).
Oui, depuis 2006. Il y a marqué "Diplôme de l'ENS" dessus ainsi que la spécialité et il ne sert absolument à rien Il a été créé pour que les "auditeurs" (je ne sais plus comment on les appelle de ces jours-ci) aient quelque chose, mais du coup on a décidé que les élèves devaient aussi le passer. Il faut valider deux-trois cours. Une partie des départements refuse de le faire passer à ses élèves et il ne sert pour absolument rien mais il est très joli
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- e-WandererGrand sage
Je posais systématiquement la question aux collègues que je voyais à la "confession", après les résultats : "Dans quelles conditions vous êtes-vous préparé(e) ?". Ça permet de se faire une idée. Un quart à peu près des candidats préparaient vraiment seuls, un autre quart prenait le CNED, et les autres avaient accès à des cours à l'université (+ parfois le CNED, Sévigné ou autres). Une collègue qui donnait des cours d'agreg au CNED m'avait dit qu'ils avaient mis en place un forum pour que les candidats puissent échanger, partager des documents, dialoguer avec leurs formateurs : c'est une bonne initiative.Cripure a écrit:
Vous êtes sacrément complaisant envers vous-même ! Quand je pense aux conditions dans lesquelles les profs en exercice passent et parfois réussissent l'agreg interne...
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
kiwi a écrit:
Pour la dernière fois, puisque manifestement, je ne suis pas claire, je trouve anormal que tous les candidats, au moins en ce qui concerne les ouvrages disponibles en bibliothèque, ne soient pas tous mis sur un même pied d'égalité. Certes, l'égalité totale est impossible, le facteur chance (sujet tiré maitrisé ou non, passer après un candidat brillant, tomber sur le spécialiste du sujet etc.) joue énormément. Mais le fait que tous les candidats n'ont pas les mêmes chances au départ de s'en sortir en bibliothèque est anormal. C'est à croire que c'est compliqué de mettre à disposition plusieurs exemplaires d'un même livre. Après , si le candidat ne maîtrise pas la bibliographie, c'est son problème. Mais qu'au moins les livres soient disponibles.
Normalement, les jurys ne donnent pas de sujets qui se recoupent et qui nécessitent les mêmes ouvrages spécialisés.
kiwi a écrit:Bref, pour finir, si je vais à l'oral, ce qui n'est pas gagné, je l'aurais franchement mauvaise si les bouquins que je sais être en bibliothèque ne sont plus disponibles. Par contre me plaindre du sujet donné? Bof non. C'est le jeu.
C'est finalement inhérent au choix débile de faire ça à Châlons-en-Champagne, où les livres disponibles sont en quantité insuffisante, alors qu'il y aurait des lieux parisiens beaucoup plus adaptés (ou en fait n'importe quelle ville universitaire, Reims à proximité ouvrirait bien plus de possibilités si vraiment on veut faire ça en Champagne-Ardenne).
Avec des moyens du CAPES, on veut faire l'agrégation, je pense que cela ne favorise pas la juste reconnaissance de la valeur de l'interne.
- CarnyxNeoprof expérimenté
Pauvreté des BU en France en général !
J'ai eu la chance de bénéficier de la bibliothèque de la Sorbonne (et d'autres à Paris) pendant mes études, dans les petites facs, aïe…
En Allemagne pour ouvrir une BU il faut au moins 200 000 volumes !
J'ai eu la chance de bénéficier de la bibliothèque de la Sorbonne (et d'autres à Paris) pendant mes études, dans les petites facs, aïe…
En Allemagne pour ouvrir une BU il faut au moins 200 000 volumes !
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Of all tyrannies, a tyranny sincerely exercised for the good of its victims may be the most oppressive. It would be better to live under robber barons than under omnipotent moral busybodies. The robber baron’s cruelty may sometimes sleep, his cupidity may at some point be satiated; but those who torment us for our own good will torment us without end for they do so with the approval of their own conscience.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Faut pas exagérer Carnyx. Il y a des BU (notamment à Strasbourg, Lyon, Bordeaux, Lille, Rennes, Marseille, et j'en oublie) qui ont des fonds qui seraient largement suffisants pour l'agreg (et je pense même que ce serait le cas dans des BU encore plus petites, mais bien fournies).
Mais là, Châlons n'a précisément pas de BU du tout! Ce n'est pas une ville universitaire, et il est assez délirant d'aller y organiser des oraux d'agreg. Et je pense vraiment que cela vient d'une hiérarchie implicite et que je conteste entre interne et externe: il serait impensable d'aller organiser les oraux de l'externe là-bas, les gens riraient au nez de quiconque aurait cette idée farfelue.
Mais là, Châlons n'a précisément pas de BU du tout! Ce n'est pas une ville universitaire, et il est assez délirant d'aller y organiser des oraux d'agreg. Et je pense vraiment que cela vient d'une hiérarchie implicite et que je conteste entre interne et externe: il serait impensable d'aller organiser les oraux de l'externe là-bas, les gens riraient au nez de quiconque aurait cette idée farfelue.
- CarnyxNeoprof expérimenté
Pourquoi pas des concours à Millau ou à Châteauroux ?
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Of all tyrannies, a tyranny sincerely exercised for the good of its victims may be the most oppressive. It would be better to live under robber barons than under omnipotent moral busybodies. The robber baron’s cruelty may sometimes sleep, his cupidity may at some point be satiated; but those who torment us for our own good will torment us without end for they do so with the approval of their own conscience.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Châlons-en-Champagne a été choisie pour des raisons politiques et personnelles, c'est assez honteux comme histoire. La justification (officielle), c'est que c'est un siège d'IA, qu'il y a le rectorat et les ESPE sur place. Super pour passer l'agreg
- JPhMMDemi-dieu
1/4 de ceux qui préparent l'agreg interne, tu veux dire ? ou d'un autre concours ? (pardon, je prends la conversation un peu en cours).e-Wanderer a écrit:Je posais systématiquement la question aux collègues que je voyais à la "confession", après les résultats : "Dans quelles conditions vous êtes-vous préparé(e) ?". Ça permet de se faire une idée. Un quart à peu près des candidats préparaient vraiment seuls, un autre quart prenait le CNED, et les autres avaient accès à des cours à l'université (+ parfois le CNED, Sévigné ou autres). Une collègue qui donnait des cours d'agreg au CNED m'avait dit qu'ils avaient mis en place un forum pour que les candidats puissent échanger, partager des documents, dialoguer avec leurs formateurs : c'est une bonne initiative.Cripure a écrit:
Vous êtes sacrément complaisant envers vous-même ! Quand je pense aux conditions dans lesquelles les profs en exercice passent et parfois réussissent l'agreg interne...
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- HerrelisGrand sage
Je travaillais quand j'ai passé le CAPES, du coup, assister aux cours à la fac était... compliqué! Je l'ai eu la deuxième année, et dans le premier quart . Bon, c'était il y a fooooooooooort longtemps certes, mais voilà. Par contre, je lisais beaucoup (les transports en communs), et je ne suis pas du tout une bête à concours, trop éotive (la première année, c'est un malaise qui m'a coûté l'oral en plus).Elyas a écrit:jésus a écrit:La colle en question était programmée et annulée..comme je viens de le dire. Et c'était ma seule occasion de l'année d'en faire une...( c'est bien aussi de lire et comprendre mon message) Tout le monde n'habite pas en RP ou dans une grande ville.
J'adore la compréhension et la bienveillance accueillante des " collègues" .
On fait comment quand on ne vit pas dans une ville universitaire ou quand les collègues-amis de sa matière ne sont pas près de chez soi?
Et je suis désolé, une colle avec beaucoup de conseils ensuite ça a une grande valeur...( vous le comprenez pas? )
A force de tomber sur des "collègues" qui ne comprennent jamais rien aux galères des contractuels, ça me donne plus ou pas envie de rentrer dans le métier, et ça doit expliquer un paquet de démissions et de départs précipités de contractuel en cours d'année.
Personne ne se pose la question?
J'ai eu le CAPES en ne révisant qu'une semaine en tout et pour tout. J'y suis allé la fleur au fusil. J'avais été très malade toute l'année. Cependant, tout le travail que j'avais effectué m'a permis de réussir. Et je n'étais même pas dernier ! Il y en avait 100 derrière moi, encore
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Han : "Comment on s'en sort?" Luke : "comme d'habitude." Han : "Si mal que ça?!!" Le Retour du Jedi
"Drowned in moonlight, strangled by her own bra." -Carrie Fisher- 1956-2016 - See you space momma.
"Drowned in moonlight, strangled by her own bra." -Carrie Fisher- 1956-2016 - See you space momma.
- CarnyxNeoprof expérimenté
C'est sûr que j'admire davantage quelqu'un qui à 40 ans et plus, a un travail et réussit un concours qu'un bleubite de 25 qui a derrière lui soit papa-maman, soit une institution derrière lui.
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Of all tyrannies, a tyranny sincerely exercised for the good of its victims may be the most oppressive. It would be better to live under robber barons than under omnipotent moral busybodies. The robber baron’s cruelty may sometimes sleep, his cupidity may at some point be satiated; but those who torment us for our own good will torment us without end for they do so with the approval of their own conscience.
- RendashBon génie
Pour le CAPES, j'ai eu droit à une espèce de salle double dans le lycée Oehmichen, avec quelques tables et des étagères de fortune à deux doigts de s'écrouler, sur lesquelles étaient empilées quelques dizaines de manuels et de revues. Je n'ai pas eu l'heur de voir ce que contenait les locaux de l'ESPE, je n'y ai fait que mon tirage au sort, mais c'est à peine mieux d'après mes collègues. D'un autre côté, tout le monde est logé à la même enseigne ; ça valorise le travail en amont, non?
Mais je rejoins kiwi, il est anormal que ceux qui tirent en fin de matinée soient à ce point pénalisés.
Et puis, Chalons, quel cauchemar...
En revanche, la complainte sur le concours présenté comme une loterie, ça va cinq minutes. Rater un concours, surtout aussi difficile que le CAPES de philosophie, ou l'agrégation, n'a rien de honteux ; ce qui le devient, c'est quand on pleurniche sur le système injuste plutôt que de remettre l'ouvrage sur le métier.
Quant aux ardents défenseurs des sciences de l'éducation, merci à eux pour le fou rire. Pour répondre à la question de GreenCPE, "vous avez un sérieux problème avec les sc. de l'éducation et je n'ai toujours pas saisi la raison" : la raison est simple, il s'agit d'une imposture. Les sciences de l'éducation telles qu'on les conçoit dans ce pays sont une escroquerie, et elles bouffent de plus en plus les choses sérieuses.
Ce qui n'est pas à dire qu'on ne doit pas réfléchir à nos pratiques professionnelles. J'ai le plus grand respect et la plus grande admiration pour Elyas, en particulier, pour la vision et le recul qu'il a sur son travail, et c'est en lisant ses interventions que j'ai appris le plus de choses. Il est à des années-lumières des "spécialistes" de "sciens"eduk que j'ai subis pendant ma formation, et de ceux que je lis çà et là. Étrangement, contrairement à ces fumistes, il est (sauf erreur de ma part) très attaché à la solidité disciplinaire, ceci expliquant à mon avis cela.
Même motif, même punition : je bossais aussi à côté (bon, le weekend, donc pas gênant pour assister aux cours, mais question préparation...), et j'ai tourné de l’œil pendant les écrits (sur mon supposé point fort en plus >_<' ). J'ai toujours ressenti mon succès au CAPES comme un joli miracle doublé d'une belle imposture :lol:
Mais je rejoins kiwi, il est anormal que ceux qui tirent en fin de matinée soient à ce point pénalisés.
Et puis, Chalons, quel cauchemar...
En revanche, la complainte sur le concours présenté comme une loterie, ça va cinq minutes. Rater un concours, surtout aussi difficile que le CAPES de philosophie, ou l'agrégation, n'a rien de honteux ; ce qui le devient, c'est quand on pleurniche sur le système injuste plutôt que de remettre l'ouvrage sur le métier.
Quant aux ardents défenseurs des sciences de l'éducation, merci à eux pour le fou rire. Pour répondre à la question de GreenCPE, "vous avez un sérieux problème avec les sc. de l'éducation et je n'ai toujours pas saisi la raison" : la raison est simple, il s'agit d'une imposture. Les sciences de l'éducation telles qu'on les conçoit dans ce pays sont une escroquerie, et elles bouffent de plus en plus les choses sérieuses.
Ce qui n'est pas à dire qu'on ne doit pas réfléchir à nos pratiques professionnelles. J'ai le plus grand respect et la plus grande admiration pour Elyas, en particulier, pour la vision et le recul qu'il a sur son travail, et c'est en lisant ses interventions que j'ai appris le plus de choses. Il est à des années-lumières des "spécialistes" de "sciens"eduk que j'ai subis pendant ma formation, et de ceux que je lis çà et là. Étrangement, contrairement à ces fumistes, il est (sauf erreur de ma part) très attaché à la solidité disciplinaire, ceci expliquant à mon avis cela.
Herrelis a écrit:
Je travaillais quand j'ai passé le CAPES, du coup, assister aux cours à la fac était... compliqué! Je l'ai eu la deuxième année, et dans le premier quart . Bon, c'était il y a fooooooooooort longtemps certes, mais voilà. Par contre, je lisais beaucoup (les transports en communs), et je ne suis pas du tout une bête à concours, trop éotive (la première année, c'est un malaise qui m'a coûté l'oral en plus).
Même motif, même punition : je bossais aussi à côté (bon, le weekend, donc pas gênant pour assister aux cours, mais question préparation...), et j'ai tourné de l’œil pendant les écrits (sur mon supposé point fort en plus >_<' ). J'ai toujours ressenti mon succès au CAPES comme un joli miracle doublé d'une belle imposture :lol:
- RendashBon génie
Carnyx a écrit:C'est sûr que j'admire davantage quelqu'un qui à 40 ans et plus, a un travail et réussit un concours qu'un bleubite de 25 qui a derrière lui soit papa-maman, soit une institution derrière lui.
Certains bleubites de 25 ans n'ont ni les uns, ni l'autre, et réussissent (même par miracle) leur concours tout en bossant 25h/semaine pour croûter. Par rapport à ce que j'ai connu, ils sont même une majorité.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Rendash t'es de retour!!!!!
- RendashBon génie
Marcel Khrouchtchev a écrit:Rendash t'es de retour!!!!!
:-)
Oui, tu me manquais trop
Libération inconditionnelle :succes: J'ai recopié dix fois la Charte, brûlé vingt boutiques de fleuristes, lu trente fois le BO et fait quarante pompes.
- CarnyxNeoprof expérimenté
Mais cher ami nordique, je travaillais quand j'ai passé les concours !Rendash a écrit:Carnyx a écrit:C'est sûr que j'admire davantage quelqu'un qui à 40 ans et plus, a un travail et réussit un concours qu'un bleubite de 25 qui a derrière lui soit papa-maman, soit une institution derrière lui.
Certains bleubites de 25 ans n'ont ni les uns, ni l'autre, et réussissent (même par miracle) leur concours tout en bossant 25h/semaine pour croûter. Par rapport à ce que j'ai connu, ils sont même une majorité.
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Of all tyrannies, a tyranny sincerely exercised for the good of its victims may be the most oppressive. It would be better to live under robber barons than under omnipotent moral busybodies. The robber baron’s cruelty may sometimes sleep, his cupidity may at some point be satiated; but those who torment us for our own good will torment us without end for they do so with the approval of their own conscience.
- e-WandererGrand sage
Il était temps que tu reviennes : j'ai multiplié les blagues navrantes pour essayer de meubler pendant ton absence, mais je dois bien reconnaître que je ne suis pas au niveau !Rendash a écrit:Marcel Khrouchtchev a écrit:Rendash t'es de retour!!!!!
:-)
Oui, tu me manquais trop
Libération inconditionnelle :succes: J'ai recopié dix fois la Charte, brûlé vingt boutiques de fleuristes, lu trente fois le BO et fait quarante pompes.
- RendashBon génie
Carnyx a écrit:Mais cher ami nordique, je travaillais quand j'ai passé les concours !Rendash a écrit:Carnyx a écrit:C'est sûr que j'admire davantage quelqu'un qui à 40 ans et plus, a un travail et réussit un concours qu'un bleubite de 25 qui a derrière lui soit papa-maman, soit une institution derrière lui.
Certains bleubites de 25 ans n'ont ni les uns, ni l'autre, et réussissent (même par miracle) leur concours tout en bossant 25h/semaine pour croûter. Par rapport à ce que j'ai connu, ils sont même une majorité.
C'est le reproche qui est, à ma connaissance, le plus souvent fait aux concours : les conditions de préparation varient considérablement selon les candidats.
MAIS : malgré tout, une fraction non négligeable de galériens dans notre genre réussit.
DONC : je rejoins celui (Dr Raynal?) qui avançait que de tous les systèmes possibles, le concours, très mauvais, est le moins pire.
Je râlerai après ce système débile quand j'aurai échoué à l'agreg
e-Wanderer a écrit:Il était temps que tu reviennes : j'ai multiplié les blagues navrantes pour essayer de meubler pendant ton absence, mais je dois bien reconnaître que je ne suis pas au niveau !Rendash a écrit:Marcel Khrouchtchev a écrit:Rendash t'es de retour!!!!!
:-)
Oui, tu me manquais trop
Libération inconditionnelle :succes: J'ai recopié dix fois la Charte, brûlé vingt boutiques de fleuristes, lu trente fois le BO et fait quarante pompes.
Moi non plus, c'est ça le truc
- ysabelDevin
Rendash a écrit:Marcel Khrouchtchev a écrit:Rendash t'es de retour!!!!!
:-)
Oui, tu me manquais trop
Libération inconditionnelle :succes: J'ai recopié dix fois la Charte, brûlé vingt boutiques de fleuristes, lu trente fois le BO et fait quarante pompes.
Ah ! te voici de retour parmi nous !
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- kiwiGuide spirituel
jésus a écrit:La colle en question était programmée et annulée..comme je viens de le dire. Et c'était ma seule occasion de l'année d'en faire une...( c'est bien aussi de lire et comprendre mon message) Tout le monde n'habite pas en RP ou dans une grande ville.
J'adore la compréhension et la bienveillance accueillante des " collègues" .
On fait comment quand on ne vit pas dans une ville universitaire ou quand les collègues-amis de sa matière ne sont pas près de chez soi?
Et je suis désolé, une colle avec beaucoup de conseils ensuite ça a une grande valeur...( vous le comprenez pas? )
A force de tomber sur des "collègues" qui ne comprennent jamais rien aux galères des contractuels, ça me donne plus ou pas envie de rentrer dans le métier, et ça doit expliquer un paquet de démissions et de départs précipités de contractuel en cours d'année.
Personne ne se pose la question?
Dans ce cas, ça serait bien d'être clair : tu as écrit que ta colle ENTRE LES EPREUVES avait été annulée, pas qu'une colle durant les mois de préparation avait été annulée. Moi non plus, je n'habitais pas en RP à l'époque, j'ai dû payer au total dans les 300euros pour passer mes oraux à 700bornes, avec 3 nuits d'hôtel.
Ensuite, je ne vois pas le rapport avec la galère des contractuels, et le fait que tu te sois mal préparé. Il est évident que de suivre une préparation académique ou à l'IUFM (à l'époque) est un atout pour réussir le concours. Préparer seul via le CNED ou via rien du tout est forcément plus compliqué.
- RendashBon génie
Je ne comprends pas en quoi il serait problématique de préparer une colle seul. Passer devant un jury/un public est utile pour quelqu'un qui n'aurait jamais passé le moindre oral ou jamais enseigné ; mais quelqu'un qui sait s'exprimer en public n'a pas besoin de ce genre d'entraînement. La colle n'a donc plus qu'un seul intérêt, le principal ( dédicace à e-Wanderer ) : traiter le sujet. Pas besoin de public pour ça.
"A force de tomber sur des "collègues" qui ne comprennent jamais rien aux galères des contractuels, ça me donne plus ou pas envie de rentrer dans le métier". Je ne vois pas le rapport avec les galères des contractuels, à vrai dire. Des contractuels qui galèrent mais réussissent leur concours, il y en a. Des étudiants qui galèrent et réussissent, il y en a. Des gens qui galèrent et échouent, il y en a. Des gens qui ne galèrent pas et échouent, il y en a. Rien de honteux dans l'échec. Ce qui est honteux, c'est d'en rejeter la faute uniquement sur les autres, ou sur les modalités du concours.
Oui, c'est plus difficile pour certains. C'est vrai. Que les conditions soient moins favorables, ou que leurs capacités soient moins élevées (et je me range dans cette dernière catégorie. Je nous range dedans, d'ailleurs.). Et puis? Ils travaillent plus dur, jusqu'à ce que ça passe, ou alors ils abandonnent. Et quand ils réussissent, quelle fierté!
"A force de tomber sur des "collègues" qui ne comprennent jamais rien aux galères des contractuels, ça me donne plus ou pas envie de rentrer dans le métier". Je ne vois pas le rapport avec les galères des contractuels, à vrai dire. Des contractuels qui galèrent mais réussissent leur concours, il y en a. Des étudiants qui galèrent et réussissent, il y en a. Des gens qui galèrent et échouent, il y en a. Des gens qui ne galèrent pas et échouent, il y en a. Rien de honteux dans l'échec. Ce qui est honteux, c'est d'en rejeter la faute uniquement sur les autres, ou sur les modalités du concours.
Oui, c'est plus difficile pour certains. C'est vrai. Que les conditions soient moins favorables, ou que leurs capacités soient moins élevées (et je me range dans cette dernière catégorie. Je nous range dedans, d'ailleurs.). Et puis? Ils travaillent plus dur, jusqu'à ce que ça passe, ou alors ils abandonnent. Et quand ils réussissent, quelle fierté!
ysabel a écrit:
Ah ! te voici de retour parmi nous !
- kiwiGuide spirituel
Marcel Khrouchtchev a écrit:kiwi a écrit:
Pour la dernière fois, puisque manifestement, je ne suis pas claire, je trouve anormal que tous les candidats, au moins en ce qui concerne les ouvrages disponibles en bibliothèque, ne soient pas tous mis sur un même pied d'égalité. Certes, l'égalité totale est impossible, le facteur chance (sujet tiré maitrisé ou non, passer après un candidat brillant, tomber sur le spécialiste du sujet etc.) joue énormément. Mais le fait que tous les candidats n'ont pas les mêmes chances au départ de s'en sortir en bibliothèque est anormal. C'est à croire que c'est compliqué de mettre à disposition plusieurs exemplaires d'un même livre. Après , si le candidat ne maîtrise pas la bibliographie, c'est son problème. Mais qu'au moins les livres soient disponibles.
Normalement, les jurys ne donnent pas de sujets qui se recoupent et qui nécessitent les mêmes ouvrages spécialisés.kiwi a écrit:Bref, pour finir, si je vais à l'oral, ce qui n'est pas gagné, je l'aurais franchement mauvaise si les bouquins que je sais être en bibliothèque ne sont plus disponibles. Par contre me plaindre du sujet donné? Bof non. C'est le jeu.
C'est finalement inhérent au choix débile de faire ça à Châlons-en-Champagne, où les livres disponibles sont en quantité insuffisante, alors qu'il y aurait des lieux parisiens beaucoup plus adaptés (ou en fait n'importe quelle ville universitaire, Reims à proximité ouvrirait bien plus de possibilités si vraiment on veut faire ça en Champagne-Ardenne).
Avec des moyens du CAPES, on veut faire l'agrégation, je pense que cela ne favorise pas la juste reconnaissance de la valeur de l'interne.
Alors ça... Je me demande vraiment ce qu'ils trouvent à Châlons, sincèrement. Pourquoi ce choix??! Si l'on considère uniquement l'absence de bibliothèque digne de ce nom (et non pas le fait que cette ville soit... déprimante au possible), comment c'est possible? Même pour le capes...
- kiwiGuide spirituel
Rendash a écrit:Je ne comprends pas en quoi il serait problématique de préparer une colle seul. Passer devant un jury/un public est utile pour quelqu'un qui n'aurait jamais passé le moindre oral ou jamais enseigné ; mais quelqu'un qui sait s'exprimer en public n'a pas besoin de ce genre d'entraînement. La colle n'a donc plus qu'un seul intérêt, le principal ( dédicace à e-Wanderer ) : traiter le sujet. Pas besoin de public pour ça.
Pas d'accord pour les colles. Quand les reprises sont bonnes, tu as un retour sur ton travail, au moins sur le contenu, et surtout, tu as la phase de questions du jury. Quand tu le fais seul... Là je le vois bien : je prépare mes sujets en 5h ou à peu près à la BU, puis je fais mon oral moi-même. Cela me sert surtout à calibrer l'exposé oral : est-ce que je tiens le temps? Quelle quantité produire pour tenir le temps? Est-ce que je suis capable de pondre quelque chose qui correspond aux attentes en 5h? Mais qu'est-ce que ça vaut? Je n'en sais rien. Suis-je HS? Suis-je passée à côté de quelque chose de fondamental?
Donc préparer dans un centre est quand même mieux.
- RendashBon génie
kiwi a écrit:Rendash a écrit:Je ne comprends pas en quoi il serait problématique de préparer une colle seul. Passer devant un jury/un public est utile pour quelqu'un qui n'aurait jamais passé le moindre oral ou jamais enseigné ; mais quelqu'un qui sait s'exprimer en public n'a pas besoin de ce genre d'entraînement. La colle n'a donc plus qu'un seul intérêt, le principal ( dédicace à e-Wanderer ) : traiter le sujet. Pas besoin de public pour ça.
Pas d'accord pour les colles. Quand les reprises sont bonnes, tu as un retour sur ton travail, au moins sur le contenu, et surtout, tu as la phase de questions du jury. Quand tu le fais seul... Là je le vois bien : je prépare mes sujets en 5h ou à peu près à la BU, puis je fais mon oral moi-même. Cela me sert surtout à calibrer l'exposé oral : est-ce que je tiens le temps? Quelle quantité produire pour tenir le temps? Est-ce que je suis capable de pondre quelque chose qui correspond aux attentes en 5h? Mais qu'est-ce que ça vaut? Je n'en sais rien. Suis-je HS? Suis-je passée à côté de quelque chose de fondamental?
Donc préparer dans un centre est quand même mieux.
Ce qui est utile, c'est d'avoir un retour sur son travail, avec ça je suis d'accord. D'où l'intérêt d'un forum, par exemple. Ce n'est pas le passage devant un public qui est utile en lui-même, sauf à être face à quelqu'un qui maîtrise le sujet à la perfection (ce n'est pas forcément le cas avec un jury amateur). La préparation de la phase de questions se fait en préparant le sujet, et le concours de manière générale.
OK, ce peut être un plus. Mais de là à en faire une condition nécessaire comme le fait jésus, il y a un gouffre.
- e-WandererGrand sage
Tu vois bien que, même pour le talent, tu n'es pas prêteur…Rendash a écrit:Je ne comprends pas en quoi il serait problématique de préparer une colle seul. Passer devant un jury/un public est utile pour quelqu'un qui n'aurait jamais passé le moindre oral ou jamais enseigné ; mais quelqu'un qui sait s'exprimer en public n'a pas besoin de ce genre d'entraînement. La colle n'a donc plus qu'un seul intérêt, le principal ( dédicace à e-Wanderer ) : traiter le sujet. Pas besoin de public pour ça.
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