- laMissSage
Ok !
Que de communiqués...
Certains passages sont très similaires.
Le 31 mars sera donc décisif à plusieurs égards.
Que de communiqués...
Certains passages sont très similaires.
Le 31 mars sera donc décisif à plusieurs égards.
- HeisenbergHabitué du forum
Oui, il y a une multiplication de communiqués à géométrie variable, entre ceux des syndicats, ceux des fédérations ...
On finit par s'y perdre.
On finit par s'y perdre.
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- AlbiusNiveau 10
Si je comprends bien, faire grève le 31 mars suppose d'être hostile à la réforme du collège et à la loi El Khomri... Comment espérer la moindre lisibilité dans ces conditions...?
Et puis il est légitime de ne pas associer dans une même réprobation -c'est mon cas- ces deux textes.
Je ferai peut-être grève, pour être cohérent avec les mouvements précédents, mais, dans ces conditions, complètement désabusé... :|
Et puis il est légitime de ne pas associer dans une même réprobation -c'est mon cas- ces deux textes.
Je ferai peut-être grève, pour être cohérent avec les mouvements précédents, mais, dans ces conditions, complètement désabusé... :|
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La littérature, comme toute forme d'art, est l'aveu que la vie ne suffit pas. F. Pessoa
- PuckVénérable
Je suis très perplexe moi aussi sur la lisibilité et la cohérence du mouvement. Mes collègues ne sont même pas au courant.
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"Ce que nous avons fait, aucune bête au monde ne l'aurait fait.
Mais nous nous en sommes sortis. Et nous voici confrontés à l'ingratitude de la nation. Pourtant, c'était pas ma guerre. C'était pas ma guerre, oh non !"Cripure
- Sharku84Niveau 2
Notre mouvement est devenu illisible et invisible. Regardez la presse, plus personne n'a parlé de la réforme du collège depuis des mois. Le dernier remaniement a montré que la ministre n'était pas inquiété. Le nouveau "combat" c'est la loi travail. Mélanger les revendications ne sert à rien.
- Roumégueur IerÉrudit
Sharku84 a écrit:Notre mouvement est devenu illisible et invisible. Regardez la presse, plus personne n'a parlé de la réforme du collège depuis des mois. Le dernier remaniement a montré que la ministre n'était pas inquiété. Le nouveau "combat" c'est la loi travail. Mélanger les revendications ne sert à rien.
Attention, la presse nationale s'en bat l'œil, mais la presse locale relaie très régulièrement les micro-mouvements contre la réforme du collège (ben oui, en l'absence d'une intersyndicale déterminée, qui se contente de décréter une grève puis se réunit pour savoir quand on refera grève, de préférence sur des journées où d'autres mouvements sont prévus, les réponses du terrain sont très éparpillées-le SNALC a d'ailleurs eu raison de quitter cette pleutre intersyndicale).
Pour avoir une idée des articles de presse régionale, aller sur les pages Facebook :
- Collectif citoyens parents d'élèves pour une autre réforme du collège
- Défendons sans maugréer les langues anciennes
- Comprendre la réforme du collège
- SegnaNiveau 6
Ce matin aux infos sur RTl, RMC info etc on annonçait la grève du 31 mars contre la loi El Khomri mais rien sur la lutte contre la réforme du collège , comme d'hab... Cela va être comme pour la précédente grève où les médias n' ont retenu pour l'essentiel que les profs avaient manifesté pour une augmentation de leurs salaires... Qu'est-ce qu'on attend pour aller bloquer le ministère, les rectorats...?
- SegnaNiveau 6
LE POINT AVEC... Jean-Rémi Girard :
« Il faut que les enseignants cessent d’être trop polis »
Jean-Rémi Girard est professeur de français dans un collège des Yvelines et vice-président du SNALC-FGAF.
Comment expliquez-vous que l’opposition des enseignants n’a jamais atteint un seuil suffisant pour contraindre le gouvernement à renoncer ?
Les enseignants sont trop polis ! Leurs mobilisations aujourd’hui consistent à faire des grèves d’un jour et voir ce qui se passe après. A un moment, il nous faudrait cesser d’être gentils et faire valoir nos revendications par des actions plus fortes et plus efficaces. Nous pensons, au SNALC, que d’autres formes d’action sont nécessaires, sur lesquelles nous n’avons malheureusement pas été suivis par nos partenaires de l’intersyndicale. Notamment concernant les examens. Nous aurions fait une grève intersyndicale du brevet l’année dernière, on ne parlerait plus de cette réforme.
« Il faut que les enseignants cessent d’être trop polis »
Jean-Rémi Girard est professeur de français dans un collège des Yvelines et vice-président du SNALC-FGAF.
Comment expliquez-vous que l’opposition des enseignants n’a jamais atteint un seuil suffisant pour contraindre le gouvernement à renoncer ?
Les enseignants sont trop polis ! Leurs mobilisations aujourd’hui consistent à faire des grèves d’un jour et voir ce qui se passe après. A un moment, il nous faudrait cesser d’être gentils et faire valoir nos revendications par des actions plus fortes et plus efficaces. Nous pensons, au SNALC, que d’autres formes d’action sont nécessaires, sur lesquelles nous n’avons malheureusement pas été suivis par nos partenaires de l’intersyndicale. Notamment concernant les examens. Nous aurions fait une grève intersyndicale du brevet l’année dernière, on ne parlerait plus de cette réforme.
- MalletNiveau 6
On peut se demander si certains au SNALC à force de message sur les examens à la veille du 31 mars, ne font pas tout contre le 31 mars. Dans mon département la loi travail et la réforme des collèges ont été associées dans les différents appels. La vague de jeudi balaiera le dépit. Il est vrai que le 31 c'est un mouvement interprofessionnel!!!!!!!
- SegnaNiveau 6
Mallet a écrit:On peut se demander si certains au SNALC à force de message sur les examens à la veille du 31 mars, ne font pas tout contre le 31 mars. Dans mon département la loi travail et la réforme des collèges ont été associées dans les différents appels. La vague de jeudi balaiera le dépit. Il est vrai que le 31 c'est un mouvement interprofessionnel!!!!!!!
J'espère que la vague du 31 balaiera le dépit! Je ne demande que çà!
Mais hélas je doute fort que beaucoup d'importance soit accordée à la lutte contre la réforme du collège...
- laMissSage
Mallet : disons que si une grève intersyndicale du brevet avait été lancée ET très SUIVIE, il y a fort à parier que nous n'en serions pas tout à fait là.
Il y a un mouvement que l'on peut espérer être d'ampleur ce jeudi. Je ne vois pas comment les syndicats auraient pu ne pas s'associer à ce mouvement. On le leur aurait reproché, non ?
C'est l'occasion d'avoir du monde dans la rue.
De toute façon, ce sujet sature déjà l'espace médiatique national (si l'on ne considère les sujets sociaux).
Après, en effet, à chacun de porter haut et fort les revendications qui s'ajoutent à celles de la manif contre la loi travail.
J'imagine que si tout ceci devait prendre de l'ampleur, on pourrait avoir un jour dans la rue à peu près tous les gens qui ont manifesté dans ce pays depuis un an et qui ont parfois eu pour toute réponse des mesurettes pour éteindre les incendies. Dans ce cas, il serait dommage que tout le monde sauf les enseignant soit présent.
Roumégueur Ier : +1000 La presse locale n'arrête pas d'en parler ! (de la réforme du collège)
Il y a un mouvement que l'on peut espérer être d'ampleur ce jeudi. Je ne vois pas comment les syndicats auraient pu ne pas s'associer à ce mouvement. On le leur aurait reproché, non ?
C'est l'occasion d'avoir du monde dans la rue.
De toute façon, ce sujet sature déjà l'espace médiatique national (si l'on ne considère les sujets sociaux).
Après, en effet, à chacun de porter haut et fort les revendications qui s'ajoutent à celles de la manif contre la loi travail.
J'imagine que si tout ceci devait prendre de l'ampleur, on pourrait avoir un jour dans la rue à peu près tous les gens qui ont manifesté dans ce pays depuis un an et qui ont parfois eu pour toute réponse des mesurettes pour éteindre les incendies. Dans ce cas, il serait dommage que tout le monde sauf les enseignant soit présent.
Roumégueur Ier : +1000 La presse locale n'arrête pas d'en parler ! (de la réforme du collège)
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Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- Fesseur ProGuide spirituel
+ 1Sharku84 a écrit:Notre mouvement est devenu illisible et invisible. Regardez la presse, plus personne n'a parlé de la réforme du collège depuis des mois.
On a raté le coche.
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Pourvu que ça dure...
- RoninMonarque
De là à dire que c'est ce que souhaitaient certains dans l'intersyndicale....
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- laMissSage
Fesseur Pro a écrit:+ 1Sharku84 a écrit:Notre mouvement est devenu illisible et invisible. Regardez la presse, plus personne n'a parlé de la réforme du collège depuis des mois.
On a raté le coche.
Ah ben ça oui ! On a raté le coche avant l'été dernier et cet automne concernant la réforme du collège.
Je suis d'ailleurs intimement persuadée qu'en s'y prenant mieux, tous les syndicats auraient gagné des milliers, voire des dizaines de milliers d'adhérents. Pour moi, cette réforme inepte était aussi une occasion rêvée pour l'intersyndicale de briller, de faire des coups d'éclat, de redorer l'image du syndicalisme (et ensuite, à chaque syndicat d'être intéressant sur son projet).
Bref. C'est ainsi.
Maintenant, le contexte est différent. Le "coche" est différent. C'est une contestation sociale peut-être généralisée qui peut se mettre en place.
Quant à la réforme du collège, la presse locale continue d'en parler.
Alors certes, on peut gloser sur ce qui a été fait ou pas.
Mais on peut aussi se demander ce qu'il reste à faire.
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Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- EsméraldaGrand sage
laMiss a écrit:Je pense qu'au moins une partie de la réforme va tomber à l'eau à moyen terme :
- parce qu'NBV ne maîtrise "tellement pas" ses sujets qu'elle ouvre des brèches toute seule (même si en réalité, rien n'interdisait formellement de dépasser les 26h mais tout le monde a cru le discours des IPR et des CDE...).
- parce que le contexte politique a changé et qu'ils vont bien devoir lâcher du lest d'ici 2017 s'ils ne veulent pas se couler tout seul - d'où l'importance de rester mobilisés à l'intérieur ou en dehors d'une intersyndicale (si le Snalc l'avait quittée en octobre, j'aurais trouvé cela prématuré; là non). Si des inepties se mettent en place en septembre 2016, il faudra continuer de les dénoncer.
- parce qu'il y a des recours en conseil d’État en cours.
Je ne suis pas sûre de bien comprendre : il y a une faille dans cette histoire des 26 heures ?
- OsmieSage
Segna a écrit:LE POINT AVEC... Jean-Rémi Girard :
« Il faut que les enseignants cessent d’être trop polis »
Jean-Rémi Girard est professeur de français dans un collège des Yvelines et vice-président du SNALC-FGAF.
Comment expliquez-vous que l’opposition des enseignants n’a jamais atteint un seuil suffisant pour contraindre le gouvernement à renoncer ?
Les enseignants sont trop polis ! Leurs mobilisations aujourd’hui consistent à faire des grèves d’un jour et voir ce qui se passe après. A un moment, il nous faudrait cesser d’être gentils et faire valoir nos revendications par des actions plus fortes et plus efficaces. Nous pensons, au SNALC, que d’autres formes d’action sont nécessaires, sur lesquelles nous n’avons malheureusement pas été suivis par nos partenaires de l’intersyndicale. Notamment concernant les examens. Nous aurions fait une grève intersyndicale du brevet l’année dernière, on ne parlerait plus de cette réforme.
J'apprécie le travail syndical de Jean-Rémy Girard, mais comment fait-on quand la base ne suit pas les idées ? A ma connaissance, même les adhérents du SNALC n'ont pas suivi en masse le mot d'ordre. Sans conviction de la base, rien n'advient. Le travail syndical à venir est là : fédérer, faire en sorte que les collègues s'intéressent à leur métier, faire en sorte qu'ils souhaitent défendre le service public d'éducation. A ce que je vois en tant que militante, le travail qui nous attend est colossal.
- HeisenbergHabitué du forum
Osmie a écrit:Segna a écrit:LE POINT AVEC... Jean-Rémi Girard :
« Il faut que les enseignants cessent d’être trop polis »
Jean-Rémi Girard est professeur de français dans un collège des Yvelines et vice-président du SNALC-FGAF.
Comment expliquez-vous que l’opposition des enseignants n’a jamais atteint un seuil suffisant pour contraindre le gouvernement à renoncer ?
Les enseignants sont trop polis ! Leurs mobilisations aujourd’hui consistent à faire des grèves d’un jour et voir ce qui se passe après. A un moment, il nous faudrait cesser d’être gentils et faire valoir nos revendications par des actions plus fortes et plus efficaces. Nous pensons, au SNALC, que d’autres formes d’action sont nécessaires, sur lesquelles nous n’avons malheureusement pas été suivis par nos partenaires de l’intersyndicale. Notamment concernant les examens. Nous aurions fait une grève intersyndicale du brevet l’année dernière, on ne parlerait plus de cette réforme.
J'apprécie le travail syndical de Jean-Rémy Girard, mais comment fait-on quand la base ne suit pas les idées ? A ma connaissance, même les adhérents du SNALC n'ont pas suivi en masse le mot d'ordre. Sans conviction de la base, rien n'advient. Le travail syndical à venir est là : fédérer, faire en sorte que les collègues s'intéressent à leur métier, faire en sorte qu'ils souhaitent défendre le service public d'éducation. A ce que je vois en tant que militante, le travail qui nous attend est colossal.
Pas évident de faire suivre la base quand ce sont des collègues isolés. S'il y avait un mot d'ordre intersyndical pour le DNB 2015, beaucoup plus d'adhérents de base du Snalc l'auraient suivi car leur collègues auraient fait de même.
- SegnaNiveau 6
Heisenberg a écrit:Osmie a écrit:Segna a écrit:LE POINT AVEC... Jean-Rémi Girard :
« Il faut que les enseignants cessent d’être trop polis »
Jean-Rémi Girard est professeur de français dans un collège des Yvelines et vice-président du SNALC-FGAF.
Comment expliquez-vous que l’opposition des enseignants n’a jamais atteint un seuil suffisant pour contraindre le gouvernement à renoncer ?
Les enseignants sont trop polis ! Leurs mobilisations aujourd’hui consistent à faire des grèves d’un jour et voir ce qui se passe après. A un moment, il nous faudrait cesser d’être gentils et faire valoir nos revendications par des actions plus fortes et plus efficaces. Nous pensons, au SNALC, que d’autres formes d’action sont nécessaires, sur lesquelles nous n’avons malheureusement pas été suivis par nos partenaires de l’intersyndicale. Notamment concernant les examens. Nous aurions fait une grève intersyndicale du brevet l’année dernière, on ne parlerait plus de cette réforme.
J'apprécie le travail syndical de Jean-Rémy Girard, mais comment fait-on quand la base ne suit pas les idées ? A ma connaissance, même les adhérents du SNALC n'ont pas suivi en masse le mot d'ordre. Sans conviction de la base, rien n'advient. Le travail syndical à venir est là : fédérer, faire en sorte que les collègues s'intéressent à leur métier, faire en sorte qu'ils souhaitent défendre le service public d'éducation. A ce que je vois en tant que militante, le travail qui nous attend est colossal.
Pas évident de faire suivre la base quand ce sont des collègues isolés. S'il y avait un mot d'ordre intersyndical pour le DNB 2015, beaucoup plus d'adhérents de base du Snalc l'auraient suivi car leur collègues auraient fait de même.
Bien sûr! Pourquoi le SNALC n' a-t-il pas été suivi en 2015 par les SNES et compagnie? Et pourquoi ne l'est-il pas plus cette année pour son idée de grève intersyndicale du brevet? Pourquoi les syndicats sont-ils si frileux????Certains représentants auraient-ils peur de déplaire à Najat
- RoninMonarque
Parce que lorsque la"gauche" est au pouvoir vert syndicats sont gênés aux entournures. D'aucuns les traiteront de faux culs et de gros nazes. Genre moi. On a déjà eu ça dans le premier degré avec Sihr.
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- laMissSage
L'argument du Snes était le suivant : la contestation n'était pas assez forte pour qu'une telle action puisse prendre. (je ne fais que relayer, pas taper ! )
Cela dit, évidemment, si personne n'est informé, personne ne conteste...encore moins "au détriment des élèves".
Quand je dis "personne", je ne parle pas des néos, of course.
Songez que des collègues découvrent maintenant qu'EPI et AP ont lieu pendant les heures de cours.
Concernant les 26h :
http://www.reformeducollege.fr/emploi-du-temps/26-heures-de-cours-par-semaine-par-eleve-ni-plus-ni-moins
Pas toujours si simple cependant de s'opposer à un CDE qui relaye lui-même le discours officiel des IPR qui relayent eux-mêmes ce qu'on leur dit de dire.
Cela dit, évidemment, si personne n'est informé, personne ne conteste...encore moins "au détriment des élèves".
Quand je dis "personne", je ne parle pas des néos, of course.
Songez que des collègues découvrent maintenant qu'EPI et AP ont lieu pendant les heures de cours.
Concernant les 26h :
http://www.reformeducollege.fr/emploi-du-temps/26-heures-de-cours-par-semaine-par-eleve-ni-plus-ni-moins
Pas toujours si simple cependant de s'opposer à un CDE qui relaye lui-même le discours officiel des IPR qui relayent eux-mêmes ce qu'on leur dit de dire.
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Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- SegnaNiveau 6
Je pense que je ne ferai pas grève du fait que l'idée de grève intersyndicale du brevet a été rejetée... Cela aurait été nettement plus efficace qu'une nouvelle grève... Et au moins les médias nationaux en auraient parlé et on aurait pu faire entendre notre mécontentement
- SegnaNiveau 6
Je pense que je ne ferai pas grève du fait que l'idée de grève intersyndicale du brevet a été rejetée... Cela aurait été nettement plus efficace qu'une nouvelle grève... Et au moins les médias nationaux en auraient parlé et on aurait pu faire entendre notre mécontentement
- OsmieSage
laMiss a écrit:L'argument du Snes était le suivant : la contestation n'était pas assez forte pour qu'une telle action puisse prendre. (je ne fais que relayer, pas taper ! )
Cela dit, évidemment, si personne n'est informé, personne ne conteste...encore moins "au détriment des élèves".
Quand je dis "personne", je ne parle pas des néos, of course.
Songez que des collègues découvrent maintenant qu'EPI et AP ont lieu pendant les heures de cours.
Concernant les 26h :
http://www.reformeducollege.fr/emploi-du-temps/26-heures-de-cours-par-semaine-par-eleve-ni-plus-ni-moins
Pas toujours si simple cependant de s'opposer à un CDE qui relaye lui-même le discours officiel des IPR qui relayent eux-mêmes ce qu'on leur dit de dire.
Je connais bien l'argument, militant au SNES, et je crois aussi qu'il faut se donner les moyens d'informer les gens ; il faut aller dans les établissements à la rencontre des collègues, leur donner des coups de main pour se mobiliser, etc. Mais cela demande du temps, des militants, etc.
- Melyne5Fidèle du forum
Je ne ferai pas grève car je les ai toutes faites depuis l'an dernier et que celle du 22 mars, annoncée puis annulée mais maintenue quand même ici ou là , dont personne n'a entendu parler et pour laquelle nous étions deux grévistes car circonstances qui faisaient qu'il n'était pas possible de renoncer au dernier moment, a été la goutte d'eau : seule une reconductible ou grève des examens me fera désormais bouger!
- SegnaNiveau 6
Idem! Pourquoi nous demander de nous mobiliser pour une nouvelle journée de grève alors que les précédentes n'ont pas eu le succès que l'on espérait et ne pas nous demander de nous mobiliser pour une grève du DNB? Mais il est encore temps pour les syndicats hostiles à cette idée de réfléchir et changer d'avis... :Melyne5 a écrit:Je ne ferai pas grève car je les ai toutes faites depuis l'an dernier et que celle du 22 mars, annoncée puis annulée mais maintenue quand même ici ou là , dont personne n'a entendu parler et pour laquelle nous étions deux grévistes car circonstances qui faisaient qu'il n'était pas possible de renoncer au dernier moment, a été la goutte d'eau : seule une reconductible ou grève des examens me fera désormais bouger!
- zouzFidèle du forum
Melyne5 a écrit:Je ne ferai pas grève car je les ai toutes faites depuis l'an dernier et que celle du 22 mars, annoncée puis annulée mais maintenue quand même ici ou là , dont personne n'a entendu parler et pour laquelle nous étions deux grévistes car circonstances qui faisaient qu'il n'était pas possible de renoncer au dernier moment, a été la goutte d'eau : seule une reconductible ou grève des examens me fera désormais bouger!
Elle l'est. Voir là par exemple
http://www.sudeducation.org/En-greve-reconductible-le-31-mars.html
- 3ème : nouvelles qui portent un regard sur le monde contemporain/ nouvelles à chute ?
- Choix de nouvelles des XXe et XXIe siècles porteuses d'un regard sur le monde?
- Nouvelles régions académiques : nouvelles mutations ?
- Reprise de l'ancienneté secteur privé élargie à tout le monde ?
- Recrutement par BOE, et après ?
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