Quels recours avoir contre les profs injurieux dans le débat sur la réforme?

leptiflo a écrit:

Rendash a écrit:

thenastywizard a écrit:Cette réforme aura au moins le mérite d'entendre des collègues dire des choses qu'ils n'osaient pas dire auparavant. Entendu en salle des profs cette semaine :
"Heureusement qu'il y a le Snalc !" (Vous savez, ce syndicat dont il fallait taire le nom il y a encore un an parce que "de droiiiiiooooiiite"'

C'est un point de vue, mais je trouve cette remarque désobligeante.

Qu'est-ce qui est désobligeant ?

thenastywizard a écrit:

leptiflo a écrit:

Rendash a écrit:

thenastywizard a écrit:Cette réforme aura au moins le mérite d'entendre des collègues dire des choses qu'ils n'osaient pas dire auparavant. Entendu en salle des profs cette semaine :
"Heureusement qu'il y a le Snalc !" (Vous savez, ce syndicat dont il fallait taire le nom il y a encore un an parce que "de droiiiiiooooiiite"'

C'est un point de vue, mais je trouve cette remarque désobligeante.

Qu'est-ce qui est désobligeant ?

Pour le SNES, c'est peut-être désobligeant. :diable:

Rendash a écrit:

thenastywizard a écrit:Cette réforme aura au moins le mérite d'entendre des collègues dire des choses qu'ils n'osaient pas dire auparavant. Entendu en salle des profs cette semaine :
"Heureusement qu'il y a le Snalc !" (Vous savez, ce syndicat dont il fallait taire le nom il y a encore un an parce que "de droiiiiiooooiiite"'
"De toute façon, ça sert à quoi d'aider les 'mauvais' - ils resteront de toute façon 'mauvais'."
"Il faut refaire des classes de niveaux" (dixit ma collègue d'histoire-géo qui ne veut que les classes euro ou bilangue .... m'enfin, le problème sera réglé).`
"Tu parles, heureusement qu'un prof de SEGPA travaille plus qu'un certifié, vu le niveau de ce qu'il prépare" (je vis avec un PE qui enseigne en SEGPA ... j'ai moyennement apprécié !)

Je ne vois pas le rapport avec la réforme, en fait Bon, pour le SNALC, à la limite, en considérant qu'il est à la tête de la lutte, OK ; mais le reste? Ce sont juste des conneries, proférées par des cons, et je n'ai entendu ni lu personne ici ni IRL lutter contre la réforme avec ce genre de propos. Pourrais-tu développer un peu?

Je ne peux pas développer, je dis juste que le contexte de la réforme - qui fait quand même beaucoup parler - fait que les profs se lâchent. On aborde quand même plus que des questions techniques avec cette réforme mais aussi des questions fondamentales de l'école : quand je vois des collègues qui refusent de faire de l'AP et qui refusent d'essayer de différencier ou de s'adapter aux niveaux des élèves, je me questionne vraiment, sincèrement. Du coup, comme je me questionne, je discute avec des collègues et on en vient à parler des "mauvais" élèves (d'où la remarque), des élèves de segpa ainsi que du SNALC qui a fait des propositions de fonctionnement pour le collège (lui ;-), d'où les autres remarques.

Olympias a écrit:La majorité conservatrice qui nous met dans le mur depuis trente ans ??????????? Mais depuis que j'ai passé le concours je ne compte plus les réformes, les réformettes, les toilettages, toujours pour faire autrement et rompre avec le conservatisme !!!!!

Bein oui comme ça ne bouge pas...

Aller dans le mur sans bouger, c'est vraiment fort.

coqenstock a écrit:

Olympias a écrit:La majorité conservatrice qui nous met dans le mur depuis trente ans ??????????? Mais depuis que j'ai passé le concours je ne compte plus les réformes, les réformettes, les toilettages, toujours pour faire autrement et rompre avec le conservatisme !!!!!

Bein oui comme ça ne bouge pas...

Ceci n'est pas du français. Utilisez un correcteur, par pitié.

coqenstock a écrit:

Olympias a écrit:La majorité conservatrice qui nous met dans le mur depuis trente ans ??????????? Mais depuis que j'ai passé le concours je ne compte plus les réformes, les réformettes, les toilettages, toujours pour faire autrement et rompre avec le conservatisme !!!!!

Bein oui comme ça ne bouge pas...

Si ça bouge, mais pas dans le bon sens...

coqenstock a écrit:

Olympias a écrit:La majorité conservatrice qui nous met dans le mur depuis trente ans ??????????? Mais depuis que j'ai passé le concours je ne compte plus les réformes, les réformettes, les toilettages, toujours pour faire autrement et rompre avec le conservatisme !!!!!

Bein oui comme ça ne bouge pas...

ce qui ne bouge pas c'est que toutes les conn.ries qu'on a vues depuis quarante ans, c'était pour lutter contre le conservatisme, toutes majorités confondues.
S'il y a bien un mur que l'on a franchi plusieurs fois, c'est le mur du çon, ça c'est sûr.
Au point que je ne vois plus trop de murs aujourd'hui qui ait résisté à quoi que ce soit...Passons au socle.

thenastywizard a écrit:
Je ne peux pas développer, je dis juste que le contexte de la réforme - qui fait quand même beaucoup parler - fait que les profs se lâchent. On aborde quand même plus que des questions techniques avec cette réforme mais aussi des questions fondamentales de l'école : quand je vois des collègues qui refusent de faire de l'AP et qui refusent d'essayer de différencier ou de s'adapter aux niveaux des élèves, je me questionne vraiment, sincèrement. Du coup, comme je me questionne, je discute avec des collègues et on en vient à parler des "mauvais" élèves (d'où la remarque), des élèves de segpa ainsi que du SNALC qui a fait des propositions de fonctionnement pour le collège (lui ;-), d'où les autres remarques.

On peut refuser de faire de l'AP, et se préoccuper des élèves en difficulté, je ne comprends toujours pas le rapport. Quant à la "différenciation", à force d'être acceptée, elle a été érigée en dogme et sert de prétexte aujourd'hui à nombre d'aberrations pédagogiques. Parles-en aux collègues de langues, tiens, qui vont devoir gérer des groupes 4e bilangues/LV2. "Y'a qu'à différencier!", leur dit-on. Ce que je vois avec cette réforme, surtout, c'est qu'elle sert de prétexte à des fouille-merde pour aller regarder, commenter et juger ce que font les autres, au lieu de se mêler de leurs craies. Entre ceux-là, ceux qui se pensent à ce point au-dessus des autres qu'ils se pensent légitimes pour imposer leurs façons de faire, et ceux qui crachent en permanence sur les élèves ("trop mauvais", ou "trop scolaires"), il reste quand même une sacrée marge pour la majorité de collègues qui pense surtout à bien faire son travail sans être trop parasitée par les nuisibles évoqués supra.

Rendash a écrit:. Ce que je vois avec cette réforme, surtout, c'est qu'elle sert de prétexte à des fouille-merde pour aller regarder, commenter et juger ce que font les autres, au lieu de se mêler de leurs craies.

Joli !

Osmie a écrit:

JPhMM a écrit:

Osmie a écrit:

PauvreYorick a écrit:
Là, par exemple, il est clair qu'un chahut serait infiniment plus rassurant que le spectacle de la docilité avec laquelle les enseignants semblent se prêter à l'enfantillage en question. Si par impossible je m'étais trouvé là, je serais parti dans les premières minutes boire des bières, en encourageant mes collègues à faire de même.

Ne serait-ce une formation du PAF à laquelle se seraient inscrits ces professeurs ? Le compte rendu avec l'emploi de cœurs en guise d'évaluation du travail vaut son pesant de cacahuètes.

C'est toujours le cas chez qui veut singer.

Ou peut-être la nana porte-parole du groupe a-t-elle voulu faire du second degré avec ses cœurs d'évaluation...

Il y a vraiment des expériences sur la chute des tartines (avec confiture) et sur la chute des chats. Pour le second, c'est entièrement sérieux, pour le premier, je l'ai entendu à la radio mais je ne me souviens pas de ce qui motivait la recherche en dehors d'une évidente galéjade. J'ai trouvé également que l'enseignante riait un peu trop pour qu'on la suspecte de prendre tout cela vraiment au sérieux.

Rendash a écrit: On peut refuser de faire de l'AP, et se préoccuper des élèves en difficulté

... et on peut également tout à fait chercher à faire de l'AP et ne guère se préoccuper des élèves en difficulté ─ ne serait-ce que parce que l'AP, telle qu'on la pratique alors, allège la charge globale de travail.

coqenstock a écrit:C'est marrant parce que les réflexions "l'institution est violente donc c'est normal d'insulter, de harceler, de "bordeler" les formations" ... Hé bien transférez là à vos élèves...

Et là, les profs hurleraient au laxisme, demanderaient des conseils de disciplines etc...

C'est marrant d'imaginer que les près de 80% des enseignants qui seraient contre la réforme insulteraient et harcèleraient les 20% qui sont pour et bordéliseraient les formations. C'est marrant d'imaginer que les "anti-réforme" trouvent "normal d'insulter, de harceler, de bordeler les formations" :shock:

Jane a écrit:

coqenstock a écrit:C'est marrant parce que les réflexions "l'institution est violente donc c'est normal d'insulter, de harceler, de "bordeler" les formations" ... Hé bien transférez là à vos élèves...

Et là, les profs hurleraient au laxisme, demanderaient des conseils de disciplines etc...

C'est marrant d'imaginer que les près de 80% des enseignants qui seraient contre la réforme insulteraient et harcèleraient les 20% qui sont pour et bordéliseraient les formations. C'est marrant d'imaginer que les "anti-réforme" trouvent "normal d'insulter, de harceler, de bordeler les formations" :shock:

Heureusement ceux qui insultent, harcèlent sont bon nombreux... Par contre justifier leur comportement c'est également inquiétant.

coqenstock a écrit:

Jane a écrit:

coqenstock a écrit:C'est marrant parce que les réflexions "l'institution est violente donc c'est normal d'insulter, de harceler, de "bordeler" les formations" ... Hé bien transférez là à vos élèves...

Et là, les profs hurleraient au laxisme, demanderaient des conseils de disciplines etc...

C'est marrant d'imaginer que les près de 80% des enseignants qui seraient contre la réforme insulteraient et harcèleraient les 20% qui sont pour et bordéliseraient les formations. C'est marrant d'imaginer que les "anti-réforme" trouvent "normal d'insulter, de harceler, de bordeler les formations" :shock:

Heureusement ceux qui insultent, harcèlent sont bon nombreux... Par contre justifier leur comportement c'est également inquiétant.

Etant toi-même l'un de ces insulteurs, tu n'as de leçon à donner à personne sur ce sujet. Deuxième édition.

PauvreYorick a écrit:

Rendash a écrit: On peut refuser de faire de l'AP, et se préoccuper des élèves en difficulté

... et on peut également tout à fait chercher à faire de l'AP et ne guère se préoccuper des élèves en difficulté ─ ne serait-ce que parce que l'AP, telle qu'on la pratique alors, allège la charge globale de travail.

L'AP allège la charge de travail ? :shock:

Rendash a écrit:

coqenstock a écrit:

Jane a écrit:

coqenstock a écrit:C'est marrant parce que les réflexions "l'institution est violente donc c'est normal d'insulter, de harceler, de "bordeler" les formations" ... Hé bien transférez là à vos élèves...

Et là, les profs hurleraient au laxisme, demanderaient des conseils de disciplines etc...

C'est marrant d'imaginer que les près de 80% des enseignants qui seraient contre la réforme insulteraient et harcèleraient les 20% qui sont pour et bordéliseraient les formations. C'est marrant d'imaginer que les "anti-réforme" trouvent "normal d'insulter, de harceler, de bordeler les formations" :shock:

Heureusement ceux qui insultent, harcèlent sont bon nombreux... Par contre justifier leur comportement c'est également inquiétant.

Etant toi-même l'un de ces insulteurs, tu n'as de leçon à donner à personne sur ce sujet. Deuxième édition.

Ah oui j'ai insulte une personne en particulier ?

Isis39 a écrit:

PauvreYorick a écrit:

Rendash a écrit: On peut refuser de faire de l'AP, et se préoccuper des élèves en difficulté

... et on peut également tout à fait chercher à faire de l'AP et ne guère se préoccuper des élèves en difficulté ─ ne serait-ce que parce que l'AP, telle qu'on la pratique alors, allège la charge globale de travail.

L'AP allège la charge de travail ? :shock:

"Telle qu'on la pratique alors".

coqenstock a écrit:

Rendash a écrit:

coqenstock a écrit:

Jane a écrit:

C'est marrant d'imaginer que les près de 80% des enseignants qui seraient contre la réforme insulteraient et harcèleraient les 20% qui sont pour et bordéliseraient les formations. C'est marrant d'imaginer que les "anti-réforme" trouvent "normal d'insulter, de harceler, de bordeler les formations" :shock:

Heureusement ceux qui insultent, harcèlent sont bon nombreux... Par contre justifier leur comportement c'est également inquiétant.

Etant toi-même l'un de ces insulteurs, tu n'as de leçon à donner à personne sur ce sujet. Deuxième édition.

Ah oui j'ai insulte une personne en particulier ?

Ho, non, juste "la grande majorité", que tu juges "bornée" :lol:

Rendash a écrit:

Isis39 a écrit:

PauvreYorick a écrit:

Rendash a écrit: On peut refuser de faire de l'AP, et se préoccuper des élèves en difficulté

... et on peut également tout à fait chercher à faire de l'AP et ne guère se préoccuper des élèves en difficulté ─ ne serait-ce que parce que l'AP, telle qu'on la pratique alors, allège la charge globale de travail.

L'AP allège la charge de travail ? :shock:

"Telle qu'on la pratique alors"

C'est à dire ? Ne pas faire d'AP en fait ?

Isis39 a écrit:

PauvreYorick a écrit:

Rendash a écrit: On peut refuser de faire de l'AP, et se préoccuper des élèves en difficulté

... et on peut également tout à fait chercher à faire de l'AP et ne guère se préoccuper des élèves en difficulté ─ ne serait-ce que parce que l'AP, telle qu'on la pratique alors, allège la charge globale de travail.

L'AP allège la charge de travail ? :shock:

Je n'ai rien prétendu de tel : j'ai dit qu'on pouvait la pratiquer de manière à alléger la charge globale de travail (comparativement, s'entend).

Mettons qu'un prof ait deux heures d'AP au lieu d'une classe supplémentaire avec horaire 2h/semaine. Il y a de fortes chances qu'il travaille moins avec l'AP qu'avec une classe en plus : pas de copies à corriger, et une préparation qui peut très aisément ne pas excéder celle des cours voire leur être nettement inférieure. Quelqu'un qui ne s'intéresse qu'à la quantité de travail à fournir choisira assez naturellement l'AP.

Isis39 a écrit:

Rendash a écrit:

Isis39 a écrit:

PauvreYorick a écrit:
... et on peut également tout à fait chercher à faire de l'AP et ne guère se préoccuper des élèves en difficulté ─ ne serait-ce que parce que l'AP, telle qu'on la pratique alors, allège la charge globale de travail.

L'AP allège la charge de travail ? :shock:

"Telle qu'on la pratique alors"

C'est à dire ? Ne pas faire d'AP en fait ?

Mmh, ça, je pense qu'on ne pourrait répondre à cette question que s'il existait une définition à peu près commune et stable de l'AP, mais il n'y en a pas, c'est le moins qu'on puisse dire : au fond, personne ne sait ce que c'est. Sans doute cela revient-il à pratiquer l'AP d'une façon qui ne s'accorde pas à la conception que tu t'en fais.

Isis39 a écrit:

Rendash a écrit:

Isis39 a écrit:

PauvreYorick a écrit:
... et on peut également tout à fait chercher à faire de l'AP et ne guère se préoccuper des élèves en difficulté ─ ne serait-ce que parce que l'AP, telle qu'on la pratique alors, allège la charge globale de travail.

L'AP allège la charge de travail ? :shock:

"Telle qu'on la pratique alors"

C'est à dire ? Ne pas faire d'AP en fait ?

Alors dans le sens de "à ce moment-là", "dans ces conditions". Autrement dit faire de l'AP, mais en se moquant pas mal des élèves en difficulté. Simuler de l'AP, quoi, si tu préfères. Comme certains EPI sont des simulations de cours : il manque le E, y'a que la moitié du I, et peu de monde perçoit vraiment le côté P.
L'idée serait de virer la partie correction de copies, par exemple, et sans doute une bonne partie préparation. On prétend faire de l'AP et se soucier des élèves alors qu'on ne recherche qu'un moyen de moins bosser. Mais PY évoque l'AP lycée, je pense.

A moins que j'aie compris de traviole.

PauvreYorick a écrit:

Isis39 a écrit:

PauvreYorick a écrit:

Rendash a écrit: On peut refuser de faire de l'AP, et se préoccuper des élèves en difficulté

... et on peut également tout à fait chercher à faire de l'AP et ne guère se préoccuper des élèves en difficulté ─ ne serait-ce que parce que l'AP, telle qu'on la pratique alors, allège la charge globale de travail.

L'AP allège la charge de travail ? :shock:

Je n'ai rien prétendu de tel : j'ai dit qu'on pouvait la pratiquer de manière à alléger la charge globale de travail (comparativement, s'entend).

Mettons qu'un prof ait deux heures d'AP au lieu d'une classe supplémentaire avec horaire 2h/semaine. Il y a de fortes chances qu'il travaille moins avec l'AP qu'avec une classe en plus : pas de copies à corriger, et une préparation qui peut très aisément ne pas excéder celle des cours voire leur être nettement inférieure. Quelqu'un qui ne s'intéresse qu'à la quantité de travail à fournir choisira assez naturellement l'AP.

L'AP est disciplinaire et rentre dans les cours. On diversifie dans le cadre du cours. Donc quand on prépare 3 ou quatre manière de réaliser une tâche (par exemple un récit sur la bataille de Stalingrad), on n'allège pas du tout la charge de travail, au contraire.

Oui, je sais que cette définition existe, à côté d'autres, concurrentes et davantage inspirées de l'AP lycée qui fournit effectivement la base à partir de laquelle je parle.

Isis39 a écrit:
quand on prépare 3 ou quatre manière de réaliser une tâche (par exemple un récit sur la bataille de Stalingrad), on n'allège pas du tout la charge de travail, au contraire.

Oui, ben on fait ça parce qu'on le veut bien, ou bien qu'on l'estime nécessaire ponctuellement. Pas de façon artificielle parce que c'est imposé dans l'emploi du temps et qu'une heure doit être estampillée AP.
Ou alors, cette charge de travail doit également alourdir la fiche de paie.

coqenstock a écrit:

Jane a écrit:

coqenstock a écrit:C'est marrant parce que les réflexions "l'institution est violente donc c'est normal d'insulter, de harceler, de "bordeler" les formations" ... Hé bien transférez là à vos élèves...

Et là, les profs hurleraient au laxisme, demanderaient des conseils de disciplines etc...

C'est marrant d'imaginer que les près de 80% des enseignants qui seraient contre la réforme insulteraient et harcèleraient les 20% qui sont pour et bordéliseraient les formations. C'est marrant d'imaginer que les "anti-réforme" trouvent "normal d'insulter, de harceler, de bordeler les formations" :shock:

Heureusement ceux qui insultent, harcèlent sont bon nombreux... Par contre justifier leur comportement c'est également inquiétant.

Des chiffres, des chiffres !
Et qui a justifié leur comportement ?