Page 1 sur 2 • 1, 2
- ForsterÉrudit
Hello ! J'ai besoin de votre avis sur la situation suivante.
Je travaille en commun sur les terminales L avec collègue A et collègue B. Les groupes ont été imposés par l'administration par rapport aux options des élèves et ils sont légèrement déséquilibrés (j'ai un groupe à 19, collègue A en a 22 et collègue B 20).
Collègue B n'arrête pas de me dire qu'il va m'envoyer deux élèves et je réponds à chaque fois qu'on ne change pas les groupes comme ça, qu'on se concerte et qu'on le fait pour des raisons pédagogiques (et qu'il faut voir les options des élèves, on a pas cours aux mêmes heures). On a toujours fonctionné comme cela. Bref on discute de tout changement avant.
Un beau jour, je démarre pronote avant le cours et je découvre 2 nouveaux élèves dans ma liste. Je vais voir le collègue A qui me dit qu'il a modifié les groupes et qu'il est passé directement par la vie scolaire vu que je ne suis pas coopératif. On s'est engueulé dans le couloir et j'ai refusé de prendre ces élèves. Je suis allé à la vie scolaire et là j'apprends que collègue A a dit que le changement venait de moi et que c'est moi qui le voulait. Je vais ensuite chez le proviseur adjoint car c'est lui qui change les groupes dans pronote. Il me dit que collègue A est venu le voir, que lui a refusé ce changement sans raison. Il a alors découvert que mon collègue avait menti à la nouvelle secrétaire pour qu'elle modifie les groupes dans pronote. Le proviseur adjoint, furax qu'on fasse ça dans son dos, a remis les élèves dans le groupe de collègue A.
Depuis collègue A ne me parle plus. Cette semaine, collègue B vient me voir pour me dire de me méfier de collègue A car il se plaint de sa santé se dégradant en disant que c'est de ma faute! Vendredi, collègue A vient voir collègue B avec qui je discutais et lui dit "tout les problèmes avec les terminales vont se régler en plus haut lieu" et s'en va sans me regarder.
Que faire? Ce collègue refuse de me parler (il me tourne le dos quand je lui parle), on ne peut plus travailler ensemble, il se victimise en permanence. Que veut-dire "en plus haut lieu"?
Franchement, j'essaye soigneusement de l'éviter mais là je sens qu'il va falloir que je me défende... Des idées? Suggestions?
Je travaille en commun sur les terminales L avec collègue A et collègue B. Les groupes ont été imposés par l'administration par rapport aux options des élèves et ils sont légèrement déséquilibrés (j'ai un groupe à 19, collègue A en a 22 et collègue B 20).
Collègue B n'arrête pas de me dire qu'il va m'envoyer deux élèves et je réponds à chaque fois qu'on ne change pas les groupes comme ça, qu'on se concerte et qu'on le fait pour des raisons pédagogiques (et qu'il faut voir les options des élèves, on a pas cours aux mêmes heures). On a toujours fonctionné comme cela. Bref on discute de tout changement avant.
Un beau jour, je démarre pronote avant le cours et je découvre 2 nouveaux élèves dans ma liste. Je vais voir le collègue A qui me dit qu'il a modifié les groupes et qu'il est passé directement par la vie scolaire vu que je ne suis pas coopératif. On s'est engueulé dans le couloir et j'ai refusé de prendre ces élèves. Je suis allé à la vie scolaire et là j'apprends que collègue A a dit que le changement venait de moi et que c'est moi qui le voulait. Je vais ensuite chez le proviseur adjoint car c'est lui qui change les groupes dans pronote. Il me dit que collègue A est venu le voir, que lui a refusé ce changement sans raison. Il a alors découvert que mon collègue avait menti à la nouvelle secrétaire pour qu'elle modifie les groupes dans pronote. Le proviseur adjoint, furax qu'on fasse ça dans son dos, a remis les élèves dans le groupe de collègue A.
Depuis collègue A ne me parle plus. Cette semaine, collègue B vient me voir pour me dire de me méfier de collègue A car il se plaint de sa santé se dégradant en disant que c'est de ma faute! Vendredi, collègue A vient voir collègue B avec qui je discutais et lui dit "tout les problèmes avec les terminales vont se régler en plus haut lieu" et s'en va sans me regarder.
Que faire? Ce collègue refuse de me parler (il me tourne le dos quand je lui parle), on ne peut plus travailler ensemble, il se victimise en permanence. Que veut-dire "en plus haut lieu"?
Franchement, j'essaye soigneusement de l'éviter mais là je sens qu'il va falloir que je me défende... Des idées? Suggestions?
- Norman BatesNiveau 10
Je laisserais Collègue A délirer. Sa capacité de nuisance est nulle, vus les faits. Les torts sont très clairement identifiés, et ce par la hiérarchie. Ces menaces sont creuses.
J'aurais agi exactement comme vous, je crois.
J'aurais agi exactement comme vous, je crois.
_________________
Why do I give valuable time to people who don't care if I live or die?
- Li-LiNeoprof expérimenté
C'est assez pénible les collègues qui ne peuvent rester professionnel, soit le proviseur adjoint ou proviseur intervient soit tu peux faire appel au médiateur du rectorat. Une de mes collègues l'an dernier en avait parlé au principal suite aux problèmes relationnels avec une autre collègue de la matière.
- InvitéInvité
Collègue A est un mou du genou, un pleutre, un chouineur dont le problème principal est... qu'il a 3 élèves de plus que toi ? Mais où allons-nous ?
Franchement, je pense que tu n'as pas besoin de chercher à te défendre, il semble que tout le monde ait compris son manège. Au contraire, j'aurais tendance à te conseiller de garder tes distances, et de hausser les épaules.
La remarque de super-collègue-A n'est pas sans rapport avec :
- élève : "Vas-y, j'vais l'dire au principal !
- professeur : Mais je t'en prie, fais-donc."
- parent mécontent : "Madame, si vous ne modifiez pas la note de mimichéri, je vais en référer à l'IA.
- professeur : "Mais madame, faites-donc, je vous en prie".
- enfant 1 : "j'vais l'dire à maman !
- enfant 2 : c'est toi qui as commencé !"
Bref
Franchement, je pense que tu n'as pas besoin de chercher à te défendre, il semble que tout le monde ait compris son manège. Au contraire, j'aurais tendance à te conseiller de garder tes distances, et de hausser les épaules.
La remarque de super-collègue-A n'est pas sans rapport avec :
- élève : "Vas-y, j'vais l'dire au principal !
- professeur : Mais je t'en prie, fais-donc."
- parent mécontent : "Madame, si vous ne modifiez pas la note de mimichéri, je vais en référer à l'IA.
- professeur : "Mais madame, faites-donc, je vous en prie".
- enfant 1 : "j'vais l'dire à maman !
- enfant 2 : c'est toi qui as commencé !"
Bref
- roxanneOracle
C'est sûr que pendant ce temps, notre ministre peut nous faire avaler bien des couleuvres...
- kamasolouHabitué du forum
Même conseil : ignore-le, laisse-le dans ses délires, ne te justifie pas, ne lui parle pas et ne parle pas de lui aux autres.
- DaphnéDemi-dieu
RooMcfly a écrit:Hello ! J'ai besoin de votre avis sur la situation suivante.
Je travaille en commun sur les terminales L avec collègue A et collègue B. Les groupes ont été imposés par l'administration par rapport aux options des élèves et ils sont légèrement déséquilibrés (j'ai un groupe à 19, collègue A en a 22 et collègue B 20).
Collègue B n'arrête pas de me dire qu'il va m'envoyer deux élèves et je réponds à chaque fois qu'on ne change pas les groupes comme ça, qu'on se concerte et qu'on le fait pour des raisons pédagogiques (et qu'il faut voir les options des élèves, on a pas cours aux mêmes heures). On a toujours fonctionné comme cela. Bref on discute de tout changement avant.
Un beau jour, je démarre pronote avant le cours et je découvre 2 nouveaux élèves dans ma liste. Je vais voir le collègue A qui me dit qu'il a modifié les groupes et qu'il est passé directement par la vie scolaire vu que je ne suis pas coopératif. On s'est engueulé dans le couloir et j'ai refusé de prendre ces élèves. Je suis allé à la vie scolaire et là j'apprends que collègue A a dit que le changement venait de moi et que c'est moi qui le voulait. Je vais ensuite chez le proviseur adjoint car c'est lui qui change les groupes dans pronote. Il me dit que collègue A est venu le voir, que lui a refusé ce changement sans raison. Il a alors découvert que mon collègue avait menti à la nouvelle secrétaire pour qu'elle modifie les groupes dans pronote. Le proviseur adjoint, furax qu'on fasse ça dans son dos, a remis les élèves dans le groupe de collègue A.
Depuis collègue A ne me parle plus. Cette semaine, collègue B vient me voir pour me dire de me méfier de collègue A car il se plaint de sa santé se dégradant en disant que c'est de ma faute! Vendredi, collègue A vient voir collègue B avec qui je discutais et lui dit "tout les problèmes avec les terminales vont se régler en plus haut lieu" et s'en va sans me regarder.
Que faire? Ce collègue refuse de me parler (il me tourne le dos quand je lui parle), on ne peut plus travailler ensemble, il se victimise en permanence. Que veut-dire "en plus haut lieu"?
Franchement, j'essaye soigneusement de l'éviter mais là je sens qu'il va falloir que je me défende... Des idées? Suggestions?
Laisse pi......c'est un :censure:
- ycombeMonarque
Je ne sais pas si je ne passerai pas saluer le proviseur en lui demandant si le PA lui a raconté l'incident et en signalant les menaces. Pour être bien sûr que le collègue soit bien reçu en haut-lieu… en ajoutant que présentement, l'incident est clos, mais qu'il ne faudrait pas qu'il se rouvre.
_________________
Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- NitaEmpereur
Ne lui parle plus.
Le P.A. devrait être de ton côté, puisqu'il a découvert que l'autre n'a pas tenu compte de son refus.
Au pire, tu fais un rapport exact et chronologique des faits.
Le P.A. devrait être de ton côté, puisqu'il a découvert que l'autre n'a pas tenu compte de son refus.
Au pire, tu fais un rapport exact et chronologique des faits.
_________________
A clean house is a sign of a broken computer.
- BritLétyHabitué du forum
Je ne suis même pas sûre de comprendre l'origine du conflit. 3 élèves en plus? Et donc, qu'est-ce que ça change concrètement?
- Invité ElExpert spécialisé
Nita a écrit:Ne lui parle plus.
Le P.A. devrait être de ton côté, puisqu'il a découvert que l'autre n'a pas tenu compte de son refus.
Au pire, tu fais un rapport exact et chronologique des faits.
+1
Il n'y a aucun enjeu sérieux à l'origine de ce conflit: 3 élèves?!
C'est la réaction du collègue qui pose problème, laisse-le s'enfoncer tout seul, il a l'air assez doué. Mais n'envenime rien.
- ForsterÉrudit
ycombe: Notre proviseur est un personnage un peu spécial, il se sert des disputes dans les équipes et adore nous monter les uns contre les autres. Comme l'a dit roxanne avant, c'est comme ça qu'il fait passer beaucoup de choses. D'autant plus que collègue A débarque souvent en pleurs chez notre CDE pour obtenir ce qu'il veut (sa salle, ses classes, son truc, son bidule) et que faire pareil reviendrait à ouvrir une boîte de Pandore !
Li-li: je note l'existence d'un médiateur si jamais on me cherche des noises, merci. C'est bon à savoir.
Je compte bien laisser pisser mais si je me retrouve accusé de je ne sais quoi, je préfère savoir mes options. Collègue B a peur de collègue A et n'ose pas s'y opposer, ce que je ne comprends pas. Il a même accepté de prendre ces élèves en trop pour ne pas le froisser.
Collègue A est un glandeur notoire donc je pense qu'effectivement ce sont 3 copies de trop... En plus du fait qu'il ne peut pas voir ma tête :lol: !
Li-li: je note l'existence d'un médiateur si jamais on me cherche des noises, merci. C'est bon à savoir.
Je compte bien laisser pisser mais si je me retrouve accusé de je ne sais quoi, je préfère savoir mes options. Collègue B a peur de collègue A et n'ose pas s'y opposer, ce que je ne comprends pas. Il a même accepté de prendre ces élèves en trop pour ne pas le froisser.
Collègue A est un glandeur notoire donc je pense qu'effectivement ce sont 3 copies de trop... En plus du fait qu'il ne peut pas voir ma tête :lol: !
- IgniatiusGuide spirituel
BritLéty a écrit:Je ne suis même pas sûre de comprendre l'origine du conflit. 3 élèves en plus? Et donc, qu'est-ce que ça change concrètement?
+1
Franchement, il est juste ridicule : si tu avais 20 élèves et lui 35, bon on pourrait discuter, mais là...
Je ne vois pas ce que tu crains, donc laisse couler.
_________________
"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- ycombeMonarque
Tu prends probablement le risque qu'il aille pleurnicher et finisse par obtenir gain de cause, puisqu'il est coutumier du fait.RooMcfly a écrit:ycombe: Notre proviseur est un personnage un peu spécial, il se sert des disputes dans les équipes et adore nous monter les uns contre les autres. Comme l'a dit roxanne avant, c'est comme ça qu'il fait passer beaucoup de choses. D'autant plus que collègue A débarque souvent en pleurs chez notre CDE pour obtenir ce qu'il veut (sa salle, ses classes, son truc, son bidule) et que faire pareil reviendrait à ouvrir une boîte de Pandore !
_________________
Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- OsmieSage
Je laisserais pisser le mérinos aussi ; aujourd'hui, un conflit avec toi, demain avec un autre collègue, etc. Les CDE ne sont pas idiots et voient à qui ils ont affaire.
- Reine MargotDemi-dieu
Norman Bates a écrit:Je laisserais Collègue A délirer. Sa capacité de nuisance est nulle, vus les faits. Les torts sont très clairement identifiés, et ce par la hiérarchie. Ces menaces sont creuses.
J'aurais agi exactement comme vous, je crois.
+1
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- ForsterÉrudit
Merci, ça me rassure. Voir collègue B s'écraser et avoir peur m'a fait sérieusement me demander si je n'étais pas totalement inconscient et si un collègue pouvait réellement nous nuire.
- HélipsProphète
Certaines personnes ont tellement horreur des conflits qu'ils préfèrent s'écraser, même sans que l'autre ait un quelconque pouvoir de nuisance.
_________________
Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- GilbertineNeoprof expérimenté
RooMcfly a écrit: collègue A débarque souvent en pleurs chez notre CDE pour obtenir ce qu'il veut (sa salle, ses classes, son truc, son bidule)
Le truc et le bidule du CDE ? Il n'y a qu'à demander pour obtenir ça ? Restons pudique.
- User5899Demi-dieu
Quand vous le croisez, n'oubliez pas de lui dire : "Wesh, Gros, t'as vu comment je t'ai niré ta gheulhe ?"RooMcfly a écrit:Hello ! J'ai besoin de votre avis sur la situation suivante.
Je travaille en commun sur les terminales L avec collègue A et collègue B. Les groupes ont été imposés par l'administration par rapport aux options des élèves et ils sont légèrement déséquilibrés (j'ai un groupe à 19, collègue A en a 22 et collègue B 20).
Collègue B n'arrête pas de me dire qu'il va m'envoyer deux élèves et je réponds à chaque fois qu'on ne change pas les groupes comme ça, qu'on se concerte et qu'on le fait pour des raisons pédagogiques (et qu'il faut voir les options des élèves, on a pas cours aux mêmes heures). On a toujours fonctionné comme cela. Bref on discute de tout changement avant.
Un beau jour, je démarre pronote avant le cours et je découvre 2 nouveaux élèves dans ma liste. Je vais voir le collègue A qui me dit qu'il a modifié les groupes et qu'il est passé directement par la vie scolaire vu que je ne suis pas coopératif. On s'est engueulé dans le couloir et j'ai refusé de prendre ces élèves. Je suis allé à la vie scolaire et là j'apprends que collègue A a dit que le changement venait de moi et que c'est moi qui le voulait. Je vais ensuite chez le proviseur adjoint car c'est lui qui change les groupes dans pronote. Il me dit que collègue A est venu le voir, que lui a refusé ce changement sans raison. Il a alors découvert que mon collègue avait menti à la nouvelle secrétaire pour qu'elle modifie les groupes dans pronote. Le proviseur adjoint, furax qu'on fasse ça dans son dos, a remis les élèves dans le groupe de collègue A.
Depuis collègue A ne me parle plus. Cette semaine, collègue B vient me voir pour me dire de me méfier de collègue A car il se plaint de sa santé se dégradant en disant que c'est de ma faute! Vendredi, collègue A vient voir collègue B avec qui je discutais et lui dit "tout les problèmes avec les terminales vont se régler en plus haut lieu" et s'en va sans me regarder.
Que faire? Ce collègue refuse de me parler (il me tourne le dos quand je lui parle), on ne peut plus travailler ensemble, il se victimise en permanence. Que veut-dire "en plus haut lieu"?
Franchement, j'essaye soigneusement de l'éviter mais là je sens qu'il va falloir que je me défende... Des idées? Suggestions?
- User5899Demi-dieu
Cela dit, il nous arrive un truc bizarre cette année. Un collègue a son fils qui vient d'entrer en seconde. Apparemment, c'est un élève lambda, mais son père le tient pour un petit génie, cas connu. Le père a commencé par s'embrouiller avec le collègue d'histoire, au point que ce dernier lui a interdit de lui parler de son gosse sans prendre rdv au préalable (ambiance...). Il a laissé tomber avec ce collègue et s'en prend maintenant à son collègue d'espagnol (il est prof d'espagnol lui-même, mais n'a pas son fils). Au bout de deux semaines, il le menace de l'IPR, l'autre rigole.
Et paf, l'IPR vient jeudi pour les deux collègues
Suite au prochain numéro ?
Et paf, l'IPR vient jeudi pour les deux collègues
Suite au prochain numéro ?
- GilbertineNeoprof expérimenté
_________________
"votre mystère étant resté là où est mort mon silence"
- ProustichouNiveau 5
Cripure a écrit:Cela dit, il nous arrive un truc bizarre cette année. Un collègue a son fils qui vient d'entrer en seconde. Apparemment, c'est un élève lambda, mais son père le tient pour un petit génie, cas connu. Le père a commencé par s'embrouiller avec le collègue d'histoire, au point que ce dernier lui a interdit de lui parler de son gosse sans prendre rdv au préalable (ambiance...). Il a laissé tomber avec ce collègue et s'en prend maintenant à son collègue d'espagnol (il est prof d'espagnol lui-même, mais n'a pas son fils). Au bout de deux semaines, il le menace de l'IPR, l'autre rigole.
Et paf, l'IPR vient jeudi pour les deux collègues
Suite au prochain numéro ?
A reclasser dans "Ces c*** de profs"
Page 1 sur 2 • 1, 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum