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- Mezzo voceNiveau 9
Bonjour,
Cela fait quelque temps que je n'ai rien posté... Je reviens vers vous pour vous demander si vous aviez déjà eu à subir des tensions avec un/une collègue en raison de problèmes d’ego. En ce moment, une collègue, que je croyais être une amie, sans m'aborder directement, lance des piques à mon sujet (en entrant dans la salle des professeurs, je l'ai entendue me critiquer, puis, lorsqu'elle m'a aperçue, elle a stoppé ses commentaires et s'est effacée), et entretient avec moi une relation plutôt malsaine (un exemple on ne peut plus absurde : après avoir dit haut et fort qu'il était inadmissible de ma part de porter des robes trop courtes, elle se met à porter les mêmes robes que moi ?). En ce moment, ses piques tournent autour du même sujet : certains de ses élèves lui lancent qu'ils préféreraient avoir Mme Mezzo Voce comme enseignante, parce que Mme MV est comme ceci ou comme cela; de fait, ma collègue a failli réussir à monter l'équipe conte moi en faisant passer le message suivant : j'organiserais un concours interne (et je l'organise parce que personne n'a souhaité nécessairement se charger de cette tâche assez importante) moins pour les élèves que pour moi (je ferais en sorte de faire "gagner" mes élèves pour que les élèves de l'établissement me considèrent comme "the prof"). Je me sens bien récompensée par la quantité de travail fourni... (à tel point que je compte abandonner l'encadrement dudit concours). Le jeu de mimétisme de ma collègue commençait à me peser; je me sens maintenant en danger du point de vue de l'"image" qu'elle semble tenter de détruire au plan professionnel. En même temps, je ne souhaite pas entrer dans ce jeu. Je n'entre pas non plus dans les détails, mais j'ai beaucoup soutenu cette collègue longuement absente l'an passé, sans la connaître outre mesure, puisque j'étais "neuve" dans l'établissement. C'est un peu décevant et j'ai le sentiment de subir de petites histoires ridicules de collégiens. Or, nous sommes des adultes.
Cela fait quelque temps que je n'ai rien posté... Je reviens vers vous pour vous demander si vous aviez déjà eu à subir des tensions avec un/une collègue en raison de problèmes d’ego. En ce moment, une collègue, que je croyais être une amie, sans m'aborder directement, lance des piques à mon sujet (en entrant dans la salle des professeurs, je l'ai entendue me critiquer, puis, lorsqu'elle m'a aperçue, elle a stoppé ses commentaires et s'est effacée), et entretient avec moi une relation plutôt malsaine (un exemple on ne peut plus absurde : après avoir dit haut et fort qu'il était inadmissible de ma part de porter des robes trop courtes, elle se met à porter les mêmes robes que moi ?). En ce moment, ses piques tournent autour du même sujet : certains de ses élèves lui lancent qu'ils préféreraient avoir Mme Mezzo Voce comme enseignante, parce que Mme MV est comme ceci ou comme cela; de fait, ma collègue a failli réussir à monter l'équipe conte moi en faisant passer le message suivant : j'organiserais un concours interne (et je l'organise parce que personne n'a souhaité nécessairement se charger de cette tâche assez importante) moins pour les élèves que pour moi (je ferais en sorte de faire "gagner" mes élèves pour que les élèves de l'établissement me considèrent comme "the prof"). Je me sens bien récompensée par la quantité de travail fourni... (à tel point que je compte abandonner l'encadrement dudit concours). Le jeu de mimétisme de ma collègue commençait à me peser; je me sens maintenant en danger du point de vue de l'"image" qu'elle semble tenter de détruire au plan professionnel. En même temps, je ne souhaite pas entrer dans ce jeu. Je n'entre pas non plus dans les détails, mais j'ai beaucoup soutenu cette collègue longuement absente l'an passé, sans la connaître outre mesure, puisque j'étais "neuve" dans l'établissement. C'est un peu décevant et j'ai le sentiment de subir de petites histoires ridicules de collégiens. Or, nous sommes des adultes.
- CasparProphète
Je n'ai pas de solution à ton problème, mais les problèmes d'égo existent évidemment dans les salles des profs comme partout ailleurs, certains collègues voulant à tout prix se faire passer pour le plus aimé/respecté/travailleur etc "ah mais avec moi, ça ne se passe pas comme ça"
J'ai dû supporter une collègue un peu comme la tienne pendant quelques années et je suis bien content d'avoir muté dans un gros bahut où on peut être anonyme si on le souhaite.
J'ai dû supporter une collègue un peu comme la tienne pendant quelques années et je suis bien content d'avoir muté dans un gros bahut où on peut être anonyme si on le souhaite.
- Mezzo voceNiveau 9
Merci, Botchan. J'apprends, de toute façon, que je perds mon poste (carte scolaire). Cette relation aura donc un point final ; mais j'espère ne pas avoir trop à en souffrir toute l'année.
- CasparProphète
Je te comprends, j'ai passé six ans dans un collège où la greffe n'a jamais vraiment prise entre beaucoup de collègues et moi et c'est très dur à vivre, j'avais toujours l'impression d'être mis de côté, décalé, incompris, détesté, j'en passe et des meilleures. Je précise que mes relations avec les collègues avaient toujours été plutôt bonnes dans mes établissements précédents. J'étais heureux de partir, et à toute chose malheur est bon; si tu perds ton poste tu pourras tout recommencer à zéro dans un nouvel établissement.
- Mezzo voceNiveau 9
En effet. De mon côté, je suis (j'étais?) très bien intégrée (enseignants et vie scolaire, etc.). Cette collègue, seule, semble chercher à me nuire, visiblement, et cela m'est d'autant plus incompréhensible que je l'ai beaucoup soutenue lors de sa dépression l'an dernier, sans la connaître tellement (jusqu'à lui corriger ses copies, quand même). L'une de ses dernière piques était : " [début de la pique non entendue]... et après les élèves disent forcément : on veut Mme Mezzo Voce, elle prépare mieux !". C'est un peu lourd.
- VinteuilNiveau 5
Je crois que ça mérite un entretien en tête-à-tête ou en présence d'un médiateur, même si cela n'est pas facile. C'est vrai qu'il n'est jamais très agréable pour un prof de s'entendre dire, par les élèves, qu'ils préféreraient avoir M. X ou Mme MZ en classe... On est manifestement dans le domaine de l'affectif et il faut crever l'abcès avant que les choses ne s'enveniment vraiment, donner à chacune l'occasion d'exprimer son ressenti, ce qui peut permettre de partir d'un nouveau pied en montant par exemple - pourquoi pas ? - un projet commun. Bon courage !
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"Un homme est toujours assez beau quand il ne fait pas peur à son cheval."
- CasparProphète
Un médiateur c'est précipiter les choses je trouve. Peut-être un entretien seul à seul avec la collègue en question?
- Mezzo voceNiveau 9
J'ai essayé de "crever" l'abcès : comme il y a évitement, j'ai envoyé un sms, mais n'ai jamais eu de réponse. En revanche, j'ai reçu un courriel hautain fort désagréable, en copie à toute l'équipe. Suite à quoi, j'ai tenté de demeurer souriante, ai fait l'effort de lui faire la bise, de discuter avec naturel, mais je suis tendue.
- Reine MargotDemi-dieu
Mezzo voce a écrit:
En ce moment, une collègue, que je croyais être une amie,
déjà, ça part mal. Au travail, même si on rencontre des gens qu'on apprécie, il vaut mieux garder une certaine distance, pour éviter justement ces chamailleries (critiquer tes tenues, non mais on est dans la cour de récré là), qui viennent de l'affectif trop présent justement dans tes relations à cette collègue.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- Mezzo voceNiveau 9
Je suis d'accord, Reine Margot, nous sommes dans la cour de récré. Quant à la question de la relation amicale entre collègues, je m'interroge, en effet. En même temps, nous avons besoin de soutien dans ce métier (tout en conservant une certaine distance, alors, peut-être).
- JaneMonarque
Mezzo voce a écrit:Bonjour,
Cela fait quelque temps que je n'ai rien posté... Je reviens vers vous pour vous demander si vous aviez déjà eu à subir des tensions avec un/une collègue en raison de problèmes d’ego. En ce moment, une collègue, que je croyais être une amie, sans m'aborder directement, lance des piques à mon sujet (en entrant dans la salle des professeurs, je l'ai entendue me critiquer, puis, lorsqu'elle m'a aperçue, elle a stoppé ses commentaires et s'est effacée), et entretient avec moi une relation plutôt malsaine (un exemple on ne peut plus absurde : après avoir dit haut et fort qu'il était inadmissible de ma part de porter des robes trop courtes, elle se met à porter les mêmes robes que moi ?). En ce moment, ses piques tournent autour du même sujet : certains de ses élèves lui lancent qu'ils préféreraient avoir Mme Mezzo Voce comme enseignante, parce que Mme MV est comme ceci ou comme cela; de fait, ma collègue a failli réussir à monter l'équipe conte moi en faisant passer le message suivant : j'organiserais un concours interne (et je l'organise parce que personne n'a souhaité nécessairement se charger de cette tâche assez importante) moins pour les élèves que pour moi (je ferais en sorte de faire "gagner" mes élèves pour que les élèves de l'établissement me considèrent comme "the prof"). Je me sens bien récompensée par la quantité de travail fourni... (à tel point que je compte abandonner l'encadrement dudit concours). Le jeu de mimétisme de ma collègue commençait à me peser; je me sens maintenant en danger du point de vue de l'"image" qu'elle semble tenter de détruire au plan professionnel. En même temps, je ne souhaite pas entrer dans ce jeu. Je n'entre pas non plus dans les détails, mais j'ai beaucoup soutenu cette collègue longuement absente l'an passé, sans la connaître outre mesure, puisque j'étais "neuve" dans l'établissement. C'est un peu décevant et j'ai le sentiment de subir de petites histoires ridicules de collégiens. Or, nous sommes des adultes.
Cela me rappelle une de mes collègues autrefois amie. Fuis. Ignore. Méprise. Mais n'hésite pas à rester souriante et avenante à son égard; jamais un mot plus haut que l'autre, une remarque désobligeante, sinon, c'est toi qui en feras les frais. Ce genre de personnage aura tôt fait de te porter préjudice si tu viens, toi aussi, à lui rentrer dans le lard.
Bon courage
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- Mezzo voceNiveau 9
Je suis exactement ce conseil, Jane. A partir du moment, par ailleurs, où je n'entre pas dans ce jeu, je n'ai rien à me reprocher, et n'avoir rien à se reprocher face à l'autre est le meilleur moyen de "tenir", disons.
- Reine MargotDemi-dieu
Mezzo voce a écrit:Je suis d'accord, Reine Margot, nous sommes dans la cour de récré. Quant à la question de la relation amicale entre collègues, je m'interroge, en effet. En même temps, nous avons besoin de soutien dans ce métier (tout en conservant une certaine distance, alors, peut-être).
Le soutien entre collègues, oui, est nécessaire. Mais ça n'exige pas cette forte dimension affective de l'amitié. On peut tomber sur des gens bien et fiables tout en restant conscient que dans le monde du travail les relations sont fluctuantes, changeantes et qu'on peut être désagréablement surpris.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- Mezzo voceNiveau 9
Et je viens d'en faire les frais, Reine Margot.
- DalvaVénérable
Je pense que tu as l'explication du problème dans le sujet même de ta déception : certaines personnes ne supportent pas d'être redevables à quelqu'un, parce que cela peut les faire paraître faibles ou insuffisants.
Tu es venue en aide à cette collègue, tu as pallié ses insuffisances. Maintenant, elle ne peut retrouver valeur, dignité et utilité à ses propres yeux qu'en se convainquant que ton action n'avait pas de caractère positif. Et elle ne peut revernir son image au sein du collège qu'en ternissant la tienne.
Si ça se trouve, elle focalise l'origine de sa dépression sur toi, en plus, maintenant.
C'est malheureux, mais je suppose que ça passera. On peut l'espérer en tout cas.
Suggestion qui te paraîtra sans doute étrange :
Propose-lui de prendre la suite de l'organisation du concours, voire demande-lui de l'aide, parce que tu n'en peux plus et que tu crains de favoriser tes élèves en étant la seule au courant des modalités.
Tu peux aussi trouver une ou deux autres raisons de lui demander conseil ou avis ou aide, ça redorera son blason interne...
Bon courage.
Tu es venue en aide à cette collègue, tu as pallié ses insuffisances. Maintenant, elle ne peut retrouver valeur, dignité et utilité à ses propres yeux qu'en se convainquant que ton action n'avait pas de caractère positif. Et elle ne peut revernir son image au sein du collège qu'en ternissant la tienne.
Si ça se trouve, elle focalise l'origine de sa dépression sur toi, en plus, maintenant.
C'est malheureux, mais je suppose que ça passera. On peut l'espérer en tout cas.
Suggestion qui te paraîtra sans doute étrange :
Propose-lui de prendre la suite de l'organisation du concours, voire demande-lui de l'aide, parce que tu n'en peux plus et que tu crains de favoriser tes élèves en étant la seule au courant des modalités.
Tu peux aussi trouver une ou deux autres raisons de lui demander conseil ou avis ou aide, ça redorera son blason interne...
Bon courage.
- JaneMonarque
Ca fait 5 ans que je m'y tiens.... Elle a fini par laisser tomber, car elle s'est rendu compte qu'elle n'avait pas de prise sur moi.Mezzo voce a écrit:Je suis exactement ce conseil, Jane. A partir du moment, par ailleurs, où je n'entre pas dans ce jeu, je n'ai rien à me reprocher, et n'avoir rien à se reprocher face à l'autre est le meilleur moyen de "tenir", disons.
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- Mezzo voceNiveau 9
Soit je l'ignore (tout en demeurant agréable : bonjour, etc.), soit je redore son blason selon la méthode Dalva.
- DalvaVénérable
Au contraire, ce n'est pas effrayant, Mezzo voce, c'est tout ce qu'il y a de plus humain.
Il faut percevoir les choses par l'autre côté. Si ta collègue n'a aucune base solide pour se reconstruire, si elle n'est pas aidée par ailleurs et si elle ne trouve pas de ressources en elle, elle ne peut que prendre appui sur des choses extérieures à elle-même. Tu es celle qui cristallise ses insuffisances de l'an dernier, et je te suppose pleine d'énergie et d'entrain.
Il y a fort à parier qu'elle t'admire et qu'elle se hait de t'admirer, parce que ce faisant elle nie sa propre personnalité. Plus simplement, elle est complètement perdue, ne sait plus qui elle est ou veut être, et ça retombe sur toi.
Pas facile, hein.
On réagit très diversement lorsque l'on se retrouve en situation de faiblesse, et certains caractères portent vers la méchanceté, qui n'est qu'une protection comme une autre.
C'est quand même un peu le principe du harcèlement : quand on se sent insuffisant, ou gêné par quelque chose, quand on a l'impression qu'on n'existera pas en dehors de ça, on attire l'attention sur un défaut (supposé) d'un autre et on ligue tout le monde contre lui. Stratégie de l'ennemi commun. Classique.
Bon, tout ça, c'est psychologie de comptoir... et c'est plus facile à dire de loin qu'à vivre de près.
Il faut percevoir les choses par l'autre côté. Si ta collègue n'a aucune base solide pour se reconstruire, si elle n'est pas aidée par ailleurs et si elle ne trouve pas de ressources en elle, elle ne peut que prendre appui sur des choses extérieures à elle-même. Tu es celle qui cristallise ses insuffisances de l'an dernier, et je te suppose pleine d'énergie et d'entrain.
Il y a fort à parier qu'elle t'admire et qu'elle se hait de t'admirer, parce que ce faisant elle nie sa propre personnalité. Plus simplement, elle est complètement perdue, ne sait plus qui elle est ou veut être, et ça retombe sur toi.
Pas facile, hein.
On réagit très diversement lorsque l'on se retrouve en situation de faiblesse, et certains caractères portent vers la méchanceté, qui n'est qu'une protection comme une autre.
C'est quand même un peu le principe du harcèlement : quand on se sent insuffisant, ou gêné par quelque chose, quand on a l'impression qu'on n'existera pas en dehors de ça, on attire l'attention sur un défaut (supposé) d'un autre et on ligue tout le monde contre lui. Stratégie de l'ennemi commun. Classique.
Bon, tout ça, c'est psychologie de comptoir... et c'est plus facile à dire de loin qu'à vivre de près.
- CasparProphète
Reine Margot a écrit:Mezzo voce a écrit:Je suis d'accord, Reine Margot, nous sommes dans la cour de récré. Quant à la question de la relation amicale entre collègues, je m'interroge, en effet. En même temps, nous avons besoin de soutien dans ce métier (tout en conservant une certaine distance, alors, peut-être).
Le soutien entre collègues, oui, est nécessaire. Mais ça n'exige pas cette forte dimension affective de l'amitié. On peut tomber sur des gens bien et fiables tout en restant conscient que dans le monde du travail les relations sont fluctuantes, changeantes et qu'on peut être désagréablement surpris.
C'est vrai en dehors du travail aussi.
- Marie LaetitiaBon génie
Moi je l'ignorerais... tout en soignant mes relations avec les collègues et la vie sco pour que personne ne puisse croire que tu es méchante, égoïste, pas sympa. Quand ils verront qui tu es avec eux et le portrait qu'elle fait de toi, elle se rendra elle-même ridicule. Et cela t'épargnera beaucoup d'énergie pour peu de chose.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Mezzo voceNiveau 9
Tu résumes étonnamment notre "relation", Dalva, sans la connaître (je ne peux entrer dans les détails, encore une fois). Le terme de "harcèlement" pourrait convenir, car ses remarques caustiques sont allées jusqu'à imprégner ma page Facebook (mon mari m'a recommandé de la supprimer de mes "amis", ce qui ne risque pas d'arranger les choses).
- Reine MargotDemi-dieu
Botchan: oui, bien sûr. Disons que le travail est l'endroit où l'on passe le plus de temps, et avec des gens qu'on n'a pas choisis, ça rend la chose encore plus visible.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- Mezzo voceNiveau 9
Marie Laetitia a écrit:Moi je l'ignorais... tout en soignant mes relations avec les collègues et la vie sco pour que personne ne puisse croire que tu es méchante, égoïste, pas sympa. Quand ils verront qui tu es avec eux et le portrait qu'elle fait de toi, elle se rendra elle-même ridicule. Et cela t'épargnera beaucoup d'énergie pour peu de chose.
Mon mari me recommande la même chose (ainsi que Jane, pus haut). Je suis ravie de te retrouver, ML.
- ProvenceEnchanteur
Reine Margot a écrit:
déjà, ça part mal. Au travail, même si on rencontre des gens qu'on apprécie, il vaut mieux garder une certaine distance, pour éviter justement ces chamailleries (critiquer tes tenues, non mais on est dans la cour de récré là), qui viennent de l'affectif trop présent justement dans tes relations à cette collègue.
On peut quand même se faire des amis au travail...
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