- micaschisteMonarque
Les volcans en seconde ? même en SVT cela n'a rien à voir avec le programme.Isidoria a écrit:Hum, évidemment dans ces conditions, c'est différent. Comme je disais pour que ça marche à mon avis, il faut le vouloir, choisir avec qui on bosse et sur quoi on bosse.
Exemple de machine à gaz dans mon lycée: sur l'AP de 2de, un regroupement de classes a choisi de travailler sur le thème du volcan, chaque prof avec son/ses groupes est donc tenu de travailler ce thème. Je suis bien contente d'être sur un autre AP, car je ne vois pas ce que j'aurais fait là dessus, et je ne vois pas non plus en quoi cela respecte les programmes (en lettres, c'est quand même le grand écart...).
Ou, à la rigueur, travailler sur la formation d'un sol sur une coulée volcanique...
- ditaNeoprof expérimenté
Moi, j'ai arrêté la garderie en AP et je continue mon cours. Avec mes élèves. Non mais !
- tiptop77Prophète
Alors là ça va trop loin! J'apprends que je suis censée faire une semaine interdisciplinaire avec un prof de svt et une prof d'histoire-géo. C'est quoi ce délire??
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May the force be with us!
- mafalda16Modérateur
tiptop77 a écrit:Alors là ça va trop loin! J'apprends que je suis censée faire une semaine interdisciplinaire avec un prof de svt et une prof d'histoire-géo. C'est quoi ce délire??
Il est temps de citer le grand philosophe Ronin "à un moment il faut dire stop au n'importe quoi".
Poussin, il faut que tu t'échappes de là!
- HélipsProphète
Non mais attends, on ne peut t'imposer ça ! Résistance passive ? "Je viendrai sur les plages de cours prévues par mon emploi du temps, je remplirai le cahier de texte en ligne avec la mention "pas d'élèves", mais je ne préparerai rien d'autre que des cours d'anglais. Bien cordialement et gros poutous, Super Poussin qui va finir par craquer".
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- Thalia de GMédiateur
On t'en fait des misères, Poussin !
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- DalvaVénérable
Ou plutôt ses parents...Isidoria a écrit:J'ai reçu un mail d'un élève qui conclut "dans l'attente de votre aimable réponse"
C'est bien étonnant, il est fort poli cet élève-ci!
J'ai jusqu'à présent accompagné mes filles dans la rédaction de leurs très nombreux courriels à leurs professeurs (au moins trois à elles deux !). Hors de question de les laisser envoyer n'importe quoi. En même temps ça leur donne un modèle de présentation. Et pour l'un des cas, ça leur a aussi donné une idée de comment on fait pour faire remarquer à quelqu'un, très poliment, que son truc c'est du foutage de gueule. Mais vraiment très poliment et sans le dire, hein. A lui de tirer tout seul des conclusions. (Faut dire que demander aux élèves, un vendredi soir, de rendre un travail pour le dimanche soir, et prétendre que ce travail sera indiqué sur le cahier de texte numérique... alors qu'il n'y a pas de dimanche dans le cahier de texte numérique... et qu'il est inconcevable que j'apprenne à mes enfants à répondre à des exigences patronales sur un jour non travaillé, c'est carrément pousser mémé dans les orties.)
Bon, mon p'tit poussin jaune, posons-nous deux minutes.tiptop77 a écrit:Alors là ça va trop loin! J'apprends que je suis censée faire une semaine interdisciplinaire avec un prof de svt et une prof d'histoire-géo. C'est quoi ce délire??
Quel texte, dans ton établissement, prévoit l'organisation de cette semaine interdisciplinaire ? Quelle instance l'a votée, pour qu'elle s'impose à tous ? Est-elle inscrite dans le projet d'établissement d'une manière ou d'une autre ? En avez-vous été informés à l'avance ?
Non, semble-t-il.
Donc, non seulement tu refuses, mais en plus tu refuses de laisser tes élèves à d'autres pendant tes heures de cours. Tu as ton service et ton emploi du temps, tu le respectes, eux aussi.
Sauf, bien entendu, si tout ceci peut s'imposer à toi d'une quelconque façon. Dans ce cas tu transformes la vitrine en ce qu'elle doit être : celle d'un magasin au bord de la faillite dans lequel les employés sous-payés et traités comme de la crotte font ce qu'ils peuvent avec le peu qu'on veut bien leur donner.
- ErgoDevin
Demande un changement de VS, non ?
J'avais demandé ça quand on m'avait demandé de prendre en charge une classe que je n'avais pas - bon, j'y allais au culot mais finalement, on avait trouvé une autre solution.
Si c'est sur tes heures de tes classes normales que tu interviens hors co-intervention, ben tu fais ta matière.
J'avais demandé ça quand on m'avait demandé de prendre en charge une classe que je n'avais pas - bon, j'y allais au culot mais finalement, on avait trouvé une autre solution.
Si c'est sur tes heures de tes classes normales que tu interviens hors co-intervention, ben tu fais ta matière.
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- DalvaVénérable
Quant à mon hallu, elle est telle qu'elle m'a mise hors de moi pour une bonne partie de l'après-midi.
Contextualisation n°1 : nous avons maintenant au collège des élèves avec PPS (plan personnalisé de scolarisation, pour les élèves ayant un handicap reconnu MDPH), des élèves avec PAI et, nouveauté, pour ceux qui suivent, avec des PAP (plan d'accueil personnalisé, si mes souvenirs sont bons). Les PAP sont destinés à proposer des aménagements à des élèves souffrant de troubles des apprentissages (notamment dys-). Ils ne peuvent être mis en place que sur intervention d'un médecin, il faut donc que le trouble soit reconnu réellement, ce sont les enseignants, le médecin et les parents éventuellement qui proposent les aménagements nécessaires après observation des problèmes de l'élève, ces aménagements et adaptations peuvent évoluer avec le temps si l'on voit qu'ils ne fonctionnent pas ou, au contraire, qu'ils apportent trop d'aide à l'élève et vont au-delà de la compensation.
C'est peut-être un peu lourd à gérer, mais en tout cas une chose est sûre : seul un élève ayant un PAP donc pour lequel les parents ont fait le nécessaire peut bénéficier d'aménagements, ce qui selon moi met fin à bien des abus.
Selon moi aussi, c'est une reconnaissance nécessaire des problèmes de certains enfants : on met bien des lunettes à ceux qui ne voient pas, et cela fait longtemps qu'on a cessé de traiter de débiles mentaux les sourds et muets.
Contextualisation n°2 : Dans mon collège enseigne une collègue dont la vue est si mauvaise qu'elle pourrait être qualifiée de malvoyante et qui n'a donc jamais passé son permis. Ayant été affectée dans un établissement rural mais désirant tout de même mener une vie sociale, elle a préféré s'installer dans la petite ville la plus proche. Elle a bataillé plusieurs années pour faire comprendre à l'ancien chef d'établissement que, si elle ne voulait pas commencer à 8h, ce n'était pas par mauvaise volonté mais parce que le train arrivait à 8h10 et que, si elle ne passait pas le permis, ce n'était pas non plus par mauvaise volonté. Et qu'elle n'allait pas s'enterrer dans une mini ville rurale sept jours sur sept, puisqu'elle n'avait pas de voiture pour se rendre ailleurs.
J'ai insisté auprès d'elle pour qu'elle fasse les démarches nécessaires afin d'obtenir la reconnaissance de son handicap au moins auprès du rectorat, et qu'elle obtienne au moins un emploi du temps aménagé. Je passe sur les détails concernant les tentatives de covoiturage qui ont toutes mal tourné, je pense avoir compris pourquoi maintenant.
Bref, après des réticences, elle a fini par faire ce que je lui conseillais, et est allée plus loin puisqu'elle a obtenu un transport via la MDPH. Elle vient donc au collège tous les jours en taxi, et en repart idem.
Aujourd'hui, je photocopie et distribue le PAP d'une élève. J'avais pris soin d'envoyer un courriel aux collègues avant. Le PAP est vraiment très léger. En gros, on s'assure que les documents sont aérés et bien lisibles, que le vocabulaire particulier est bien compris, on accorde plus de temps pour les évaluations si on peut. Un petit truc en français (dictée aménagée), un petit truc en EPS, et c'est tout.
Je donne le PAP à ma collègue. Réaction immédiate : "Ah non moi de toute façon je ne fais rien."
Je réagis un peu vivement : "Tu ne peux pas dire une chose pareille."
Réponse : "Moi quand j'étais petite j'écrivais super mal, on m'a fait faire des pages et des pages d'écriture et c'est tout, il faut arrêter avec tout ça." et "Maintenant on n'a plus que ça dans les classes, du handicap."
Ben oui, on a arrêté de parquer les gens un peu différents dans des institutions (et attention, là on ne parle même pas d'un truc lourd à prendre en charge, genre l'élève ne peut pas écrire du tout, hein).
Mais p*t** de b*d*l de m*rd*, et tes lunettes, et ton taxi, c'est quoi ?
Je n'en reviens encore pas.
On peut penser ce qu'on veut des dyslexies, dyspraxies, etc., le principe qui veut qu'on compense, au moins pour le temps des apprentissages, des handicaps, auprès de personnes qui sont en capacité d'apprendre, c'est un principe essentiel, et qui fait qu'on vit au moins un peu dans une société civilisée et solidaire.
Si les réactions avaient été celles-là pour tous les "troubles" auparavant, on ne m'aurait pas donné de lunettes, on aurait seulement conclu que j'étais dans l'incapacité de poursuivre mes études. Les sourds-muets ne communiqueraient toujours avec personne, et tous les mal nés seraient des rebuts de la société.
Et quand j'ai osé faire référence à son taxi ou à ses lunettes, la réponse a été : "ça n'a rien à voir".
Je suis colère et dégoût.
Contextualisation n°1 : nous avons maintenant au collège des élèves avec PPS (plan personnalisé de scolarisation, pour les élèves ayant un handicap reconnu MDPH), des élèves avec PAI et, nouveauté, pour ceux qui suivent, avec des PAP (plan d'accueil personnalisé, si mes souvenirs sont bons). Les PAP sont destinés à proposer des aménagements à des élèves souffrant de troubles des apprentissages (notamment dys-). Ils ne peuvent être mis en place que sur intervention d'un médecin, il faut donc que le trouble soit reconnu réellement, ce sont les enseignants, le médecin et les parents éventuellement qui proposent les aménagements nécessaires après observation des problèmes de l'élève, ces aménagements et adaptations peuvent évoluer avec le temps si l'on voit qu'ils ne fonctionnent pas ou, au contraire, qu'ils apportent trop d'aide à l'élève et vont au-delà de la compensation.
C'est peut-être un peu lourd à gérer, mais en tout cas une chose est sûre : seul un élève ayant un PAP donc pour lequel les parents ont fait le nécessaire peut bénéficier d'aménagements, ce qui selon moi met fin à bien des abus.
Selon moi aussi, c'est une reconnaissance nécessaire des problèmes de certains enfants : on met bien des lunettes à ceux qui ne voient pas, et cela fait longtemps qu'on a cessé de traiter de débiles mentaux les sourds et muets.
Contextualisation n°2 : Dans mon collège enseigne une collègue dont la vue est si mauvaise qu'elle pourrait être qualifiée de malvoyante et qui n'a donc jamais passé son permis. Ayant été affectée dans un établissement rural mais désirant tout de même mener une vie sociale, elle a préféré s'installer dans la petite ville la plus proche. Elle a bataillé plusieurs années pour faire comprendre à l'ancien chef d'établissement que, si elle ne voulait pas commencer à 8h, ce n'était pas par mauvaise volonté mais parce que le train arrivait à 8h10 et que, si elle ne passait pas le permis, ce n'était pas non plus par mauvaise volonté. Et qu'elle n'allait pas s'enterrer dans une mini ville rurale sept jours sur sept, puisqu'elle n'avait pas de voiture pour se rendre ailleurs.
J'ai insisté auprès d'elle pour qu'elle fasse les démarches nécessaires afin d'obtenir la reconnaissance de son handicap au moins auprès du rectorat, et qu'elle obtienne au moins un emploi du temps aménagé. Je passe sur les détails concernant les tentatives de covoiturage qui ont toutes mal tourné, je pense avoir compris pourquoi maintenant.
Bref, après des réticences, elle a fini par faire ce que je lui conseillais, et est allée plus loin puisqu'elle a obtenu un transport via la MDPH. Elle vient donc au collège tous les jours en taxi, et en repart idem.
Aujourd'hui, je photocopie et distribue le PAP d'une élève. J'avais pris soin d'envoyer un courriel aux collègues avant. Le PAP est vraiment très léger. En gros, on s'assure que les documents sont aérés et bien lisibles, que le vocabulaire particulier est bien compris, on accorde plus de temps pour les évaluations si on peut. Un petit truc en français (dictée aménagée), un petit truc en EPS, et c'est tout.
Je donne le PAP à ma collègue. Réaction immédiate : "Ah non moi de toute façon je ne fais rien."
Je réagis un peu vivement : "Tu ne peux pas dire une chose pareille."
Réponse : "Moi quand j'étais petite j'écrivais super mal, on m'a fait faire des pages et des pages d'écriture et c'est tout, il faut arrêter avec tout ça." et "Maintenant on n'a plus que ça dans les classes, du handicap."
Ben oui, on a arrêté de parquer les gens un peu différents dans des institutions (et attention, là on ne parle même pas d'un truc lourd à prendre en charge, genre l'élève ne peut pas écrire du tout, hein).
Mais p*t** de b*d*l de m*rd*, et tes lunettes, et ton taxi, c'est quoi ?
Je n'en reviens encore pas.
On peut penser ce qu'on veut des dyslexies, dyspraxies, etc., le principe qui veut qu'on compense, au moins pour le temps des apprentissages, des handicaps, auprès de personnes qui sont en capacité d'apprendre, c'est un principe essentiel, et qui fait qu'on vit au moins un peu dans une société civilisée et solidaire.
Si les réactions avaient été celles-là pour tous les "troubles" auparavant, on ne m'aurait pas donné de lunettes, on aurait seulement conclu que j'étais dans l'incapacité de poursuivre mes études. Les sourds-muets ne communiqueraient toujours avec personne, et tous les mal nés seraient des rebuts de la société.
Et quand j'ai osé faire référence à son taxi ou à ses lunettes, la réponse a été : "ça n'a rien à voir".
Je suis colère et dégoût.
- tiptop77Prophète
Non, je n'aurai pas mon edt habituel. La semaine sera banalisée pour les projets interdisciplinaires!
Je n'en reviens pas. On nous impose ça! Et c'est sûr, les profs vont suivre bien gentiment, ce n'est plus une salle des profs, c'est une bergerie!
Je n'en reviens pas. On nous impose ça! Et c'est sûr, les profs vont suivre bien gentiment, ce n'est plus une salle des profs, c'est une bergerie!
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May the force be with us!
- LenagcnNiveau 10
Dalva
Tiptop: tip top, ton collège
il reçoit une contribution de tous les collèges privés à 30 km à la ronde, au moins, en remerciement?
Tiptop: tip top, ton collège
il reçoit une contribution de tous les collèges privés à 30 km à la ronde, au moins, en remerciement?
- ErgoDevin
Dalva : elle est incohérence et intolérance... :shock:
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« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- NitaEmpereur
Eh oui, Dalva, il y a des cons partout, y compris chez les handicapés.
Nugget, je ne sais que te dire...
Nugget, je ne sais que te dire...
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A clean house is a sign of a broken computer.
- ErgoDevin
Oui mais Tiptop, alors, ç'a été voté en CA ?
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- musaNeoprof expérimenté
Ben je ne serais pas aussi catégorique Dalva. Je comprends un peu ton énervement et en même temps, je me pose parfois des questions sur certains PAP et j'ai un peu de mal à mettre ça sur le même plan que le fait d'être malvoyant.
- tiptop77Prophète
Ergo a écrit:Oui mais Tiptop, alors, ç'a été voté en CA ?
Non ça s'est décidé à une réunion ce midi ( où il n'y avait pas tous les profs) mais ceux qui sont au CA sont dans ce délire donc c'est quasiment sûr que ça passera!
- DinaaaExpert spécialisé
Petit poussin jaune, figure toi que figure cette année à mon emploi du temps 5e une heure dite "Développement Durable" (sans interdisc, je suis toute seule, ni l'HG ni la SVT ne sont concernées...).
Comme tout un chacun, je me suis demandé "mais b*rd*l de m*rd*, que vais-je bien pouvoir faire comme projet de DD avec des 5e, en Français, alors que l'essentiel du programme porte sur le Moyen Age ?".
Finalement, on lit ensemble un vrai livre de littérature qui parle vaguement d'arbres, et c'est une heure très paisible, pleine de poésie et de jolies réflexions des élèves. Comme ma chef, qui m'a collé ce projet alac' sans me demander mon avis, ne m'a donné aucune feuille de route ni aucun objectif, ben, je fais ce que je veux et estime n'avoir aucun compte à rendre.
Tu as une semaine d'intercrotte ? Tu fais ce qui te fait plaisir, sans te prendre la tête, tu trouves un vague truc qui a un vague lien avec le thème retenu et en avant, tu fais tout ce que tu aimerais faire sans en avoir jamais le temps.
Ce qui est rageant, c'est surtout de constater que d'autres s'arrogent le droit de décider pour soi. Une fois cette frustration dépassée et quand on a bien compris que, la porte de la salle fermée, on n'a aucun compte à rendre, ça va tout de suite mieux.
Comme tout un chacun, je me suis demandé "mais b*rd*l de m*rd*, que vais-je bien pouvoir faire comme projet de DD avec des 5e, en Français, alors que l'essentiel du programme porte sur le Moyen Age ?".
Finalement, on lit ensemble un vrai livre de littérature qui parle vaguement d'arbres, et c'est une heure très paisible, pleine de poésie et de jolies réflexions des élèves. Comme ma chef, qui m'a collé ce projet alac' sans me demander mon avis, ne m'a donné aucune feuille de route ni aucun objectif, ben, je fais ce que je veux et estime n'avoir aucun compte à rendre.
Tu as une semaine d'intercrotte ? Tu fais ce qui te fait plaisir, sans te prendre la tête, tu trouves un vague truc qui a un vague lien avec le thème retenu et en avant, tu fais tout ce que tu aimerais faire sans en avoir jamais le temps.
Ce qui est rageant, c'est surtout de constater que d'autres s'arrogent le droit de décider pour soi. Une fois cette frustration dépassée et quand on a bien compris que, la porte de la salle fermée, on n'a aucun compte à rendre, ça va tout de suite mieux.
- DalvaVénérable
De la malédiction des handicaps invisibles...musa a écrit:Ben je ne serais pas aussi catégorique Dalva. Je comprends un peu ton énervement et en même temps, je me pose parfois des questions sur certains PAP et j'ai un peu de mal à mettre ça sur le même plan que le fait d'être malvoyant.
- tiptop77Prophète
Dinaaa a écrit:Petit poussin jaune, figure toi que figure cette année à mon emploi du temps 5e une heure dite "Développement Durable" (sans interdisc, je suis toute seule, ni l'HG ni la SVT ne sont concernées...).
Comme tout un chacun, je me suis demandé "mais b*rd*l de m*rd*, que vais-je bien pouvoir faire comme projet de DD avec des 5e, en Français, alors que l'essentiel du programme porte sur le Moyen Age ?".
Finalement, on lit ensemble un vrai livre de littérature qui parle vaguement d'arbres, et c'est une heure très paisible, pleine de poésie et de jolies réflexions des élèves. Comme ma chef, qui m'a collé ce projet alac' sans me demander mon avis, ne m'a donné aucune feuille de route ni aucun objectif, ben, je fais ce que je veux et estime n'avoir aucun compte à rendre.
Tu as une semaine d'intercrotte ? Tu fais ce qui te fait plaisir, sans te prendre la tête, tu trouves un vague truc qui a un vague lien avec le thème retenu et en avant, tu fais tout ce que tu aimerais faire sans en avoir jamais le temps.
Ce qui est rageant, c'est surtout de constater que d'autres s'arrogent le droit de décider pour soi. Une fois cette frustration dépassée et quand on a bien compris que, la porte de la salle fermée, on n'a aucun compte à rendre, ça va tout de suite mieux.
Il y aura des comptes à rendre puisque toute une délégation de l'inspection académique et des universitaires et des profs du secondaire viendront observer ces semaines interdisciplinaires!
- DalvaVénérable
Malheur de malheur, tu es vraiment mal barrée.
Et le fait que tes cours normaux soient coupés en dehors de toute cohérence, ça ne gêne personne, bien sûr.
Et le fait que tes cours normaux soient coupés en dehors de toute cohérence, ça ne gêne personne, bien sûr.
- tiptop77Prophète
Ce sont des moutons, ça va suivre en sdp!
Je suis super dégoûtée, j'ai envie de pleurer.
Je suis super dégoûtée, j'ai envie de pleurer.
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- ErgoDevin
J'ai envie d'avoir un conseil mal placé et très très mal : fais-toi arrêter cette semaine-là.
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« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- tiptop77Prophète
Ergo a écrit:J'ai envie d'avoir un conseil mal placé et très très mal : fais-toi arrêter cette semaine-là.
Sous quel prétexte?
- ErgoDevin
Très grosse fatigue. Incompatibilité éthique...Tu trouverais bien.
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- tiptop77Prophète
Wilde a écrit:Tiptop, tu es la seule à résister?
On sera 3 à tout casser. Je ne sais pas, je n'espère rien.
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