- adumbrateNiveau 10
Mlle_Andromede a écrit:Elle aime: Un jour au cours duquel le brouhaha était particulièrement insupportable (comme tous les jours, d'ailleurs), j'ai décidé de leur donner des exercices à faire en leur précisant que je ramasserais quelques copies pour les noter. Mais cela ne les a pas empêchés de continuer à bavarder.
Tu as eu tout un tas de bons conseils, donc je ne veux pas en ajouter. Je relève juste cette phrase, parce qu'elle m'interpelle (elle renvoie à une erreur que j'ai faite). Quand tu donnes une punition, que tu ramasses un travaille pour le noter, n'espère pas forcément un effet immédiat, surtout si la classe a pris de mauvaises habitudes. La première punition ou le premier travail ramassé ne font souvent aucun effet, mais si tu ne lâches rien et que tu répètes la punition, que tu ramasses le travail fait à chaque cours (simplement pour 5 élèves, on est d'accord), les élèves se fatiguent les premiers, et au bout de la troisième, quatrième punition, par exemple, la plupart se calment un peu.
- RendashBon génie
Mlle_Andromede a écrit:Effectivement, j'avais demandé au principal-adjoint d'intervenir. Les élèves s'étaient "calmés" durant le reste de l'heure, mais avaient recommencé comme si de rien n'était au cours suivant.
De même, les PP de mes deux classes, suite aux rapports que je leur envoyais, remontaient les bretelles des élèves, mais sans succès non plus.
ET il a réagi comment en apprenant ça, le PA? Parce que là, c'est lui qui passe pour un manche qu ne sait pas tenir une classe, et en général ils n'aiment pas ça
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Dadoo33Grand sage
Honnêtement Andromède certes les élèves sont horribles mais je suis d'avis quand même que tu devrais suivre les conseils de Gnafron. Non parce-que tu ne peux pas y arriver si tu te refuses à être plus stricte et visiblement tu t'y refuses... Et ça te fait du mal.
- Dadoo33Grand sage
. Quelle a été la sanction prise suite à cet incident ? Les parents ont-ils convoqués?
- Dadoo33Grand sage
J'ai quand même l'impression que le cde n'est pas d'une grande aide...
- RendashBon génie
Quelle connerie, ça, tiens...Mlle_Andromede a écrit:adumbrate: Je prends note. Le problème, c'est que mon tuteur m'a conseillé, pour je ne sais plus quelle raison, d'éviter les punitions. Mais c'est à voir. Après tout, si cela peut permettre de ramener un semblant de calme...
Assieds-toi dessus. De toute façon, si tu ne fais rien il te reprochera le bazar en classe, si tu le fais il te reprochera les punitions. Autant prendre le risque que ce soit efficace et que tu puisses bosser sereinement le reste de l'année.
Mlle_Andromede a écrit:
Rendash: Il n'a rien fait de particulier. Certains élèves ont une fiche de suivi mais cela ne les empêche pas de continuer à faire les imbéciles.
Tu l'as relancé en lui expliquant l'échec de son intervention?
Mlle_Andromede a écrit:
Dadoo33: Tu as raison. Il faut que j'arrive à dépasser mes craintes. L'incident avec la perturbatrice m'avait déjà fichu un sacré coup et je pense que c'est suite à cela que j'ai commencé à éviter d'exclure.
En réponse à ta question, suite à l'incident la jeune fille a été exclue une journée.
Elle se permet cette réaction à cause de l'ambiance générale. Si tu règles l'ambiance générale, tu seras moins exposée aux p'tits caprices de ces mômes.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Dadoo33Grand sage
Faudra m'expliquer pour les punitions, hein? Nan parce-que si c'est pour éviter de traumatiser les pauvres gamins, je crois que les tiens m'ont l'air bien solides.
- moonieNiveau 9
Il te faut aussi de l'aide extérieure. Je connais un collègue PP qui n'hésite pas à faire intervenir régulièrement la cpe pour remettre les idées au clair avec les élèves, sans compter qu'il convoque les parents de certains perturbateurs dans le bureau de l'adjointe, qu'il colle à tour de bras. Heureusement qu'il le fait ( nous avons une classe commune) car ma tutrice comme le tien m'aurait conseillé de ne pas punir.
- Dadoo33Grand sage
Mais c'est quoi cette histoire, là de ne pas punir? Quelqu'un peut m'expliquer cette bêtise?
Andromède: stop, le fil va t'aérer la tête et dodo.
Andromède: stop, le fil va t'aérer la tête et dodo.
- gnafron2004Grand sage
Sinon, je te conseille le karaté. Excellent pour l'assurance et la maîtrise de soi, et un excellent défouloir.
- AwottNiveau 10
Bonsoir,
Je viens de lire avec grand intérêt l'ensemble de ce topic.
A lire l'ensemble des interventions ( pas seulement ici ) on a toujours l'impression que les solutions existent, que l'on pourrait aller chercher telle ressource ( ou telle personne-ressource ).
D'expérience, je pense que c'est catastrophique et foncièrement dévalorisant à long terme : que ces bons conseils ( forts utiles dans bien des cas ) ne font que renforcer le sentiment de "ne pas y arriver", que la chienlit qui succède aux accalmies est un énième échec.
Andromede, si tu es a bout et si tu sens que l'année ne pourra pas s'achever sur une titularisation ( même si certains sont bien malin pour te laisser longtemps miroiter cette carotte ) : il faut que tu prennes du recul, plusieurs mois en arrêt ( sans culpabiliser ! ) pour sortir du vase clos qu'est l'éducation nationale afin d'envisager plus sereinement l'avenir.
Personnellement, après un an de stage ( et je me suis pas mal retrouvé dans tes récits ), la tête sous l'eau, en apnée d'une période de vacance à l'autres, à préparer cours sur cours, à peaufiner les contenus, à faire visite sur visite à mon tuteur ( et à d'autres enseignants ) j'ai été prolongé en tant que stagiaire.
Suite aux deux mois d'été, à la reprise quelque chose était "brisé", je n'avais même plus envie de me fader des élèves et tenter de les captiver ( j'en étais à détester enseigner ma matière, non pas pour ce qu'elle est, mais pour ce qu'on en enseigne ...) et à partir des vacances de la Toussaint, je n'ai pas repris ( congé maladie ) et maintenant au bout de 3 mois je commence à peine à entrevoir la fin de ce calvaire.
Bref, ne cherche pas à prolonger ou à poursuivre quoiqu'il en coûte, ni à le penser comme un échec ( les proches qui peuvent te dire que tu as un situation en or, d'énorme avantages, etc ... ), les collègues, tuteurs et autres soutiens qui te disent qu'il ne faut pas grands choses, qu'il faut s'accrocher, que cela finira par aller mieux : c'est reculer pour mieux tomber.
Je viens de lire avec grand intérêt l'ensemble de ce topic.
A lire l'ensemble des interventions ( pas seulement ici ) on a toujours l'impression que les solutions existent, que l'on pourrait aller chercher telle ressource ( ou telle personne-ressource ).
D'expérience, je pense que c'est catastrophique et foncièrement dévalorisant à long terme : que ces bons conseils ( forts utiles dans bien des cas ) ne font que renforcer le sentiment de "ne pas y arriver", que la chienlit qui succède aux accalmies est un énième échec.
Andromede, si tu es a bout et si tu sens que l'année ne pourra pas s'achever sur une titularisation ( même si certains sont bien malin pour te laisser longtemps miroiter cette carotte ) : il faut que tu prennes du recul, plusieurs mois en arrêt ( sans culpabiliser ! ) pour sortir du vase clos qu'est l'éducation nationale afin d'envisager plus sereinement l'avenir.
Personnellement, après un an de stage ( et je me suis pas mal retrouvé dans tes récits ), la tête sous l'eau, en apnée d'une période de vacance à l'autres, à préparer cours sur cours, à peaufiner les contenus, à faire visite sur visite à mon tuteur ( et à d'autres enseignants ) j'ai été prolongé en tant que stagiaire.
Suite aux deux mois d'été, à la reprise quelque chose était "brisé", je n'avais même plus envie de me fader des élèves et tenter de les captiver ( j'en étais à détester enseigner ma matière, non pas pour ce qu'elle est, mais pour ce qu'on en enseigne ...) et à partir des vacances de la Toussaint, je n'ai pas repris ( congé maladie ) et maintenant au bout de 3 mois je commence à peine à entrevoir la fin de ce calvaire.
Bref, ne cherche pas à prolonger ou à poursuivre quoiqu'il en coûte, ni à le penser comme un échec ( les proches qui peuvent te dire que tu as un situation en or, d'énorme avantages, etc ... ), les collègues, tuteurs et autres soutiens qui te disent qu'il ne faut pas grands choses, qu'il faut s'accrocher, que cela finira par aller mieux : c'est reculer pour mieux tomber.
- pailleauquebecFidèle du forum
courage.
Au moins tu es lucide et c'est déjà un bon début. Beaucoup d'enseignants sont dans le déni.
Il faut des années pour faire un bon enseignant (éventuellement car le résultat n'est pas garanti).
Au moins tu es lucide et c'est déjà un bon début. Beaucoup d'enseignants sont dans le déni.
Il faut des années pour faire un bon enseignant (éventuellement car le résultat n'est pas garanti).
- Lowpow29Neoprof expérimenté
Cela doit être très difficile à vivre mais ne remets pas en cause ta vocation à cause de "seulement" deux classes... qui sont peut-être juste celles sur lesquelles il ne fallait pas tomber.
Sur mes 19 classes cette année, j'en ai bien 2 voire 3 avec lesquelles c'est souvent très désagréable de travailler car beaucoup de bavardages, pas d'attention, aucune prise au sérieux du cours...
Et cela n'empêche pas que cela soit exactement le contraire avec d'autres classes : beaucoup d'écoute, de concentration, d'intérêt et d'enthousiasme!
Avec la majorité des classes, c'est intermédiaire, d'agréable à un peu agité selon les semaines.
Pourtant, je suis la même, et ce sont les mêmes cours.
Comme quoi, l'alchimie de la classe joue beaucoup, ainsi que plein d'autres éléments sur lesquels tu n'as aucune prise (l'équipe pédagogique de la classe, le professeur de l'année dernière, la vision qu'ont les élèves de la discipline...). Ton collègue de maths est peut-être tout simplement tombé sur deux classes agréables avec lesquelles le début de l'année s'est bien passé, a été mis en confiance et le reste a suivi avec le travail.
Le conseil que je me donne en général est : fais en sorte d'agir en conscience, pour être au moins au clair avec toi-même et assumer ce que tu fais, ça sera déjà bien et montrera que tu cherches à faire de ton mieux, donc que tu es à l'écoute des conseils pour progresser, que tu ne campes pas vainement sur tes positions... Autant de qualités qui faut exacerber en inspection, il me semble! (mais je peux me tromper totalement!)
Sur mes 19 classes cette année, j'en ai bien 2 voire 3 avec lesquelles c'est souvent très désagréable de travailler car beaucoup de bavardages, pas d'attention, aucune prise au sérieux du cours...
Et cela n'empêche pas que cela soit exactement le contraire avec d'autres classes : beaucoup d'écoute, de concentration, d'intérêt et d'enthousiasme!
Avec la majorité des classes, c'est intermédiaire, d'agréable à un peu agité selon les semaines.
Pourtant, je suis la même, et ce sont les mêmes cours.
Comme quoi, l'alchimie de la classe joue beaucoup, ainsi que plein d'autres éléments sur lesquels tu n'as aucune prise (l'équipe pédagogique de la classe, le professeur de l'année dernière, la vision qu'ont les élèves de la discipline...). Ton collègue de maths est peut-être tout simplement tombé sur deux classes agréables avec lesquelles le début de l'année s'est bien passé, a été mis en confiance et le reste a suivi avec le travail.
Le conseil que je me donne en général est : fais en sorte d'agir en conscience, pour être au moins au clair avec toi-même et assumer ce que tu fais, ça sera déjà bien et montrera que tu cherches à faire de ton mieux, donc que tu es à l'écoute des conseils pour progresser, que tu ne campes pas vainement sur tes positions... Autant de qualités qui faut exacerber en inspection, il me semble! (mais je peux me tromper totalement!)
- Spoiler:
- Quand la situation est à ce point critique, à mon sens, la punition n'a plus aucun effet. Je m'inspire dans ces moments-là des ouvrages de Catherine Baker, notamment celui sur la punition qu'elle a mis gratuitement en ligne (sauf erreur), et de Thomas Gordon. Je pense que quand on en arrive au point que tu décris (et ça m'est souvent arrivé), c'est essentiel de prendre une bouffée d'air pur dans ces ouvrages pour "garder la foi" (hmhm) sans pour autant être dans le monde naïf des bisounours. Oui, le chemin est long, mais ce que tu vis cette année te servira toujours.
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La vie est courte, l'art est long, l'occasion fugitive, l'expérience trompeuse, le jugement difficile. Hippocrate
- A TuinVénérable
Mlle_Andromede a écrit:Bonjour Awott,
J'ai suivi les conseils glanés ici et là mais cela n'a malheureusement rien donné. Je crois que les élèves cherchent à me pousser à bout. Cette semaine, comme d'habitude, c'était l'enfer. Je n'y arrive décidément pas. Je colle des punitions, des heures de retenue, des mots dans le carnet, mais cela ne change rien du tout étant donné qu'il y a toujours des élèves pour bavarder.
Je songe vraiment à arrêter. Chaque jour, je vais au collège la boule au ventre. Je sais pertinemment que je ne serai pas titularisée. L'inspecteur vient me voir la semaine prochaine et je sais déjà ce qu'il va me dire.
Tous les stagiaires ne sont pas dans mon cas puisque j'ai un collègue de maths, stagiaire également, dans le même établissement que moi, pour qui ça se passe très bien. Alors j'ai bien l'impression que le problème vient de moi. Les élèves cherchent à me pousser à bout, et je crois bien qu'ils vont réussir. Je n'ai vraiment plus aucune envie de continuer, plus aucune motivation, plus aucune envie d'aller aux formations ni de passer mes examens. Je sais qu'il y a des collègues pour qui ça se passe très bien, et à côté d'eux j'ai l'impression d'être complètement nulle.
Le métier d'enseignant était une réelle vocation, mais quand je vois comment ça se passe réellement, je n'ai qu'une envie: arrêter.
J'ai deux niveaux, et dans les deux niveaux ce ne sont que bavardages, chahut et j'en passe. J'ai essayé tous les conseils que j'ai pu trouver, mais cela n'a rien donné. Les exercices notés, la moitié de la classe s'en fout, les interrogations aussi, les élèves n'hésitent pas à bavarder pendant les évaluations. Des commentaires désobligeants et insultes à répétition. Alors non, je n'ai pas envie de continuer.
Pourquoi tu écris dans les carnets ??? Tu ne peux pas noter des bêtises prononcées par un tel et un tel, puis appeler leurs parents dans la foulée en indiquant les paroles précises de la merveille ? Et ensuite tu dis que tu veux voir telle punition donnée pour telle jour, sinon c'est la colle, en général ça ne fait pas de mal. Au moins tu prends du temps mais ça porte plus que d'écrire des mots dans des carnets. L'autre jour un de mes élèves de bac pro avait sorti son vieux carnet de collège et s'amusait à relire les proses de ses professeurs. J'ai demandé à voir l'objet par curiosité, j'avoue que j'ai été plus que dubitative, tout comme lui. Il y avait au moins dix pages de remarques de profs disant que tel jour il avait fait ça, tel autre il avait fait ça, etc. Toute une palanquée.
C'était vraiment ridicule : ça allait du mâchage de chewing-gum au bruit, en passant par le pet et les bavardages. Au lieu d'appeler les parents pour mettre la honte au gamin, ils écrivaient ça dans son carnet.
Là je lui demande alors : et ça servait à quelque chose ça ????? Ils ne savaient pas prendre leur téléphone dans cet endroit ??? Il a bien rigolé, m'a dit que les trois quarts du temps il signait lui-même, et que effectivement ils avaient tombé le bras car personne n'avait jamais pris le téléphone.
Un gamin dont j'ai appelé les parents à la fin de la première semaine parce qu'il avait fait un bruit de grenouille dans mon cours. Depuis il est sage comme une image.
- JennyMédiateur
A Tuin : Je fais les deux... et je photocopie le carnet (parce qu'il y' a toujours des parents pour dire qu'ils n'ont pas été prévenus). Ca informe aussi les PP qui ramassent les carnets.
Mlle Andromède : Ne te décourage pas, c'est peut être trop tard pour totalement redresser la barre. Mais dans un autre établissement, ça peut mieux se passer. Tu repartirais de zéro. Un renouvellement est-il envisageable pour toi ?
Mlle Andromède : Ne te décourage pas, c'est peut être trop tard pour totalement redresser la barre. Mais dans un autre établissement, ça peut mieux se passer. Tu repartirais de zéro. Un renouvellement est-il envisageable pour toi ?
- SeiGrand Maître
Je suis désolée de lire tout ça, Mlle Andromède. Je ne peux que t'assurer de toute ma sympathie.
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"Humanité, humanité, engeance de crocodile."
- JennyMédiateur
Mlle_Andromede a écrit:Dadoo33: Tu as raison. Il faut que j'arrive à dépasser mes craintes. L'incident avec la perturbatrice m'avait déjà fichu un sacré coup et je pense que c'est suite à cela que j'ai commencé à éviter d'exclure.
En réponse à ta question, suite à l'incident la jeune fille a été exclue une journée.
En cas d'élève problématique à exclure, j'envoie un élève chercher un surveillant. Je ne prends pas la responsabilité de laisser un élève l'accompagner à la vie scolaire. Si l'élève s'énerve, refuse de sortir, j'envoie un élève sérieux chercher un adulte.
(Une journée d'exclusion, c'est léger pour ça... )
- FantineNiveau 5
Ton état de découragement semble suffisamment grave pour justifier une intervention de l'équipe pédagogique. N'as-tu pas un tuteur qui puisse t'éclairer ?
- gestion de classe: et ça repart.... à bout je suis
- Mutation Lettres modernes académie de Bordeaux 2017, help ! Je suis au bout du rouleau.
- Mise au travail difficile, gestion de classe, incidents à répétition : je suis à bout
- [Libération] "Moi David S. prof stagiaire" ou "Tableau de bord d'un prof déjà à bout"
- poste lycée dans la ville où je suis déjà en collège
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