- AnguaGrand sage
Merci pour vos réponses !
Merci pour ces conseils !
J'envisage le plan de travail 2h/4, pour limiter l'effet l'impression d'être livrés à eux-mêmes que pourraient avoir les élèves qui aiment guidés, et parce que je ne suis pas prête à lâcher des temps magistraux sur les notions importantes et compliquées...
Pour les travaux de groupe, pas d'inquiétude : je n'en ferai pas. L'étroitesse des salles ne le permet pas facilement, j'ai tenté les îlots deux années sans être convaincue... dans un premier temps, je ne tolèrerai que du travail par binôme, à condition que ce soit dans le chuchotement supportable, sinon, ce sera chacun pour soi (j'avais précisé que j'avais hésité à poster dans un fil "pédagogie collaborative").
Quand je connaitrai mieux mes élèves, on verra peut-être pour des travaux de groupes, si mon collègue doc est partant pour avoir davantage d'espace. De toutes façons, à la fin de chaque heure, je veux ramasser des productions individuelles.
En ce moment, je détaille le contenu de chaque fiche de travail. J'essaie de voir comment rendre la charge de correction vivable.
Sinon, vraiment pour personne pour un avis ? On en est à 39 téléchargements sans AUCUN RETOUR. Vous pouvez me dire que vous pensez que c'est une bouse infâme si vous le pensez, je ne suis pas susceptible, mais j'aimerais un avis... même maigre...
Saloum a écrit:Bonjour ! J'ai suivi une formation sur le plan de travail cette année (français, niveau collège). Je ne me suis pas encore lancée. Mais la formatrice a bien insisté sur certains impondérables :
- faire un diagnostic du degré d'autonomie de chaque élève et cadrer/surveiller/coacher les moins autonomes. Le travail en groupe étant réservé à ceux qui savent travailler seuls. Cela permet de motiver les moins courageux : s'ils veulent que le prof les lâche, ils doivent s'investir.
- donner une feuille de route avec des activités obligatoires accessibles en autonomie et des activités en plus faciles à corriger ou ne nécessitant pas de correction (texte libre, lecture....).
- Réserver une partie de la séquence au cours proprement dit, de manière à ce que tous les élèves disposent des notions à travailler dans le pdt. Plutôt en amont, donc. Avec une reprise possible avant l'étape de l'évaluation.
Elle nous a aussi expliqué que, libérée du cours frontal, elle réussissait à corriger pas mal de travaux pendant la séance.
Pour ma part, j'hésite encore à adopter ce principe pour toutes mes séquences, mais je compte bien expérimenter l'an prochain.
Merci pour ces conseils !
J'envisage le plan de travail 2h/4, pour limiter l'effet l'impression d'être livrés à eux-mêmes que pourraient avoir les élèves qui aiment guidés, et parce que je ne suis pas prête à lâcher des temps magistraux sur les notions importantes et compliquées...
Pour les travaux de groupe, pas d'inquiétude : je n'en ferai pas. L'étroitesse des salles ne le permet pas facilement, j'ai tenté les îlots deux années sans être convaincue... dans un premier temps, je ne tolèrerai que du travail par binôme, à condition que ce soit dans le chuchotement supportable, sinon, ce sera chacun pour soi (j'avais précisé que j'avais hésité à poster dans un fil "pédagogie collaborative").
Quand je connaitrai mieux mes élèves, on verra peut-être pour des travaux de groupes, si mon collègue doc est partant pour avoir davantage d'espace. De toutes façons, à la fin de chaque heure, je veux ramasser des productions individuelles.
En ce moment, je détaille le contenu de chaque fiche de travail. J'essaie de voir comment rendre la charge de correction vivable.
Sinon, vraiment pour personne pour un avis ? On en est à 39 téléchargements sans AUCUN RETOUR. Vous pouvez me dire que vous pensez que c'est une bouse infâme si vous le pensez, je ne suis pas susceptible, mais j'aimerais un avis... même maigre...
- Nina68Niveau 9
Angua a écrit:Elyas a écrit:(...)
On n'oubliera jamais que ce n'est pas la coopération le coeur des pédagogies coopératives. Il y a un quiproquo sur le nom. Si cela s'appelle pédagogies coopératives, ce n'est pas en lien avec le mot coopération mais avec les coopératives scolaires et leur gestion. Beaucoup de collègues se méprennent. Les pédagogies coopératives sont avant tout des pédagogies du travail et la coopération y intervient mais pas comme objet central. D'ailleurs, c'est toujours marrant d'entendre les collègues se mélanger les pinceaux en disant pédagogies collaboratives.
Sans cette phrase, j'aurais hésité à poster ailleurs. ^^
J'en ai marre des élèves qui attendent la bouche ouverte et avancent au ralenti, de ceux qui n'avancent pas, de ceux pour qui ça n'avance pas assez vite, alors je crois que je vais me jeter à l'eau et tenter le plan de travail. J'ai lu tous les fils consacrés au sujet (j'y suis depuis plusieurs jours), revu ma progression annuelle, et je prends tous vos conseils éclairés !
L'idée générale :
- des classes de 3e, 4h par semaine, peut-être dans des salles différentes, probablement minuscules et partagées avec d'autres collègues (a priori de lettres). "Minuscule" est un point clef, "minuscule" avec des élèves immenses ( pas une vue de l'esprit, j'aurai sûrement les élèves du pôle sportif), bref, mouvements et aménagements très limités.
- des "mi-séquences" de 2, 3, 4 semaines... par "mi-séquences", j'envisage des séquences coupées en deux : l'une ciblée lecture, l'autre écriture, chaque fois autour du même thème.
- Sur une semaine de cours (4h) : 2h en autonomie (dont les modalités sont à affiner), avec plan de travail. Les deux autres heures débuteront par un "rituel" bref : une phrase à analyser, une petite réécriture, une dictée de quelques phrases... avec ou sans lien avec la suite, qui pourra être une mise en commun de leurs travaux, un cours traditionnel, une évaluation...
En PJ, la base (à affiner et prévoir en version élève), dites-moi ce que vous en pensez... je ne veux pas que ce soit ingérable en terme de correction, il y aura des fiches autocorrectives, je pense cibler plus précisément les attentes en termes de rendu, mais c'est encore un peu flou pour moi.
Edit : Quelques ajouts :
- je pense à un espace (où ?) avec usuels et aides à dispositions et à une bibliothèque de classe, et possibilité de lecture
- cela n'apparait pas dans le document joint, mais j'envisage d'ajouter des travaux qui seront présentés oralement par les volontaires aux autres dans les PDT suivants (selon résultats du premier)
J'ai lu ton document. J'avoue que sur le thème de l'autobiographie, je ne vois pas bien concrètement ce que ça peut donner, de fonctionner ainsi. Je suis vraiment désolée de ne pouvoir te donner un avis plus précis : le projet est intéressant, mais ce que tu en dévoiles est trop peu précis, pour moi en tout cas, dans sa mise en oeuvre. Ce serait intéressant de donner les textes aussi : nos élèves butent souvent sur le vocabulaire, la syntaxe. Y a-t-il des questions spécifiques ?
- Gros de la FerrièreNiveau 1
Je suis enseignant en Histoire-Géo-EMC. Je fonctionne par thème et non pas par "chapitre". Je pratique le cours noyau en amont (après une phase de réactivation/évaluation diagnostique) qui ne concerne que les essentiels du thème puis des "activités compétences" sous forme de feuille de route et/ou plan de travail, certaines obligatoires, d'autres facultatives en groupe ou non. Enfin, un temps (1 à 2 heures) "individualisé" au cours duquel les élèves peuvent refaire certaines activités, préparer l'évaluation de fin de thème ou faire une activité supplémentaire. Ce fonctionnement permet beaucoup de flexibilité et de gagner du temps (et on en a peu dans la matière).
- celitianSage
Je ne sais pas c'est sur ce fil mais un lien a été donné pour une organisation en classe autonomeAngua a écrit:Merci pour vos réponses !Saloum a écrit:Bonjour ! J'ai suivi une formation sur le plan de travail cette année (français, niveau collège). Je ne me suis pas encore lancée. Mais la formatrice a bien insisté sur certains impondérables :
- faire un diagnostic du degré d'autonomie de chaque élève et cadrer/surveiller/coacher les moins autonomes. Le travail en groupe étant réservé à ceux qui savent travailler seuls. Cela permet de motiver les moins courageux : s'ils veulent que le prof les lâche, ils doivent s'investir.
- donner une feuille de route avec des activités obligatoires accessibles en autonomie et des activités en plus faciles à corriger ou ne nécessitant pas de correction (texte libre, lecture....).
- Réserver une partie de la séquence au cours proprement dit, de manière à ce que tous les élèves disposent des notions à travailler dans le pdt. Plutôt en amont, donc. Avec une reprise possible avant l'étape de l'évaluation.
Elle nous a aussi expliqué que, libérée du cours frontal, elle réussissait à corriger pas mal de travaux pendant la séance.
Pour ma part, j'hésite encore à adopter ce principe pour toutes mes séquences, mais je compte bien expérimenter l'an prochain.
Merci pour ces conseils !
J'envisage le plan de travail 2h/4, pour limiter l'effet l'impression d'être livrés à eux-mêmes que pourraient avoir les élèves qui aiment guidés, et parce que je ne suis pas prête à lâcher des temps magistraux sur les notions importantes et compliquées...
Pour les travaux de groupe, pas d'inquiétude : je n'en ferai pas. L'étroitesse des salles ne le permet pas facilement, j'ai tenté les îlots deux années sans être convaincue... dans un premier temps, je ne tolèrerai que du travail par binôme, à condition que ce soit dans le chuchotement supportable, sinon, ce sera chacun pour soi (j'avais précisé que j'avais hésité à poster dans un fil "pédagogie collaborative").
Quand je connaitrai mieux mes élèves, on verra peut-être pour des travaux de groupes, si mon collègue doc est partant pour avoir davantage d'espace. De toutes façons, à la fin de chaque heure, je veux ramasser des productions individuelles.
En ce moment, je détaille le contenu de chaque fiche de travail. J'essaie de voir comment rendre la charge de correction vivable.
Sinon, vraiment pour personne pour un avis ? On en est à 39 téléchargements sans AUCUN RETOUR. Vous pouvez me dire que vous pensez que c'est une bouse infâme si vous le pensez, je ne suis pas susceptible, mais j'aimerais un avis... même maigre...
https://classeautonome.fr/.
Cette organisation fonctionne bien avec des BTS, cours puis test puis exos.
Par contre, pas d'activités choisies pour moi, dans mes matières, exam et pas de ressources donc beaucoup trop long de tout construire, soit les étudiants travaillent seul ou à plusieurs avec la possibilité d'utiliser une fiche de guidage et je constitue un groupe qui travaille avec moi.
En BTS, nous avons des niveaux très différents, ici cela va du déjà bac+2 au bac pro obtenu de justesse, très difficile à gérer.
- Cléopatra2Guide spirituel
Je ne connais pas le cours noyau. Mais comment gères-tu la correction des activités?Gros de la Ferrière a écrit:Je suis enseignant en Histoire-Géo-EMC. Je fonctionne par thème et non pas par "chapitre". Je pratique le cours noyau en amont (après une phase de réactivation/évaluation diagnostique) qui ne concerne que les essentiels du thème puis des "activités compétences" sous forme de feuille de route et/ou plan de travail, certaines obligatoires, d'autres facultatives en groupe ou non. Enfin, un temps (1 à 2 heures) "individualisé" au cours duquel les élèves peuvent refaire certaines activités, préparer l'évaluation de fin de thème ou faire une activité supplémentaire. Ce fonctionnement permet beaucoup de flexibilité et de gagner du temps (et on en a peu dans la matière).
J'ai fait le chapitre sur l'Etat en France par plan de travail, l'autonomie portait sur les PPO. Ils ne comprenaient rien aux textes ou documents autres, donc impossible et de rédiger et de répondre à des questions. Aucun n'a fait le yravail dans le temps imparti, la plupart n'a pas tout rendu. Voilà pourquoi je pense que je m'y prends mal. Et heureusement que j'ai fait l'Angleterre en vours un peu plus classique, sinon j'y serais encore.
- Cléopatra2Guide spirituel
Eh bien ils venaient tous en même temps, et comme tout était faux, ça prenait 10 plombes à corriger.Elaïna a écrit:Pour les copies, ce qui rend le truc gérable pour moi, c'est de leur proposer d'apporter leurs trucs à leur rythme : certains viennent toutes les trois questions (donc tout le temps, mais il y a peu à corriger), certains viennent à la toute fin. En général les questionnaires que je donne sont longs mais avec des questions simples (le but c'est de les obliger à se concentrer sur un truc) donc ça se corrige facilement.
- ElyasEsprit sacré
J'aimerais donner des pistes à plusieurs messages mais je n'ai que mon portable depuis mon lieu de séjour estival. Je rappelle une règle essentielle : commencez humblement. Mes premiers plans de travail duraient 1h et n'avaient que 3 activités courtes. Après, j'ai bâti un plan de travail sur 4h avec des choses simples fondées sur des compétences déjà travailles par les élèves.
On débute humblement. Mon premier plan de teavaile taot sur la seigneurie : activité 1 : faire un dessin ou un plan d'une seigneurie, faire un tableau avec les droits et devoirs des différents habitants d'une seigneurie, faire un texte de 3-5 lignes disant ce qu'est une seigneurie.
Après, on gagne en confiance et on peut déployer des plans de travail plus complets et plus complexes.
Après, pour le lycée, la demande de cours dits plus sérieux masque en réalité une peur par rapport aux examens. C'est connu et archi connu. Dès qu'on sécurisé les élèves sur ce point, c'est facile de leur montrer que ça fera la différence pour l'examen et surtout pour après.
On débute humblement. Mon premier plan de teavaile taot sur la seigneurie : activité 1 : faire un dessin ou un plan d'une seigneurie, faire un tableau avec les droits et devoirs des différents habitants d'une seigneurie, faire un texte de 3-5 lignes disant ce qu'est une seigneurie.
Après, on gagne en confiance et on peut déployer des plans de travail plus complets et plus complexes.
Après, pour le lycée, la demande de cours dits plus sérieux masque en réalité une peur par rapport aux examens. C'est connu et archi connu. Dès qu'on sécurisé les élèves sur ce point, c'est facile de leur montrer que ça fera la différence pour l'examen et surtout pour après.
- mimilouNiveau 10
Annuaire, j'ai lu ton travail mais, honnêtement, ça ne me parle pas trop. J'ai du mal à voir en quoi c'est un plan de travail, hormis que tu proposes à chaque fois 2 travaux différents au choix. Je pense que c'est un document qui est très clair pour toi parce que tu sais exactement ce que tu mets derrière, mais je t'avoue que j'ai du mal à le comprendre, et donc à en dire quelque chose.
Comme Elyas, je me suis lancée sur 2 séances lecture pour commencer. Et je fais souvent en langue, en demi-groupe : liste d'exercices et autocorrection à disposition. Les plus autonomes n'ont quasiment pas besoin de moi, j'aide les plus en difficulté. J'imagine que ça s'apparente à un plan de travail.
Comme Elyas, je me suis lancée sur 2 séances lecture pour commencer. Et je fais souvent en langue, en demi-groupe : liste d'exercices et autocorrection à disposition. Les plus autonomes n'ont quasiment pas besoin de moi, j'aide les plus en difficulté. J'imagine que ça s'apparente à un plan de travail.
- celitianSage
Au niveau de l'autonomie ?Elyas a écrit:J'aimerais donner des pistes à plusieurs messages mais je n'ai que mon portable depuis mon lieu de séjour estival. Je rappelle une règle essentielle : commencez humblement. Mes premiers plans de travail duraient 1h et n'avaient que 3 activités courtes. Après, j'ai bâti un plan de travail sur 4h avec des choses simples fondées sur des compétences déjà travailles par les élèves.
On débute humblement. Mon premier plan de teavaile taot sur la seigneurie : activité 1 : faire un dessin ou un plan d'une seigneurie, faire un tableau avec les droits et devoirs des différents habitants d'une seigneurie, faire un texte de 3-5 lignes disant ce qu'est une seigneurie.
Après, on gagne en confiance et on peut déployer des plans de travail plus complets et plus complexes.
Après, pour le lycée, la demande de cours dits plus sérieux masque en réalité une peur par rapport aux examens. C'est connu et archi connu. Dès qu'on sécurisé les élèves sur ce point, c'est facile de leur montrer que ça fera la différence pour l'examen et surtout pour après.
Et est-ce que cette méthode ne dépend pas également des matières ?
Je pense que les lycéens et étudiants sont beaucoup moins curieux et malléables que des collégiens, ils ont déjà des habitudes bien installées, et les horaires et les programmes ne permettent pas forcément de les habituer à une autre méthode de travail.
Leur expliquer que lire un cours, ce n'est pas l'apprendre est déjà un véritable challenge.
Autre problème, les classes sont plus chargées au lycée et ceux qui n'adhèrent pas peuvent mettre le bazar très rapidement.
- AnguaGrand sage
Je viens de finaliser (peut-être) le document que je donnerais (notez le conditionnel) aux élèves, ce sera sans doute plus parlant. Les textes sont ceux du Terre des Lettres 3e, j'ai déjà fait des modifications depuis le document précédent.
- Fichiers joints
- Cléopatra2Guide spirituel
Merci Elyas moi aussi je n'ai que le tel... C'était très modeste, mais sur plusieurs heures. Au lycée en 1h sinon c'est l'activité normale, pas ce que j'appelle un plan de travail. L'autonomie n'est pas trop mon problème en classe, plus à la maison. Non, le souci est vraiment que rien n'est compris par une majorité d'élèves.
- AnguaGrand sage
Je réalimente le fil !
En complément du plan pour les élèves posté plus haute, je vous mets le document prof, où j'ai développé le plus clairement possible, et la première fiche de rituels. Je prends tous conseils, remarques...
En complément du plan pour les élèves posté plus haute, je vous mets le document prof, où j'ai développé le plus clairement possible, et la première fiche de rituels. Je prends tous conseils, remarques...
- Fichiers joints
- A TuinVénérable
Bonjour, j'ai parcouru tes documents rapidement. J'ai l'impression que le format est davantage une feuille de route qu'un plan de travail,car il manque les items pour jauger le travail effectué.
Prévoir une organisation précise pour récupérer les travaux et faire la vérification, c'est le plus difficile. Sinon sans ce rythme, les élèves se mettent à attendre et leur activité se retrouve délayée.
C'est difficile à mettre en place.... Bon courage dans tes recherches.
Prévoir une organisation précise pour récupérer les travaux et faire la vérification, c'est le plus difficile. Sinon sans ce rythme, les élèves se mettent à attendre et leur activité se retrouve délayée.
C'est difficile à mettre en place.... Bon courage dans tes recherches.
- AnguaGrand sage
A Tuin a écrit:Bonjour, j'ai parcouru tes documents rapidement. J'ai l'impression que le format est davantage une feuille de route qu'un plan de travail,car il manque les items pour jauger le travail effectué.
Je vais être honnête : je n'ai aucune idée de la différence, ce sont des termes que je ne maitrise pas... j'ai choisi l’appellation "plan de travail", car les élèves choisissent l'ordre des activités et une certaine liberté sur ce qu'ils font.
Qu'entends-tu par "items pour jauger le travail effectué" ? J'ai listé les critères d'évaluation, à part ça, je ne vois pas...
Prévoir une organisation précise pour récupérer les travaux et faire la vérification, c'est le plus difficile. Sinon sans ce rythme, les élèves se mettent à attendre et leur activité se retrouve délayée.
C'est difficile à mettre en place.... Bon courage dans tes recherches.
A la fin de chaque heure, de manière systématique. Je compte sur l'hétérogénéité des classes, où les bons finiront plus vite et me permettront d'évaluer déjà pendant la séance pour ne pas partir avec de grosses piles à corriger... et quand une activité est finie, j'ai listé les autres possibilités pour les élèves. Ils ont l'obligation de faire quelque chose (comme en cours habituel... et comme en cours, je ne me fais pas d'illusions sur les réfractaires profonds...).
- A TuinVénérable
Oui mais. Chaque fois que j'ai voulu tester cette façon, la classe ne me permet pas de corriger tranquillement des copies. Il faut que je me déplace ou que les élèves viennent me voir pour expliquer, se faire expliquer, montrer où avoir des conseils, ou moi me déplacer pour canaliser ceux qui - quelle que soit la modalité - ne se mettent pas au travail et attendent en se tortillant.
Ce n'est pas possible de laisser en autonomie toute une heure une classe entière. Il y a des demandes régulièrement pour expliquer, regarder l'avancée du travail fait, etc...
Ou alors à la limite il faut une classe adaptée avec des ordinateurs, un coin livres etc. Ceux qui ne veulent jamais faire peuvent étonnamment parfois réussir à s'y mettre quand ils sont dans un coin qui ne ressemble pas à une salle de classe et qu'on s'approche d'eux pour voir s'ils vont bien
Ce n'est pas possible de laisser en autonomie toute une heure une classe entière. Il y a des demandes régulièrement pour expliquer, regarder l'avancée du travail fait, etc...
Ou alors à la limite il faut une classe adaptée avec des ordinateurs, un coin livres etc. Ceux qui ne veulent jamais faire peuvent étonnamment parfois réussir à s'y mettre quand ils sont dans un coin qui ne ressemble pas à une salle de classe et qu'on s'approche d'eux pour voir s'ils vont bien
- AnguaGrand sage
Je ne me fais pas d'illusion : une classe autonome, une heure entière, avec nos élèves, c'est de la SF !
J'espère en corriger quelques uns, mais j'envisage les premières séances où ils seront "autonomes" comme des heures où je vais cornaquer activement tout le monde (ou presque).
Quand à l'aménagement de la salle... déjà, si je suis toujours dans la même, avec la même classe, ce sera bien. Et elles sont trop petites pour être aménagées, au mieux, je peux installer une salle avec des livres. Comment tu t'organises ?
J'espère en corriger quelques uns, mais j'envisage les premières séances où ils seront "autonomes" comme des heures où je vais cornaquer activement tout le monde (ou presque).
Quand à l'aménagement de la salle... déjà, si je suis toujours dans la même, avec la même classe, ce sera bien. Et elles sont trop petites pour être aménagées, au mieux, je peux installer une salle avec des livres. Comment tu t'organises ?
- zigmag17Guide spirituel
A Tuin a écrit:Oui mais. Chaque fois que j'ai voulu tester cette façon, la classe ne me permet pas de corriger tranquillement des copies. Il faut que je me déplace ou que les élèves viennent me voir pour expliquer, se faire expliquer, montrer où avoir des conseils, ou moi me déplacer pour canaliser ceux qui - quelle que soit la modalité - ne se mettent pas au travail et attendent en se tortillant.
Ce n'est pas possible de laisser en autonomie toute une heure une classe entière. Il y a des demandes régulièrement pour expliquer, regarder l'avancée du travail fait, etc...
Ou alors à la limite il faut une classe adaptée avec des ordinateurs, un coin livres etc. Ceux qui ne veulent jamais faire peuvent étonnamment parfois réussir à s'y mettre quand ils sont dans un coin qui ne ressemble pas à une salle de classe et qu'on s'approche d'eux pour voir s'ils vont bien
Je pense que c'est possible avec certaines classes, cela dépend des objectifs. Je ne sais pas si cela entre dans ce que vous évoquez, j'ai testé des travaux de groupes en CAP et seconde bac pro en autonomie totale, avec des degrés dans les questions ( possibilité pour les élèves de construire une synthèse en travaillant sur des documents question par question ou en rédigeant une synthèse directement, avec un chef de groupe et interdiction de me poser des questions sous peine de perdre des points. Le principe étant que chaque chef de groupe s'adresse à un autre chef de groupe en cas de blocage ( déplacements limités sur autorisation) et que quand chaque groupe a terminé, je vérifie le travail, le ramasse puis le corrige, la synthèse globale s'effectuant lors de la séance ultérieure. Cela prend pas mal de temps et je procède rarement ainsi mais à part quelques récalcitrants, en général tout le monde travaille et les régulations se font d'elles-mêmes.
Les questions sont très précises, les consignes aussi, et je mets à disposition sur mon bureau des dossiers avec des documents complémentaires si les élèves ont besoin de précisions pour répondre.
Edit: bien sûr c'est possible avec de petits effectifs ( 15 en CAP) ou en demi-groupes (17 ou 18 en bac pro) , dans des classes non rétives à priori sinon gros bazar -pour être polie- en vue.
- AnguaGrand sage
Hop !
Un mois après la rentrée, je remonte pour un premier bilan, et d'éventuels échanges sur le sujet.
Je me suis donc lancée dans le plan de travail avec mes 3e. Précision : je fais le gros de mon service en UPE2A NSA, où, si la charge de travail est importante, la quantité de copies est faible, et j'ai deux classes de 3e aux effectifs raisonnables (23 élèves, ne nous enviez pas trop, les redoublants/sans solution/cas complexes du secteur nous arrivent peu à peu.), ce qui permet des corrections régulières.
La mise en place correspond à peu près à ce que j'envisageais :
- deux séances de plan de travail par semaine (sur 4 heures de français)
- séances collectives : les fiches/leçon de grammaire, corrections diverses, synthèse, apports méthodologiques, étude de texte à l'ancienne, évaluation... et rituels de réécriture/analyse grammaticale, dans le projet, 5 minutes deux fois par semaine aussi.
Si je pose un premier bilan :
- à ma grande surprise, les élèves ont bien accroché. Ils ont été déroutés au début, expliquer le principe a pris du temps, il a fallu cadrer un peu les plus agités, mais on y arrive.
- les corrections m'ont pris un temps fou la première fois, à cause de switch mental qui consistait à passer d'une rédaction à une compréhension à du vocabulaire, puis une autre compréhension... une fois le corrigé de tout cela rédigé, la 2e série de correction est allée plus vite. Et pour une fois, l'évaluation par compétence a trouvé UNE qualité à mes yeux : j'évalue à la louche, selon le sérieux, la prise en compte de mes conseils éventuels et la justesse.
- j'ai enfin le temps de m'arrêter auprès des élèves pour leur expliquer des trucs individuellement. Plus qu'avant, beaucoup plus qu'avant, et les échanges individuels avec les élèves, ça change beaucoup la donne. Par contre, c'est sportif, je passe l'heure à arpenter la classe et à parler, parfois pour répéter plusieurs fois la même chose à des élèves qui n'en sont pas au même point, et cela... 4 à 5 séance de suite. Au moins, je sais où ça coince.
- les élèves efficaces, ces bons élèves qui souffrent patiemment en attendant le calme d'habitude, bossent à leur rythme. Certains ont abattu des quantité de boulot bien supérieures à ce qu'ils auraient fait à l'ancienne.
- la passivité est impossible pour eux... je passe pointer ce qu'ils peuvent/doivent faire, je houspille ceux qui trainent le nez en l'air, des irréductibles ont tenté de faire des trucs, parfois avec succès, d'autres irréductibles... le restent, mais leurs problèmes dépassent le simple cours de français.
- il faut du matériel : pas question qu'ils oublient leur manuel, j'ai dû récupérer des dicos dans des armoires oubliées (il n'y en avait pas en série dans la salle)
Parmi les inconvénients, tous ne font pas d'étude approfondie des textes de la séquence. Je ne sais même pas si je peux parler "d'étude" dans le simple fait de répondre à des questions, même si celles-ci ont une cohérence et amènent parfois à des synthèses collectives.
Et d'un autre côté... tous les élèves auront fait l'effort de lire et essayer de comprendre au moins deux textes, auront au minimum écrit des phrases à chaque heure et réfléchi sur un point ou un autre. J'ai l'impression que c'est bien plus que ce qui arrive lors d'un cours plus traditionnel.
Inconvénient bis (ou retour au réel) : le plan de travail évalue de multiples compétences, qui compteront pour de petits coeff en fin de trimestre, tandis que les grosses éval comptent plus, je ne suis pas sûre que tous aient compris la subtilité.
Dans les interrogations, points à travailler (où je prends tout conseil) pour la suite :
- il faut que j'y intègre de la grammaire. Je la gardais pour les séances non-plan de travail, le résultat de la première éval de langue est mauvais, je vais tenter...
- les lectures cursives. Je cherche une stratégie pour faire ouvrir des livres aux réfractaires, toute menace ou sanction sur le sujet restant sans effet. OK, ça, c'est la perpétuelle interrogation...
- quand j'en viendrai à travailler sur une OI... il y aura forcément un moment où il faudra qu'ils l'aient lue, ou au moins en partie. Ce n'est pas pour tout de suite, mais j'aimerais trouver des palliatifs pour que ceux qui ne liront pas puissent travailler quand même, sans se dire qu'ils ont raison de s'en dispenser...
- j'ai deux cas d'élèves que nous qualifieront pudiquement de "pénibles". J'ai l'impression que pour eux, se retrouver seuls, face à sa feuille, dans le calme, voire le silence est insupportable. C'est quand tous les autres travaillent qu'ils sont les plus imbuvables. Là encore, leur pénibilité n'est pas spécifique à mon cours, mais eux... je ne vois vraiment pas quoi en faire. Là aussi, pas d'illusion, personne en sait comment les prendre.
Une remarque annexe : le vidéoprojecteur est éteint et dans les moments de silence... c'est calme, et j'apprécie vraiment.
Et vous, collègues de lettres en plan de travail, chevronnés ou débutants, où en êtes-vous de vos réflexions ?
Prochainement pour les curieux, peut-être mon 2e plan de travail en avant première...
Un mois après la rentrée, je remonte pour un premier bilan, et d'éventuels échanges sur le sujet.
Je me suis donc lancée dans le plan de travail avec mes 3e. Précision : je fais le gros de mon service en UPE2A NSA, où, si la charge de travail est importante, la quantité de copies est faible, et j'ai deux classes de 3e aux effectifs raisonnables (23 élèves, ne nous enviez pas trop, les redoublants/sans solution/cas complexes du secteur nous arrivent peu à peu.), ce qui permet des corrections régulières.
La mise en place correspond à peu près à ce que j'envisageais :
- deux séances de plan de travail par semaine (sur 4 heures de français)
- séances collectives : les fiches/leçon de grammaire, corrections diverses, synthèse, apports méthodologiques, étude de texte à l'ancienne, évaluation... et rituels de réécriture/analyse grammaticale, dans le projet, 5 minutes deux fois par semaine aussi.
Si je pose un premier bilan :
- à ma grande surprise, les élèves ont bien accroché. Ils ont été déroutés au début, expliquer le principe a pris du temps, il a fallu cadrer un peu les plus agités, mais on y arrive.
- les corrections m'ont pris un temps fou la première fois, à cause de switch mental qui consistait à passer d'une rédaction à une compréhension à du vocabulaire, puis une autre compréhension... une fois le corrigé de tout cela rédigé, la 2e série de correction est allée plus vite. Et pour une fois, l'évaluation par compétence a trouvé UNE qualité à mes yeux : j'évalue à la louche, selon le sérieux, la prise en compte de mes conseils éventuels et la justesse.
- j'ai enfin le temps de m'arrêter auprès des élèves pour leur expliquer des trucs individuellement. Plus qu'avant, beaucoup plus qu'avant, et les échanges individuels avec les élèves, ça change beaucoup la donne. Par contre, c'est sportif, je passe l'heure à arpenter la classe et à parler, parfois pour répéter plusieurs fois la même chose à des élèves qui n'en sont pas au même point, et cela... 4 à 5 séance de suite. Au moins, je sais où ça coince.
- les élèves efficaces, ces bons élèves qui souffrent patiemment en attendant le calme d'habitude, bossent à leur rythme. Certains ont abattu des quantité de boulot bien supérieures à ce qu'ils auraient fait à l'ancienne.
- la passivité est impossible pour eux... je passe pointer ce qu'ils peuvent/doivent faire, je houspille ceux qui trainent le nez en l'air, des irréductibles ont tenté de faire des trucs, parfois avec succès, d'autres irréductibles... le restent, mais leurs problèmes dépassent le simple cours de français.
- il faut du matériel : pas question qu'ils oublient leur manuel, j'ai dû récupérer des dicos dans des armoires oubliées (il n'y en avait pas en série dans la salle)
Parmi les inconvénients, tous ne font pas d'étude approfondie des textes de la séquence. Je ne sais même pas si je peux parler "d'étude" dans le simple fait de répondre à des questions, même si celles-ci ont une cohérence et amènent parfois à des synthèses collectives.
Et d'un autre côté... tous les élèves auront fait l'effort de lire et essayer de comprendre au moins deux textes, auront au minimum écrit des phrases à chaque heure et réfléchi sur un point ou un autre. J'ai l'impression que c'est bien plus que ce qui arrive lors d'un cours plus traditionnel.
Inconvénient bis (ou retour au réel) : le plan de travail évalue de multiples compétences, qui compteront pour de petits coeff en fin de trimestre, tandis que les grosses éval comptent plus, je ne suis pas sûre que tous aient compris la subtilité.
Dans les interrogations, points à travailler (où je prends tout conseil) pour la suite :
- il faut que j'y intègre de la grammaire. Je la gardais pour les séances non-plan de travail, le résultat de la première éval de langue est mauvais, je vais tenter...
- les lectures cursives. Je cherche une stratégie pour faire ouvrir des livres aux réfractaires, toute menace ou sanction sur le sujet restant sans effet. OK, ça, c'est la perpétuelle interrogation...
- quand j'en viendrai à travailler sur une OI... il y aura forcément un moment où il faudra qu'ils l'aient lue, ou au moins en partie. Ce n'est pas pour tout de suite, mais j'aimerais trouver des palliatifs pour que ceux qui ne liront pas puissent travailler quand même, sans se dire qu'ils ont raison de s'en dispenser...
- j'ai deux cas d'élèves que nous qualifieront pudiquement de "pénibles". J'ai l'impression que pour eux, se retrouver seuls, face à sa feuille, dans le calme, voire le silence est insupportable. C'est quand tous les autres travaillent qu'ils sont les plus imbuvables. Là encore, leur pénibilité n'est pas spécifique à mon cours, mais eux... je ne vois vraiment pas quoi en faire. Là aussi, pas d'illusion, personne en sait comment les prendre.
Une remarque annexe : le vidéoprojecteur est éteint et dans les moments de silence... c'est calme, et j'apprécie vraiment.
Et vous, collègues de lettres en plan de travail, chevronnés ou débutants, où en êtes-vous de vos réflexions ?
Prochainement pour les curieux, peut-être mon 2e plan de travail en avant première...
- SaloumHabitué du forum
Ça fait vraiment envie, Angua. Merci pour ton retour. Quand tu parles d'évaluation, as-tu évalué directement sur place ou après-coup? Quelle quantité de travail as-tu donnée pour quelle durée ?
- NihtFidèle du forum
C'est chouette, tout ce que tu as mis en place ! Et je partage ton avis sur le travail effectivement réalisé par les élèves. C'est un très gros progrès ! Bravo !
Pour faire ouvrir des livres aux réfractaires, peut-être lire toi-même à voix haute le ou les premiers chapitres de l’œuvre ?
Pour faire ouvrir des livres aux réfractaires, peut-être lire toi-même à voix haute le ou les premiers chapitres de l’œuvre ?
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Man's world, Marina
- AnguaGrand sage
Saloum a écrit:Ça fait vraiment envie, Angua. Merci pour ton retour. Quand tu parles d'évaluation, as-tu évalué directement sur place ou après-coup? Quelle quantité de travail as-tu donnée pour quelle durée ?
J'évalue après chaque séance le travail ramassé. Selon l'avancée et les difficultés de l'élève, si le travail est sérieux mais inachevé, je n'évalue pas mais l'élève doit finir impérativement ce qui est commencé à la séance suivante.
Je remets mon plan de travail en PJ, c'est le même que celui posté un peu plus haut, j'y ai consacré 6 séances
Je le fais de temps en temps... ils aiment bien dans l'ensemble. Mais l'état de grâce se prolonge rarement hors de la classe...Niht a écrit:C'est chouette, tout ce que tu as mis en place ! Et je partage ton avis sur le travail effectivement réalisé par les élèves. C'est un très gros progrès ! Bravo !
Pour faire ouvrir des livres aux réfractaires, peut-être lire toi-même à voix haute le ou les premiers chapitres de l’œuvre ?
- Fichiers joints
- NihtFidèle du forum
Angua a écrit:Je le fais de temps en temps... ils aiment bien dans l'ensemble. Mais l'état de grâce se prolonge rarement hors de la classe...Niht a écrit:C'est chouette, tout ce que tu as mis en place ! Et je partage ton avis sur le travail effectivement réalisé par les élèves. C'est un très gros progrès ! Bravo !
Pour faire ouvrir des livres aux réfractaires, peut-être lire toi-même à voix haute le ou les premiers chapitres de l’œuvre ?
Pour reprendre ce que tu disais plus haut, ils auront "lu" 1 ou 2 chapitres au lieu de 0 C'est un progrès !
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- AnguaGrand sage
"Progrès" : non, c'est comme ça à chaque fois !
- SaloumHabitué du forum
Merci pour ta réponse et ton document. Ça demande un gros travail de suivi. Je comprends que ça t'aie pris du temps en correction/évaluation. C'est ce qui me freine. J'aimerais éviter la corvée de correction quotidienne...
- NihtFidèle du forum
Angua a écrit:"Progrès" : non, c'est comme ça à chaque fois !
C'était une boutade mais je ne dois pas être très douée pour en faire !
Je voulais dire qu'ils avaient eu un contact avec le livre, sous la forme de la lecture par le professeur, ce qui est toujours mieux que ne même pas lire une page du livre.
Franchement, ton système a l'air de bien marcher, sois fière de ce que tu arrives à faire !
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- AnguaGrand sage
Saloum a écrit:Merci pour ta réponse et ton document. Ça demande un gros travail de suivi. Je comprends que ça t'aie pris du temps en correction/évaluation. C'est ce qui me freine. J'aimerais éviter la corvée de correction quotidienne...
Gros travail au début, le temps de m'organiser. Par exemple, pour reporter les compétences, je le fais au fur et à mesure sur une feuille en changeant de couleur de stylo pour ensuite compléter Pronote sans avoir à vérifier tous les items. Je me suis fait un corrigé succinct qui va à l'essentiel pour toutes les activités pour évaluer plus vite, et au bout de quelques séances, je le connais assez bien pour enchainer.
Niht a écrit:Angua a écrit:"Progrès" : non, c'est comme ça à chaque fois !
C'était une boutade mais je ne dois pas être très douée pour en faire !
Je voulais dire qu'ils avaient eu un contact avec le livre, sous la forme de la lecture par le professeur, ce qui est toujours mieux que ne même pas lire une page du livre.
Franchement, ton système a l'air de bien marcher, sois fière de ce que tu arrives à faire !
Je m'étais posé la question ! L'autre point positif quand on résume en classe, c'est "ils en ont entendu parler"... mais j'aimerais aller au-delà. Mon côté snob !
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