- CNFANiveau 10
J'ai bien compris que nous ne sommes pas en vacances mais que c'est une période chômée et que par conséquent, notre salaire est payé pendant 10 moins lissé sur 12... mais si nous travaillons en été, juillet et août ne sera plus chômé et devra être payé, non?
- Thalia de GMédiateur
Légende urbaine, d'autres que l'expliqueront mieux que moi.CNFA a écrit:J'ai bien compris que nous ne sommes pas en vacances mais que c'est une période chômée et que par conséquent, notre salaire est payé pendant 10 moins lissé sur 12... mais si nous travaillons en été, juillet et août ne sera plus chômé et devra être payé, non?
- ysabelDevin
Je ne comprends pas cette crispation du mercredi quand on a pas d'enfant (ou plus d'enfant en bas-âge).
Remarquez, je n'ai jamais eu mon mercredi quand Fiston était petit... j'ai même eu droit à toute la journée du mercredi en cours.
Bref, que ma journée ou demi-journée tombe le mercredi ou le mardi ou le jeudi, sans gamin, je ne vois pas ce que cela change.
Remarquez, je n'ai jamais eu mon mercredi quand Fiston était petit... j'ai même eu droit à toute la journée du mercredi en cours.
Bref, que ma journée ou demi-journée tombe le mercredi ou le mardi ou le jeudi, sans gamin, je ne vois pas ce que cela change.
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- AudreyOracle
eleonore69 a écrit:Cripure a écrit:En principe, il faut y aller. "Jour sans cours" n'est pas "jour libre" et on ne pourrait organiser aucune formation si l'on devait tenir compte des disponibilités de chacun. Mais comme la vie existe en-dehors des bahuts, je constate que beaucoup de mes collègues femmes et un de mes collègues hommes viennent à ce genre de convocation avec leurs mouflets, qui se tiennent plus ou moins tranquilles, mais tout le monde comprend et je n'ai jamais entendu de paroles désagréables de qui que ce soit. Un enfant, ça ne se range pas dans un tiroir, et payer un extra, à supposer qu'on le trouve, ce n'est plus forcément dans nos moyens.doctor who a écrit:Je suis convoqué deux mercredi (dont le 1er dans - de 15 jours) pour suivre une formation au sein de mon établissement. Or, je ne travaille jamais ce jour-là cette année.
Suis-je obligé d'y aller, sachant que j'ai de gros problèmes de garde d'enfant.?
Merci de votre aide (et dsl si le sujet fait doublon, mais je n'en ai pas trouvé de déjà ouvert).
Audrey, je ne vois pas pourquoi, avec le mercredi travaillé dans les écoles, les mères de famille seraient aujourd'hui prioritaires pour le mercredi matin.
Tamerlan, les rectorats deviennent de plus en plus vindicatifs pour les absences en stage. A Besançon, par exemple, plus moyen de signer un état de présence matin et soir sur la même feuille et toute absence doit être justifiée auprès du recteur par voie hiérarchique, depuis le secrétariat du bahut. Trop d'abus passés
Cléroli, pas besoin d'une nouvelle majorité pour que nous soyons convoqués en stage sur les vacances : comme tout salarié, nous avons cinq semaines de congés payés par an. ET nous sommes dispensés de cours pendant les vacances intermédiaires des élèves. "Dispensés de cours"
Il faut aller les récupérer à 11h30
Et ils ne commencent pas souvent à 8h l'école...souvent après...
- micaschisteMonarque
et le mercred--midi il n'y a pas toujours un service de garderie après l'école, contrairement aux autres jours.Audrey a écrit:eleonore69 a écrit:Cripure a écrit:
En principe, il faut y aller. "Jour sans cours" n'est pas "jour libre" et on ne pourrait organiser aucune formation si l'on devait tenir compte des disponibilités de chacun. Mais comme la vie existe en-dehors des bahuts, je constate que beaucoup de mes collègues femmes et un de mes collègues hommes viennent à ce genre de convocation avec leurs mouflets, qui se tiennent plus ou moins tranquilles, mais tout le monde comprend et je n'ai jamais entendu de paroles désagréables de qui que ce soit. Un enfant, ça ne se range pas dans un tiroir, et payer un extra, à supposer qu'on le trouve, ce n'est plus forcément dans nos moyens.
Audrey, je ne vois pas pourquoi, avec le mercredi travaillé dans les écoles, les mères de famille seraient aujourd'hui prioritaires pour le mercredi matin.
Tamerlan, les rectorats deviennent de plus en plus vindicatifs pour les absences en stage. A Besançon, par exemple, plus moyen de signer un état de présence matin et soir sur la même feuille et toute absence doit être justifiée auprès du recteur par voie hiérarchique, depuis le secrétariat du bahut. Trop d'abus passés
Cléroli, pas besoin d'une nouvelle majorité pour que nous soyons convoqués en stage sur les vacances : comme tout salarié, nous avons cinq semaines de congés payés par an. ET nous sommes dispensés de cours pendant les vacances intermédiaires des élèves. "Dispensés de cours"
Il faut aller les récupérer à 11h30
Et ils ne commencent pas souvent à 8h l'école...souvent après...
_________________
"Il ne sert à rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre". François Mauriac
"Pick a star in the dark horizon and follow the light "
- HerrelisGrand sage
Juste un petit rappel (et on va arrêter de se prendre la tête sur le mercredi et les mouflets, ça va finir comme un poste sur le Thermomix! ), on va de plus en plus nous convoquer aux stages et formations en dehors de notre temps de cours pour ne pas pénaliser les élèves. Ça a été annoncé il y a un certain temps (selon l'expression consacrée par Jean Reynaud) et c'est tellement dans l'air du temps et dans le sens de la FCPE...
_________________
Han : "Comment on s'en sort?" Luke : "comme d'habitude." Han : "Si mal que ça?!!" Le Retour du Jedi
"Drowned in moonlight, strangled by her own bra." -Carrie Fisher- 1956-2016 - See you space momma.
"Drowned in moonlight, strangled by her own bra." -Carrie Fisher- 1956-2016 - See you space momma.
- eleonore69Érudit
ysabel a écrit:Je ne comprends pas cette crispation du mercredi quand on a pas d'enfant (ou plus d'enfant en bas-âge).
Remarquez, je n'ai jamais eu mon mercredi quand Fiston était petit... j'ai même eu droit à toute la journée du mercredi en cours.
Bref, que ma journée ou demi-journée tombe le mercredi ou le mardi ou le jeudi, sans gamin, je ne vois pas ce que cela change.
+1
- HélipsProphète
Cripure a écrit:[...]
Audrey, je ne vois pas pourquoi, avec le mercredi travaillé dans les écoles, les mères de famille seraient aujourd'hui prioritaires pour le mercredi matin.
[...]
Prenons mon cas personnel : je n'ai jamais demandé mon mercredi, mes enfants étant au centre aéré sur le lieu de travail de leur père. Sauf que cette année, avec l'école le mercredi matin, pas de cantine assurée et seulement 150 places de centre aéré pour 5 écoles primaires comportant en moyenne 3 divisions par niveau, mon plus jeune doit se débrouiller seul pour manger. Le centre aéré du boulot, ça ne marche plus.
Mon gamin étant en CM1 et débrouillard, ça roule, mais le même avec deux ans de moins, ce mercredi travaillé m'obligeait à demander mon mercredi ou à payer (plus cher) quelqu'un pour aller le chercher et le nourrir...
Prenons le cas d'une commune voisine : école de 8h30 à 10h30. Le problème est encore pire.
_________________
Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- HélipsProphète
ysabel a écrit:Je ne comprends pas cette crispation du mercredi quand on a pas d'enfant (ou plus d'enfant en bas-âge).
Remarquez, je n'ai jamais eu mon mercredi quand Fiston était petit... j'ai même eu droit à toute la journée du mercredi en cours.
Bref, que ma journée ou demi-journée tombe le mercredi ou le mardi ou le jeudi, sans gamin, je ne vois pas ce que cela change.
Dans certains établissements, on ne demande que des demi-journées. Et si ces établissements ne sont pas ouverts le mercredi après-midi, c'est un moyen pour avoir une journée complète à coup sûr.
_________________
Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- AudreyOracle
Parce qu'il y a des établissements où on demande des journées entières, directement, en voeu de liberté??? Mazette!!!
J'en suis sur le séant.
J'en suis sur le séant.
- mathmaxExpert spécialisé
En plus, c'est tout bête mais c'est en plein milieu de la semaine !
_________________
« Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d'entre elles ne pourra en poser un ! »
Albert Einstein
- eleonore69Érudit
Audrey a écrit:Parce qu'il y a des établissements où on demande des journées entières, directement, en voeu de liberté??? Mazette!!!
J'en suis sur le séant.
Oui, en collègue c'est rare mais en lycée c'est assez fréquent... C'est ce que j'ai appris en 2002 lorsque j'ai quitté le collège.
- IsidoriaDoyen
En lycée, de toute façon, on travaille de 8h à 18h tous les jours, y compris le mercredi, parfois même le samedi matin, alors du coup, le mercredi...
Enfin ça c'est chez moi, j'imagine que c'est différent dans pas mal d'établissements.
On m'a donné un emploi du temps au poil cette année pour mener à bien mes diverses missions: une journée libérée, une très grosse journée de cours (9h), et trois matinées. Ca me libère du temps pour travailler/corriger/préparer, et faire de la formation.
Enfin ça c'est chez moi, j'imagine que c'est différent dans pas mal d'établissements.
On m'a donné un emploi du temps au poil cette année pour mener à bien mes diverses missions: une journée libérée, une très grosse journée de cours (9h), et trois matinées. Ca me libère du temps pour travailler/corriger/préparer, et faire de la formation.
- RabelaisVénérable
Tu n'as pas volé ton titre d'esprit éclairé....merciA Tuin a écrit:pulcinella a écrit:
Et, personnellement, dans mon collège, je me sens très mal vue par mes collègues qui n'ont pas d'enfants quand j'ose dire que telle ou telle réunion me cause beaucoup de soucis d'organisation si bien que je ne dis plus rien car je me prends des réflexions très désagréables qui suggèrent que je néglige mon travail.
[Humour ON] C'est bon laisse-les dire. Ils sont bien tranquilles quand ils rentrent chez eux, il n'y a pas la corvée de faire manger l(es) enfant(s), les laver, leur faire faire les devoirs, et ensuite la préparation de cours. Ils rentrent chez eux et mettent les pieds sous la table. [Humour OFF]
J'ai du mal à comprendre ces histoires de jalousie que vous relatez ici, chacun se gère bien comme il l'entend. J'ai surtout l'impression de gens célibataires qui ne voudraient pas ou plus l'être, ou de gens divorcés que leur situation gonfle, et qui sont envieux et qui trouvent à redire.
Les gens que je connais qui sont célibataires par choix sont globalement sympas et ouverts d'esprit, ils ne sont pas dans ces considérations.
Les gens qui ont une famille ont en effet plus de mal globalement à gérer l'ensemble, et c'est une évidence. Quand on a pas que soi à s'occuper forcément ça bouffe du temps qu'on aimerait parfois passer à autre chose. En même temps c'est bien aussi car on partage des moments avec sa famille qu'on n'aurait pas forcément si on était seul. Et le temps qui reste on l'emploie au mieux.
Je ne vois pas vraiment le lien avec le fait d'être ou pas professeur principal selon qu'on a ou pas des enfants, comme j'ai pu lire plus haut De plus je ne vois pas trop où est la corvée de la chose, ce n'est pas pire que les réunions inutiles où on sort en n'étant pas plus avancé qu'en y arrivant. Là il faudra m'expliquer.
- RabelaisVénérable
Je ne vois vraiment pas en quoi faire ce travail par plaisir et non par nécessité compliquerait votre propre travail?Audrey a écrit:Je répète: je n'attends pas de tous les profs de bosser jusqu'à l'épuisement en dehors de la salle de classe.
Moi-même, je n'ouvre aucun mail pro le week-end.
Moi-même, je "sèche" des réunions auxquelles je ne suis qu'invitée et non convoquée (au passage, faites attention à la formulation des courriers concernant les réunions, nombreux sont sont les collègues qui se rendent à toutes sans distinction).
Moi-même, je privilégie ma santé face aux injonctions de plus en plus pesantes de notre job.
Je ne souhaite évidemment pas bosser 35h enfermee au collège, et je l'ai souvent répété sur le forum, mais je comprends sans problème que de temps en temps des réunions ou stage aient lieu sur un temps où je suis habituellement libérée des élèves: il faut bien que ça tombe à un moment, et il y a fort à parier que si parfois l'horaire m'arrange, ça pose a contrario problème à d'autres. C'est un peu la règle du jeu, et tant que les contraintes tournent, ça va. Mais je vois trop de contraintes autour de moi qui ne tournent pas. Et c'est ça le problème. Les CDE ont leur responsabilité, puisque c'est eux qui doivent trancher, et prendre les décisions, mais les collègues en ont leur part aussi.
Force est de constater qu'il y a des collègues, nombreux aussi, avec lesquels il est impossible de travailler, avec lesquels on ne peut jamais échanger, même dans les temps de travail supposés et "normaux" en termes d'horaires ou de nature des demandes.
Ceux qui s'expriment ici sont, et c'est logique, des collègues qui font leur boulot, bien et même parfois "trop". Il ne faut pas penser que ceux qui assurent leur cours et basta viendront le dire ici...
Quant à l'expression "femme de médecin", qui en choque quelques-uns, je précise que le premier pour lequel je l'utilise, et qui l'utilise lhi-même à son égard est mon meilleur ami, fiancé à un médecin. Pour le sexisme, on repassera... C'est simplement une expression, certes venue d'un temps passé, mais exprimant l'idée selon laquelle quelqu'un accomplit un travail non par nécessité, mais par "plaisir" de mettre du beurre dans les épinards, et qui ne concerne pas ( et de moins en moins en fait, à notre époque et vu la situation du monde médical) les conjoints de médecin. Tant mieux si vous n'en connaissez pas, tant mieux si vos collègues n'en connaissent pas... Cela n'enlève rien au fait que ça existe et que ca complique le travail (raisonnable et légitime) en équipe que l'on doit accomplir.
Quant au fait que la plupart des enseignants soient des femmes, je suis surprise de ne voir personne s'interroger là-dessus... Ca me semble révéler une société bien plus "sexiste" que les gens ne veulent bien le croire....
Vous avez déjà vu un petit garçon jouer au maître? Moi non, même si ça doit exister en cherchant bien. Et ça, ça m'interroge.
Pour conclure, encore une fois, je ne dis pas que je ne vis et travaille qu'avec des collègues "courant d'air" ou " children first" mais je dis que ça existe largement, et que ca pose de sérieux soucis dans le boulot quand même. Si le fait d'être Parent empêche le fait de faire son boulot correctement, ne serait-ce qu'en partie (la partie du job de profs qui se passe entre adultes) ou pèse sur le travail des autres (pour l'edt ou les horaires de réunion ou les responsabilités qu'il faut bien confier à quelqu'un), ce n'est pas normal.
Encore une fois, des tonnes de profs parents font leur boulot tout à fait bien et parfois même en se montrant plus disponibles et impliqués que des gens sans gamins: je parle là seulement de ceux qui effectivement font tout le temps passer leur casquette de parent avant celle de prof et considèrent que l'institution et leurs collègues doivent faire de même.
Ne généralisons pas. Je pourrais dire aussi que ceux qui font ce métier par contrainte alimentaire sont souvent les moins impliqués et les premiers à partir. Ou que les cours de danse du jeudi de ma collègue d'H/G célibataire nous interdisent de nous réunir et paralysent nos concertations hebdomadaires.( comme je préfèrerais avoir ce genre de contraintes sportives...), mais je ne le dirai pas, car je ne le pense pas, chacun ses envies, ses contraintes.
Tout dépend ,comme le reste de votre message heureusement le laisse entendre, de la personnalité de chacun.
Cumulant moi-même toutes les tares, trois enfants dont je suis seule à m'occuper puisque mon conjoint est indisponible ( femme de. Comporte quelques désagréments), je ne vois pas pourquoi ma place serait à la maison . Je fais mon métier par plaisir et non par besoin et pourtant je n'ai ni mercredi ni aménagement spécifique et je n'en solliciterai justement que si la distance avec mon etb et la défaillance des modes de garde en France m'empêchent d'exercer mes fonctions honorablement et risquent de pénaliser mes collègues.
Ainsi je pense que ces aménagements d'edt ou encore les points et faveurs pour les mutations sont justement là pour que nous ne vous causions aucun problème et que nous puissions collaborer au mieux, tout en assurant une éducation correcte aux enfants dont nous vous laisserons plus tard la charge ( scolaire).
Certes certains abusent , je n'ai mis que peu de temps à m'en apercevoir , mais pour les autres, ces " privilèges" sont essentiels et existent aussi dans le privé.
- ysabelDevin
Audrey a écrit:Parce qu'il y a des établissements où on demande des journées entières, directement, en voeu de liberté??? Mazette!!!
J'en suis sur le séant.
Ben quand ton établissement est ouvert du lundi matin 8h jusqu'au samedi midi 12h (mercredi après-midi compris) ce n'est pas anormal puisque même en ayant une journée, ça fait aller 5 jours au lycée.
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- CNFANiveau 10
J'ai un collègue qui travaille mercredi matin, jeudi et vendredi. ça lui fait de sacrées journées mais il a un weekend de 4 jours !ysabel a écrit:Audrey a écrit:Parce qu'il y a des établissements où on demande des journées entières, directement, en voeu de liberté??? Mazette!!!
J'en suis sur le séant.
Ben quand ton établissement est ouvert du lundi matin 8h jusqu'au samedi midi 12h (mercredi après-midi compris) ce n'est pas anormal puisque même en ayant une journée, ça fait aller 5 jours au lycée.
- User5899Demi-dieu
Oui, et depuis toujoursCléroli a écrit:Comment sont réparties ces 5 semaines ? Si tu as raison, un gouvernement peut donc décréter que les petites vacances remplissent ce rôle et exiger que nous passions l'été à faire des cours de soutien ou assister à de la formationCripure a écrit:Cléroli, pas besoin d'une nouvelle majorité pour que nous soyons convoqués en stage sur les vacances : comme tout salarié, nous avons cinq semaines de congés payés par an. ET nous sommes dispensés de cours pendant les vacances intermédiaires des élèves. "Dispensés de cours"
D'où aurions-nous 16 semaines de congé ?
- User5899Demi-dieu
Ca nécessite une demi journée prioritaire ?eleonore69 a écrit:Cripure a écrit:En principe, il faut y aller. "Jour sans cours" n'est pas "jour libre" et on ne pourrait organiser aucune formation si l'on devait tenir compte des disponibilités de chacun. Mais comme la vie existe en-dehors des bahuts, je constate que beaucoup de mes collègues femmes et un de mes collègues hommes viennent à ce genre de convocation avec leurs mouflets, qui se tiennent plus ou moins tranquilles, mais tout le monde comprend et je n'ai jamais entendu de paroles désagréables de qui que ce soit. Un enfant, ça ne se range pas dans un tiroir, et payer un extra, à supposer qu'on le trouve, ce n'est plus forcément dans nos moyens.doctor who a écrit:Je suis convoqué deux mercredi (dont le 1er dans - de 15 jours) pour suivre une formation au sein de mon établissement. Or, je ne travaille jamais ce jour-là cette année.
Suis-je obligé d'y aller, sachant que j'ai de gros problèmes de garde d'enfant.?
Merci de votre aide (et dsl si le sujet fait doublon, mais je n'en ai pas trouvé de déjà ouvert).
Audrey, je ne vois pas pourquoi, avec le mercredi travaillé dans les écoles, les mères de famille seraient aujourd'hui prioritaires pour le mercredi matin.
Tamerlan, les rectorats deviennent de plus en plus vindicatifs pour les absences en stage. A Besançon, par exemple, plus moyen de signer un état de présence matin et soir sur la même feuille et toute absence doit être justifiée auprès du recteur par voie hiérarchique, depuis le secrétariat du bahut. Trop d'abus passés
Cléroli, pas besoin d'une nouvelle majorité pour que nous soyons convoqués en stage sur les vacances : comme tout salarié, nous avons cinq semaines de congés payés par an. ET nous sommes dispensés de cours pendant les vacances intermédiaires des élèves. "Dispensés de cours"
Il faut aller les récupérer à 11h30
- User5899Demi-dieu
Ha ha ha PCNFA a écrit:J'ai bien compris que nous ne sommes pas en vacances mais que c'est une période chômée et que par conséquent, notre salaire est payé pendant 10 moins lissé sur 12... mais si nous travaillons en été, juillet et août ne sera plus chômé et devra être payé, non?
Ca recommence
Mais nulle part vous ne trouverez que nous sommes payés dix mois lissés sur douze, nous sommes payés sur douze mois.
- archebocEsprit éclairé
Cripure a écrit:Oui, et depuis toujoursCléroli a écrit:Comment sont réparties ces 5 semaines ? Si tu as raison, un gouvernement peut donc décréter que les petites vacances remplissent ce rôle et exiger que nous passions l'été à faire des cours de soutien ou assister à de la formationCripure a écrit:Cléroli, pas besoin d'une nouvelle majorité pour que nous soyons convoqués en stage sur les vacances : comme tout salarié, nous avons cinq semaines de congés payés par an. ET nous sommes dispensés de cours pendant les vacances intermédiaires des élèves. "Dispensés de cours"
D'où aurions-nous 16 semaines de congé ?
16 semaines, non, mais 5 semaines de congés payés et 4 semaines de RTT, cela semblerait normal.
Depuis 1950, le temps de travail a baissé pour tous les fonctionnaires, sauf pour les enseignants du secondaire.
- HélipsProphète
Pour les chercheurs CNRS non plus, rien n'a été discuté sur les 35h.
_________________
Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- CleroliDoyen
Certes, ces 16 semaines ne sont pas des congés au sens commun du terme puisque nous travaillons nos cours pendant ce que nous appelons des" vacances". Je pensais cependant que ce temps de travail "libre" était une caractéristique de notre profession puisque nous excédons largement les 40 heures de travail par semaine.Cripure a écrit:Oui, et depuis toujoursCléroli a écrit:Comment sont réparties ces 5 semaines ? Si tu as raison, un gouvernement peut donc décréter que les petites vacances remplissent ce rôle et exiger que nous passions l'été à faire des cours de soutien ou assister à de la formationCripure a écrit:Cléroli, pas besoin d'une nouvelle majorité pour que nous soyons convoqués en stage sur les vacances : comme tout salarié, nous avons cinq semaines de congés payés par an. ET nous sommes dispensés de cours pendant les vacances intermédiaires des élèves. "Dispensés de cours"
D'où aurions-nous 16 semaines de congé ?
Il convient donc d'être très vigilant si notre statut nous soumet donc à n'importe quel desiderata d'un ministre.
Sur le fond, quelque chose me chiffonne : entre 1950 et aujourd'hui, la durée des congés payés a été revue et notre statut est pourtant resté figé. Ce n'est pas cohérent sauf si cette alternance périodes de travail / périodes de vacances a compensé ce qui se passait pour le reste de la société, auquel cas, c'est bien un droit reconnu qu'il convient de défendre. A quel moment mon raisonnement n'est-il plus correct ?
Dire que je croyais ( :pas vrai: ) que notre nouveau statut était plus protecteur que celui de 1950
- User5899Demi-dieu
Le statut de 1950 n'était plus protecteur parce qu'il parlait principalement de choses qui n'existent plus, ou qu'il était trop flou. Par exemple, les professeurs de Lille ont appris à leurs dépens que leur recteur pouvait comptabiliser toutes les heures de TP, TD, AP comme heures à effectif réduit justifiant une majoration d'une heure (décision confirmée au TA à cause du flou de la rédaction du décret). Même chose pour l'AP : en 1950, le décret stipule que les heures de ce type viennent en HS en plus du service normal. Donc le nouveau décret introduit des précisions salutaires. Après, bien sûr, il est écrit par un pouvoir qui a des économies à faire...
- lilith888Grand sage
hé ben... Que de rancœurs ! personnellement, je me moque de la vie personnelle de mes collègues, je veux dire par là que je ne leur cherche pas des poux, et ils me le rendent bien.
En fait, je me dis que le gouvernement n'a plus grand chose à faire à part nous regarder nous écharper sur l'autel du zèle en ayant le sourire en coin et en comptant les points...
Franchement, on pourrait poster le fil entier dans le sujet "j'hallucine"
Je pense au fond que les collègues qui prennent leurs enfants en prétexte pour glander pourraient tout aussi bien prendre d'autres prétextes : l'enfant n'est pas vraiment le problème. Et à l'heure actuelle, je me dis qu'au final, ceux qui prennent des prétextes pour glander, ont-ils franchement si tort ? Sont-ils tant à blâmer tant qu'ils assurent leurs heures de cours ?
En fait, je me dis que le gouvernement n'a plus grand chose à faire à part nous regarder nous écharper sur l'autel du zèle en ayant le sourire en coin et en comptant les points...
Franchement, on pourrait poster le fil entier dans le sujet "j'hallucine"
Je pense au fond que les collègues qui prennent leurs enfants en prétexte pour glander pourraient tout aussi bien prendre d'autres prétextes : l'enfant n'est pas vraiment le problème. Et à l'heure actuelle, je me dis qu'au final, ceux qui prennent des prétextes pour glander, ont-ils franchement si tort ? Sont-ils tant à blâmer tant qu'ils assurent leurs heures de cours ?
- InvitéInvité
lilith888 a écrit: Et à l'heure actuelle, je me dis qu'au final, ceux qui prennent des prétextes pour glander, ont-ils franchement si tort ? Sont-ils tant à blâmer tant qu'ils assurent leurs heures de cours ?
Un collègue qui n'assure que ses heures de cours est un escroc qui n'a pas sa place dans le service public, pas autre chose. Oui ça me gène. J'imagine que votre formulation est maladroite mais il n'est peut-être pas nécessaire de fournir des arguments à ceux qui pensent déjà qu'on ne "glande" rien.
- Après-midi banalisé pour les Assises de l'éducation prioritaire : suis-je obligée d'y aller alors que je ne travaille pas cet aprem ?
- Convoquée à une commission éducative un jour où je ne travaille pas
- Conseils de classe en présence obligatoire jour non travaillé ?
- convoc liaison école/collège jour où je travaille pas .....
- convocation formation professeurs non titulaires
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum