- User20401Vénérable
RequiemForADream a écrit:quel est le problème roxanne ?
"La plupart ont lu le roman intégralement, certains ont eu une lecture lacunaire, se contentant de survoler les passages où leur personnage n’était pas présent. Mais c’est une compétence intéressante que de savoir lire en vue de rechercher une information"
J'aime cette envie de toujours sortir le positif de toute situation : le travail n'est pas fait mis c'est quand même parfait ! magique....
Je vous en supplie, dites moi que ce document a été publié le 1er avril... Je ne suis qu'une pauvre petite stagiaire, laissez moi mes croyances...
- HélipsProphète
tiptop77 a écrit:Je rejoins le club des profs élitistes! Ma chèèère collègue m'a déjà traitée de " boulimique de bons élèves"
Pourtant, on en a déjà parlé, tu le sais, hein, qu'il ne faut pas les manger, les bons élèves (les mauvais non plus).
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- tiptop77Prophète
Rhhhoo ben zut alors!
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- HélipsProphète
Par contre, pour garder les bons élèves avec toi, tu peux utiliser un argument qu'on m'a déjà servi (une seule fois, le collègue n'a plus de tympan depuis ) : les bons élèves supportent tout et n'ont pas besoin de bons profs, il vaut donc mieux les laisser aux collègues pas terribles, ça fera moins de dégâts.
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- roxanneOracle
Ce qui me fait halluciner le plus dans tout ça (et pourtant il y a matière) c'est que la prof se félicite de l'accueil fait à sa "séquence" par ...les parents ! Mais, enfin, on ne travaille pas pour les parents (ni contre).On travaille avant tout pour les élèves. Former des élèves à Facebook Est-ce vraiment la priorité d'une prof de lettres?Cicyle a écrit:RequiemForADream a écrit:quel est le problème roxanne ?
"La plupart ont lu le roman intégralement, certains ont eu une lecture lacunaire, se contentant de survoler les passages où leur personnage n’était pas présent. Mais c’est une compétence intéressante que de savoir lire en vue de rechercher une information"
J'aime cette envie de toujours sortir le positif de toute situation : le travail n'est pas fait mis c'est quand même parfait ! magique....
Je vous en supplie, dites moi que ce document a été publié le 1er avril... Je ne suis qu'une pauvre petite stagiaire, laissez moi mes croyances...
- tiptop77Prophète
Ma chèèère collègue ( qui enseigne la même matière que moi) te répondrait qu'il faut vivre avec son temps et que "la modernité n'est pas un état de choses mais un état d'esprit". Elle trouve d'ailleurs qu'on devrait utiliser Facebook comme outil pédagogique. Un jour elle a parlé de l'autoriser dans l'établissement et de l'utiliser pour ses cours.
- Spoiler:
- Elle s'occupe des TICE. Notre établissement a une page Facebook et un compte twitter en plus du site et du cahier de textes en ligne.
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- User20401Vénérable
Tout est absolument choquant dans tout ça... Surtout quand on voit le niveau en lecture de certains élèves de terminale...roxanne a écrit:Ce qui me fait halluciner le plus dans tout ça (et pourtant il y a matière) c'est que la prof se félicite de l'accueil fait à sa "séquence" par ...les parents ! Mais, enfin, on ne travaille pas pour les parents (ni contre).On travaille avant tout pour les élèves. Former des élèves à Facebook Est-ce vraiment la priorité d'une prof de lettres?Cicyle a écrit:RequiemForADream a écrit:quel est le problème roxanne ?
"La plupart ont lu le roman intégralement, certains ont eu une lecture lacunaire, se contentant de survoler les passages où leur personnage n’était pas présent. Mais c’est une compétence intéressante que de savoir lire en vue de rechercher une information"
J'aime cette envie de toujours sortir le positif de toute situation : le travail n'est pas fait mis c'est quand même parfait ! magique....
Je vous en supplie, dites moi que ce document a été publié le 1er avril... Je ne suis qu'une pauvre petite stagiaire, laissez moi mes croyances...
Ce document est un scandale. Mais le renoncement sous-entendu dans cette phrase est atterrant... Au délà des objectifs pédagogiques qu'on cherche à poursuivre : pour un prof de lettres, renoncer à la lecture de l'oeuvre par les élèves, et, pire encore, s'en féliciter, c'est tout simplement désespérant !
- roxanneOracle
Un IPR cette année m'a parlé avec enthousiasme d'un collègue qui avait eu l'idée formidable (certains font la roue en inspection) de sortir des micros et de faire "le masque et la plume" avec des élèves qui jouaient le rôle de celui qui avait aimé ou pas un livre. "Et rendez-vous compte, il y avait même celui qui n'avait pas lu!"
Oui, je me rends bien compte. Et quand je lui ai parlé du contenu, il m'a dit :"Voyons, il ne faut pas être trop ambitieux!" Voilà, l'idée c'est d'occuper, de s'amuser, c'est tout.
Oui, je me rends bien compte. Et quand je lui ai parlé du contenu, il m'a dit :"Voyons, il ne faut pas être trop ambitieux!" Voilà, l'idée c'est d'occuper, de s'amuser, c'est tout.
- ysabelDevin
Imaginez la catastrophe des nouveaux programmes avec un certain nombre de collègues...
ça va faire très mal !
ça va faire très mal !
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- tiptop77Prophète
roxanne a écrit:Un IPR cette année m'a parlé avec enthousiasme d'un collègue qui avait eu l'idée formidable (certains font la roue en inspection) de sortir des micros et de faire "le masque et la plume" avec des élèves qui jouaient le rôle de celui qui avait aimé ou pas un livre. "Et rendez-vous compte, il y avait même celui qui n'avait pas lu!"
Oui, je me rends bien compte. Et quand je lui ai parlé du contenu, il m'a dit :"Voyons, il ne faut pas être trop ambitieux!" Voilà, l'idée c'est d'occuper, de s'amuser, c'est tout.
Ca m'agace!! Etre exigeant avec ses élèves, c'est une forme de respect pour eux. Je refuse de revoir à la baisse mes ambitions pour eux. On ne va pas faire des cours au ras des pâquerettes quand même!
C'est dingue que des IPR tiennent de tels propos.
- Spoiler:
- Mais bon, quand j'entends pas ma chèèèèère collègue dire "on s'en fout des verbes irréguliers" ou " on peut accepter que l'élève dise I goed et non pas I went puisque ça montre qu'il a compris que ed est la marque du prétérit"
Courage, Roxanne
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- InvitéPPPNiveau 8
Outre le fait de supprimer définitivement le vocable "compétences" du lexique pédagogique officiel, il faudrait aussi que les programmes cessent d'être écrits dans un présent, "actif", sans doute, mais aussi qui peut s'interpréter comme signifiant l'irréel.
Exemple : "L'enseignement français connaît une réforme cruciale en 2016, grâce à laquelle le niveau des élèves remonte spectaculairement et permet des avancées pédagogiques encore jamais vues, plaçant la France en position d'avant-garde au niveau européen et même mondial. Le Parti Socialiste se trouve légitimement de nouveau au pouvoir après les élections présidentielles de 2017, gagnées par François Hollande".
D'après le PDF ici en cause, le bilan n'est-il pas "très largement positif", alors que la chose n'a jamais été mise en oeuvre ?
Je peux aussi appliquer cet usage du présent à moi-même : "je décide de sortir en boîte ce soir. Je mets mon perfecto noir et mes cheveux repoussent, mes épaules s'élargissent. A la fin de la soirée, toutes les filles se pendent à mon cou".
Nan sans déc, même avec un moral d'acier c'est vraiment difficile de garder le moral avec des trucs pareils. Ce qui est magnifique, c'est l'occlusion de tout le mal que cela ne manquerait pas de faire aux élèves, et que je me dispenserai d'analyser ici. Trop long. Disons que cela revient à institutionnaliser ce dont tout le monde sait que c'est la cause de ce dont souffre avant tout la plupart des élèves : l'hypermédiatisation, la superficialité et le mélange des genres, la dépendance aux réseaux sociaux. Ce n'est pas par les réseaux en question que l'on va donner du recul face à ceux-ci.
Exemple : "L'enseignement français connaît une réforme cruciale en 2016, grâce à laquelle le niveau des élèves remonte spectaculairement et permet des avancées pédagogiques encore jamais vues, plaçant la France en position d'avant-garde au niveau européen et même mondial. Le Parti Socialiste se trouve légitimement de nouveau au pouvoir après les élections présidentielles de 2017, gagnées par François Hollande".
D'après le PDF ici en cause, le bilan n'est-il pas "très largement positif", alors que la chose n'a jamais été mise en oeuvre ?
Je peux aussi appliquer cet usage du présent à moi-même : "je décide de sortir en boîte ce soir. Je mets mon perfecto noir et mes cheveux repoussent, mes épaules s'élargissent. A la fin de la soirée, toutes les filles se pendent à mon cou".
Nan sans déc, même avec un moral d'acier c'est vraiment difficile de garder le moral avec des trucs pareils. Ce qui est magnifique, c'est l'occlusion de tout le mal que cela ne manquerait pas de faire aux élèves, et que je me dispenserai d'analyser ici. Trop long. Disons que cela revient à institutionnaliser ce dont tout le monde sait que c'est la cause de ce dont souffre avant tout la plupart des élèves : l'hypermédiatisation, la superficialité et le mélange des genres, la dépendance aux réseaux sociaux. Ce n'est pas par les réseaux en question que l'on va donner du recul face à ceux-ci.
- ÆnésidèmeNiveau 6
roxanne a écrit:Un IPR cette année m'a parlé avec enthousiasme d'un collègue qui avait eu l'idée formidable (certains font la roue en inspection) de sortir des micros et de faire "le masque et la plume" avec des élèves qui jouaient le rôle de celui qui avait aimé ou pas un livre. "Et rendez-vous compte, il y avait même celui qui n'avait pas lu!"
Oui, je me rends bien compte. Et quand je lui ai parlé du contenu, il m'a dit :"Voyons, il ne faut pas être trop ambitieux!" Voilà, l'idée c'est d'occuper, de s'amuser, c'est tout.
On a le même ou quoi ? (IPR, pas le collègue, quoique l'IPR soit un collègue... ... enfin, vous me comprenez...)
Dans un an le BAFA sera requis pour passer les concours du second degré... Oui, le M2 c'est un peu élitiste et ça crée de l'inégalité. :|
Cette ludo-pédagogie est le règne de l'inversion des places. Et bonjour le ridicule !
Je ne suis pas du tout certain qu'on évacue l'ennui de cette manière.
Personnellement, quand j'étais élève, le pur foutage de gueule m'a toujours emmerdé.
- JézabelNiveau 10
J'ai halluciné avant-hier quand j'ai entendu au JT, à propos de la menace contre les langues anciennes, une maman d'élève dire, convaincue : "non le latin ça ne sert à rien ; il vaut mieux leur donner autre chose aux élèves, comme l'éducation à la citoyenneté".
Ben voyons
Ben voyons
- BlackMailExpert
J'ai fait un petit tour sur le profil de Geneviève Baudu... je ne savais pas qu'elle était fan de Metallica .
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- Spoiler:
I'm watching you.
- IphigénieProphète
j'aime bien le concept de jargon" occlusif": constipé c'est moins classe, en effet.philophilophilo a écrit: Outre le fait de supprimer définitivement le vocable "compétences" du lexique pédagogique officiel, il faudrait aussi que les programmes cessent d'être écrits dans un présent, "actif", sans doute, mais aussi qui peut s'interpréter comme signifiant l'irréel.
Exemple : "L'enseignement français connaît une réforme cruciale en 2016, grâce à laquelle le niveau des élèves remonte spectaculairement et permet des avancées pédagogiques encore jamais vues, plaçant la France en position d'avant-garde au niveau européen et même mondial. Le Parti Socialiste se trouve légitimement de nouveau au pouvoir après les élections présidentielles de 2017, gagnées par François Hollande".
D'après le PDF ici en cause, le bilan n'est-il pas "très largement positif", alors que la chose n'a jamais été mise en oeuvre ?
Je peux aussi appliquer cet usage du présent à moi-même : "je décide de sortir en boîte ce soir. Je mets mon perfecto noir et mes cheveux repoussent, mes épaules s'élargissent. A la fin de la soirée, toutes les filles se pendent à mon cou".
Nan sans déc, même avec un moral d'acier c'est vraiment difficile de garder le moral avec des trucs pareils. Ce qui est magnifique, c'est l'occlusion de tout le mal que cela ne manquerait pas de faire aux élèves, et que je me dispenserai d'analyser ici. Trop long. Disons que cela revient à institutionnaliser ce dont tout le monde sait que c'est la cause de ce dont souffre avant tout la plupart des élèves : l'hypermédiatisation, la superficialité et le mélange des genres, la dépendance aux réseaux sociaux. Ce n'est pas par les réseaux en question que l'on va donner du recul face à ceux-ci.
- AnaxagoreGuide spirituel
Iphigénie a écrit:j'aime bien le concept de jargon" occlusif": constipé c'est moins classe, en effet.philophilophilo a écrit: Outre le fait de supprimer définitivement le vocable "compétences" du lexique pédagogique officiel, il faudrait aussi que les programmes cessent d'être écrits dans un présent, "actif", sans doute, mais aussi qui peut s'interpréter comme signifiant l'irréel.
Exemple : "L'enseignement français connaît une réforme cruciale en 2016, grâce à laquelle le niveau des élèves remonte spectaculairement et permet des avancées pédagogiques encore jamais vues, plaçant la France en position d'avant-garde au niveau européen et même mondial. Le Parti Socialiste se trouve légitimement de nouveau au pouvoir après les élections présidentielles de 2017, gagnées par François Hollande".
D'après le PDF ici en cause, le bilan n'est-il pas "très largement positif", alors que la chose n'a jamais été mise en oeuvre ?
Je peux aussi appliquer cet usage du présent à moi-même : "je décide de sortir en boîte ce soir. Je mets mon perfecto noir et mes cheveux repoussent, mes épaules s'élargissent. A la fin de la soirée, toutes les filles se pendent à mon cou".
Nan sans déc, même avec un moral d'acier c'est vraiment difficile de garder le moral avec des trucs pareils. Ce qui est magnifique, c'est l'occlusion de tout le mal que cela ne manquerait pas de faire aux élèves, et que je me dispenserai d'analyser ici. Trop long. Disons que cela revient à institutionnaliser ce dont tout le monde sait que c'est la cause de ce dont souffre avant tout la plupart des élèves : l'hypermédiatisation, la superficialité et le mélange des genres, la dépendance aux réseaux sociaux. Ce n'est pas par les réseaux en question que l'on va donner du recul face à ceux-ci.
+1
:lol:
- C'est pas fauxEsprit éclairé
Je crois que c'est partout et toujours le cas et que ces gens ont tout faux sur toute la ligne. Moi, j'ai des élèves durs, mais ils bossent tous (avec des réussites variées bien sûr) et me fichent la paix, parce qu'ils sentent bien que je les respecte à travers ce que je leur donne à faire.Aenésidème a écrit:roxanne a écrit:Un IPR cette année m'a parlé avec enthousiasme d'un collègue qui avait eu l'idée formidable (certains font la roue en inspection) de sortir des micros et de faire "le masque et la plume" avec des élèves qui jouaient le rôle de celui qui avait aimé ou pas un livre. "Et rendez-vous compte, il y avait même celui qui n'avait pas lu!"
Oui, je me rends bien compte. Et quand je lui ai parlé du contenu, il m'a dit :"Voyons, il ne faut pas être trop ambitieux!" Voilà, l'idée c'est d'occuper, de s'amuser, c'est tout.
On a le même ou quoi ? (IPR, pas le collègue, quoique l'IPR soit un collègue... ... enfin, vous me comprenez...)
Dans un an le BAFA sera requis pour passer les concours du second degré... Oui, le M2 c'est un peu élitiste et ça crée de l'inégalité. :|
Cette ludo-pédagogie est le règne de l'inversion des places. Et bonjour le ridicule !
Je ne suis pas du tout certain qu'on évacue l'ennui de cette manière.
Personnellement, quand j'étais élève, le pur foutage de gueule m'a toujours emmerdé.
- CathEnchanteur
A 13 ans, mes enfants n'avaient pas mon autorisation de fréquenter Facebook elle aurait géré ça comment, la prof ? Parce que je lui aurais dit le fond de ma pensée...
Sinon, je ne vois pas le lien entre facebook et le Bonheur des Dames, ça me parait un très mauvais prétexte pour paraitre faire des trucs branchés.
Sinon, je ne vois pas le lien entre facebook et le Bonheur des Dames, ça me parait un très mauvais prétexte pour paraitre faire des trucs branchés.
- tiptop77Prophète
C'est pas faux a écrit:Je crois que c'est partout et toujours le cas et que ces gens ont tout faux sur toute la ligne. Moi, j'ai des élèves durs, mais ils bossent tous (avec des réussites variées bien sûr) et me fichent la paix, parce qu'ils sentent bien que je les respecte à travers ce que je leur donne à faire.Aenésidème a écrit:roxanne a écrit:Un IPR cette année m'a parlé avec enthousiasme d'un collègue qui avait eu l'idée formidable (certains font la roue en inspection) de sortir des micros et de faire "le masque et la plume" avec des élèves qui jouaient le rôle de celui qui avait aimé ou pas un livre. "Et rendez-vous compte, il y avait même celui qui n'avait pas lu!"
Oui, je me rends bien compte. Et quand je lui ai parlé du contenu, il m'a dit :"Voyons, il ne faut pas être trop ambitieux!" Voilà, l'idée c'est d'occuper, de s'amuser, c'est tout.
On a le même ou quoi ? (IPR, pas le collègue, quoique l'IPR soit un collègue... ... enfin, vous me comprenez...)
Dans un an le BAFA sera requis pour passer les concours du second degré... Oui, le M2 c'est un peu élitiste et ça crée de l'inégalité. :|
Cette ludo-pédagogie est le règne de l'inversion des places. Et bonjour le ridicule !
Je ne suis pas du tout certain qu'on évacue l'ennui de cette manière.
Personnellement, quand j'étais élève, le pur foutage de gueule m'a toujours emmerdé.
- HélipsProphète
Cath a écrit:A 13 ans, mes enfants n'avaient pas mon autorisation de fréquenter Facebook elle aurait géré ça comment, la prof ? Parce que je lui aurais dit le fond de ma pensée...
Sinon, je ne vois pas le lien entre facebook et le Bonheur des Dames, ça me parait un très mauvais prétexte pour paraitre faire des trucs branchés.
Et avant 13 ans, FB est interdit, pas seulement par les parents...
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- tiptop77Prophète
Oui, c'est vrai mais bon nombre d'élèves donnent une fausse date de naissance. Beaucoup de gamins ont déjà un fb quand ils arrivent en 6ème.
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- DenysNiveau 6
Il parait que ces textes (je suis agrégé mais je déteste les textes !) sont écrits en français pompeux inintelligible !
En général, ce style est utilisé quand on n'a rien à dire (cf les Inconnus et les claques)
Super, il nous faudra des traducteurs !
En général, ce style est utilisé quand on n'a rien à dire (cf les Inconnus et les claques)
Super, il nous faudra des traducteurs !
- HélipsProphète
Je sais : mon fils a eu un compte, avec notre autorisation, avant ses 13 ans. Mais ça me parait très différent de prendre cette décision pour son nain ou d'en faire une position officielle en tant que prof.
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- User5899Demi-dieu
Vos propos résonnent d'une façon tout à fait particulière à mes oreilles, vu que je sors de la CAPA des hors-classe et que j'ai entendu un IPR passionné nous bassiner pendant une demi-heure sur "les collègues pédagogiquement largement au-dessus des autres"roxanne a écrit:Un IPR cette année m'a parlé avec enthousiasme d'un collègue qui avait eu l'idée formidable (certains font la roue en inspection) de sortir des micros et de faire "le masque et la plume" avec des élèves qui jouaient le rôle de celui qui avait aimé ou pas un livre. "Et rendez-vous compte, il y avait même celui qui n'avait pas lu!"
Oui, je me rends bien compte. Et quand je lui ai parlé du contenu, il m'a dit :"Voyons, il ne faut pas être trop ambitieux!" Voilà, l'idée c'est d'occuper, de s'amuser, c'est tout.
Bref, comme on dit, "je vois le genre"...
- tiptop77Prophète
Hélips a écrit:Je sais : mon fils a eu un compte, avec notre autorisation, avant ses 13 ans. Mais ça me parait très différent de prendre cette décision pour son nain ou d'en faire une position officielle en tant que prof.
On est bien d'accord, Charlotte!
- Spoiler:
- Toi aussi, tu dis "nain" pour désigner les enfants
- HélipsProphète
Comme d'hab'tiptop77 a écrit:Hélips a écrit:Je sais : mon fils a eu un compte, avec notre autorisation, avant ses 13 ans. Mais ça me parait très différent de prendre cette décision pour son nain ou d'en faire une position officielle en tant que prof.
On est bien d'accord, Charlotte!
tiptop77 a écrit:
- Spoiler:
Toi aussi, tu dis "nain" pour désigner les enfants
- Spoiler:
- J'alterne avec gremlins ! Mais "nain" est de moins adapter à mon teenager... What a coup of vieux
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