- tit871Niveau 7
Un bien beau discours de rentrée à l'ESPE de XXXXX nous disant que les notes traumatisent et que les élèves agresseurs sont victimes de leur problèmes intimes. Un discours de propagande pour les jeunes profs pour faire disparaître les notes pour évaluer des compétences globales et avoir une masse moyenne sans culture , qui ne vise plus l'excellence et qui considère les élèves comme des anges tous fragiles . ON en oublie les élèves travailleurs, qui visent l'excellence et qui sont victimes des agresseurs. Affligeant!
- OlympiasProphète
Décidément rien ne change. L'obstination dans la sottise.
- Pierre-HenriHabitué du forum
Et, en même temps, bien sûr, on exige que nous luttions contre le harcèlement...
- CebraNiveau 2
Dans mon ESPE la majorité des discours ont été infantilisants.
Un formateur nous a même dit à deux reprises que si les élèves bavardaient, c'est qu'ils n'en avaient rien à faire (en fait il a dit "à f**tre") de notre cours et qu'on devait absolument revoir nos pratiques afin de leur donner "du concret".
Un formateur nous a même dit à deux reprises que si les élèves bavardaient, c'est qu'ils n'en avaient rien à faire (en fait il a dit "à f**tre") de notre cours et qu'on devait absolument revoir nos pratiques afin de leur donner "du concret".
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"Wir sind nie entfernter von unsern Wünschen, als wenn wir uns einbilden, das Gewünschte zu besitzen." -
Goethe, Die Wahlverwandtschaften.
- InvitéInvité
Même discours dans mon coin.Cebra a écrit:Dans mon ESPE la majorité des discours ont été infantilisants.
Un formateur nous a même dit à deux reprises que si les élèves bavardaient, c'est qu'ils n'en avaient rien à faire (en fait il a dit un f**tre) de notre cours et qu'on devait absolument revoir nos pratiques afin de leur donner "du concret".
- CosmosNiveau 6
Dans mon académie, les formateurs sur la gestion de classe ne tenaient pas de discours tels, et j'ai été agréablement surpris.
Je m'attendais à pire. En revanche, les formateurs disciplinaires (en Lettres en l'occurrence) ont laissé sous-entendre qu'ils étaient favorables aux futurs EPI, ce qui m'a un peu refroidi, même si par ailleurs leur discours était intéressant et bien plus pragmatique que celui des pédagogistes habituels que l'on trouve souvent dans les ESPE.
Je m'attendais à pire. En revanche, les formateurs disciplinaires (en Lettres en l'occurrence) ont laissé sous-entendre qu'ils étaient favorables aux futurs EPI, ce qui m'a un peu refroidi, même si par ailleurs leur discours était intéressant et bien plus pragmatique que celui des pédagogistes habituels que l'on trouve souvent dans les ESPE.
- JPhMMDemi-dieu
Certains mettent en pratique ce qu'ils professent : ils enseignent ce qu'ils ne connaissent pas, à savoir ici, les classes.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- WabiSabiHabitué du forum
Cosmos a écrit:Dans mon académie, les formateurs sur la gestion de classe ne tenaient pas de discours tels, et j'ai été agréablement surpris.
Je m'attendais à pire. En revanche, les formateurs disciplinaires (en Lettres en l'occurrence) ont laissé sous-entendre qu'ils étaient favorables aux futurs EPI, ce qui m'a un peu refroidi, même si par ailleurs leur discours était intéressant et bien plus pragmatique que celui des pédagogistes habituels que l'on trouve souvent dans les ESPE.
Quand bien même ils seraient contre la réforme et les EPI, leur fonction leur interdit absolument de le dire lors d'une réunion officielle, qui pis est de formation. Faut pas trop leur en demander non plus! ^^
J'ai trouvé les discours des IPR très pragmatiques même si certains conseils pouvaient sembler aller de soi (notamment sur la posture professorale).
Et je dois avouer, à ma grande surprise, avoir beaucoup apprécié mon premier contact aujourd'hui avec les formateurs espé, en l'occurrence deux professeurs de lycée toujours en service (à mi-temps) très dynamiques et ouverts et pas avares de conseils et d'astuces là aussi très pragmatiques! Le tout non sans humour et beaucoup d'esprit, bref, rien à redire pour l'instant (si ce n'est qu'on crevait de chaud).
En tout cas nous n'avons jamais eu droit pour l'instant à tous les discours atterrants rapportés plus haut, heureusement!
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"De duobus malis, minus est semper eligendum."
"Plus je travaille moins, moins je glande plus. C'est shadokien." Lefteris
T2 ('17-'18) : TZR 2 collèges REP/REP+, 5e/4e/3e
T1 ('16-'17) : TZR AFA Collège, 2 5e + 2 4e
Stage ('15-'16) : Lycée GT, 1 2de + 1 1re S
- InvitéInvité
WabiSabi a écrit:
(...)
Et je dois avouer, à ma grande surprise, avoir beaucoup apprécié mon premier contact aujourd'hui avec les formateurs espé, en l'occurrence deux professeurs de lycée toujours en service (à mi-temps) très dynamiques et ouverts et pas avares de conseils et d'astuces là aussi très pragmatiques! Le tout non sans humour et beaucoup d'esprit, bref, rien à redire pour l'instant (si ce n'est qu'on crevait de chaud).
En tout cas nous n'avons jamais eu droit pour l'instant à tous les discours atterrants rapportés plus haut, heureusement!
Il s'agit donc sans doute de "formateurs académiques" qui sont nommés par l'inspection et sont à mi-temps seulement à l'ESPE et le reste du temps en établissement. C'est donc différent des personnels universitaires employés directement par l'ESPE (Prce ou Prag, Mcf, PU) et qui n'enseignent plus en EPLE. Le mot de "formateur" recouvre une réalité très diverse.
- DalvaVénérable
corailc a écrit:Même discours dans mon coin.Cebra a écrit:Dans mon ESPE la majorité des discours ont été infantilisants.
Un formateur nous a même dit à deux reprises que si les élèves bavardaient, c'est qu'ils n'en avaient rien à faire (en fait il a dit un f**tre) de notre cours et qu'on devait absolument revoir nos pratiques afin de leur donner "du concret".
Comment tuer dans l’œuf l'éventuelle confiance en soi qu'un enseignant débutant pourrait avoir osé se permettre avant d'entrer en classe... Un moyen radical s'il en est de s'assurer que tous les stagiaires vivront des premières heures difficiles.
Au contraire : soyez fiers et convaincus que vous avez de belles choses à apprendre aux élèves, parfois ennuyeuses sur le moment, mais nécessaires. Soyez convaincus de votre légitimité : c'est cela, et cela seulement, qui fera que les élèves vous écouteront (et du contenu).
Et ça, ce n'est pas à l'ESPE qu'on me l'a dit, non, à l'ESPE on m'a tenu le même discours qu'à vous.
Mais un jour que j'interrogeais une professionnelle avant de me lancer à mon tour dans son beau métier, elle m'a dit : "Les clients s'adressent à vous parce que vous êtes un professionnel. C'est vous qui savez. Il n'y a donc pas à craindre de ne pas répondre à leurs attentes. Faites ce que vous savez devoir faire."
Les élèves ne sont pas des clients, mais pour le reste, c'est la même chose.
- Salammb0Expert
Bon, moi c'est plus mitigé.
J'ai eu certaines grosses hallu (une surtout, énormissime, partagée sur le flood). En contrepartie, certains discours étaient plus rassurants (nécessité d'étudier des classiques avec tous les élèves selon l'IPR de lettres, paroles rassurantes).
On nous a grandement vendu la réforme, les classes inversées, etc. et on nous a expliqué que nous serions des élèves nous aussi (les élèves de nos élèves). Ils sont persuadés que leur pédagogie est la bonne (et que nous, la nouvelle génération, allons révolutionner le mammouth), l'idée étant que comme les bons réussiront quoi qu'il arrive, il faut épauler en priorité les mauvais et les moyens. Du coup, ils nous ont appelés à relativiser notre expérience d'ancien premier de la classe afin de penser aux autres, aux moyens et aux médiocres.
J'ai eu certaines grosses hallu (une surtout, énormissime, partagée sur le flood). En contrepartie, certains discours étaient plus rassurants (nécessité d'étudier des classiques avec tous les élèves selon l'IPR de lettres, paroles rassurantes).
On nous a grandement vendu la réforme, les classes inversées, etc. et on nous a expliqué que nous serions des élèves nous aussi (les élèves de nos élèves). Ils sont persuadés que leur pédagogie est la bonne (et que nous, la nouvelle génération, allons révolutionner le mammouth), l'idée étant que comme les bons réussiront quoi qu'il arrive, il faut épauler en priorité les mauvais et les moyens. Du coup, ils nous ont appelés à relativiser notre expérience d'ancien premier de la classe afin de penser aux autres, aux moyens et aux médiocres.
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"Avant les Dieux, les ténèbres étaient seules, et un souffle flottait, lourd et indistinct comme la conscience d’un homme dans un rêve. Il se contracta, créant le Désir et la Nue, et du Désir et de la Nue sortit la Matière primitive. C’était une eau bourbeuse, noire, glacée, profonde."
- Spoiler:
- auléricNeoprof expérimenté
Cebra a écrit:Dans mon ESPE la majorité des discours ont été infantilisants.
Un formateur nous a même dit à deux reprises que si les élèves bavardaient, c'est qu'ils n'en avaient rien à faire (en fait il a dit "à f**tre") de notre cours et qu'on devait absolument revoir nos pratiques afin de leur donner "du concret".
tiens c'est rigolo .... on m'a bien sûr servi le même discours il y a quelques années.... mais j'ai bien souri quand un jour de conférence particulièrement rébarbative et donc avec un public très bavard nous avons reçu des mails de nos cpc pour tancer notre comportement "inadmissible" et nous dire notre "manque de respect" pour l'intervenant etc ... de remise en cause du contenu point en revanche ....
sinon tout comme Dalva.
- dami1kdHabitué du forum
Et bien ! Tout cela fait peur...
Je vous souhaite à tous de trouver face à vous, mardi, des élèves bien plus tolérants, qui vous jugeront incompétents moins vite que ça.
Je vous souhaite à tous de trouver face à vous, mardi, des élèves bien plus tolérants, qui vous jugeront incompétents moins vite que ça.
- chtioursNiveau 2
Pour ma part , en cette pré-rentrée, une formatrice a tout d'abord recommandé d'appliquer la méthode yoga : "demander aux élèves de positionner les mains sur la table et de fermer les yeux. Pour mettre fin à cet instant : utiliser un bol tibétain (gong) qui permettra aux élèves de sortir de ce dodo"... Puis après ça s'est transformé en psychothérapie : la formatrice a commencé à faire des monologues sur ces "blessures" personnelles...
Je pense qu'en que néoprof , je vais essayer d'utiliser la méthode "Hervé Manoukian" à savoir apprendre à respirer par le biais de son anus (propos présentés à une candidate de la nouvelle star)
Je pense qu'en que néoprof , je vais essayer d'utiliser la méthode "Hervé Manoukian" à savoir apprendre à respirer par le biais de son anus (propos présentés à une candidate de la nouvelle star)
- ProvenceEnchanteur
On n'évoque pas assez l'influence des mycoses sur le comportement de nos élèves.tit871 a écrit: les élèves agresseurs sont victimes de leur problèmes intimes.
- CebraNiveau 2
Salammb0 a écrit:Bon, moi c'est plus mitigé.
J'ai eu certaines grosses hallu (une surtout, énormissime, partagée sur le flood). En contrepartie, certains discours étaient plus rassurants (nécessité d'étudier des classiques avec tous les élèves selon l'IPR de lettres, paroles rassurantes).
On nous a grandement vendu la réforme, les classes inversées, etc. et on nous a expliqué que nous serions des élèves nous aussi (les élèves de nos élèves). Ils sont persuadés que leur pédagogie est la bonne (et que nous, la nouvelle génération, allons révolutionner le mammouth), l'idée étant que comme les bons réussiront quoi qu'il arrive, il faut épauler en priorité les mauvais et les moyens. Du coup, ils nous ont appelés à relativiser notre expérience d'ancien premier de la classe afin de penser aux autres, aux moyens et aux médiocres.
J'ai eu le droit à ce discours aussi, on nous a dit que, contrairement aux "enseignants d'une autre génération", on allait révolutionner l'enseignement des langues, donner l'envie à tout le monde d'aller en cours etc. J'ai trouvé ça très sympa pour les collègues qui ont 5, 10, 20 ans et plus d'expérience.
Edit: Merci Dalva et Auléric pour vos propos encourageants, ça me remonte le moral. :-)
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Goethe, Die Wahlverwandtschaften.
- DalvaVénérable
Mon souvenir de "premier de la classe" : un ennui sans fin en français de la 6e à la 4e (mille pensées reconnaissantes à Mme Furling, mon professeur de français de 3e). Ce que j'en ai retiré : l'habitude de réussir sans effort, l'incapacité à me mettre au travail autrement qu'à la dernière minute, et la découverte en arrivant à l'université qu'il existe un truc qui s'appelle "travail personnel et approfondissement", qu'on peut faire tout seul et que personne n'avait jamais attendu de moi. Bref : beaucoup de gâchis en ce qui me concerne, alors que j'avais surtout besoin d'être poussée et "malmenée" pour bosser plus. Besoin d'être nourrie de choses intéressantes, aussi. Et du coup, peut-être que je me serais crue capable d'aller vers les métiers qui m'attiraient. Mais ça, c'est une autre histoire.Salammb0 a écrit:Bon, moi c'est plus mitigé.
J'ai eu certaines grosses hallu (une surtout, énormissime, partagée sur le flood). En contrepartie, certains discours étaient plus rassurants (nécessité d'étudier des classiques avec tous les élèves selon l'IPR de lettres, paroles rassurantes).
On nous a grandement vendu la réforme, les classes inversées, etc. et on nous a expliqué que nous serions des élèves nous aussi (les élèves de nos élèves). Ils sont persuadés que leur pédagogie est la bonne (et que nous, la nouvelle génération, allons révolutionner le mammouth), l'idée étant que comme les bons réussiront quoi qu'il arrive, il faut épauler en priorité les mauvais et les moyens. Du coup, ils nous ont appelés à relativiser notre expérience d'ancien premier de la classe afin de penser aux autres, aux moyens et aux médiocres.
Je revis ça aujourd'hui avec mes trois enfants, et chaque année en réunion j'entends mes collègues dire "Mais les bons élèves, ils n'ont pas besoin de nous." Ben tiens. On peut les laisser tomber, ils auront toujours un peu de ressource pour faire un petit truc de leur vie, en somme. Chouette.
Je précise que je passe mon temps à m'occuper des plus faibles, hein. Ce n'est pas de l'élitisme. C'est juste que chacun a droit à notre attention.
- DalvaVénérable
Provence a écrit:On n'évoque pas assez l'influence des mycoses sur le comportement de nos élèves.tit871 a écrit: les élèves agresseurs sont victimes de leur problèmes intimes.
Tout un pan de l'enseignement m'est enfin révélé.
- JPhMMDemi-dieu
Longtemps je me suis ennuyé à l'ESPE (IUFM à l'époque).
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- DalvaVénérable
Plus sérieusement, c'est vrai : les problèmes extérieurs à l'école sont parfois bien trop présents, importants, prégnants pour qu'un enfant ou un ado puisse être un élève. Mais, et d'une, ce n'est pas notre métier que de nous en occuper, et de deux, l'école est sans doute le dernier lieu qui protège cet enfant ou ado, la dernière bulle où il peut se réfugier, et les règles et limites qui y règnent ne peuvent que poser pour lui un cadre rassurant et fixe.
- DalvaVénérable
JPhMM, tu es mon (demi-) Dieu !JPhMM a écrit:Longtemps je me suis ennuyé à l'ESPE (IUFM à l'époque).
- Salammb0Expert
JPhMM a écrit:Longtemps je me suis ennuyé à l'ESPE (IUFM à l'époque).
Longtemps j'ai séché à l'ESPE
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"Avant les Dieux, les ténèbres étaient seules, et un souffle flottait, lourd et indistinct comme la conscience d’un homme dans un rêve. Il se contracta, créant le Désir et la Nue, et du Désir et de la Nue sortit la Matière primitive. C’était une eau bourbeuse, noire, glacée, profonde."
- Spoiler:
- User5899Demi-dieu
Rassurez-vous, le discours que vous tenez en contrepoint a encore une certaine cote dans les sdptit871 a écrit:Un bien beau discours de rentrée à l'ESPE de XXXXX nous disant que les notes traumatisent et que les élèves agresseurs sont victimes de leur problèmes intimes. Un discours de propagande pour les jeunes profs pour faire disparaître les notes pour évaluer des compétences globales et avoir une masse moyenne sans culture , qui ne vise plus l'excellence et qui considère les élèves comme des anges tous fragiles . ON en oublie les élèves travailleurs, qui visent l'excellence et qui sont victimes des agresseurs. Affligeant!
Bienvenue quand même, désolée que vous ayez rencontré les taches en premier.
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Vu leurs goûts habituels (bouffe, médias), pour leur "donner du concret", devra-t-on faire caca sur le bureau ?Cebra a écrit:Dans mon ESPE la majorité des discours ont été infantilisants.
Un formateur nous a même dit à deux reprises que si les élèves bavardaient, c'est qu'ils n'en avaient rien à faire (en fait il a dit "à f**tre") de notre cours et qu'on devait absolument revoir nos pratiques afin de leur donner "du concret".
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Ils ne nous aiment pas : ils savent que nous savonsCebra a écrit:J'ai trouvé ça très sympa pour les collègues qui ont 5, 10, 20 ans et plus d'expérience.
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Je comprends enfin ce qu'est une SEPDalva a écrit:Provence a écrit:On n'évoque pas assez l'influence des mycoses sur le comportement de nos élèves.tit871 a écrit: les élèves agresseurs sont victimes de leur problèmes intimes.
Tout un pan de l'enseignement m'est enfin révélé.
- DalvaVénérable
Mais c'est pas possible !chtiours a écrit:Pour ma part , en cette pré-rentrée, une formatrice a tout d'abord recommandé d'appliquer la méthode yoga : "demander aux élèves de positionner les mains sur la table et de fermer les yeux. Pour mettre fin à cet instant : utiliser un bol tibétain (gong) qui permettra aux élèves de sortir de ce dodo"... Puis après ça s'est transformé en psychothérapie : la formatrice a commencé à faire des monologues sur ces "blessures" personnelles...
Je pense qu'en que néoprof , je vais essayer d'utiliser la méthode "Hervé Manoukian" à savoir apprendre à respirer par le biais de son anus (propos présentés à une candidate de la nouvelle star)
Elle a distribué des papiers d'inscription pour sa secte, ensuite ?
Je crois que c'est encore ce qui me choque le plus, là.
- Changement de corps de l'EN et pré rentrée à l'ESPE
- Répartition des 8804 postes créés à la rentrée 2014 : 3459 ETP serviront à financer le temps de formation des stagiaires en ESPE.
- Formation des enseignants : Des modules de formation sur l'accueil des enfants handicapés seront obligatoires dans les ESPE dès la rentrée 2014.
- Discours rapporté : questions sur discours direct et indirect.
- Avis ESPE Paris (Sorbonne) / ESPE Poitiers
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