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- LeodaganFidèle du forum
Lornet a écrit:Je ne suis pas professeur de LC. Dans mon collège, les professeurs de LC se succèdent : stagiaire, vacataire, contractuel...Ils ne vont pas mettre un professeur de LC qui sera là pendant des années.
Je suis LM.
Mais mes élèves, qui soit ne sont pas latinistes, soit vont avoir plusieurs professeurs de lettres classiques différents de la 5e à la 3e, ne participeront pas au concours Athéna quel que soit leur goût de l'effort.
Quand je parle de "niche", c'est bien parce qu'il existe encore un pays merveilleux où on récompense les élèves au mérite, où on enseigne le grec et le latin, où on donne aux élèves qui font des efforts de (très) belles récompenses.
C'est le cas, hélas, de beaucoup de collèges. La situation inverse (la mienne!) existe aussi: 1 seul prof pour tout le collège, ce qui n'est pas glorieux non plus puisque le départ du prof en question risque de détruire tout le travail fait pendant des années.
Pourquoi ne pas prendre la réforme au mot et faire préparer le concours Athéna ou autre dans le cadre d'un cours de français (ou en plus) ?
- InvitéInvité
On en voulait déjà pas que je m'occupe de l'EPI LC en 5e (oui, comme je restais cette année, et que la contractuelle LC partait, j'avais pensé, ayant pris l'option au latin comme à l'agrégation, pouvoir au moins m'occuper d'un EPI sur la civilisation antique niveau 5e. Mais que nenni ! La contractuelle s'en est occupée puis est partie. À la rentrée, la nouvelle arrivée a dû reprendre la responsabilité de l'EPI...et j'ai appris fin septembre que j'en faisais partie ! Pour la partie français, mais je ne suis pas responsable de l'EPI vu que je suis LM).
Alors faire préparer le concours Athéna (en EPI, ça aurait été bien, mais vu qu'on a toujours les mains liées...).
Alors faire préparer le concours Athéna (en EPI, ça aurait été bien, mais vu qu'on a toujours les mains liées...).
- AudreyOracle
Petite précision: mon post initial de 2009 n'évoquait absolument pas un quelconque favoritisme mais interrogeait sur les méthodes pour réussir au concours.
Je précise également que l'année suivante, si je me souviens bien de la date, une autre de mes élèves a gagné. Je ne prépare plus le concours Athéna, c'est trop chronophage en regard du temps de cours et de l'ampleur de la tâche quand on veut enseigner les langues anciennes à des élèves qui pataugent en grammaire.
Quant au fait de préparer le concours Athéna en EPI, difficile: la quantité de connaissances à maîtriser me semble insurmontable pour un élève non latiniste /non helléniste, d'autant plus que les gagnants ont en général écrit quelques mots de latin ou de grec dans leur copie...
Je précise également que l'année suivante, si je me souviens bien de la date, une autre de mes élèves a gagné. Je ne prépare plus le concours Athéna, c'est trop chronophage en regard du temps de cours et de l'ampleur de la tâche quand on veut enseigner les langues anciennes à des élèves qui pataugent en grammaire.
Quant au fait de préparer le concours Athéna en EPI, difficile: la quantité de connaissances à maîtriser me semble insurmontable pour un élève non latiniste /non helléniste, d'autant plus que les gagnants ont en général écrit quelques mots de latin ou de grec dans leur copie...
- LeodaganFidèle du forum
La seule solution serait de prendre du temps en plus... Même avec les horaires anciens, préparer un concours me paraissait irréalisable sur les heures de cours.
Si on regarde ce qui existe, il n'y a pas tant de concours que ça... et c'est dommage. Un concours local (à l'échelle d'un bassin ou d'une ville) donne une bonne visibilité au latin et au grec au bout de 2 ans d'existence.
Si on regarde ce qui existe, il n'y a pas tant de concours que ça... et c'est dommage. Un concours local (à l'échelle d'un bassin ou d'une ville) donne une bonne visibilité au latin et au grec au bout de 2 ans d'existence.
- cathemisNiveau 10
et à HIV, c'est aussi 1h de latin en 5e et 2h ensuite ?
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