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- InvitéInvité
C'est marrant, après un jour sans lire ce fil, de voir que ça a bifurqué sur les tests Mensa.
- ShajarVénérable
C'est marqué en haut, il faut le faire en moins de 30 minutes pour un résultat fiable.Sphinx a écrit:DesolationRow, j'ai fait 34/40 - ce qui est un étonnamment bon score pour moi qui n'ai jamais été une flèche en maths (bon, j'avais de bonnes moyennes en collège - lycée, mais, comment dire, c'était le niveau collège - lycée, surtout en L ) et qui déteste les énigmes logiques (j'ai toujours tendance à me demander "mais genre, il est menteur, ou il dit que là il ment, parce que c'est pas pareil" ou "mais des nains avec quel genre de chapeau"). Ce que je vois dans ce test, là, justement, ce sont uniquement des questions de suites logiques. 40 questions de logique. Il me semble qu'un test de QI doit justement mesurer des choses très différentes, donc corrigez-moi si je me trompe car je n'en ai jamais fait, mais ce n'en est pas vraiment un, je pense.
Al-Qalam, le test préliminaire dont tu as donné le lien n'est pas en temps limité
- ParménideNeoprof expérimenté
Bon, plusieurs choses :
Voilà exactement ce qu'il ne fallait pas écrire si l'on voulait sauvegarder la micro chance que je me rende aux épreuves en avril :
1) Il n'est pas question que je me rende à des épreuves pour lesquelles je risque d'avoir de faux espoirs en sortant. Je l'ai vécu une fois, ça m'a suffi. Si j'ai 10 en concours blanc, ou meme 12, je veux tout faire pour que cette valeur objective ne chute pas à une note qui se situera entre 5 et 9. Je ne dis pas que je veux etre sur d'etre reçu, puisque c'est impossible. Je dis juste que je veux réduire au maximum la part d'aléatoire et de hasard, et ça je pense que c'est possible. Il me faut l'exposé précis de comment le jury procède. Parce que que j'ai l'impression qu'il y a une clé derrière ça. Et même si ça me sert à rien, au moins ça me rassurera.
2) Je ne sais pas ce que ça veut dire avoir une bonne habitude des textes et des auteurs... En tous cas je constate les faits : je ne dispose pas d'autre chose pour l'instant , pour le commentaire de texte, que de ma méthode personnalisée, et qui est plus ou moins douteuse.
3) Ce n'est pourtant pas forcément ce qui se dégage des propos de mon correcteur et de mes récents travaux. J'ai des résultats situés dans une fourchette de 8-10 avec des connaissances très fragiles. Enfin, je sais même pas si ça a du sens de dire qu'elles sont fragiles tellement j'en utilise peu dans mes travaux. Donc je sais pas si le correcteur pourra vraiment statuer sur ma culture
***
Pour la fac : je n'ai compris que très récemment que c'était un milieu qui fonctionnait pour l'essentiel au "copinage" et à l'esprit clanique, quasiment tribal. Par conséquent, c'était absolument incompatible avec mon état d'esprit, donc ma préparation ne pouvait aller qu'à la catastrophe. Les autres ont su se comporter en "courtisans" et en ont tiré tous les bénéfices. Pas moi, parfait , la leçon est retenue.
C'est ma faute, si j'avais été plus ouvert sur le monde et si j'étais sorti de ma tour d'ivoire à temps, les choses eussent été différentes. Malheureusement, on ne refait pas l'histoire.
J'ai raté mes études de philo, au sens où je n'ai pas eu les opportunités (en partie à cause de mon manque de compréhension du système en général) d'acquérir les compétences techniques, et au sens où je n'ai jamais su vraiment QUOI et COMMENT le travailler. Et QUOI retenir. Combien de temps me faudra t il pour rattraper 10 ans de travail inefficace concernant la culture philosophique, les textes, les références?... C'est le problème.
Et puis d'une façon générale, je ne sais pas ce que ça veut dire que d'avoir une culture philosophique, et avoir des connaissances, pour ce concours là. Vu qu'il n'y a pas de programme, la nécessité d'avoir des connaissances est quelque chose qui peut être interprété absolument n'importe comment.
Oui. Un texte portant sur des enjeux économiques, des problèmes contemporains, etc... Je ne vais pas du tout être un bon client pour ça ! Je suis aussi nul en économie qu'en maths.
Sphinx a écrit:1) Ca peut même valoir 1, 2, 3 points de moins sans concurrence, avec un autre correcteur ;
2) voilà le seul point des trois qui doit réellement t'inquiéter (la réponse est, ou s'approche de : en ayant une bonne habitude des textes et des auteurs en question, ce qui te rendra leurs mécanismes de pensée et leur vocabulaire plus familier)
3) aucun sujet n'est traitable sans connaissances, ou en tout cas pas de façon satisfaisante au niveau qui t'occupe.
Voilà exactement ce qu'il ne fallait pas écrire si l'on voulait sauvegarder la micro chance que je me rende aux épreuves en avril :
1) Il n'est pas question que je me rende à des épreuves pour lesquelles je risque d'avoir de faux espoirs en sortant. Je l'ai vécu une fois, ça m'a suffi. Si j'ai 10 en concours blanc, ou meme 12, je veux tout faire pour que cette valeur objective ne chute pas à une note qui se situera entre 5 et 9. Je ne dis pas que je veux etre sur d'etre reçu, puisque c'est impossible. Je dis juste que je veux réduire au maximum la part d'aléatoire et de hasard, et ça je pense que c'est possible. Il me faut l'exposé précis de comment le jury procède. Parce que que j'ai l'impression qu'il y a une clé derrière ça. Et même si ça me sert à rien, au moins ça me rassurera.
2) Je ne sais pas ce que ça veut dire avoir une bonne habitude des textes et des auteurs... En tous cas je constate les faits : je ne dispose pas d'autre chose pour l'instant , pour le commentaire de texte, que de ma méthode personnalisée, et qui est plus ou moins douteuse.
3) Ce n'est pourtant pas forcément ce qui se dégage des propos de mon correcteur et de mes récents travaux. J'ai des résultats situés dans une fourchette de 8-10 avec des connaissances très fragiles. Enfin, je sais même pas si ça a du sens de dire qu'elles sont fragiles tellement j'en utilise peu dans mes travaux. Donc je sais pas si le correcteur pourra vraiment statuer sur ma culture
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Pour la fac : je n'ai compris que très récemment que c'était un milieu qui fonctionnait pour l'essentiel au "copinage" et à l'esprit clanique, quasiment tribal. Par conséquent, c'était absolument incompatible avec mon état d'esprit, donc ma préparation ne pouvait aller qu'à la catastrophe. Les autres ont su se comporter en "courtisans" et en ont tiré tous les bénéfices. Pas moi, parfait , la leçon est retenue.
C'est ma faute, si j'avais été plus ouvert sur le monde et si j'étais sorti de ma tour d'ivoire à temps, les choses eussent été différentes. Malheureusement, on ne refait pas l'histoire.
J'ai raté mes études de philo, au sens où je n'ai pas eu les opportunités (en partie à cause de mon manque de compréhension du système en général) d'acquérir les compétences techniques, et au sens où je n'ai jamais su vraiment QUOI et COMMENT le travailler. Et QUOI retenir. Combien de temps me faudra t il pour rattraper 10 ans de travail inefficace concernant la culture philosophique, les textes, les références?... C'est le problème.
Et puis d'une façon générale, je ne sais pas ce que ça veut dire que d'avoir une culture philosophique, et avoir des connaissances, pour ce concours là. Vu qu'il n'y a pas de programme, la nécessité d'avoir des connaissances est quelque chose qui peut être interprété absolument n'importe comment.
Gryphe a écrit:
As-tu cliqué dans le lien que je t'ai proposé avec les annales d'ADJAENES ? Juste cliqué dans le lien, par simple curiosité intellectuelle ?
Oui. Un texte portant sur des enjeux économiques, des problèmes contemporains, etc... Je ne vais pas du tout être un bon client pour ça ! Je suis aussi nul en économie qu'en maths.
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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https://www.babelio.com/monprofil.php
- SphinxProphète
Parménide a écrit:Bon, plusieurs choses :Sphinx a écrit:1) Ca peut même valoir 1, 2, 3 points de moins sans concurrence, avec un autre correcteur ;
2) voilà le seul point des trois qui doit réellement t'inquiéter (la réponse est, ou s'approche de : en ayant une bonne habitude des textes et des auteurs en question, ce qui te rendra leurs mécanismes de pensée et leur vocabulaire plus familier)
3) aucun sujet n'est traitable sans connaissances, ou en tout cas pas de façon satisfaisante au niveau qui t'occupe.
Voilà exactement ce qu'il ne fallait pas écrire si l'on voulait sauvegarder la micro chance que je me rende aux épreuves en avril :
Pourtant, je le maintiens. La bonne façon de sauvegarder tes micro-chances, comme tu dis, ce n'est pas de t'aveugler en te disant ce que tu veux entendre, c'est d'être franc avec toi et d'essayer (désespérément) de t'envoyer sur le droit chemin.
1) Il n'est pas question que je me rende à des épreuves pour lesquelles je risque d'avoir de faux espoirs en sortant. Je l'ai vécu une fois, ça m'a suffi. Si j'ai 10 en concours blanc, ou meme 12, je veux tout faire pour que cette valeur objective ne chute pas à une note qui se situera entre 5 et 9. Je ne dis pas que je veux etre sur d'etre reçu, puisque c'est impossible. Je dis juste que je veux réduire au maximum la part d'aléatoire et de hasard, et ça je pense que c'est possible. Il me faut l'exposé précis de comment le jury procède. Parce que que j'ai l'impression qu'il y a une clé derrière ça. Et même si ça me sert à rien, au moins ça me rassurera.
Combien de fois t'a-t-on dit de ne pas te préoccuper de ta note ? D'y aller, de faire de ton mieux, et basta ? Allez, je vais faire comme tout le monde, je vais te raconter mon exemple personnel : j'ai eu 17 à la leçon de littérature à l'agreg, pourtant, je serais absolument incapable de noter une leçon d'agreg (surtout que la littérature française, ce n'est absolument pas mon domaine universitaire). Etonnant, hein ? Et en plus, on s'en moque.
2) Je ne sais pas ce que ça veut dire avoir une bonne habitude des textes et des auteurs... En tous cas je constate les faits : je ne dispose pas d'autre chose pour l'instant , pour le commentaire de texte, que de ma méthode personnalisée, et qui est plus ou moins douteuse.
Il me semble pourtant parfaitement évident que plus tu seras entraîné à lire du Bergson, plus tu auras de facilité à comprendre ce que raconte Bergson, y compris dans un texte de Bergson que tu ne connais pas. Plus tu auras lu de Platon, plus tu seras familier avec le vocabulaire et les concepts de Platon, et donc mieux tu comprendras Platon, y compris dans un texte que tu ne connais pas. Plus tu auras lu de philo anglaise du XVIIIe siècle, plus tu seras à l'aise avec les idées et le vocabulaire particulier de la philo anglaise du XVIIIe siècle. Je continue ?
3) Ce n'est pourtant pas forcément ce qui se dégage des propos de mon correcteur et de mes récents travaux. J'ai des résultats situés dans une fourchette de 8-10 avec des connaissances très fragiles. Enfin, je sais même pas si ça a du sens de dire qu'elles sont fragiles tellement j'en utilise peu dans mes travaux. Donc je sais pas si le correcteur pourra vraiment statuer sur ma culture
C'est ce qu'on te dit : tu n'es pas bête. Parménide, même au brevet on nous donne pour consigne de mettre 7 sur 15 (maxi) à une copie hors-sujet mais bien écrite. Tu sais réfléchir, tu sais écrire, donc même sans connaissances tu peux pondre un truc bien tourné qui, en étant au max de tes efforts, atteindra 8-10. Maintenant, si tu n'essaies pas un peu d'étendre ton champ de connaissances, tu n'auras jamais plus. Quant au correcteur, ce n'est pas compliqué : si tu ne fais pas preuve de connaissances dans ta copie (et j'entends par là, bien entendu, une "preuve" mieux employée que d'enfiler les citations comme des perles et d'étaler tes lectures comme de la confiture), il conclura tout simplement que tu n'en as pas et passera au candidat suivant.
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- DesolationRowEmpereur
Parménide a écrit:Bon, plusieurs choses :
Pour la fac : je n'ai compris que très récemment que c'était un milieu qui fonctionnait pour l'essentiel au "copinage" et à l'esprit clanique, quasiment tribal. Par conséquent, c'était absolument incompatible avec mon état d'esprit, donc ma préparation ne pouvait aller qu'à la catastrophe. Les autres ont su se comporter en "courtisans" et en ont tiré tous les bénéfices. Pas moi, parfait , la leçon est retenue.
C'est ma faute, si j'avais été plus ouvert sur le monde et si j'étais sorti de ma tour d'ivoire à temps, les choses eussent été différentes. Malheureusement, on ne refait pas l'histoire.
J'ai raté mes études de philo, au sens où je n'ai pas eu les opportunités (en partie à cause de mon manque de compréhension du système en général) d'acquérir les compétences techniques, et au sens où je n'ai jamais su vraiment QUOI et COMMENT le travailler. Et QUOI retenir. Combien de temps me faudra t il pour rattraper 10 ans de travail inefficace concernant la culture philosophique, les textes, les références?... C'est le problème.
Et puis d'une façon générale, je ne sais pas ce que ça veut dire que d'avoir une culture philosophique, et avoir des connaissances, pour ce concours là. Vu qu'il n'y a pas de programme, la nécessité d'avoir des connaissances est quelque chose qui peut être interprété absolument n'importe comment.Gryphe a écrit:
As-tu cliqué dans le lien que je t'ai proposé avec les annales d'ADJAENES ? Juste cliqué dans le lien, par simple curiosité intellectuelle ?
Oui. Un texte portant sur des enjeux économiques, des problèmes contemporains, etc... Je ne vais pas du tout être un bon client pour ça ! Je suis aussi nul en économie qu'en maths.
C'est faux.
C'est insultant pour les étudiants qui, eux, réussissent les concours. Probablement parce qu'eux, en HUIT ans, ont trouvé le temps de lire des oeuvres complètes.
- Thalia de GMédiateur
Oui, c'est faux et insultant.DesolationRow a écrit:Parménide a écrit:Bon, plusieurs choses :
Pour la fac : je n'ai compris que très récemment que c'était un milieu qui fonctionnait pour l'essentiel au "copinage" et à l'esprit clanique, quasiment tribal. Par conséquent, c'était absolument incompatible avec mon état d'esprit, donc ma préparation ne pouvait aller qu'à la catastrophe. Les autres ont su se comporter en "courtisans" et en ont tiré tous les bénéfices. Pas moi, parfait , la leçon est retenue.
C'est ma faute, si j'avais été plus ouvert sur le monde et si j'étais sorti de ma tour d'ivoire à temps, les choses eussent été différentes. Malheureusement, on ne refait pas l'histoire.
J'ai raté mes études de philo, au sens où je n'ai pas eu les opportunités (en partie à cause de mon manque de compréhension du système en général) d'acquérir les compétences techniques, et au sens où je n'ai jamais su vraiment QUOI et COMMENT le travailler. Et QUOI retenir. Combien de temps me faudra t il pour rattraper 10 ans de travail inefficace concernant la culture philosophique, les textes, les références?... C'est le problème.
Et puis d'une façon générale, je ne sais pas ce que ça veut dire que d'avoir une culture philosophique, et avoir des connaissances, pour ce concours là. Vu qu'il n'y a pas de programme, la nécessité d'avoir des connaissances est quelque chose qui peut être interprété absolument n'importe comment.Gryphe a écrit:
As-tu cliqué dans le lien que je t'ai proposé avec les annales d'ADJAENES ? Juste cliqué dans le lien, par simple curiosité intellectuelle ?
Oui. Un texte portant sur des enjeux économiques, des problèmes contemporains, etc... Je ne vais pas du tout être un bon client pour ça ! Je suis aussi nul en économie qu'en maths.
C'est faux.
C'est insultant pour les étudiants qui, eux, réussissent les concours. Probablement parce qu'eux, en HUIT ans, ont trouvé le temps de lire des oeuvres complètes.
Parménide, tu n'as pas répondu à ma question : qu'as-tu fait face aux sujets de concours pour Normale Sup ?
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- JPhMMDemi-dieu
Cela devient vraiment du grand n'importe quoi. Du n'importe quoi très désagréable d'ailleurs.Parménide a écrit:Bon, plusieurs choses :Sphinx a écrit:1) Ca peut même valoir 1, 2, 3 points de moins sans concurrence, avec un autre correcteur ;
2) voilà le seul point des trois qui doit réellement t'inquiéter (la réponse est, ou s'approche de : en ayant une bonne habitude des textes et des auteurs en question, ce qui te rendra leurs mécanismes de pensée et leur vocabulaire plus familier)
3) aucun sujet n'est traitable sans connaissances, ou en tout cas pas de façon satisfaisante au niveau qui t'occupe.
Voilà exactement ce qu'il ne fallait pas écrire si l'on voulait sauvegarder la micro chance que je me rende aux épreuves en avril :
1) Il n'est pas question que je me rende à des épreuves pour lesquelles je risque d'avoir de faux espoirs en sortant. Je l'ai vécu une fois, ça m'a suffi. Si j'ai 10 en concours blanc, ou meme 12, je veux tout faire pour que cette valeur objective ne chute pas à une note qui se situera entre 5 et 9. Je ne dis pas que je veux etre sur d'etre reçu, puisque c'est impossible. Je dis juste que je veux réduire au maximum la part d'aléatoire et de hasard, et ça je pense que c'est possible. Il me faut l'exposé précis de comment le jury procède. Parce que que j'ai l'impression qu'il y a une clé derrière ça. Et même si ça me sert à rien, au moins ça me rassurera.
2) Je ne sais pas ce que ça veut dire avoir une bonne habitude des textes et des auteurs... En tous cas je constate les faits : je ne dispose pas d'autre chose pour l'instant , pour le commentaire de texte, que de ma méthode personnalisée, et qui est plus ou moins douteuse.
3) Ce n'est pourtant pas forcément ce qui se dégage des propos de mon correcteur et de mes récents travaux. J'ai des résultats situés dans une fourchette de 8-10 avec des connaissances très fragiles. Enfin, je sais même pas si ça a du sens de dire qu'elles sont fragiles tellement j'en utilise peu dans mes travaux. Donc je sais pas si le correcteur pourra vraiment statuer sur ma culture
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Pour la fac : je n'ai compris que très récemment que c'était un milieu qui fonctionnait pour l'essentiel au "copinage" et à l'esprit clanique, quasiment tribal. Par conséquent, c'était absolument incompatible avec mon état d'esprit, donc ma préparation ne pouvait aller qu'à la catastrophe. Les autres ont su se comporter en "courtisans" et en ont tiré tous les bénéfices. Pas moi, parfait , la leçon est retenue.
C'est ma faute, si j'avais été plus ouvert sur le monde et si j'étais sorti de ma tour d'ivoire à temps, les choses eussent été différentes. Malheureusement, on ne refait pas l'histoire.
J'ai raté mes études de philo, au sens où je n'ai pas eu les opportunités (en partie à cause de mon manque de compréhension du système en général) d'acquérir les compétences techniques, et au sens où je n'ai jamais su vraiment QUOI et COMMENT le travailler. Et QUOI retenir. Combien de temps me faudra t il pour rattraper 10 ans de travail inefficace concernant la culture philosophique, les textes, les références?... C'est le problème.
Et puis d'une façon générale, je ne sais pas ce que ça veut dire que d'avoir une culture philosophique, et avoir des connaissances, pour ce concours là. Vu qu'il n'y a pas de programme, la nécessité d'avoir des connaissances est quelque chose qui peut être interprété absolument n'importe comment.Gryphe a écrit:
As-tu cliqué dans le lien que je t'ai proposé avec les annales d'ADJAENES ? Juste cliqué dans le lien, par simple curiosité intellectuelle ?
Oui. Un texte portant sur des enjeux économiques, des problèmes contemporains, etc... Je ne vais pas du tout être un bon client pour ça ! Je suis aussi nul en économie qu'en maths.
Pour rappel :
Concernant la préparation aux concours, il y a ceux qui se demandent jour et nuit comment faire pour travailler.
Et il y a ceux qui, jour et nuit, travaillent.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- SphinxProphète
J'ajoute aussi que je suis un vrai ours pour ce qui est des relations sociales, j'ai du mal à devenir proche des gens, à aller parler avec des gens que je ne connais guère ou pas, je n'ai aucun réseau, je ne connais pas grand monde à la fac à part mon directeur, les quelques profs que j'ai eus en cours ou pour qui j'ai fait des TDs (et à qui je n'ai jamais rien demandé) et 4 ou 5 autres doctorants de mon école doctorale que je croise, allez, deux à trois fois par an.
Pourtant, j'ai réussi deux concours et je suis en fin de doctorat. Donc bon. C'est sûr que le réseau jouera sans doute quand il s'agira d'avoir un poste de maître de conf', mais pour ce qui est d'avoir le CAPES, je ne vois juste pas le rapport en fait.
Pourtant, j'ai réussi deux concours et je suis en fin de doctorat. Donc bon. C'est sûr que le réseau jouera sans doute quand il s'agira d'avoir un poste de maître de conf', mais pour ce qui est d'avoir le CAPES, je ne vois juste pas le rapport en fait.
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"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- dandelionVénérable
Poor poor Yorick? N'est-ce pas un peu sévère?Cripure a écrit:Mon dieu, pauvre Pauvre Yorick !
Ca doit être très gênant pour lire vos textes si ardus !
C'est le droit ou le gauche ?
- ParménideNeoprof expérimenté
Thalia de G a écrit:
Parménide, tu n'as pas répondu à ma question : qu'as-tu fait face aux sujets de concours pour Normale Sup ?
Je les ai affrontés normalement car je savais que j'étais en mesure de les affronter. Parce que j'avais bénéficié de la préparation adéquate. Tout simplement !
Sphinx a écrit:
Il me semble pourtant parfaitement évident que plus tu seras entraîné à lire du Bergson, plus tu auras de facilité à comprendre ce que raconte Bergson, y compris dans un texte de Bergson que tu ne connais pas. Plus tu auras lu de Platon, plus tu seras familier avec le vocabulaire et les concepts de Platon, et donc mieux tu comprendras Platon, y compris dans un texte que tu ne connais pas. Plus tu auras lu de philo anglaise du XVIIIe siècle, plus tu seras à l'aise avec les idées et le vocabulaire particulier de la philo anglaise du XVIIIe siècle. Je continue ?
Il y a environ 50 auteurs au concours
Et les "connaitre" (ce qui ne veut strictement rien dire...) n'a rien à voir avec le fait de savoir comment on procède fasse à un texte qu'on découvre. On le lit une fois, deux fois, éventuellement une troisième fois. Après quoi, on est obligé de rentrer dans le détail meme du texte pour en extraire la thèse. Et ça pour moi, c'est infaisable à meme le texte, je suis obligé de procéder à une simplification du texte sous la forme d'une sorte de schéma. Et là, pour ce texte de Bergson, pour la première fois de ma vie, je suis obligé de procéder à la simplification de la simplification... Autrement dit je ne sais pas ce que ça va donner.
En outre je ne sais pas comment déterminer le plan d'un texte. J'ai toujours été contraint de le faire de façon purement intuitive, et notamment à l'équilibre typographique. Je ne pense pas que ce soit très judicieux...DesolationRow a écrit:
C'est faux.
C'est insultant pour les étudiants qui, eux, réussissent les concours. Probablement parce qu'eux, en HUIT ans, ont trouvé le temps de lire des oeuvres complètes.
Non, c'est la pure vérité. Et c'est d'autant moins insultant que j'aurais aimé faire partie "des leurs" pour bénéficier de leurs avantages. Mais il se trouve que mon individualisme et ma façon d'etre d'une façon générale, ont fait que ça n'a pas été possible. Je m'en mords les doigts aujourd'hui.
Est ce que le fait de lire des œuvres durant 8 ans prépare aux épreuves du concours? Evidemment que non
Je me suis de toute façon bourré le crane durant x mois avec un manuel de terminale comportant 250 extraits. Je n'en ai retenu que des bribes, faute d'efficacité dans la façon de travailler. Et je suis assez convaincu aujourd'hui que la maitrise d'un ouvrage de ce type est susceptible de me faire avoir le concours
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- SphinxProphète
Parménide a écrit:DesolationRow a écrit:
C'est faux.
C'est insultant pour les étudiants qui, eux, réussissent les concours. Probablement parce qu'eux, en HUIT ans, ont trouvé le temps de lire des oeuvres complètes.
Non, c'est la pure vérité. Et c'est d'autant moins insultant que j'aurais aimé faire partie "des leurs" pour bénéficier de leurs avantages. Mais il se trouve que mon individualisme et ma façon d'etre d'une façon générale, ont fait que ça n'a pas été possible. Je m'en mords les doigts aujourd'hui.
Mais quels avantages, non d'un petit bonhomme ? Vas-y, liste-les, qu'on rigole deux minutes.
Est ce que le fait de lire des œuvres durant 8 ans prépare aux épreuves du concours? Evidemment que non
Evidemment que si. Seulement bon, tu es un expert pour ce qui est de savoir ce qui prépare au concours, vu que tu l'as eu. Oh, wait...
Je me suis de toute façon bourré le crane durant x mois avec un manuel de terminale comportant 250 extraits. Je n'en ai retenu que des bribes, faute d'efficacité dans la façon de travailler. Et je suis assez convaincu aujourd'hui que la maitrise d'un ouvrage de ce type est susceptible de me faire avoir le concours.
Oui oui oui, la preuve, une fois de plus, étant que ça a parfaitement fonctionné depuis huit ans. Franchement, moi aussi, si je lisais un livre d'extraits de tout et n'importe quoi, je n'en retiendrais rien. Mais bon, continue de tourner en rond autour de tes idées fixes (sur lesquelles on t'a répondu mille et mille fois), c'est sûr que ça te fera avancer.
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- WonderWomanBon génie
Il y aura FORCEMENT de l'aléatoire. Ta forme du jour, tes affinités avec le sujet, les autres candidats. Laisse-tomber, c'est un concours, tu ne peux pas maitriser ça.Parménide a écrit:Bon, plusieurs choses :Sphinx a écrit:1) Ca peut même valoir 1, 2, 3 points de moins sans concurrence, avec un autre correcteur ;
2) voilà le seul point des trois qui doit réellement t'inquiéter (la réponse est, ou s'approche de : en ayant une bonne habitude des textes et des auteurs en question, ce qui te rendra leurs mécanismes de pensée et leur vocabulaire plus familier)
3) aucun sujet n'est traitable sans connaissances, ou en tout cas pas de façon satisfaisante au niveau qui t'occupe.
Voilà exactement ce qu'il ne fallait pas écrire si l'on voulait sauvegarder la micro chance que je me rende aux épreuves en avril :
1) Il n'est pas question que je me rende à des épreuves pour lesquelles je risque d'avoir de faux espoirs en sortant. Je l'ai vécu une fois, ça m'a suffi. Si j'ai 10 en concours blanc, ou meme 12, je veux tout faire pour que cette valeur objective ne chute pas à une note qui se situera entre 5 et 9. Je ne dis pas que je veux etre sur d'etre reçu, puisque c'est impossible. Je dis juste que je veux réduire au maximum la part d'aléatoire et de hasard, et ça je pense que c'est possible. Il me faut l'exposé précis de comment le jury procède. Parce que que j'ai l'impression qu'il y a une clé derrière ça. Et même si ça me sert à rien, au moins ça me rassurera.
Quant aux faux espoirs, comment dire... On a tous, plus ou moins, l'espoir de réussir en passant un concours. L'échec fait partie du jeu.
Pour avoir une habitude, avant d'en avoir une bonne, il faut lire, lire, lire, lire, lire." C'est en forgeant ...."Parménide a écrit:
2) Je ne sais pas ce que ça veut dire avoir une bonne habitude des textes et des auteurs... En tous cas je constate les faits : je ne dispose pas d'autre chose pour l'instant , pour le commentaire de texte, que de ma méthode personnalisée, et qui est plus ou moins douteuse.
ça ne te choque pas, de vouloir ENSEIGNER une matière pour laquelle tu n'as que des connaissances très fragiles ?Parménide a écrit:
3) Ce n'est pourtant pas forcément ce qui se dégage des propos de mon correcteur et de mes récents travaux. J'ai des résultats situés dans une fourchette de 8-10 avec des connaissances très fragiles. Enfin, je sais même pas si ça a du sens de dire qu'elles sont fragiles tellement j'en utilise peu dans mes travaux. Donc je sais pas si le correcteur pourra vraiment statuer sur ma culture
Quand je pense que tu ne te sentais pas légitime d'enseigner les lettres... Qu'est ce que ça va être !
***
Mais tu racontes n'importe quoi ! Mais vraiment n'importe quoi !Parménide a écrit:
Pour la fac : je n'ai compris que très récemment que c'était un milieu qui fonctionnait pour l'essentiel au "copinage" et à l'esprit clanique, quasiment tribal. Par conséquent, c'était absolument incompatible avec mon état d'esprit, donc ma préparation ne pouvait aller qu'à la catastrophe. Les autres ont su se comporter en "courtisans" et en ont tiré tous les bénéfices. Pas moi, parfait , la leçon est retenue.
Je n'ai que très peu fréquenté la fac, parce que ça ne me convient pas. J'ai pourtant bien réussi - quand je préparais le concours certains profs m'ont demandé à ce que je fasse un M2R puis une thèse, j'ai dit non, je voulais bosser, je le regrette, c'est une autre histoire...
Et pourtant je n'ai copiné avec personne.
J'ai même été odieuse avec certains profs. En leur rentrant dans le lard. En les critiquant.
J'ai aussi souffert à la fac, car je ne me suis pas intégrée. L'esprit clanique, j'étais en dehors. Je n'ai courtisé personne. Je n'ai fait partie d'aucune tribu. J'ai même été malheureuse car j'avais l'impression d'être à côté de la plaque.
Et pourtant, j'ai réussi la licence, j'ai réussi le master pro... Et le concours. Je n'ai copiné avec personne.
Bref, une fois encore tu transformes ton manque de travail en incompétence de la fac. C'est lassant.
Comment le sais-tu ? As-tu déjà essayé de comprendre de l'économie ? T'y es-tu déjà intéressé, ne serait-ce qu'un peu ?Parménide a écrit:Gryphe a écrit:
As-tu cliqué dans le lien que je t'ai proposé avec les annales d'ADJAENES ? Juste cliqué dans le lien, par simple curiosité intellectuelle ?
Oui. Un texte portant sur des enjeux économiques, des problèmes contemporains, etc... Je ne vais pas du tout être un bon client pour ça ! Je suis aussi nul en économie qu'en maths.
Tu sais qu'on arrive à dépasser plein de choses en ... travaillant ?
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Vide dressing petite fille https://www.vinted.fr/membres/15210542-wiwiagathe
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- RoninMonarque
Mais c'est pas possible de faire un blocage pareil ! tu étais en mesure de présenter l'ENS mais pas le CAPES ? mais c'est du délire !!! en quoi une dissertation est différente pour l'ENS et pour le CAPES ?!?
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- ParménideNeoprof expérimenté
Ronin a écrit:Mais c'est pas possible de faire un blocage pareil ! tu étais en mesure de présenter l'ENS mais pas le CAPES ? mais c'est du délire !!! en quoi une dissertation est différente pour l'ENS et pour le CAPES ?!?
Mais je viens de répondre...
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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https://www.babelio.com/monprofil.php
- ShajarVénérable
Et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes... et la fac... et les notes...
Et Platon, nom d'un chien ?
(J'ai eu 7 à tous mes concours blancs l'année de l'agreg. Je dis bien TOUS, toutes matières confondues, sauf un 4 en géo sur un sujet pourri du CNED. Ben heureusement que j'ai été la passer ! Les notes pré-concours ne signifient rien, sinon ton état devant une copie à un instant T de ta préparation, sur tel sujet. La seule note qui compte, c'est celle du concours, et sur celle là tu n'as aucune prise, à part faire de ton mieux, bosser le mieux possible, et arriver le plus prêt possible.).
Et Platon, nom d'un chien ?
(J'ai eu 7 à tous mes concours blancs l'année de l'agreg. Je dis bien TOUS, toutes matières confondues, sauf un 4 en géo sur un sujet pourri du CNED. Ben heureusement que j'ai été la passer ! Les notes pré-concours ne signifient rien, sinon ton état devant une copie à un instant T de ta préparation, sur tel sujet. La seule note qui compte, c'est celle du concours, et sur celle là tu n'as aucune prise, à part faire de ton mieux, bosser le mieux possible, et arriver le plus prêt possible.).
- RoninMonarque
Mais en terme de méthode, une dissertation c'est une dissertation, point barre. Que tu présentes le capes, l'agreg, l'ens ou autre une dissert reste une dissert ! point barre.
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- RoninMonarque
A moins que ce soit un coup des Illuminati ?
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- sansaraModérateur
Ronin a écrit:A moins que ce soit un coup des Illuminati ?
Ne rigole pas, l'un de mes amis, recalé aux écrits du CAPES de lettres modernes, a affirmé que c'était sans aucun doute un complot des Francs-Maçons, parce qu'il y avait fait allusion dans sa copie et qu'ils l'avait sûrement saqué pour ça.
- RoninMonarque
Ah ben si, maintenant je crois qu'après mille conseils valables, bienveillants et pertinents, on a bien le droit de se marrer un peu.
Et pour résumer les concours, comme disait mon père " on ne veut pas les bons, on ne veut pas les très bons, on veut les meilleurs" le reste ce sont des excuses pour ne pas bosser. On a tous fait ça, hein, moi le premier, mais dans le secondaire, pas dans le supérieur, arrive un moment ou la maturité est sensée intervenir...ou pas.
Et pour résumer les concours, comme disait mon père " on ne veut pas les bons, on ne veut pas les très bons, on veut les meilleurs" le reste ce sont des excuses pour ne pas bosser. On a tous fait ça, hein, moi le premier, mais dans le secondaire, pas dans le supérieur, arrive un moment ou la maturité est sensée intervenir...ou pas.
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- philopoussinNiveau 8
Certifiés de philo, tous des veaux! Arrivistes, manipulateurs, illégitimes à enseigner, aux connaissances plus qu’incertaines, notant selon les caprices du moment, bientôt il s’agira de se baigner dans le sang de jeunes vierges lors des soirs de pleine lune, et de déguster des chatons (avec les poils) la veille du concours.
Parménide, merci de nous révéler au grand jour.
Sache tout de même que tu ne sais encore rien de l'épreuve secrète qui se tient juste à la fin de la leçon les jours pairs, à la fin de l’explication de texte les jours impairs. Celle-ci, on se l’est tous juré, on en dira rien.
Parménide, merci de nous révéler au grand jour.
Sache tout de même que tu ne sais encore rien de l'épreuve secrète qui se tient juste à la fin de la leçon les jours pairs, à la fin de l’explication de texte les jours impairs. Celle-ci, on se l’est tous juré, on en dira rien.
- SphinxProphète
Ah non mais je te rassure Philopoussin, on le savait déjà. Tu as oublié maîtres du pipeau et ne comprenant en réalité pas plus que leurs élèves qu'est-ce que l'auteur veut-il dire.
- Spoiler:
- :pas vrai:
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- ShajarVénérable
C'est surtout que le blocage, il ne se situe pas dans le concours, la notation, la fac, les copinages ou je ne sais quoi. Il se situe dans la tête de Parménide. Tant qu'il n'aura pas compris cela, il tournera en rond et tous nos conseils de vieux briscards des concours ne serviront à rien.
Franchement, jusqu'ici, je poussais Parménide à bosser, mais je crois que ce n'est pas le meilleur à lui conseiller. Il faut lui conseiller de s'arrêter, complètement, une semaine, de faire autre chose, de se vider la tête et de faire le point sur lui-même, si possible avec quelqu'un de vraiment formé pour l'aider (psychiatre, psychologue, psychotérapeute, médecin généraliste...). De se demander pourquoi il veut vraiment ce concours, sans se mentir à lui-même (non, ce n'est pas par amour de la philo, sans quoi, tu montrerais cet amour de la matière, tu lirais de la philo, tu parlerais de philo et pas de toi-même), et de là, ce qu'il veut vraiment, lui, faire de sa vie, et comment y arriver. L'obstacle est devant, a priori il est sautable, mais pas en faisant des zig-zag devant. Parfois, il est beaucoup plus difficile d'abandonner avant que de rentrer dans l'obstacle, quitte à se faire mal.
On ne peut rien pour toi, Parménide.
Franchement, jusqu'ici, je poussais Parménide à bosser, mais je crois que ce n'est pas le meilleur à lui conseiller. Il faut lui conseiller de s'arrêter, complètement, une semaine, de faire autre chose, de se vider la tête et de faire le point sur lui-même, si possible avec quelqu'un de vraiment formé pour l'aider (psychiatre, psychologue, psychotérapeute, médecin généraliste...). De se demander pourquoi il veut vraiment ce concours, sans se mentir à lui-même (non, ce n'est pas par amour de la philo, sans quoi, tu montrerais cet amour de la matière, tu lirais de la philo, tu parlerais de philo et pas de toi-même), et de là, ce qu'il veut vraiment, lui, faire de sa vie, et comment y arriver. L'obstacle est devant, a priori il est sautable, mais pas en faisant des zig-zag devant. Parfois, il est beaucoup plus difficile d'abandonner avant que de rentrer dans l'obstacle, quitte à se faire mal.
On ne peut rien pour toi, Parménide.
- philopoussinNiveau 8
Ronin a écrit:Ah ben si, maintenant je crois qu'après mille conseils valables, bienveillants et pertinents, on a bien le droit de se marrer un peu.
Et pour résumer les concours, comme disait mon père " on ne veut pas les bons, on ne veut pas les très bons, on veut les meilleurs" le reste ce sont des excuses pour ne pas bosser. On a tous fait ça, hein, moi le premier, mais dans le secondaire, pas dans le supérieur, arrive un moment ou la maturité est sensée intervenir...ou pas.
"Le capes de philo? Il y a beaucoup d'appelés, et peu d'élus"
Et si j’avais couiné...
- Thalia de GMédiateur
Voilà où je voulais en venir. De plus, Parménide, tu n'as pas craqué en situation de concours quand tu as passé l'ENS.Ronin a écrit:Mais en terme de méthode, une dissertation c'est une dissertation, point barre. Que tu présentes le capes, l'agreg, l'ens ou autre une dissert reste une dissert ! point barre.
Certes tu n'as pas été admis, malgré la préparation. Moi non plus. Dommage, j'avais du talent.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- WonderWomanBon génie
Mais pas les bonnes connexions, tu ne faisais pas partie de la tribu !Thalia de G a écrit:Voilà où je voulais en venir. De plus, Parménide, tu n'as pas craqué en situation de concours quand tu as passé l'ENS.Ronin a écrit:Mais en terme de méthode, une dissertation c'est une dissertation, point barre. Que tu présentes le capes, l'agreg, l'ens ou autre une dissert reste une dissert ! point barre.
Certes tu n'as pas été admis, malgré la préparation. Moi non plus. Dommage, j'avais du talent.
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Vide dressing petite fille https://www.vinted.fr/membres/15210542-wiwiagathe
Vide dressing sur néo : https://www.neoprofs.org/t128716-vd-fille-wonderwoman-du-3-mois-au-4-ans-sergent-major-jacadi-zara-dpam-kiabi-verbaudet#4954294
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- Le capes de philosophie et moi. Bilan
- Philosophie : Pourquoi mes copies de Capes ne m'ont-elles pas valu une bonne note ? Sénèque (capes 2012) et "L'art est-il un langage ?" (capes 2014)
- Bilan de l'agrégation de philosophie
- Le jury du CAFEP de philosophie est-il distinct du jury du CAPES de philosophie
- Le CAPES de Philosophie
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