- JPhMMDemi-dieu
Différencier ou différentier ?
(Pardon, blague de matheux)
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- JPhMMDemi-dieu
Noter pour soi-même: pourrir le prochain pedago en lui expliquant la fondamentale différence entre différentiation pédagogique et différenciation pédagogique.
*Rire*
Que ça nous occupe au moins une heure.
*Rire*
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- User5899Demi-dieu
Avec les IPR de Besançon, vous pouvez passer une heure sur conjoncture/conjectureJPhMM a écrit:Noter pour soi-même: pourrir le prochain pedago en lui expliquant la fondamentale différence entre différentiation pédagogique et différenciation pédagogique.
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- NormandyxNeoprof expérimenté
thrasybule a écrit:franchement, je crois que j'aurais détesté entendre expliquer Ferré, Brel, Sylvestre, Barbara et je ne parle pas du rap. Mettre en grille une émotion (sans oublier le fait qu'il faudrait faire une analyse musicologique que les profs de lettres n'ont pas), la réduire à des "champs lexicaux" ou à un impressionnisme affectif hyperglucidé m'aurait exaspéré.
+1 autant laisser cette torture de dissection à des écrits que les élèves délaisseront d'autant plus vite...
quoi que, n'ayant pas eu à les décortiquer mais juste à les lire, en apprendre des extraits en expliquant juste le vocabulaire et quelques questions de compréhension, j'ai encore plaisir à relire du Molière et que je suis même allé voir Phèdre, ce qui ne me serait pas arrivé dans mon milieu familial si on ne m'avait ouvert cette porte au collège, une pensée pour cette prof qui m'a supporté 3 ans, en français et en latin...
- roxanneOracle
En tout cas, je vois que le sort d'une petite élève de 4e congolaise , de son petit frère et de leur maman mobilise exactement 5 profs sur plus de 80 dans notre collège. Les grands esprits, les grandes gueules qui oeuvrent dans l'intérêt des zenfants par des Projets et qui vous font la leçon sont aux abonnés absents. ...
- PascalNiveau 9
roxanne a écrit:En tout cas, je vois que le sort d'une petite élève de 4e congolaise , de son petit frère et de leur maman mobilise exactement 5 profs sur plus de 80 dans notre collège. Les grands esprits, les grandes gueules qui oeuvrent dans l'intérêt des zenfants par des Projets et qui vous font la leçon sont aux abonnés absents. ...
Voici une preuve de plus. Pour ma part, j'ai toujours signé les pétitions pour que nos élèves étrangers puissent finir leurs études en France (deux fois je l'ai fait) et j'en suis fier.
- JohnMédiateur
Donc on met à la trappe toute la poésie destinée à être chantée ? On ne va plus en étudier beaucoup.thrasybule a écrit:franchement, je crois que j'aurais détesté entendre expliquer Ferré, Brel, Sylvestre, Barbara et je ne parle pas du rap. Mettre en grille une émotion (sans oublier le fait qu'il faudrait faire une analyse musicologique que les profs de lettres n'ont pas), la réduire à des "champs lexicaux" ou à un impressionnisme affectif hyperglucidé m'aurait exaspéré.
Quant à la fin de la phrase, elle s'applique à l'analyse littéraire d'une chanson comme à toute analyse de textes : quel texte peut-on analyser si on le "met en grille", le réduit à de champs lex. ou à un impressionnisme affectif hyperglucidé ?
Il n'y a pas d'argumentation dans des deux phrases : juste un "les profs de lettres qui font étudier des chansons sont des imbéciles parce que j'en ai décidé ainsi".
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- JPhMMDemi-dieu
Excellent.Cripure a écrit:Avec les IPR de Besançon, vous pouvez passer une heure sur conjoncture/conjectureJPhMM a écrit:Noter pour soi-même: pourrir le prochain pedago en lui expliquant la fondamentale différence entre différentiation pédagogique et différenciation pédagogique.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- thrasybuleDevin
Je me suis expliqué sur les raisons personnelles, dans un message en réponse à celui de JphMM, qui m'auraient amené à être rétif à toute analyse d'une chanson, je ne vais donc pas me répéter. J'ai également expliqué qu'il m'était arrivé d'étudier de chansons, en classe, notamment celle de Barbara. Tu te trompes complètement en pensant que je mépriserais les collègues qui font ce travail, je ne fais qu'évoquer ce qui aurait été pour moi une façon de déflorer la magie d'une oeuvre que je voulais laisser dans son mystère intact, quelle que soit la méthode employée, avec comme horreur ultime la réduction à des champs lexicaux ou de simples associations émotives. L'infinitif "prendre" n'avait pas de fonction généralisante . Je persiste néanmoins à affirmer, qu'une chanson, surtout dans le cas où l'auteur et le compositeur se confondent, comme les artistes que j'ai cités est une oeuvre où le travail mélodique, harmonique (je ne parle pas de la musicalité du langage) est aussi important que le texte: n'étudier que ce dernier évacue une grande part de la richesse de l'oeuvre, travail qui peut néanmoins être fait en collaboration avec le prof de musique, si c'est possible. Ta "traduction" de mon message est caricaturale, désobligeante à mon égard et parfaitement injuste. Je n'ai pas dit: "il est détestable de" mais utilisé deux termes hyperboliques et subjectifs renvoyant à ce que j'aurais ressenti comme élève. Nulle argumentation, donc, si ce n'est celui que j'ai rappelé plus haut à savoir le problème méthodologique qu'il y a à séparer ce qui dans une chanson est indissociable.John a écrit:Donc on met à la trappe toute la poésie destinée à être chantée ? On ne va plus en étudier beaucoup.thrasybule a écrit:franchement, je crois que j'aurais détesté entendre expliquer Ferré, Brel, Sylvestre, Barbara et je ne parle pas du rap. Mettre en grille une émotion (sans oublier le fait qu'il faudrait faire une analyse musicologique que les profs de lettres n'ont pas), la réduire à des "champs lexicaux" ou à un impressionnisme affectif hyperglucidé m'aurait exaspéré.
Quant à la fin de la phrase, elle s'applique à l'analyse littéraire d'une chanson comme à toute analyse de textes : quel texte peut-on analyser si on le "met en grille", le réduit à de champs lex. ou à un impressionnisme affectif hyperglucidé ?
Il n'y a pas d'argumentation dans des deux phrases : juste un "les profs de lettres qui font étudier des chansons sont des imbéciles parce que j'en ai décidé ainsi".
- auléricNeoprof expérimenté
pas mal , merci.mamieprof a écrit:J'utilise un titre de rap pour expliquer l'Habitus aux élèves je le trouve très clair sur cette notion parfois difficile à comprendre.
le genre de discours que mes élèves de SEGPA ne semblait pas comprendre dit par nous , mais qu'ainsi ils auraient surement admis.
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