Dernières nouvelles de la réforme des rythmes scolaires

Normandyx a écrit:On ne les entend plus la FCPE, en tout cas pas sur les rythmes, je crois qu'ils ont trouvé de nouveaux sujets à pourrir, la notation, les programmes, le redoublement etc... ils ont du boulot, d'autant que je me suis laissé dire que le nombre de votes était en baisse, mais il semblerait que tout le monde soit d'accord pour ne pas en parler...

Vite une ALERTE ENLEVEMENT !

Comment se fait-il que sur le site du ministère on ne trouve plus les résultats des élections de parents d'élèves ?????
L'année dernière on pouvait les trouver ainsi que ceux des années précédentes !

:shock:

may68 a écrit:

Normandyx a écrit:On ne les entend plus la FCPE, en tout cas pas sur les rythmes, je crois qu'ils ont trouvé de nouveaux sujets à pourrir, la notation, les programmes, le redoublement etc... ils ont du boulot, d'autant que je me suis laissé dire que le nombre de votes était en baisse, mais il semblerait que tout le monde soit d'accord pour ne pas en parler...

Vite une ALERTE ENLEVEMENT  !  

:diable:

may68 a écrit:Comment se fait-il que sur le site du ministère on ne trouve plus les résultats des élections de parents d'élèves ?????
L'année dernière on pouvait les trouver ainsi que ceux des années précédentes !

:shock:

Pourtant, le soir des élections, c'était urgentissime ! Il fallait communiquer immédiatement les résultats de chaque école...
Qu'a-t-il bien pu se passer ? Un bug géant ? Des électeurs étourdis qui auraient confondu les urnes avec des cahiers de doléances ???

Bon j'ai retrouvé ceux de l'an dernier , j'aurais dû chercher un peu mieux avant de soupçonner un complot ! :Oups:

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« Les Echos » dévoilent une enquête menée auprès de 22 grandes villes. Plus de la moitié se disent mécontentes.

La bataille des rythmes scolaires n'est pas terminée. A une semaine du Congrès des maires, les grandes villes montent au créneau une nouvelle fois. Selon une enquête que se sont procurée « Les Echos » et qui porte sur 22 grandes villes adhérentes de l'Association des maires des grandes villes de France (AMGVF), la moyenne du surcoût de la réforme se monte à 2 millions d'euros par an. Une somme qui, selon l'association, reste à la charge des grandes villes, après versement des aides de l'Etat, prestations de la Caisse d'allocations familiales (CAF) et participation des parents dans certains cas. Si l'aide de l'Etat n'est pas pérennisée, toutes les activités périscolaires deviendront payantes, prévient l'AMGVF.

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Rythmes scolaires : Strasbourg a réussi à préserver ses finances

Mais le semblant de consensus qui s’était dégagé est vite apparu inapplicable, à l’exception du mercredi. « On était parti sur l’hypothèse de deux ateliers d’une heure par semaine, mais les marchés lancés par la ville étaient infructueux, on n’avait même pas 50 % des animateurs qu’il fallait », regrette Françoise Buffet. Du coup, au lendemain des dernières élections municipales et après quelques ­consultations express, elle a relancé elle-même la procédure en écartant les classes maternelles et en réduisant les activités à un atelier de 1 h 30 par semaine autour de cinq thèmes (culture, art, sport, activité ludique, science/environnement), sachant que l’élève peut changer d’activité à chaque trimestre.

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donc 1h30 au lieu de 3h, rien pour les maternelles, astucieux ! En fait il suffit de diviser par 3 ou 4 ce que dépensent les communes qui appliquent vraiment la réforme tout en gardant les mêmes aides et hop on est dans les clous. Savent compter en Alsace !

Marseille à l'épreuve des rythmes scolaires

Le périscolaire relevant de la compétence de la mairie, Ali Saîb a tenu à préciser que « l’Etat ne peut que formuler auprès de la commune un volet de recommandations » notamment en ce qui concerne « une information plus claire et partagée vis-à-vis de l’ensemble des usagers de l’école ». Autre souhait émis par le recteur auprès de la commune, « la volonté de voir tous les territoires en difficulté sociale traités de la même manière qu’ailleurs par souci d’équité sur l’ensemble du territoire marseillais et académique ». Recommandation émise à juste titre au regard des disparités nord-sud en ce qui concerne la mise en place de la réforme, les quartiers nord de la ville ne bénéficiant toujours d’aucun dispositif, ni même de garderie.

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Nicolas Sarkozy veut abroger la réforme des rythmes scolaires

A dix jours du scrutin pour la présidence de l'UMP, le 29 novembre, Nicolas Sarkozy, engagé dans la course à la tête du parti, a promis mercredi soir à Mulhouse de faire abroger la réforme des rythmes scolaires s'il était réélu président de la République en 2017. "L'école, c'est pour apprendre à lire, à écrire, à compter, pas pour faire de la poterie (...) La mission première, ce n'est pas pour qu'ils aillent en périscolaire mais qu'ils aillent à l'école", a déclaré Sarkozy.

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parole, parole, parole, etc.

Rythmes scolaires haro sur les depenses

Dans moins d'une semaine aura lieu le Congrès des maires. L'enquête tombe à pic pour tenter d'exposer à l'Etat le malaise qui semble s'emparer de plus en plus des communes qui ne se sentent pas soutenues dans ce projet pour le moins épineux.

A un moment où l'Etat coupe dans ses aides allouées aux communes, le bilan fait mal. « Comment fera-t-on pour financer la réforme des rythmes scolaires, si l'Etat ne pérennise pas ses aides » ? s'interrogent certains élus. Le gouvernement l'a cependant promis : une discussion sur la dotation globale de fonctionnement pour 2015 aura lieu. L'occasion peut-être de rendre permanent le financement par l'Etat de la réforme des rythmes. Dans le cas contraire, ce sera sans doute aux parents de mettre la main à la poche.

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mettre la main à la poche encore plus pour être tout à fait exact.

pas mal de mairies ayant basculé à droite, pas besoin de dire qu'ils se feront un plaisir de mettre des bâtons dans les roues de cette réforme, ça ne leur coûte rien comme dit le petit guignol, pour autant, que les parents et les PE ne rêvent pas, le retour à 4 jours est tout à fait improbable, la prise en charge collective des frais de garderie ne résistera pas longtemps à la réduction des dotations aux communes et aux impératifs budgétaires. Attendez-vous à des surprises en 2016, une fois passées les régionales, les mairies pourraient bien avoir des corrections à faire dans les budgets qu'ils ont voté ou sur les engagements qu'ils ont pris.

Lyon, périscolaire: plus d'1 animateur sur 2 n'a pas le Bafa

La fréquentation est très variable suivant les arrondissements. C'est dans les quartiers populaires que l'inscription à l'accueil périscolaire est le plus faible. Seuls 57,7% des enfants du 9e arrondissement, par exemple, prennent part à l'accueil périscolaire, quand ils sont 68,8% dans le 2e.

Pour être dans les règles et obtenir l'agrément d'accueil de loisirs, il faut que 50% minimum des animateurs soient titulaires du Bafa, 30% en cours de formation, les 20% restants pouvant ne pas avoir de qualification. Or, Anne Brugnera reconnaît qu'à l'échelle de la ville il y a moins de 50% de titulaires du Bafa.

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Rythmes scolaires : la Ville de Lyon a dû faire face à une "rentrée hors norme"

"Nous n'avions pas fixé d'objectif, rappelle Anne Brugnera, adjointe au maire déléguée à l'éducation. Mais nous remarquons que les arrondissements présentant les taux d'inscription les plus faibles sont ceux où la sociologie est la plus populaire. Nous allons davantage aller vers les familles, mieux les informer et trouver les raisons pour lesquelles leurs enfants sont moins inscrits."

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Pour la ville le fait que ça soit payant n'a rien à voir bien entendu. C'est juste dommage que cette réforme ait l'effet inverse de celui annoncé, ce sont les classes populaires qui bénéficient le moins des activités périscolaires. Incroyable !

C'est quand même la définition d'une réforme PS ça.

Rythmes scolaires : plus que 10 jours pour demander l'aide du fonds d'amorçage

Mais pour cela, elles doivent en faire expressément la demande auprès de l'agence de services et de paiement (ASP). La date limite de dépôt des dossiers expire le 30 novembre. Il ne reste donc plus que dix jours aux communes retardataires pour se faire connaître. A défaut, elles ne pourront recevoir l'aide prévue. Cela concerne également les communes qui ont déjà bénéficié d'une aide de l’État en 2013-2014.

Selon le ministère, 16690 communes ont déjà reçu leur acompte. La totalité des acomptes doit être versée d'ici à la fin de l'année. Le versement du solde s’effectuera courant du deuxième trimestre de l'année prochaine.

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tictac, tictac, tictac ...

The Goon a écrit:Rythmes scolaires : la Ville de Lyon a dû faire face à une "rentrée hors norme"

"Nous n'avions pas fixé d'objectif, rappelle Anne Brugnera, adjointe au maire déléguée à l'éducation. Mais nous remarquons que les arrondissements présentant les taux d'inscription les plus faibles sont ceux où la sociologie est la plus populaire. Nous allons davantage aller vers les familles, mieux les informer et trouver les raisons pour lesquelles leurs enfants sont moins inscrits."

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Pour la ville le fait que ça soit payant n'a rien à voir bien entendu.   C'est juste dommage que cette réforme ait l'effet inverse de celui annoncé, ce sont les classes populaires qui bénéficient le moins des activités périscolaires. Incroyable !

et ceux qui ont les moyens ont du mal à caser les loisirs de qualité, parce que les TAP; ça reste de l'occupationnel, au mieux du centre aéré

Rythmes scolaires : Lyon, l’anti-modèle selon Jack Lang

"La réforme des rythmes scolaire était-elle nécessaire ?" l’interroge Christophe Bordet, rédacteur en chef de Sud Radio. "Non, ce qui était nécessaire, c’était le rétablissement de la demi-journée d’école supprimée par Xavier Darcos et le gouvernement Fillon. En revanche, je n’aurais pas procédé ainsi. Selon moi, l’art, les sports, doivent s’organiser dans le temps scolaire, à l’intérieur de l’école, et non pas être pris en charge par les collectivités. À Lyon, par exemple, ces activités n’ont lieu que le vendredi. À partir de vendredi midi, les élèves quittent donc l’école pour ne la retrouver que le lundi matin, et je ne parle pas de Marseille et des quartiers nord, c’est désastreux, désastreux…"

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Quand je vois qu'une collègue de CP perdra cette année 16 demi journées après midi pour aller à la piscine alors qu'elle ne fait que les accompagner dans le bus et surveiller du bord car elle ne sait pas nager, je pense que si la prise en charge se faisait dans le cadre scolaire par des éducateurs sportifs, ce serait bien plus efficace.
J'ai connu une commune avec des éducateurs sportifs qui intervenaient dans les classes, je participais aux ateliers, mais des collègues ne faisaient que le convoyage, et nous avons pu faire de l'escalade, de l'athlétisme, de la gym avec les agrès, une initiation à l'escrime et une au golf, c'était autre chose que ce que je peux faire, d'autant que je l'avoue, quand je suis fatigué, qu'ils sont énervés et que c'est la fin de semaine comme aujourd'hui, je squeeze la séance de sport parce que je ne me sens pas la pêche de les manager sur le terrain ou dans la salle et qu'il y a toujours un truc à finir en classe...
La prévention routière avec les gendarmes, c'est très bien aussi, le secourisme avec des secouristes etc... bref, si c'est pour nous remettre le mercredi matin et tous les jours jusqu'à 16h 30 plus les réunions bidon les formations alakon et toutes leurs inventions récentes et à venir, je dis que Lang peut rester couché. Heureusement que je rends bientôt le cartable parce outre la fatigue du job, la fatigue de subir toutes ces ***neries m'auraient fait canner avant l'age

Normandyx a écrit:Quand je vois qu'une collègue de CP perdra cette année 16 demi journées après midi pour aller à la piscine alors qu'elle ne fait que les accompagner dans le bus et surveiller du bord car elle ne sait pas nager, je pense que si la prise en charge se faisait dans le cadre scolaire par des éducateurs sportifs, ce serait bien plus efficace.
J'ai connu une commune avec des éducateurs sportifs qui intervenaient dans les classes, je participais aux ateliers, mais des collègues ne faisaient que le convoyage, et nous avons pu faire de l'escalade, de l'athlétisme, de la gym avec les agrès, une initiation à l'escrime et une au golf, c'était autre chose que ce que je peux faire, d'autant que je l'avoue, quand je suis fatigué, qu'ils sont énervés et que c'est la fin de semaine comme aujourd'hui, je squeeze la séance de sport parce que je ne me sens pas la pêche de les manager sur le terrain ou dans la salle et qu'il y a toujours un truc à finir en classe...
La prévention routière avec les gendarmes, c'est très bien aussi, le secourisme avec des secouristes etc... bref, si c'est pour nous remettre le mercredi matin et tous les jours jusqu'à 16h 30 plus les réunions bidon les formations alakon et toutes leurs inventions récentes et à venir, je dis que Lang peut rester couché.  Heureusement que je rends bientôt le cartable parce outre la fatigue du job, la fatigue de subir toutes ces ***neries m'auraient fait canner avant l'age

+1
Mais quand tu dis ça, certains instits lèvent les yeux au ciel pour conserver à tout prix les séances d'arts ou de sport. Comme toi, y'a clairement pas photo entre ce qu'on peut proposer, et ce que des pros peuvent mener…
Chez nous, c'est l'IEN qui refuse carrément que des profs du conservatoire de musique viennent à l'école (gratuitement pour la mairie en plus…).

Rythmes scolaires : le PS accuse Sarkozy de faire "un grand pas en arrière"

Des propos que le Parti socialiste dénonce dans un communiqué envoyé jeudi. Ce que Nicolas Sarkozy "n'ose pas dire aux Français, c'est son intention de revenir à la semaine de quatre jours, celle qu'il avait lui-même imposée quand il était au pouvoir et qui avait alors suscité le rejet unanime de la communauté éducative. (...) Derrière l'abrogation se cache en vérité un grand retour en arrière", soulignent Colombe Brossel et Yannick Trigance, secrétaires nationaux du PS, l'accusant aussi de promettre "un grand pas en arrière pour l'école".

Ben c'est vrai, le PS fait ce que voulait l'UMP, fait le gros du boulot, et Sarko dit qu'il veut revenir en arrière. On comprend leur déception.

"Ce que n'ose pas dire non plus Nicolas Sarkozy, c'est son intention de revenir en arrière, quand les activités périscolaires n'étaient réservées qu'aux seuls enfants dont les familles pouvaient les leur payer"

Ce que n'ose pas dire le PS c'est qu'avec cette réforme c'est encore pire qu'avant, il n'y a qu'à voir le récent bilan lyonnais.

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Les rythmes scolaires coutent un milliard d'euros

d'après l'AMF et chiffre repris par un sénateur UMP. Mais le journaliste d'Europe 1 n'y croit pas. Pourtant ça risque d'être plus.

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Rythmes scolaires : "Nous faisons le minimum légal" assume le maire

La mairie assume : « Nous faisons le minimum légal en accueillant les enfants en garderie, dit le maire, Roger Litaudon. La municipalité n’a pas les moyens de mettre en place des activités différentes adaptées à tous les enfants âgés de 3 à 11 ans. Nous ne pouvons pas offrir de réponse satisfaisante au besoin. Plutôt que de faire mal, nous préférons ne pas faire. »

Il en coûte 1,38 euro par enfant. Et si cet accueil est payant, c’est pour être aussi dissuasif, assume l'élu

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Un maire honnête sur la réforme c'est rare !

Rythmes scolaires : plus de cours le samedi en Seine-Maritime ?

L'Académie de Rouen, a fortiori la Seine-Maritime, compte, en proportion, bien plus de communes ayant choisi de faire travailler les enfants le samedi matin plutôt que le mercredi. Elles sont 90 en Seine-Maritime. Une décision qui a été obtenue grâce à une dérogation.

Selon la FSU et l'une de ses responsables Sandrine Duarte, "la nouvelle directrice d'Académie souhaiterait que toutes les communes passent au mercredi".

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Même les communes qui ont respecté les préconisations de l'Académie de médecine et des chronobiologistes vont devoir passer au mercredi. Le bal des hypocrites bat son plein.

J'ai l'impression que la journaliste s'est plantée, je suis dans l'académie de Rouen, la majorité des communes ont opté pour le mercredi, le samedi étant dérogatoire. Peut être y a t il eu plus de dérogations qu'ailleurs en proportion, mais à mon avis c'est un plantage de la journaliste ou une phrase mal foutue.  
Cette dérogation pose des problèmes matériels, pour les remplacements d'abord, et pour l'inspection ensuite qui se trouve obligée d'ouvrir au moins une permanence le samedi ET le mercredi, et en cas de problème grave, l'IEN doit toujours pouvoir être joint, voire même se déplacer...


Quant aux délires des chronobiologistes, ça me fait rigoler, les écoles privées étaient sur le rythmes 4,5 jours avec samedi matin libre depuis des années, des regroupements pédagogiques étaient sur la semaine de 4 jours avec grignotage des petites et grandes vacances depuis des années et on n'a jamais constaté que ces enfants étaient en difficultés scolaires ni ne souffraient de pathologies diverses.
Le mieux pour les enfants, ce sont des temps de loisirs intelligents avec leurs parents et des relations riches, et ça passe aussi par des temps de l'enfant synchronisés sur ceux des parents. Il va de soi que ceux qu'on laisse en bas de l'immeuble ou dans la cour jusqu'à la nuit tombante et/ou qui passe leurs journées à regarder la télé ou à astiquer le manche de leur console de jeux ne profiteront jamais ni d'un samedi matin ni d'un mercredi matin. Quand les 2 parents travaillent, le mercredi matin, école ou pas, c'est debout comme d'hab...

Je ne pense pas que la journaliste se soit plantée. De nombreuses petites communes ont opté pour le samedi matin. C'est le cas de mon canton, ce qui fait déjà 15 communes. Par contre, en nombre d'élèves, ce n'est pas la majorité, les grandes villes ayant davantage opté pour le mercredi.

The Goon a écrit:Rythmes scolaires : le PS accuse Sarkozy de faire "un grand pas en arrière"

Des propos que le Parti socialiste dénonce dans un communiqué envoyé jeudi. Ce que Nicolas Sarkozy "n'ose pas dire aux Français, c'est son intention de revenir à la semaine de quatre jours, celle qu'il avait lui-même imposée quand il était au pouvoir et qui avait alors suscité le rejet unanime de la communauté éducative. (...) Derrière l'abrogation se cache en vérité un grand retour en arrière", soulignent Colombe Brossel et Yannick Trigance, secrétaires nationaux du PS, l'accusant aussi de promettre "un grand pas en arrière pour l'école".

Ben c'est vrai, le PS fait ce que voulait l'UMP, fait le gros du boulot, et Sarko dit qu'il veut revenir en arrière. On comprend leur déception.

"Ce que n'ose pas dire non plus Nicolas Sarkozy, c'est son intention de revenir en arrière, quand les activités périscolaires n'étaient réservées qu'aux seuls enfants dont les familles pouvaient les leur payer"

Ce que n'ose pas dire le PS c'est qu'avec cette réforme c'est encore pire qu'avant, il n'y a qu'à voir le récent bilan lyonnais.

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Ben voilà, comme le PS ne repassera pas en 2017, nous sommes fixés, mais cela cache forcement quelque chose qui ne sera pas à notre avantage. Merci le PS! Ils nous mettent à terre et l'UMP nous achevera...


Quant au grand pas en arrière dont parle Colombe Brossel, n'en est-elle pas complice?('ce n'etait pas elle qui était chargée de l’éducation sous le règne de Bertrand Delanoë?)