- RoninMonarque
Tiens, pour une fois on est d'accord :shock:
- MarmontNiveau 9
Je suis aussi d'accord avec cela... (malheureusement).pmuller a écrit:Le truc, c'est que souvent, l'inspecteur est devenu inspecteur parce qu'il était très branché nouvelle pédagogie et syndiqué en conséquence (unsa, sgen). Vu qu'avant d'être inspecteur, il a été chargé de mission et s'est donc fait remarquer pour son oeuvre en faveur de l'innovation pédagogique. L'inspecteur choisissant le formateur, ou le formateur ayant auparavant oeuvré à l'iufm (qui a puisé ses anciens cadres dans les maîtres formateurs de l'école normale d'instituteurs), le tout a une certaine orientation :shock:
Par contre pour les ressentis sur les "formations" je ne suis pas aussi certain que cela soit aussi net. D'ailleurs, comment les appréhender depuis ces 8 dernières années ? Chacune bénéficiant parfois de modifications drastiques, difficile de faire progresser quelque chose dans ce contexte, non ?
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"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- frdmNiveau 10
Je ne vois vraiment pas le rapport entre le fait que certains enseignants-chercheurs sont avant tout chercheurs et la frustration d'étudiants n'ayant pas accédé à un poste de MC, pourrais-tu développer ?Tamerlan a écrit:J'ai connu des universitaires totalement planqués et aussi des universitaires très bons chercheurs mais très mauvais profs. Certains d'ailleurs ne cachent pas qu'ils sont avant tout chercheurs, que l'enseignement ne les intéresse pas et qu'ils le font parce que c'est une obligation de service. Cela vient-il de la frustration de nombreux étudiants de n'avoir pas pu intégrer la fac ?
- dededeNiveau 3
cet aprem j' ai du passer un partiel "renforcement disciplinaire" qui prépare en fait à une épreuve du capes, que j'ai obtenu en 2012....
- InvitéInvité
frdm a écrit:Je ne vois vraiment pas le rapport entre le fait que certains enseignants-chercheurs sont avant tout chercheurs et la frustration d'étudiants n'ayant pas accédé à un poste de MC, pourrais-tu développer ?Tamerlan a écrit:J'ai connu des universitaires totalement planqués et aussi des universitaires très bons chercheurs mais très mauvais profs. Certains d'ailleurs ne cachent pas qu'ils sont avant tout chercheurs, que l'enseignement ne les intéresse pas et qu'ils le font parce que c'est une obligation de service. Cela vient-il de la frustration de nombreux étudiants de n'avoir pas pu intégrer la fac ?
En fait cela répondait à la question de la fascination/dénigrement. Il est étonnant que de nombreux néotitulaires encensent en permanence les enseignants-chercheurs y compris dans leur fonction d'enseignant alors qu'il ne sont assez souvent pas si bons que cela dans celle-ci. Au passage ça vaut aussi pour la formation continue : à combien de conférences décevantes (mal préparée) avons-nous pu assister, y compris avec de belles affiches? Donc je m'interroge. Jusqu'au concours l'univers d'un étudiant a été ce monde très particulier où la finalité est la recherche. Le rêve d'un grand nombre d'entre eux (d'entre nous) a pu être un jour d'y accéder et l'enseignement primaire ou secondaire une solution de repli. Et au lieu de prendre la mesure d'un nouveau métier à part entière les regards se portent en arrière sur cet ancien univers de référence. Avec peut-être un peu de reconstruction positive comme souvent avec la nostalgie. Bien sûr cela ne vaut pas pour tout le monde mais...
- User17706Bon génie
Mais il est difficile d'exclure totalement qu'entre dans ce diagnostic un peu de reconstruction négative. J'imagine que cela peut dépendre de quantité de choses, mais des EC qui « ne sont pas si bons [enseignants] que cela », je ne sais pas si je dirais qu'on en rencontre « assez souvent ». Je pense que j'opterais pour « assez rarement » s'il ne s'agissait que de décrire ma propre expérience (avec toutes les limites que cela enveloppe).Tamerlan a écrit:frdm a écrit:Je ne vois vraiment pas le rapport entre le fait que certains enseignants-chercheurs sont avant tout chercheurs et la frustration d'étudiants n'ayant pas accédé à un poste de MC, pourrais-tu développer ?Tamerlan a écrit:J'ai connu des universitaires totalement planqués et aussi des universitaires très bons chercheurs mais très mauvais profs. Certains d'ailleurs ne cachent pas qu'ils sont avant tout chercheurs, que l'enseignement ne les intéresse pas et qu'ils le font parce que c'est une obligation de service. Cela vient-il de la frustration de nombreux étudiants de n'avoir pas pu intégrer la fac ?
En fait cela répondait à la question de la fascination/dénigrement. Il est étonnant que de nombreux néotitulaires encensent en permanence les enseignants-chercheurs y compris dans leur fonction d'enseignant alors qu'il ne sont assez souvent pas si bons que cela dans celle-ci. Au passage ça vaut aussi pour la formation continue : à combien de conférences décevantes (mal préparée) avons-nous pu assister, y compris avec de belles affiches? Donc je m'interroge. Jusqu'au concours l'univers d'un étudiant a été ce monde très particulier où la finalité est la recherche. Le rêve d'un grand nombre d'entre eux (d'entre nous) a pu être un jour d'y accéder et l'enseignement primaire ou secondaire une solution de repli. Et au lieu de prendre la mesure d'un nouveau métier à part entière les regards se portent en arrière sur cet ancien univers de référence. Avec peut-être un peu de reconstruction positive comme souvent avec la nostalgie. Bien sûr cela ne vaut pas pour tout le monde mais...
- frdmNiveau 10
Tamerlan a écrit:
En fait cela répondait à la question de la fascination/dénigrement. Il est étonnant que de nombreux néotitulaires encensent en permanence les enseignants-chercheurs y compris dans leur fonction d'enseignant alors qu'il ne sont assez souvent pas si bons que cela dans celle-ci. .
On rencontre beaucoup plus souvent des formateurs pas très bons que des EC moyens. Aucune idéalisation de ma part, j'ai démissionné d'un poste avant de passer l'agreg.
- InvitéInvité
pmuller a écrit:Le truc, c'est que souvent, l'inspecteur est devenu inspecteur parce qu'il était très branché nouvelle pédagogie et syndiqué en conséquence (unsa, sgen). Vu qu'avant d'être inspecteur, il a été chargé de mission et s'est donc fait remarquer pour son oeuvre en faveur de l'innovation pédagogique. L'inspecteur choisissant le formateur, ou le formateur ayant auparavant oeuvré à l'iufm (qui a puisé ses anciens cadres dans les maîtres formateurs de l'école normale d'instituteurs), le tout a une certaine orientation :shock:
Cela arrive bien sûr. En même temps aucun de mes trois inspecteurs disciplinaires actuels n'a eu ce parcours syndical. Et les IG qui les recrutent viennent très majoritairement des prépas et de l'université. Par contre pour mon ESPE local le SGEN est dominant, mais avec une représentation du SNESUP non négligeable.
- Pedro CordobaNiveau 7
Composition du Conseil d'école de l'Espé de Créteil : sur 30 membres, 5 sont nommés par la rectrice (dont 3 inspecteurs). 3 inspecteurs sur 30 membres : la belle majorité que voilà!
A noter que parmi les 5 nommés par la rectrice, il y a Alain Bouvier, ancien recteur, ancien Président de la CDIUFM, pédago de choc et actuel président du Conseil d'Ecole. Un conflit entre les rectorats et les ex-IUFM?
A part ça le dernier témoignage sur mon blog : une stagiaire non seulement titulaire d'un master professionnel d'enseignement mais lauréate du concours 2013 en report de stage l'an dernier. Menacée de non-titularisation si elle n'assiste pas au tronc commun du DU + 2 UE dont une en langue et informatique bien qu'elle soit aussi titulaire du CLES 2 et du C2i2e. Assistance aux cours et aux examens obligatoire : le jeudi elle doit faire 400 km en voiture pour 2 heures de cours. Cela se passe à Reims. Composition du Conseil d'Ecole de l'Espé de Reims : sur 30 membres, 6 sont désignés par le recteur dont un inspecteur, un seul. Majorité écrasante encore une fois.
A noter que parmi les 5 nommés par la rectrice, il y a Alain Bouvier, ancien recteur, ancien Président de la CDIUFM, pédago de choc et actuel président du Conseil d'Ecole. Un conflit entre les rectorats et les ex-IUFM?
A part ça le dernier témoignage sur mon blog : une stagiaire non seulement titulaire d'un master professionnel d'enseignement mais lauréate du concours 2013 en report de stage l'an dernier. Menacée de non-titularisation si elle n'assiste pas au tronc commun du DU + 2 UE dont une en langue et informatique bien qu'elle soit aussi titulaire du CLES 2 et du C2i2e. Assistance aux cours et aux examens obligatoire : le jeudi elle doit faire 400 km en voiture pour 2 heures de cours. Cela se passe à Reims. Composition du Conseil d'Ecole de l'Espé de Reims : sur 30 membres, 6 sont désignés par le recteur dont un inspecteur, un seul. Majorité écrasante encore une fois.
- MarmontNiveau 9
Faut aller jusqu'au bout... De quelle manière les autres membres se "retrouvent" dans le CE de cette ESPE (comme toutes les autres d'ailleurs) ?Composition du Conseil d'école de l'Espé de Créteil : sur 30 membres, 5 sont nommés par la rectrice (dont 3 inspecteurs). 3 inspecteurs sur 30 membres : la belle majorité que voilà!
Réponse :
http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525403&dateTexte=&categorieLien=cid
Moins de la moitié du Conseil d'Ecole d'une ESPE est composé de représentants de ses "usagers" (enseignants, enseignants-chercheurs, agents et étudiants) - éclatés dans plusieurs collèges se court-circuitant -; plus de la moitié de personnes extérieures, le plus souvent nommées par le rectorat.
Comme instance représentative on aura connu plus démocratique !
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"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- Pedro CordobaNiveau 7
Marmont a écrit:Faut aller jusqu'au bout... De quelle manière les autres se "retrouvent" dans le CE de cette ESPE (comme toutes les autres d'ailleurs) ?Composition du Conseil d'école de l'Espé de Créteil : sur 30 membres, 5 sont nommés par la rectrice (dont 3 inspecteurs). 3 inspecteurs sur 30 membres : la belle majorité que voilà!
La moitié (15 sur 30) sont élus sur des listes syndicales parmi les enseignants, les formateurs, les personnels, les étudiants, d'autres sont désignés par les collectivités territoriales, par les universités de l'académie, etc. Il est donc totalement impossible que les recteurs et/ ou les inspecteurs contrôlent quoi que ce soit dans les Espé. Si aller jusqu'au bout, signifie que les enseignants, les enseignants-chercheurs, les formateurs, etc. ont été nommés par les recteurs, je veux bien mais comme tout le monde est nommé par un recteur dans l'éducation nationale, je ne vois pas où cela nous mène. Moi-même j'ai été nommé par un recteur ou directement par un ministre, je n'en sais rien et je m'en fous. Mais personne n'a jamais exercé la moindre influence, le moindre contrôle ou la moindre pression sur moi. Et celui ou celle qui aurait essayé se serait cassé les dents. Les profs de prépa sont choisis par les IG. Et alors? ça les empêche de faire des cours ultra-disciplinaires même si celui qui les a nommés fait partie de la camarilla des pédagos? Et le directeur de l'ENS, il est pas nommé? Et le général qui dirige l'X il est pas nommé? Une fois qu'on est nommé quelque part, on a quand même une marge de liberté, non? Ou alors tous les profs de France sont-ils des esclaves aux ordres d'un recteur ou d'un inspecteur?
Vous n'arrêtez pas de dire que les Espé sont des "coquilles vides" aux mains des recteurs et des inspecteurs qui ont la majorité dans les Conseils d'Ecole. Je vous dis que c'est FAUX. Et j'ajoute qu'une fois qu'un directeur est choisi puis nommé il constitue sa petite équipe qui, pour le coup, est vraiment à ses ordres, et que le Conseil d'Ecole est la plupart du temps une simple chambre d'enregistrement. Il en va d'ailleurs de même avec les présidents d'université. Quand ils sentent qu'ils peuvent avoir une difficulté avec l'un des conseils, ils créent un "comité de pilotage" avec des personnes dévouées à leur cause et ils font passer ce qu'ils veulent. Parfois ça rate évidemment mais c'est très rare.
Pedro Cordoba, homme de l'âge de pierre, tralala tralalère.
Et qui ne connaît rien au monde actuel, pouet, pouet.
- MarmontNiveau 9
Une belle synthèse de cette dernière intervention... en tout cas, le plus proche de la réalité de toute cette sortie ! :diable:Pedro Cordoba a écrit:
Pedro Cordoba, homme de l'âge de pierre, tralala tralalère.
Et qui ne connaît rien au monde actuel, pouet, pouet.
Le reste est vide, comme toujours, sans aucune connaissance précise. Par exemple le "collège D" est composé de formateurs directement placés là par les corps d'inspection. Et hop, plus que 13. A cela il faut faire la part des choses : 4 ou 6 étudiants, on prendra souvent 4. Tiens, plus que 11 sur 30 pour celles et ceux qui sont directement concernés !
Je ne m'attarde pas sur la pirouette qui consiste à dire que tout le monde dépend du ministère et du rectorat... :shock: (on ne sait trop s'il faut en rire ou en pleurer !)
En tout cas, on est bien loin de vos affirmations initiales qui faisaient passer les ESPE pour des lieux irresponsables et capables de forcer fonctionnaires-stagiaires, étudiants, tuteurs(vous en appeliez même aux IPR pour être leur garde-fou... :lol: ) et toutes les autres UFR de l'Université, etc., et leurs directeurs pour d'horribles dictateurs, démoniaques et omnipotents :diable: (ceux là mêmes qui sont désignés dans les cabinets ministériels ! )
Pour en revenir au cadre du sujet : inutile donc pour les étudiants d'aller râler là-bas, même soutenus par les enseignants, ils sont tous minoritaires et doivent subir des volontés qu'ils ne pourront jamais changer.
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- Pedro CordobaNiveau 7
Je laisse les membres du forum le soin de décider lequel de nous deux dit des choses complètement vides.
- MarmontNiveau 9
Au moins le poisson est noyé de façon plus courtoise qu'à l'habitude ! :lol:
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- dededeNiveau 3
Ha! ça faisait longtemps....
- User5899Demi-dieu
Toutes ces joyeusetés dans la section "enfance"
- Pedro CordobaNiveau 7
Marmont a écrit:
Par exemple le "collège D" est composé de formateurs directement placés là par les corps d'inspection. Et hop, plus que 13. A cela il faut faire la part des choses : 4 ou 6 étudiants, on prendra souvent 4. Tiens, plus que 11 sur 30 pour celles et ceux qui sont directement concernés !
Comptes d’apothicaire ! Après que Marmont nous a dit, redit et reredit que les IPR ont la majorité dans les Espé et qu’il m’a accusé pour la nième fois de n’avoir « aucune connaissance précise » du dossier, je lui donne les chiffres… précis : 2 inspecteurs sur 30 membres du conseil d’école à Créteil, 1 sur 30 à Reims. Super comme majorité ! Pour se défendre, Marmont s’avance alors dangereusement dans la voie du la théorie du complot et « précise » sans sourciller que tous les formateurs Espé, ayant été choisis par les IPR, ils sont évidemment à leur solde. C’est très gentil pour les formateurs de l’Espé sauf que cela ne renforce l’armée des IPR que de 4 troufions au maximum : 6 en tout à Créteil, 5 en tout à Reims. On est encore loin, très loin de la majorité absolue.
Marmont change alors subrepticement son fusil d’épaule et fait les comptes à l’envers : tous ceux qui ne sont pas représentants élus du corps enseignant des Espé (à l’exclusion des formateurs agents-doubles, à la solde de qui vous savez), du personnel technique et administratif et des étudiants – en tout 11 ou 12 élus – viennent prêter main forte à l’armée d’invasion des Inspecteurs. Un peu de poudre de perlimpinpin et, grâce à ce tour de passe-passe, les IPR ont enfin… la majorité. Sauf qu’il faut alors compter parmi les réservistes de l’armée d’invasion montés en première ligne:
- Les 4 personnalités nommées par les collectivités territoriales
- Les 5 personnalités nommées par les différentes universités
- Les 3 ou 4 personnalités nommées par le rectorat (autres que les Inspecteurs)
- Les 2 personnalités nommées choisies par le Conseil d’école lui-même.
C’est grâce à ce renfort inattendu de toutes les personnalités nommées par différentes instances de pouvoir (14 ou 15 selon les cas), que Marmont arrive enfin à justifier sa thèse rocambolesque : les Espé sont la simple courroie de transmission de l’Inspection !
Ça, c’est vraiment du sérieux ! Irréprochable du côté « compétences en calcul » et irréprochable du point de vue « honnêteté intellectuelle ». Pour le calcul, il existe des "remédiations cognitives" : je suggère un stage d’un an dans une classe SLECC. Mais pour l’honnêteté intellectuelle, je ne vois pas de solution : les historiens de Cayenne ont montré que même un séjour prolongé au bagne n’augmentait pas les compétences morales des individus.
- MarmontNiveau 9
Non, j'ai écrit le rectorat. Bien entendu les services de la DAFOR y sont représentés - entre autres - et c'est le plus souvent les corps d'inspection qui gèrent sur le terrain les choses. C'est certain que pour quelqu'un qui cite encore ses souvenirs des années 1970 - et leur donne force d'argument - c'est assez délicat à comprendre.Après que Marmont nous a dit, redit et reredit que les IPR ont la majorité dans les Espé
Je n'ai jamais "changé mon fusil d'épaule", j'ai toujours écrit que les Conseils d'Ecole des ESPE n'étaient pas composé en majorité de leurs représentants. Ce qui est le cas : vous pouvez mêler la contorsion et l'ironie dans tous les sens, cela ne changera rien à ce point.
Marmont change alors subrepticement son fusil d’épaule et fait les comptes à l’envers : tous ceux qui ne sont pas représentants élus du corps enseignant des Espé (à l’exclusion des formateurs agents-doubles, à la solde de qui vous savez), du personnel technique et administratif et des étudiants – en tout 11 ou 12 élus
Point de théorie de complot - vous n'avez pas encore déteint sur les autres... -, j'ai uniquement écrit cela en réponse à vos affirmations fantaisistes sur la toute puissance des ESPE et de leur direction, capables de mettre, selon vous, au pas tout le monde : universités, rectorats et ministère compris. Face à une telle ânerie, on ne pouvait rester sans rappeler les faits et la loi. Ces faits illustrent bien que les ESPE sont bien loin d'être toutes puissantes, puisque sous tutelle double : direction et CE sous tutelle des rectorats, finances sous tutelle des Universités autonomes.
Donc, vos élucubrations d'expert autoproclamé sont réduites à néant. Ce n'est pas en jouant sur les mots de manière ironique que l'essentiel pourra être ignoré !
Enfin, même si cela ne peut se prouver entièrement par les textes, elles demeurent bien dans les faits (pardon, vous ne pouvez pas savoir, l'île du Diable ne comporte pas ce genre de "remise à niveau") des "coquilles vides", écartées entre leurs deux tuteurs, ne vous en déplaise.
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- Pedro CordobaNiveau 7
Basta. Rectorat ou inspection peu importe : cela fait en tout et pour tout 5 ou 6 représentants nommés sur les 30 membres des CE. Même en y ajoutant les 4 formateurs agents-doubles, cela ne fait pas une majorité. Or c'est cela que vous n'arrêtez pas d'affirmer en dépit de la réalité et du simple bon sens. Car le bon sens, c'est justement que toutes les instances de ce type sont composées de telle sorte qu'il y ait un équilibre entre les différentes parties concernées.
Dans la réalité quotidienne du fonctionnement des Espé, ceux qui commandent ce sont les directeurs et leurs équipes de collaborateurs. Ce sont eux qui ont obtenu du ministère la mention des DU et des AEU ( dont l'expert que vous êtes avait d'abord proclamé l'inexistence). Pourquoi? parce que le président du Comité de suivi des Espé est en même temps le créateur des Espé et le recteur de Grenoble, qu'il a 3 ou 4 casquettes, l'oreille de Bonnafous et de Fioraso, que Najat V-B n'y comprend rien et que cela ne l'intéresse pas, etc. Et pourquoi il a fait ça, le Filâtre? Parce qu'il s'est aperçu en juillet dernier que ses prévisions étaient fausses, que son beau navire faisait eau de toutes parts, que les stagiaires déjà titulaires d'un master était la grande majorité et que si l'on ne les obligeait pas à suivre les enseignements du MEEF 2, eh bien les Espé devaient fermer leurs portes. Avez-vous répondu à cet argument qui est le seul qui compte pour moi? Non, jamais. Or c'est à cause de cela, et seulement à cause de cela que les stagiaires vivent un enfer. Mais vous préférez embrouiller tout le monde avec vos salades sur la bureaucratie interne des Espé et en plus vous vous plantez dans vos comptes.
Quant à mes prétendus "souvenirs" des années 70 :
1. je n'en ai aucun parce qu'à l'époque j'étais étudiant et que je ne m'intéressais pas le moins du monde à la formation des maîtres.
2. Parce que de toute façon, les problèmes de l'époque n'avaient strictement rien à voir avec ceux d'aujourd'hui. En fait il n'y avait aucun problème parce que les IUFM n'existaient pas et que les problèmes ont donc commencé en 1991.
2. parce que j'ai commencé à m'intéresser à tout ça en 1998-1999 lorsque je suis revenu dans une fac française après 15 ans d'étranger et un détachement au CNRS. Mon premier contact avec l'IUFM ayant été assez rugueux, j'avais voulu savoir d'où sortaient ces abrutis et ce qu'ils voulaient. C'est donc dans les années 2000, 30 ans après la date que vous choisissez parce que ça vous arrange, que j'ai commencé à réfléchir vraiment sur les IUFM et leurs avatars.
J'avais déjà précisé ces petits éléments biographiques mais vous préférez faire semblant de ne pas avoir lu pour pouvoir continuer à me traiter d'homme "de l'âge de pierre." C'est d'ailleurs pour ça que je vous envoyais casser des cailloux... Tralala, tralalère, pouet, pouet.
Dans la réalité quotidienne du fonctionnement des Espé, ceux qui commandent ce sont les directeurs et leurs équipes de collaborateurs. Ce sont eux qui ont obtenu du ministère la mention des DU et des AEU ( dont l'expert que vous êtes avait d'abord proclamé l'inexistence). Pourquoi? parce que le président du Comité de suivi des Espé est en même temps le créateur des Espé et le recteur de Grenoble, qu'il a 3 ou 4 casquettes, l'oreille de Bonnafous et de Fioraso, que Najat V-B n'y comprend rien et que cela ne l'intéresse pas, etc. Et pourquoi il a fait ça, le Filâtre? Parce qu'il s'est aperçu en juillet dernier que ses prévisions étaient fausses, que son beau navire faisait eau de toutes parts, que les stagiaires déjà titulaires d'un master était la grande majorité et que si l'on ne les obligeait pas à suivre les enseignements du MEEF 2, eh bien les Espé devaient fermer leurs portes. Avez-vous répondu à cet argument qui est le seul qui compte pour moi? Non, jamais. Or c'est à cause de cela, et seulement à cause de cela que les stagiaires vivent un enfer. Mais vous préférez embrouiller tout le monde avec vos salades sur la bureaucratie interne des Espé et en plus vous vous plantez dans vos comptes.
Quant à mes prétendus "souvenirs" des années 70 :
1. je n'en ai aucun parce qu'à l'époque j'étais étudiant et que je ne m'intéressais pas le moins du monde à la formation des maîtres.
2. Parce que de toute façon, les problèmes de l'époque n'avaient strictement rien à voir avec ceux d'aujourd'hui. En fait il n'y avait aucun problème parce que les IUFM n'existaient pas et que les problèmes ont donc commencé en 1991.
2. parce que j'ai commencé à m'intéresser à tout ça en 1998-1999 lorsque je suis revenu dans une fac française après 15 ans d'étranger et un détachement au CNRS. Mon premier contact avec l'IUFM ayant été assez rugueux, j'avais voulu savoir d'où sortaient ces abrutis et ce qu'ils voulaient. C'est donc dans les années 2000, 30 ans après la date que vous choisissez parce que ça vous arrange, que j'ai commencé à réfléchir vraiment sur les IUFM et leurs avatars.
J'avais déjà précisé ces petits éléments biographiques mais vous préférez faire semblant de ne pas avoir lu pour pouvoir continuer à me traiter d'homme "de l'âge de pierre." C'est d'ailleurs pour ça que je vous envoyais casser des cailloux... Tralala, tralalère, pouet, pouet.
- MarmontNiveau 9
Incapable de répondre sur le fond (et ce sont à nouveaux les directeurs d'ESPE qui ont demandé les DU ! ) - toujours aussi mauvais en calcul ! :lol: - vous nous servez maintenant votre biographie ( aucun rapport avec le sujet et le post précédent) en guise de réponse ! Et le vieux complot reprend de plus belle dans la méconnaissance profonde de tout ce qui s'est passé ces 3 derniers mois, mais heureusement il y a des noms un peu connus, histoire de donner force à un savoir aiguisé devant un écran d'ordinateur.
De mieux en mieux ! :shock:
Vaut mieux ne pas poursuivre, car l'étape suivante avec vous rime assez souvent avec des noms d'oiseaux... :|
De mieux en mieux ! :shock:
Vaut mieux ne pas poursuivre, car l'étape suivante avec vous rime assez souvent avec des noms d'oiseaux... :|
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"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- dededeNiveau 3
vous voulez pas arrêter de noyer les infos utiles avec vos conneries?
- MarmontNiveau 9
Si savoir qui fait quoi actuellement en direction des fonctionnaires-stagiaires est une "connerie" (:shock:) , alors oui on va en rester là.
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"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- COCOaineHabitué du forum
A la rigueur ça mériterait un sujet spécial...
Car mine de rien ça s'éloigne de ce que recherche les stagiaires...
Car mine de rien ça s'éloigne de ce que recherche les stagiaires...
- henrietteMédiateur
Marmont et Pedro Cordoba, tout le monde a saisi depuis un certain temps que vos visions sont diamétralement opposées. Ce n'est pas le fil approprié pour croiser le fer. Il y en a deux ou trois autres où vous pouvez poursuivre vos confrontations sur le sujet (voire en ouvrir un autre, si c'est vraiment du neuf). Merci.
- COCOaineHabitué du forum
Je suis ému, pour une fois ce n'est pas moi qui me fait modérer :shock:
- Points d'ex-contractuel pour les affectations des stagiaires et neo-titulaires ?
- ESPE : formation adaptée pour les titulaires d'un équivalent Master ??
- INSPE - Quelle formation pour les stagiaires déjà titulaires d'un M2
- [Grenoble-stagiaires] A quelle sauce serons-nous mangés ? (des nouvelles de la formation pour les titulaires d'un M2, frais de déplacements etc)
- [Stagiaires] Faut-il obligatoirement un master MEEF pour être titularisé ?
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