- JPhMMDemi-dieu
Avec Andy Warhol.
- Spoiler:
- retraitéeDoyen
Si je comprends bien, tu n'as guère bossé en Khâgne parce que tu savais que tu n'aurais pas le concours, et maintenant, tu ne bosses pas plus en pensant que tu n'auras pas le CAPES ? Tu persévères dans les conduites inadéquates (comme Sheila)
- retraitéeDoyen
Looping, as-tu nettoyé les écuries de Gorgias ?
Je ne cesse de couper les têtes de l'hydre, mais elles repoussent !
Private joke !
Je ne cesse de couper les têtes de l'hydre, mais elles repoussent !
Private joke !
- GrypheMédiateur
Erreur de logique.Je n'ai pas osé insister pour cuber. J'aurais du... Parce que si j'avais été normalien j'en serais pas là aujourd'hui !
Il faut arrêter de regarder le passé et te donner toutes les chances, aujourd'hui, de te relever de tout cela. Mais ce n'est possible que si tu t'en donnes vraiment les moyens (autonomie matérielle et financière par rapport à ta famille).
Tu ne peux comparer ta situation avec celle de jeunes étudiants qui consacrent 100% de leur temps à leurs études et les réussissent tôt.
Tu as 28 ans, il faut que tu puisses t'assumer financièrement par tous les moyens. Les petits jobs n'ont rien de honteux et peuvent booster une motivation. Quand tu auras un boulot et que tu n'auras plus que 2h par jour pour faire de la philo, tu n'en seras que plus efficace. Les contraintes rendent ingénieux et productifs.
- GrypheMédiateur
Parménide, derniers jours pour t'inscrire !
http://www.education.gouv.fr/cid73406/ambition-enseigner-inscrivez-vous-aux-concours-enseignants.html
http://www.education.gouv.fr/cid73406/ambition-enseigner-inscrivez-vous-aux-concours-enseignants.html
- JennyMédiateur
Je suis d'accord avec Gryphe. Il faut vraiment que tu sortes de ce type de raisonnement.
(J'ai eu le CAPES à 28 ans en bossant à côté )
(J'ai eu le CAPES à 28 ans en bossant à côté )
- ParménideNeoprof expérimenté
Gryphe a écrit:Parménide, derniers jours pour t'inscrire !
http://www.education.gouv.fr/cid73406/ambition-enseigner-inscrivez-vous-aux-concours-enseignants.html
Je suis déjà inscrit pour le capes. Pour rien, mais c'est fait.
Jenny a écrit:Je suis d'accord avec Gryphe. Il faut vraiment que tu sortes de ce type de raisonnement.
(J'ai eu le CAPES à 28 ans en bossant à côté )
je comprends très bien, tout ça est logique. Mais ma situation est si bizarre et si difficile que les "remèdes" traditionnels n'ont pas l'air d'être forcément pertinents...
_________________
"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
-----------
https://www.babelio.com/monprofil.php
- GrypheMédiateur
Mais il faut te dire que c'est pour quelque chose !Parménide a écrit:Je suis déjà inscrit. Pour rien, mais c'est fait.
En tout cas c'est bien pour l'inscription.
(Tu vois, j'ai pensé à toi tout de suite quand j'ai vu le communiqué passer. )
- ParménideNeoprof expérimenté
PauvreYorick a écrit:
La réponse de Sullien est bonne, pourtant (j'ai souligné « et relire »). Il faut ajouter que le processus de compréhension est infini, bien sûr, et que pour quelques œuvres particulièrement riches (dont le Gorgias fait clairement partie ainsi que l'Éthique à Nicomaque m'enfin bon) il est tout à fait douteux qu'il puisse jamais parvenir à un terme. Mais ça n'est pas grave du tout, c'est normal. Jamais je n'oserais dire que je comprends à fond ce dialogue (ni aucun des dialogues de Platon, alors que ça fait 25 ans que je les lis).
Le processus de compréhension est infini : mais que signifie en réalité comprendre un texte philosophique? Cela va plus loin que la compréhension littérale non? C'est aussi dégager la logique et la structure de ce qu'on lit. C'est pour ça que je me demandais si mes lectures devaient se faire sur le meme modèle que l'épreuve de commentaire du concours : dégager le thème, la thèse, le problème, des parties, etc...
PauvreYorick a écrit:Hélips a raison (de penser que Spĥinx a raison )Hélips a écrit:Autour de la page 30 de ce sujet :Sphinx a écrit:
Tu lis un livre, et au bout d'un chapitre, ou d'une dizaine de pages, selon l'organisation et la touffeur du bouquin, tu le reposes et tu réfléchis à ce que tu viens de lire. Puis tu prends une feuille et tu notes ce que tu as compris / retenu et ce que tu en penses. Si tu n'as rien compris, rien retenu, et que tu n'en penses rien, tu es bon pour recommencer ta lecture (j'énonce des évidences, là). J'insiste : pas en lisant : après. Normalement, quand tu as fini le livre, tu l'as compris et retenu. Et par retenir, j'entends retenir des thèmes, des idées, des concepts, pas des citations par coeur qui ne sont la plupart du temps que la tenue de camouflage d'une pensée pauvre.
Sans blague, ça me paraît un conseil tout à fait intéressant. (C'est moi qui ai souligné.)
1. Ouais parce qu'à force ─ comme JPhMM l'a dit après d'autres et sûrement mieux que d'autres, c'est de la pure perte de temps de se demander quand on sera prêt à commencer à commencer à commencer à commencer ad lib.
Si j'écris après ma lecture, je vais avoir une compréhension beaucoup trop lacunaire du texte, sans progression ni structure argumentative ni rien... Et le fait est que Tinland, si je lis bien, dit que l'exercice de commentaire et la mise en tête des textes lors de la préparation sont une seule et même chose.
Quand je lis des textes de Platon, je pars toujours du principe que la seule chose à retenir c'est ce que dit Socrate vu que c'est lui et lui seul le porte-parole de Platon (tous les autres étant des sophistes). Donc là par exemple, dans le Gorgias, même si je lis tout je me concentre surtout sur ce que dit Socrate et non les autres.
Ce qui me perturbe dans les textes philosophiques qui ont un aspect fragmentaire , comme les dialogues, c'est la difficulté qu'il y a à trouver un mode de gestion et d'analyse. Ce serait exactement le même problème si pour le concours ou même simplement dans un recueil, je tombe sur une suite d'aphorismes de Nietzsche ou de Wittgenstein Quelle méthode ici?
Par rapport à ce qu'il faut savoir : je connais bien maintenant ta position sur la question (et tu dois ne plus savoir comment tu t'appelles à force de me répondre sur ça...) mais pour moi le problème demeure toujours et encore :
-Ou bien je me consacre à des choses très ciblées (par exemple esthétique et métaphysique, et je serai coincé si je tombe par exemple sur philosophie des sciences !)
-Ou bien j'acquiers une connaissance superficielle et fragile de tout (et au mieux je ferai état de "digests sommaires et incomplets" pour reprendre la formule de Tinland
Pour moi, la solution n'existe pas . A moins de se préparer pendant 35 ans...
C'est la raison pour laquelle j'ai limite envie de ne plus me préoccuper d'aucune source. Et de procéder juste par culture générale. Ne dit-on pas après tout que le concours n'est jamais un contrôle de connaissances?
_________________
"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- DesolationRowEmpereur
Parménide a écrit:
Si j'écris après ma lecture, je vais avoir une compréhension beaucoup trop lacunaire du texte, sans progression ni structure argumentative ni rien... Et le fait est que Tinland, si je lis bien, dit que l'exercice de commentaire et la mise en tête des textes lors de la préparation sont une seule et même chose.
Tu demandes des conseils, et quand plusieurs lecteurs t'en donnent, tu les écartes d'un revers de main… Et si tu essayais de les écouter ?
Parménide a écrit:
Quand je lis des textes de Platon, je pars toujours du principe que la seule chose à retenir c'est ce que dit Socrate vu que c'est lui et lui seul le porte-parole de Platon (tous les autres étant des sophistes). Donc là par exemple, dans le Gorgias, même si je lis tout je me concentre surtout sur ce que dit Socrate et non les autres.
A ton avis, pourquoi Platon s'est-il donné la peine d'écrire aussi les répliques des interlocuteurs de Socrate ?
Parménide a écrit:
Par rapport à ce qu'il faut savoir : je connais bien maintenant ta position sur la question (et tu dois ne plus savoir comment tu t'appelles à force de me répondre sur ça...) mais pour moi le problème demeure toujours et encore :
-Ou bien je me consacre sur des choses très ciblées (par exemple esthétique et métaphysique, et je serai coincé si je tombe par exemple sur philosophie des sciences !)
-Ou bien j'acquiers une connaissance superficielle et fragile de tout (et au mieux je ferai état de "digests sommaires et incomplets" pour reprendre la formule de Tinland
Pour moi, la solution n'existe pas . A moins de se préparer pendant 35 ans…
En attendant, à force de te poser des questions, tu ne fais ni l'un ni l'autre.
- GrypheMédiateur
Je crois qu'il faut aussi que tu arrêtes de te poser des questions de méthode et que tu y ailles "à l'instinct". Je crois que c'est Yorick qui disait que le Gorgias t'apprendra à lire le Gorgias...
Il y a aussi quelque chose de la notion du temps qui me semble particulière pour toi. Parfois, on a tout son temps pour un truc. Quand c'est tout le temps la course, ce n'est pas marrant. Hâte-toi avec lenteur... Et en même temps, tu ne peux pas passer 15 ans à préparer un concours. La roue tourne pendant ce temps...
Donc s'astreindre à faire des choses "en temps limité" serait intéressant. (Je sais que ce n'est pas facile, j'ai personnellement du mal avec cela. Mais la vie fait que c’est nécessaire...)
Il y a aussi quelque chose de la notion du temps qui me semble particulière pour toi. Parfois, on a tout son temps pour un truc. Quand c'est tout le temps la course, ce n'est pas marrant. Hâte-toi avec lenteur... Et en même temps, tu ne peux pas passer 15 ans à préparer un concours. La roue tourne pendant ce temps...
Donc s'astreindre à faire des choses "en temps limité" serait intéressant. (Je sais que ce n'est pas facile, j'ai personnellement du mal avec cela. Mais la vie fait que c’est nécessaire...)
- JennyMédiateur
Parménide a écrit:Jenny a écrit:Je suis d'accord avec Gryphe. Il faut vraiment que tu sortes de ce type de raisonnement.
(J'ai eu le CAPES à 28 ans en bossant à côté )
je comprends très bien, tout ça est logique. Mais ma situation est si bizarre et si difficile que les "remèdes" traditionnels n'ont pas l'air d'être forcément pertinents...
Si tu veux en parler en MP, pas de souci. Ma situation était également difficile à l'époque. Bref, c'était juste pour te dire qu'on pouvait avoir le CAPES plus tard après un parcours chaotique (parce que les péripéties de la vie font que, parfois, c'est difficile de faire du concours une priorité, parce que finalement, on a des choses à régler, des progrès à faire sur certains points). Je m'étais beaucoup remise en cause, j'avais pointé tous mes défauts et fait mon maximum pour les travailler en priorité. Je ne pouvais pas travailler le concours plus de 2-3 h/jour, ça oblige à être efficace.
- LoopingNiveau 6
retraitée a écrit:Looping, as-tu nettoyé les écuries de Gorgias ?
Je ne cesse de couper les têtes de l'hydre, mais elles repoussent !
Private joke !
J'avais un peu de temps parce que j'ai séché la concertation, donc c'est fait.
Je t'ai dit de laisser ton mari tranquille.
Chut, on nous écoute.
- RendashBon génie
retraitée a écrit:Si je comprends bien, tu n'as guère bossé en Khâgne parce que tu savais que tu n'aurais pas le concours, et maintenant, tu ne bosses pas plus en pensant que tu n'auras pas le CAPES ? Tu persévères dans les conduites inadéquates (comme Sheila)
♥
Jenny a écrit:(J'ai eu le CAPES à 28 ans en bossant à côté Wink )
Pas mieux.
Vingt heures par semaine, un des boulots les plus pénibles qui soient (mais qui me manque parfois :'( )...le tout est d'être rigoureux dans sa prépa le reste du temps.
Tu as lu combien d'oeuvres depuis que tu as dit t'y mettre, Parménide?
Le cursus traditionnel non plus, alors?Parménide a écrit: ma situation est si bizarre et si difficile que les "remèdes" traditionnels n'ont pas l'air d'être forcément pertinents...
Et ta situation n'est ni plus ni moins difficile que celle de beaucoup d'autres étudiants : tu as un concours difficile à passer, tu dois beaucoup travailler, stoo.
Je t'ai déjà posé la question, mais sais-tu ce qui est dit de "on"?Parménide a écrit: Ne dit-on pas après tout que le concours n'est jamais un contrôle de connaissances?
Le concours n'est jamais uniquement un contrôle de connaissances. Nuance.
- JennyMédiateur
Je pense aussi que ce n'est pas seulement des connaissances. La méthode compte aussi beaucoup. (J'ai eu un 12 ou 13 en géo en ayant lu un manuel de lycée et un doc photo J'avais des souvenirs de licence aussi sur le sujet).
Si tu n'organises pas tes connaissances, ça ne suffira pas. Je n'ai pas dit qu'il ne fallait pas avoir de connaissances non plus, attention, juste que ça ne faisait pas tout. D'ailleurs, j'avais réussi à réactiver pas mal de connaissances des années précédentes et j'avais vu un aspect très peu traité par les autres candidats selon le rapport de jury.
Pour l'oral, je pense que les jurys se posent la question de ton aptitude à enseigner. Si tu pars vaincu, ça va se retourner contre toi. Je pense et je me répète que c'est essentiel pour y parvenir, mais ça se travaille. D'après ce que tu nous dis, il me semble que le principal obstacle est là. Si tu y crois, tu seras motivé et tu travailles plus, mémoriseras mieux, sera plus serein les jours J, plus convaincant aussi.
Si tu n'organises pas tes connaissances, ça ne suffira pas. Je n'ai pas dit qu'il ne fallait pas avoir de connaissances non plus, attention, juste que ça ne faisait pas tout. D'ailleurs, j'avais réussi à réactiver pas mal de connaissances des années précédentes et j'avais vu un aspect très peu traité par les autres candidats selon le rapport de jury.
Pour l'oral, je pense que les jurys se posent la question de ton aptitude à enseigner. Si tu pars vaincu, ça va se retourner contre toi. Je pense et je me répète que c'est essentiel pour y parvenir, mais ça se travaille. D'après ce que tu nous dis, il me semble que le principal obstacle est là. Si tu y crois, tu seras motivé et tu travailles plus, mémoriseras mieux, sera plus serein les jours J, plus convaincant aussi.
- User17706Bon génie
Ma foi, voilà un sujet de dissertation. Enlève «philosophique» et il sera meilleur encore.Parménide a écrit: que signifie en réalité comprendre un texte philosophique?
Houlàlàlàlàlàlà. Un virage immédiat à 180° s'impose sur ce point. La forme dialoguée n'est pas un monologue déguisé, et surtout pas dans le Gorgias.Parménide a écrit: Quand je lis des textes de Platon, je pars toujours du principe que la seule chose à retenir c'est ce que dit Socrate vu que c'est lui et lui seul le porte-parole de Platon (tous les autres étant des sophistes). Donc là par exemple, dans le Gorgias, même si je lis tout je me concentre surtout sur ce que dit Socrate et non les autres.
Sinon:
Supposons un instant que tu aies raison et que ce que tu appelles «la solution» n'existe pas. Quelles conséquences pratiques en tires-tu?Parménide a écrit:
-Ou bien je me consacre à des choses très ciblées (par exemple esthétique et métaphysique, et je serai coincé si je tombe par exemple sur philosophie des sciences !)
-Ou bien j'acquiers une connaissance superficielle et fragile de tout (et au mieux je ferai état de "digests sommaires et incomplets" pour reprendre la formule de Tinland
Pour moi, la solution n'existe pas.
- User17706Bon génie
Tu as entièrement raison sauf sur un point: c'est JPhMM qui l'a ditGryphe a écrit:Je crois qu'il faut aussi que tu arrêtes de te poser des questions de méthode et que tu y ailles "à l'instinct". Je crois que c'est Yorick qui disait que le Gorgias t'apprendra à lire le Gorgias...
- User19866Expert
C'est fou, mais en quarante-quatre pages, ce fil m'aura presque donné envie de lire de la philosophie.
Pour l'anecdote, j'avais été très déçue par l'enseignement reçu en terminale (dont j'attendais beaucoup, il est vrai). Je me souviens qu'on n'avait vu que deux des notions au programme en avril, et que je m'étais enfilé le reste seule, avec un prépabac. C'était du bachotage (littéralement) et ça m'a laissé un souvenir fort désagréable.
Comme quoi, tout arrive.
Pour l'anecdote, j'avais été très déçue par l'enseignement reçu en terminale (dont j'attendais beaucoup, il est vrai). Je me souviens qu'on n'avait vu que deux des notions au programme en avril, et que je m'étais enfilé le reste seule, avec un prépabac. C'était du bachotage (littéralement) et ça m'a laissé un souvenir fort désagréable.
Comme quoi, tout arrive.
- RendashBon génie
Dalathée2 a écrit:je m'étais enfilé le reste seule[...] ça m'a laissé un souvenir fort désagréable.
- User19866Expert
:lol:Rendash a écrit:Dalathée2 a écrit:je m'étais enfilé le reste seule[...] ça m'a laissé un souvenir fort désagréable.
Ce smiley est exceptionnel.
- RendashBon génie
Dalathée2 a écrit::lol:Rendash a écrit:Dalathée2 a écrit:je m'étais enfilé le reste seule[...] ça m'a laissé un souvenir fort désagréable.
Ce smiley est exceptionnel.
- supersosoSage
Parménide a écrit:A moins de se préparer pendant 35 ans...
Tu es bien parti pour !
Mais quelle dépense d'énergie ! Lis et fais ce que te dit ton instinct. Je sais que moi, j'ai besoin d'un stylo et de prendre des notes au fil de ma lecture... ça n'empêche pas les nombreux retour en arrière, ça ne veut pas dire que je comprends tout dès que j'écris (mais je lis et relis les passages qui me posent problème). Et elles ne me servent quasiment jamais après. Mais si je ne le fais pas, je ne mémorise rien et ma compréhension est encore plus lacunaire. Ce ne sont pas du tout les conseils qui t'ont été donnés (sauf celui de revenir en arrière quand tu ne comprends pas), mais c'est la méthode qui fonctionne le mieux avec moi. Tout ça pour dire qu'il faut que tu arrêtes de te poser des questions, tu lis comme bon te semble, tu suis un peu ton "instinct", et vaille que vaille. Au moins tu auras travaillé, essayé quelque chose. Et si ça ne marche pas, tu pourras toujours réadapter en fonction des besoins (mais c'est en testant les choses, en les faisant, que l'on apprend ce qui nous convient à nous pour avancer).
Bon je ne dis pas grand chose d'autres que ce que tous les autres ont dit. Mais si tu veux relancer la discussion sur le Gorgias, sache que j'y participerais (et arrête de crois que seul Socrate est porte-parole de Platon : il a écrit un dialogue avec plusieurs personnages qui parlent longuement, ça n'est certainement pas pour des "prunes").
- JPhMMDemi-dieu
Cette phrase aussi.Dalathée2 a écrit::lol:Rendash a écrit:Dalathée2 a écrit:je m'étais enfilé le reste seule[...] ça m'a laissé un souvenir fort désagréable.
Ce smiley est exceptionnel.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- User19866Expert
Elle est surtout tronquée honteusement !
N'empêche, j'avais fait un carton au baccalauréat (S : ceci explique peut-être cela), preuve que j'avais très bien compris ce qu'on attendait de moi, mais ça n'est pas une très bonne nouvelle pour l'enseignement de la philo en terminale.
N'empêche, j'avais fait un carton au baccalauréat (S : ceci explique peut-être cela), preuve que j'avais très bien compris ce qu'on attendait de moi, mais ça n'est pas une très bonne nouvelle pour l'enseignement de la philo en terminale.
- grandesvacancesNeoprof expérimenté
Guillaume le Grand a écrit:Je n'ai rien compris à ce topic. Quelqu'un pour me faire un résumé?
C'est l'histoire de l'âne de Buridan qui se noie dans un dé à coudre en criant : "Platoon, it's gorgeous !". J'en déduis que le protagoniste aime le cinéma américain.
- HélipsProphète
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
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