- ysabelDevin
supersoso a écrit:Caspar Goodwood a écrit:ce topic ressemble de plus en plus à une auberge espagnole!
C'est ce qui fait son charme et nous donne envie d'y revenir
Edit : bon et puis c'est dimanche soir, toutes les raisons de procrastiner sont bonnes
D'ailleurs j'ai une ET en cours et je suis ici !
- JPhMMDemi-dieu
Je préfère l’Éthique à Eudème que l’Éthique à Nicomaque, mais j'aurais du mal à dire pourquoi. Je le trouve plus abouti, disons, fût-il incomplet, paradoxalement.supersoso a écrit:PauvreYorick a écrit:Toi, tu vas me lire le Gorgias et l'Éthique à Nicomaque.
M'enfin ! Faut arrêter cette fixette sur le Gorgias et L'Ethique à Nicomaque, dit celle qui, en vrai, est en train de lire le Gorgias et l'Éthique à Nicomaque. :lol:
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- ParménideNeoprof expérimenté
Bon. C'est quand même drôle, j'ai l'impression que je suis le seul à avoir travaillé aujourd'hui, mal certes, mais à avoir quand même travaillé.
Faut que je réponde à des choses quand même :
C'est bizarre mais j'ai l'impression dans ma tête que c'est deux choses qui ont presque rien à voir. Et j'en reviens à mon idée de ce matin, à savoir que l'effort demandé à des lycéens en philo est sans commune mesure avec l'effort exigé par le jury du concours aux candidats prétendant enseigner la discipline
Un peu facile non?
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J'ai lu le fameux récit symbolique dont il a été question : je comprends bien la signification.
Je sais bien que je dois agir. Mais j'ai tellement l'incapacité à savoir ce que je dois faire par rapport à la façon de travailler que savoir que je dois agir ne m'avance pas trop
ça me fait froid dans le dos de savoir à quel point je peux être si loin de réussir... J'aurais jamais cru devoir payer si cher un jour le fait de n'avoir jamais su travailler.
Faut que je réponde à des choses quand même :
En fait c'est pas si récent que ça c'était il y a un an exactement. Non il n' a pas été question de ça je l'avais avant tout contacté pour la bibliographie. Mais lui de toute façon a eu l'opportunité de rester plus longtemps que moi à la fac. Et là bas je ne sais trop comment il s'est débrouillé. Ce qui est sur c'est qu'il a eu l'opportunité de faire des entrainements fréquents, soit à la fac soit ailleurs, comme tous les lauréats de toute façon.ProvençalLeGaulois a écrit:Parménide a écrit:
J'ai été en contact récemment avec quelqu'un que j'ai un peu connu à la fac et qui a réussi le capes de philo à la troisième fois. Je dois dire au passage que cette personne a obtenu à son avant dernière tentative exactement les mêmes notes que moi à ma dernière tentative, ce qui permet peut être de former un pronostic assez positif concernant mon avenir, je ferme la parenthèse.
Lui avez-vous demandé comment il a préparé son concours ou a-t-il bénéficié lui aussi de scandaleux avantages ?
En fait l'un des aspects incroyables et quasi kafkaïens de cette préparation au capes de philo, c'est que le niveau du concours est tel que, automatiquement une dissociation se fait entre d'une part la difficulté intrinsèque au concours lui même (méthode, connaissances...) et d'autre part ce qui se passera une fois le concours réussi.ProvençalLeGaulois a écrit:
Mais zut à la fin, 6 années de préparation au CAPES (8 si on compte les fois où vous vous êtes inscrit sans vous y présenter) et vous ne vous êtes pas non plus intéressé à ce qu'est réellement le métier d'enseignant ?
C'est bizarre mais j'ai l'impression dans ma tête que c'est deux choses qui ont presque rien à voir. Et j'en reviens à mon idée de ce matin, à savoir que l'effort demandé à des lycéens en philo est sans commune mesure avec l'effort exigé par le jury du concours aux candidats prétendant enseigner la discipline
florestan a écrit:Moi après avoir découvert ce fil divertissant, j'aimerais savoir où on peut faire une préparation à la préparation de la préparation du CAPES de philosophie. Comment apprendre à élaborer une méthode qui permette de faire émerger un mode opératoire satisfaisant qui aboutira à une première sélection de livres à lire dans le but final d'acquérir une première ébauche de méthode pour une introduction à une dissertation.
C'est vrai quoi le SGEN dit qu'il faut apprendre à apprendre et les étudiants en philo, l'Alma mater les laisse dans le désarroi... Non mais allo quoi!
Un peu facile non?
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J'ai lu le fameux récit symbolique dont il a été question : je comprends bien la signification.
Je sais bien que je dois agir. Mais j'ai tellement l'incapacité à savoir ce que je dois faire par rapport à la façon de travailler que savoir que je dois agir ne m'avance pas trop
ça me fait froid dans le dos de savoir à quel point je peux être si loin de réussir... J'aurais jamais cru devoir payer si cher un jour le fait de n'avoir jamais su travailler.
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- GrypheMédiateur
Le niveau du concours n'a rien à voir avec ce qui sera demandé ?
En fait, ce qui est demandé après est bien plus difficile : gestion de classe, relations avec des centaines de personnes, capacités relationnelles très fortes, tout cela en plus de ce qui a été demandé pour le concours.
Sans vouloir te décourager, il n’est pas si facile que ça d'être prof.
En fait, ce qui est demandé après est bien plus difficile : gestion de classe, relations avec des centaines de personnes, capacités relationnelles très fortes, tout cela en plus de ce qui a été demandé pour le concours.
Sans vouloir te décourager, il n’est pas si facile que ça d'être prof.
- ParménideNeoprof expérimenté
Gryphe a écrit:Le niveau du concours n'a rien à voir avec ce qui sera demandé ?
En fait, ce qui est demandé après est bien plus difficile : gestion de classe, relations avec des centaines de personnes, capacités relationnelles très fortes, tout cela en plus de ce qui a été demandé pour le concours.
Sans vouloir te décourager, il n’est pas si facile que ça d'être prof.
D'accord mais de là à dire que le concours est plus facile que ce qui se passera ensuite...
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
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- JennyMédiateur
L'année de stage est loin d'être de tout repos...
- RendashBon génie
Parménide a écrit:
D'accord mais de là à dire que le concours est plus facile que ce qui se passera ensuite...
Je regrette parfois la simplicité de l'année de concours Tu sais ce que tu dois faire, comment tu dois le faire, et tu peux t'organiser. Tu en baves, tu galères, tu en chies, tu as du mal, tu souffres, mais c'est simple.
Ce n'est peut-être pas plus facile, je dirais surtout que les difficultés rencontrées ne sont pas les mêmes. Mais tu en rencontres autant.
- keroGrand sage
Le concours vise à sélectionner, sur la base de dispositions disciplinaires, des enseignants dont le métier sera de faire une transmission pédagogique de ce savoir. Ce sont effectivement deux choses différentes.
La logique sous-jacente est qu'il ne peut y avoir transmission pédagogique sans avoir un bagage disciplinaire robuste (et nécessairement plus large que le contenu transmis devant élève).
De fait, lorsque (et si) tu auras devant toi des élèves un jour, tu t'apercevras que pour effectuer une transmission pédagogique du savoir, il faut en avoir infiniment plus que celui que l'on transmet effectivement. Car pour sélectionner ce qui est essentiel à transmettre, il faut avoir un (très) bon tableau d'ensemble.
La logique sous-jacente est qu'il ne peut y avoir transmission pédagogique sans avoir un bagage disciplinaire robuste (et nécessairement plus large que le contenu transmis devant élève).
De fait, lorsque (et si) tu auras devant toi des élèves un jour, tu t'apercevras que pour effectuer une transmission pédagogique du savoir, il faut en avoir infiniment plus que celui que l'on transmet effectivement. Car pour sélectionner ce qui est essentiel à transmettre, il faut avoir un (très) bon tableau d'ensemble.
- JPhMMDemi-dieu
C'est une impression.Parménide a écrit:Bon. C'est quand même drôle, j'ai l'impression que je suis le seul à avoir travaillé aujourd'hui
Liberté, par VJ.Parménide a écrit:Je sais bien que je dois agir. Mais j'ai tellement l'incapacité à savoir ce que je dois faire par rapport à la façon de travailler que savoir que je dois agir ne m'avance pas trop
« Comprends, n'est-ce pas refaire ? L'effort interprétatif n'exige-t-il pas que l'esprit, en présence des problèmes, se place d'emblée dans une atmosphère spirituelle et découvre le sens vrai en le supposant ? de sorte que l'intellection consiste toujours à la rigueur, à supposer le problème résolu ; or, supposer le problème résolu, quand il s'agit de mouvement, n'est-ce pas se mouvoir ? Et de même il n'y a qu'une bonne façon de démontrer la liberté possible, c'est de vouloir et d'agir. Cette solution activiste, dans laquelle le paradoxe et le bon sens se rejoignent, implique donc au moins une démarche arbitraire, une sorte d'aventure initiale : il faut « commencer », il faut risquer. Le raisonnement est toujours assujetti à la préexistence d'un donné ; mais l'action se crée elle-même tout entière, car elle n'existe que complète et totale. La pédagogie de Montaigne l'avait bien compris, qui prescrivait avant toutes choses l'apprentissage de l'expérience, de l'exercice et de l'action. C'est en parlant que l'on apprend à parler ; et c'est en marchant que l'enfant apprend à marcher. La spontanéité de nos initiatives illumine les problèmes autour desquels rôde la dialectique, car elle nous propose une totalité au lieu d'en rassembler les membres épars ; l'action brise le cercle où les justifications nous enfermaient. L'action n'est-elle pas causa-sui ? »
Plus loin (dans les deux sens de l'expression) :
« Telle est la liberté du sage. Envisagée comme exigence, la liberté implique pour nous le devoir de rester le plus possible contemporains de nos propres actions, de ne nous enfuir ni devant le passé des causes efficientes, ni dans le futur des justifications rétrospectives. Elle s'oppose à la fiction. Elle a contre elle l'hypocrisie des plaidoyers, le pathos des abstractions éloquentes. Et son nom est alors sincérité. »
Que faire ? Fermer les yeux, se calmer, aller prendre un livre parmi ceux conseillés, le regarder, avoir envie de découvrir ce que cette masse contient, l'ouvrir et s'ouvrir à ce qu'il offre, écouter ses murmures amicaux, patiemment. Du moins c'est ce que je ferais si j'étais à ta place. Et je commencerais par Platon.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- ParménideNeoprof expérimenté
Etant donné l'enfer connu actuellement je ne pense vraiment pas que je pousserai l'indécence jusqu'à me plaindre une fois dans le métier, à moins que ce ne soit encore plus l'enfer... Mais franchement, ça me semble difficile.
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- supersosoSage
Parménide a écrit:Etant donné l'enfer connu actuellement je ne pense vraiment pas que je pousserai l'indécence jusqu'à me plaindre une fois dans le métier, à moins que ce ne soit encore plus l'enfer... Mais franchement, ça me semble difficile.
Tu me sembles malgré tout avoir une idée très "vague" du métier d'enseignant. Tu risques vite de déchanter...
- ParménideNeoprof expérimenté
Et bien je déchanterai, tant pis ! Après tout j'aurai voulu faire ça, faudra l'assumer jusqu'au bout!
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"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
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- GrypheMédiateur
Je rappelle que pour l'année de stage, c'est deux essais max. (En partant déjà de l'idée qu'il risque de falloir deux ans.)
- ParménideNeoprof expérimenté
Gryphe a écrit:Je rappelle que pour l'année de stage, c'est deux essais max. (En partant déjà de l'idée qu'il risque de falloir deux ans.)
Et on perd le bénéfice du concours en cas d'échec?
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"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
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- CroustibaptNiveau 7
Parménide, selon moi, le concours est une vaste blague par rapport au métier.
Pourtant, j'enseigne depuis 6 ans (au moins, flemme de compter), je suis dans un lycée tranquillou. Il est 22h46 un dimanche soir, et je travaille depuis 12h45 sans interruption (ce que je n'ai jamais fait en prépa concours). C'est un plaisir certes, et je sais que je m'éclaterai demain à faire un cours sur les totalitarismes en utilisant le film La Vague, mais c'est tout de même un sacré travail (et pourtant, je ne me pose pas la question de savoir comment préparer la préparation de l'amorce d'un cours)...
EDIT pour en dessous : En charge de travail, et je ne parle que du CAPES HG
Pourtant, j'enseigne depuis 6 ans (au moins, flemme de compter), je suis dans un lycée tranquillou. Il est 22h46 un dimanche soir, et je travaille depuis 12h45 sans interruption (ce que je n'ai jamais fait en prépa concours). C'est un plaisir certes, et je sais que je m'éclaterai demain à faire un cours sur les totalitarismes en utilisant le film La Vague, mais c'est tout de même un sacré travail (et pourtant, je ne me pose pas la question de savoir comment préparer la préparation de l'amorce d'un cours)...
EDIT pour en dessous : En charge de travail, et je ne parle que du CAPES HG
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Discipline & Bonté
- ParménideNeoprof expérimenté
Croustibapt a écrit:Parménide, selon moi, le concours est une vaste blague par rapport au métier.
Le capes de philo? Une vaste blague?
Quand je pense que tout le monde a failli s'évanouir quand j'ai parlé d'une promenade de santé
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- OudemiaBon génie
En tout cas tu as travaillé aujourd'hui ! Continue, quand envoies-tu le devoir ?
Et n'oublies pas le Gorgias
Après tout, tu es en (bonne) voie, même si ce n'est qu'au début du chemin...
Et n'oublies pas le Gorgias
Après tout, tu es en (bonne) voie, même si ce n'est qu'au début du chemin...
- keroGrand sage
Parménide a écrit:Gryphe a écrit:Je rappelle que pour l'année de stage, c'est deux essais max. (En partant déjà de l'idée qu'il risque de falloir deux ans.)
Et on perd le bénéfice du concours en cas d'échec?
Évidemment.
- ParménideNeoprof expérimenté
kero a écrit:Parménide a écrit:Gryphe a écrit:Je rappelle que pour l'année de stage, c'est deux essais max. (En partant déjà de l'idée qu'il risque de falloir deux ans.)
Et on perd le bénéfice du concours en cas d'échec?
Évidemment.
C'est pas possible !
Mais pourquoi faudrait 2 essais? Comment on peut rater l'année de stage? C'est pas une épreuve ! Il est vrai que je connais mal tout ça. J'ai quitté la fac depuis 3 ans.
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- henrietteMédiateur
Tu peux ne pas être validé à l'issue de ton année de stage, si l'on (tuteur + CDE + IPR) considère que tu n'arrives pas à t'en sortir.
Dans ce cas, tu dois faire une 2e année de stage.
A l'issue de celle-ci, soit tu es validé, soit tu es recalé, et tu perds alors le bénéfice de ton concours.
Il en est de même, d'ailleurs, si tu démissionnes.
Dans ce cas, tu dois faire une 2e année de stage.
A l'issue de celle-ci, soit tu es validé, soit tu es recalé, et tu perds alors le bénéfice de ton concours.
Il en est de même, d'ailleurs, si tu démissionnes.
- ParménideNeoprof expérimenté
henriette a écrit:Tu peux ne pas être validé à l'issue de ton année de stage, si l'on (tuteur + CDE + IPR) considère que tu n'arrives pas à t'en sortir.
Dans ce cas, tu dois faire une 2e année de stage.
A l'issue de celle-ci, soit tu es validé, soit tu es recalé, et tu perds alors le bénéfice de ton concours.
Il en est de même, d'ailleurs, si tu démissionnes.
Mais c'est rarissime ça, non?
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"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
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- henrietteMédiateur
Je connais personnellement deux stagiaires ayant été dans ce cas (recalé à l'issue d'une reconduction de stage) ces trois dernières années.
Mais je ne sais pas quelle proportion globale cela peut représenter.
Mais je ne sais pas quelle proportion globale cela peut représenter.
- AudreyOracle
J'aurais tendance à penser que c'est moins rarissime qu'avant.
En 4 ans chez moi, avec une tutrice vraiment sérieuse et généreuse qui officiait avant que ce soit moi, on a déjà vu un stagiaire licencié à la fin de son renouvellement...et je connais d'autres cas dans d'autres établissements.
En 4 ans chez moi, avec une tutrice vraiment sérieuse et généreuse qui officiait avant que ce soit moi, on a déjà vu un stagiaire licencié à la fin de son renouvellement...et je connais d'autres cas dans d'autres établissements.
- AudreyOracle
Ce serait intéressant d'avoir des chiffres, mais vraiment, lors des réunions tuteurs, on constate que ce n'est pas rarissime.
- HélipsProphète
ceci dit chaque chose en son temps : bosse ton concours déjà.
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- keroGrand sage
Effectivement, la titularisation est un peu moins systématique qu'avant. Ils sont devenus un peu plus regardant (à juste titre ?)
M'enfin bon, si on se concentre vraiment à faire un bon boulot sur l'année de stage, en général il n'y a pas de raison que çe ne passe pas.
M'enfin bon, si on se concentre vraiment à faire un bon boulot sur l'année de stage, en général il n'y a pas de raison que çe ne passe pas.
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