- NaooFidèle du forum
A Créteil on nous demande de nous inscrire (en DU), mais 1. c'est pas encore fait 2. on n'a pas vu l'ombre d'une maquette, donc on ne sait même pas à quoi on s'inscrit potentiellement.
- Lyra-LollysNeoprof expérimenté
Pedro Cordoba[b] a écrit:Il semble qu'à Paris et Versailles, les Espé ont fini par céder : ceux qui ont déjà un master ne doivent s'inscrire à rien d'autre. [/b]A vérifier bien sûr, car on ne peut pas croire à tout ce que x ou y écrivent dans un forum-internet. Mais si c'est le cas, il faut demander la même chose à Créteil (je fais remarquer en passant que l'Espé de Créteil, c'est Paris-Est, autrement dit l'université dont Bonnafous était présidente : ce n'est peut-être pas sans rapport). Il faut leur dire que personne ne peut rendre un DU obligatoire pour la bonne raison que ce diplôme n'est pas reconnu par l'Etat. Et les menacer d'aller voir le snalc puisque ce syndicat propose, pour ces cas, une aide juridique devant les tribunaux. Tenez bon. La semaine qui vient sera décisive et si les stagiaires concernés tiennent bon, en face ce sera la débandade.
Hum, j'aimerais bien avoir une confirmation de cela. Pour l'instant, pour moi qui suis stagiaire en anglais de l'académie de Versailles, y'a pas de nouvelles... Mais peut être que je n'ai pas reçu l'info?
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Mon vide dressing garçon, fille et mixte 0-3 ans: https://www.neoprofs.org/t127266-vd-garcon-fille-et-mixte-prema-a-3-ans-maj-le-16-08#5031984
Mon vide dressing femme grossesse et 42/44:https://www.neoprofs.org/t129142-vide-dressing-femme-grossesse-et-42-44-maj-le-25-07#5019820
"Wether we fall by ambition, blood, or lust,
Like diamonds, we are cut in our own dust." J. Webster
- Pedro CordobaNiveau 7
Voici l'un des docs à propos de Paris. Semble venir d'un responsable du SNALC (Montpellier-Andorre). mais encore une fois, je ne peux pas garantir la véracité de l'info. Ce qui est sûr en revanche c'est que la situation est très variable selon les Espé et qu'elle évolue de jour en jour, ou presque. Preuve supplémentaire, s'il en fallait que les responsables de tout ça, ce sont les Espé et pas les IPR (lesquels obéissent comme un seul homme à l'Inspection générale et n’adopteraient pas des positions changeantes selon les endroits.
Voici donc la citation trouvée sur une page Facebook de stagiaires d'espagnol:
https://www.facebook.com/groups/221011367939247/
"Lors de la journée d'accueil des stagiaires, MME Le Recteur avait annoncé qu'il y aurait un plan académique adapté de formation . Et bien sur Paris , les stagiaires n'ont pas à se réinscrire en Master. Après 10 jours de fronde, ils ont eu gain de cause.
>
Il faut donc refuser de s'inscrire et de le dire à tous les stagiaires concernés.
>
La semaine prochaine nous écrirons au doyen des IPR pour lui signaler nos positions.
>
Bien cordialement.
>
--
>
Karim El Ouardi
> President SNALC/FGAF Montpellier et Andorre.
Commissaire paritaire académique."
Voici donc la citation trouvée sur une page Facebook de stagiaires d'espagnol:
https://www.facebook.com/groups/221011367939247/
"Lors de la journée d'accueil des stagiaires, MME Le Recteur avait annoncé qu'il y aurait un plan académique adapté de formation . Et bien sur Paris , les stagiaires n'ont pas à se réinscrire en Master. Après 10 jours de fronde, ils ont eu gain de cause.
>
Il faut donc refuser de s'inscrire et de le dire à tous les stagiaires concernés.
>
La semaine prochaine nous écrirons au doyen des IPR pour lui signaler nos positions.
>
Bien cordialement.
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--
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Karim El Ouardi
> President SNALC/FGAF Montpellier et Andorre.
Commissaire paritaire académique."
- KagomeHabitué du forum
Mais que faire si on nous impose l'inscription en M2 sans obligation de validation ?
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Makenaï Zettaï
- cassy88Niveau 4
Naoo a écrit:A Créteil on nous demande de nous inscrire (en DU), mais 1. c'est pas encore fait 2. on n'a pas vu l'ombre d'une maquette, donc on ne sait même pas à quoi on s'inscrit potentiellement.
En lettres/anglais on a une maquette qui est à quelques UE près celle du M2!
Mais normalement il y a une réunion demain et la maquette risque de bouger.
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I'm a lady, but when I'm mad, I'm an evil sadistic demon spawned bitch from hell that'll make you wish you were never born... And when I'm happy, I bake cookies and shit.
- MarmontNiveau 9
Pedro, prenez le temps de lire cela tranquillement. J'espère que vous comprendrez ce que je tente de vous expliquer depuis un bout de temps : les ESPE ne constituent qu'un écran de fumée. Le pouvoir de décision est ailleurs... Cela apparait très clairement dans les statuts des ESPE (article 1 et surtout 5 qui donne le nom de ceux qui ont fabriqué ces ESPE) et dans les orientations politiques de Peillon :Pedro Cordoba a écrit:Preuve supplémentaire, s'il en fallait que les responsables de tout ça, ce sont les Espé et pas les IPR (lesquels obéissent comme un seul homme à l'Inspection générale et n’adopteraient pas des positions changeantes selon les endroits.
http://www.cafepedagogique.net/lemensuel/lesysteme/Pages/2013/144_3.aspx
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000027905225
Voyez-vous les ESPE avoir le pouvoir de faire des retenues sur salaire ? D'empêcher la titularisation d'un collègue ? Certainement pas, c'est l'employeur qui conserve ces prérogatives et personne d'autre.
Peillon a réussi l'impensable (il n'a pas été désavoué pour le moment par ses successeurs...) : fabriquer une école aux ordres du ministère, financée par les Universités autonomes.:shock:
A ce titre, je doute que machine arrière soit faite. Les DU seront maintenus - ce que je trouve lamentable sur la forme, comme sur le fond (des personnes qui ont déjà un MEF, les prorogés, reports, etc. ) -, même si ici et là les uns et les autres peuvent obtenir quelques aménagements, la "machine" ne reculera pas. Elle n'en a pas l'habitude en tout cas et son expérimentation m'a rendu pessimiste...
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"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- Pedro CordobaNiveau 7
Prenons le cas de l’Espé de Créteil, l’une des plus dures semble-t-il. Le Conseil d’Ecole comprend 30 membres, le maximum prévu par la loi : 14 élus et 16 « personnalités nommées ». Parmi ces dernières, 5 sont nommées par le Recteur – 5 sur 30 c’est pas beaucoup, beaucoup et très loin de faire une majorité. Parmi ces 5 « personnalités », il y a deux inspecteurs, un IPR et un IEN. C’est le strict minimum, un pour le primaire et un pour le secondaire, c’est pas avec ça que l’Inspection va faire la loi dans les Espé. Mais il y a aussi, parmi les nommés, Alain Bouvier : un type bien plus vieux que moi qui devrait être à la retraite depuis fort longtemps (il a 71 ans !), un pur apparatchik de l’Education nationale, qui a occupé tous les postes possibles dans la haute administration et qui a été, entre autres, recteur, directeur d’IUFM et même Président de la CDIUFM. Et qui a été élu croyez-vous, directeur de l’Espé de Créteil ? Fastoch. Alain Bouvier himself. Et qui était Recteur, ou comme on dit aujourd’hui la Rectrice, de l’Académie qui a nommé ce vieux de la vieille dans le Conseil d’Ecole pour qu’il en devienne le directeur ? Florence Robine Et qu’est-ce qu’elle est devenue Florence Robine en mai dernier ? DGESCO, c’est-à-dire l’alter ego de Simone Bonnafous pour l’enseignement scolaire, laquelle était je le rappelle présidente de l’université de Paris-Est, qui a intégré l’ancien IUFM, devenu Espé et dirigé par Bouvier. Carrière de Robine : IG, recteur, expert auprès de la Commission européenne, etc.
Bref, tout ça, c’est une petite caste de magouilleurs, une nomenklatura de gens qui se détestent souvent mais qui se tiennent par la barbichette parce qu’il faut bien qu’ils survivent quand il y a des changements de majorité gouvernementale : ils n’en finissent donc pas de se renvoyer l’ascenseur les uns les autres et échangent leurs postes : aujourd’hui recteur, demain conseiller du ministre ou président d’une commission bidon, après-demain directeur d’IUFM ou d’Espé ou Inspecteur général, ils retombent toujours sur leurs pattes et c’est entre eux qu’ils font leurs coups fourrés. Ils sont infiniment plus puissants que les ministres qui en moyenne ne tiennent pas plus de 20 mois. Les Bouvier et consorts, c’est toute leur vie active et même plus dans ce dernier cas. Et ce sont eux qui font selon leur bon plaisir.
Il est tout à fait possible que Peillon ait voulu défendre la place de l’Inspection dans les Espé. C’est la moindre des choses : l’Etat ne peut pas abdiquer complètement de ses responsabilités et abandonner la formation des maîtres à des « écoles internes » d’ « universités autonomes » en leur laissant les mains entièrement libres. Mais un IPR et un IEN dans l’Espé de Créteil, c’est je le répète le strict minimum. Celui qui fait la loi, c’est l’ancien président de la CDIUFM avec le soutien d’une rectrice promue DGESCO.
On comprend que l’Espé de Créteil soit l’une des plus dures avec celle de Grenoble et pour les mêmes raisons : là, c’est le nouveau recteur qui vient des sciences de l’éduc, Daniel Filâtre, un ponte du SGEN, ancien président du Mirail à qui Darcos avait confié une mission sur la mastérisation et que Fioraso avait promu en le prenant dans son cabinet : c’est lui, Filâtre, qui a concocté les Espé ; c’est lui, aussi, qui refuse d’entendre raison et veut obliger les stagiaires titulaires d’un master à faire un DU dont le volume horaire doit être le même que celui des autres ( !). Une insurrection des stagiaires étant malheureusement exclue, une seule solution, celle que je préconise depuis le tout début de cette discussion : Tribunal administratif et Conseil d’Etat. Je suis heureux de voir que le SNALC prend la même position. J’espère qu’il ira jusqu’au bout et que Filâtre sera condamné ainsi que tous ceux qui emprunteraient cette voie parfaitement contraire aux textes en vigueur.
Bref, tout ça, c’est une petite caste de magouilleurs, une nomenklatura de gens qui se détestent souvent mais qui se tiennent par la barbichette parce qu’il faut bien qu’ils survivent quand il y a des changements de majorité gouvernementale : ils n’en finissent donc pas de se renvoyer l’ascenseur les uns les autres et échangent leurs postes : aujourd’hui recteur, demain conseiller du ministre ou président d’une commission bidon, après-demain directeur d’IUFM ou d’Espé ou Inspecteur général, ils retombent toujours sur leurs pattes et c’est entre eux qu’ils font leurs coups fourrés. Ils sont infiniment plus puissants que les ministres qui en moyenne ne tiennent pas plus de 20 mois. Les Bouvier et consorts, c’est toute leur vie active et même plus dans ce dernier cas. Et ce sont eux qui font selon leur bon plaisir.
Il est tout à fait possible que Peillon ait voulu défendre la place de l’Inspection dans les Espé. C’est la moindre des choses : l’Etat ne peut pas abdiquer complètement de ses responsabilités et abandonner la formation des maîtres à des « écoles internes » d’ « universités autonomes » en leur laissant les mains entièrement libres. Mais un IPR et un IEN dans l’Espé de Créteil, c’est je le répète le strict minimum. Celui qui fait la loi, c’est l’ancien président de la CDIUFM avec le soutien d’une rectrice promue DGESCO.
On comprend que l’Espé de Créteil soit l’une des plus dures avec celle de Grenoble et pour les mêmes raisons : là, c’est le nouveau recteur qui vient des sciences de l’éduc, Daniel Filâtre, un ponte du SGEN, ancien président du Mirail à qui Darcos avait confié une mission sur la mastérisation et que Fioraso avait promu en le prenant dans son cabinet : c’est lui, Filâtre, qui a concocté les Espé ; c’est lui, aussi, qui refuse d’entendre raison et veut obliger les stagiaires titulaires d’un master à faire un DU dont le volume horaire doit être le même que celui des autres ( !). Une insurrection des stagiaires étant malheureusement exclue, une seule solution, celle que je préconise depuis le tout début de cette discussion : Tribunal administratif et Conseil d’Etat. Je suis heureux de voir que le SNALC prend la même position. J’espère qu’il ira jusqu’au bout et que Filâtre sera condamné ainsi que tous ceux qui emprunteraient cette voie parfaitement contraire aux textes en vigueur.
- MarmontNiveau 9
J'entends bien vos exemples sur le cas de Créteil, que je connais mal... Aussi, je ne peux vous répondre là-dessus.
Je pense pourtant qu'on ne peut résumer la "lame de fond" qui traverse actuellement les ESPE/Universités de France et de Navarre aux seuls noms que vous citez.
Avouez qu'on peut y observer des pratiques qui n'ont pas lieu d'habitude dans les Universités - même depuis l'autonomie ! - et leurs UFR : une sorte de caporalisme institutionnalisé.
Je pense pourtant qu'on ne peut résumer la "lame de fond" qui traverse actuellement les ESPE/Universités de France et de Navarre aux seuls noms que vous citez.
Avouez qu'on peut y observer des pratiques qui n'ont pas lieu d'habitude dans les Universités - même depuis l'autonomie ! - et leurs UFR : une sorte de caporalisme institutionnalisé.
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"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- Pedro CordobaNiveau 7
On va peut-être finir par s’entendre. Cela arrive parfois après des débuts un peu rudes.Marmont a écrit:J'entends bien vos exemples sur le cas de Créteil, que je connais mal... Aussi, je ne peux vous répondre là-dessus.
L’Espé de Créteil n’est pas une exception. Je l’avais choisie parce que c’est l’héritage de Bonnafous et qu’on doit y trouver ses empreintes digitales Mais les Espé elles-mêmes ont publié un état des lieux. Il en résulte que les IEN, IPR et assimilables (DASEN par exemple) représentent au niveau national entre 3% et 5% des intervenants. Comme je l’ai déjà dit, c’est pas avec ça qu’ils vont faire la loi. Il faut croiser les sources d’information : ce que dit François Jarraud dans le Café pédagogique n’est pas particulièrement fiable. Voir :
http://www.letudiant.fr/static/uploads/mediatheque/EDU_EDU/7/5/203075-enquete-nationale-sur-la-mise-en-place-des-espe-original.pdf
Par ailleurs je m’étais planté sur Bouvier. Il n’est pas directeur de l’Espé mais Président du Conseil d’Ecole. En fait, c’est sur la nature des instances de direction qu’il y a le plus de changements par rapport aux IUFM. La vraie directrice c’est Brigitte Marin. Mais ça change pas grand-chose : prof de didactique, ancienne formatrice à l’IUFM de Créteil montée en grade. Sa première mesure : transformer 8 postes de détachés du secondaire en postes d’enseignants-chercheurs. Et quand on parle de recherche dans les IUFM-Espé, il n’y a aucun doute sur le sens du mot : c’est la recherche en sciences de l’éducation. Elle a donc viré 8 profs qui avaient une expérience du terrain pour mettre à la place 8 copains à elle, des didacticiens qui n’ont jamais vu un élève de leur vie. Bref, qui a pris le pouvoir dans les Espé ? Pas du tout les recteurs ou les inspecteurs mais les didacticiens et les plus arrivistes parmi les anciens de l’IUFM.
C’est à ce niveau que se produisent les conflits. Car bien qu’il s’agisse de la même camarilla qui se partage les postes par roulement, il n’y en a pas moins des guerres de clans. La contradiction principale dans les Espé est celle qui oppose les formateurs issus de l’enseignement scolaire et les enseignants-chercheurs en sciences de l’éducation. C’est aussi la grande ligne de fracture au sein de ce qu’on appelle, de façon impropre, le « pédagogisme » : en réalité, il y a d’un côté les pédagogues, qui sont la plupart du temps assez bêtes mais de bonne volonté, et de l’autre les didacticiens, qui sont aussi d’une grande bêtise mais remplacent la bonne volonté par la canaillerie (je rappelle la définition de Lacan : la canaillerie c’est quand le savoir prend la forme aberrante du savoir du savoir et s’institue en pouvoir sur l’autre). Bêtise et canaillerie sont les deux mamelles des Espé mais la seconde prend aujourd'hui le pas sur la première. Il faut sans doute y voir l’influence de Filâtre qui a concocté tout ça et qui est lui-même scientologue de l’éducation. Il a fini par l’emporter contre le recteur Marois, sa bête noire.
Vous finissez par une belle touche d’humour :
Marmont a écrit: Avouez qu'on peut y observer des pratiques qui n'ont pas lieu d'habitude dans les Universités - même depuis l'autonomie ! - et leurs UFR : une sorte de caporalisme institutionnalisé.
Diable, c’est moi qui doit « avouer » que les Espé sont des espèces de satrapies où des tordus usent de la férule et où des guignols jouent les despotes ??? Comme il est dit dans Dune, « Les règles créent des fortifications à l'abri desquelles les esprits étroits édifient des satrapies. État de choses dangereux quand tout va bien, désastreux quand tout va mal. »
- MarmontNiveau 9
Si vous citez du Franck Herbert, je pense qu'on va vraiment s'entendre...
Pédro, même si nous nous sommes un peu "attrapés" au départ, je vous avais déjà écrit que mon seul but était d'éviter les erreurs factuelles afin que la critique de ce système soit la plus pertinente et efficace possible, rien de plus, rien de moins.
Cela écrit, je souhaite simplement préciser une ou deux remarques en réponse à votre message.
:
Le % grimpe rapidement, sans compter que l'élection même du directeur de l'ESPE ne dépend pas du Conseil d'Ecole. C'est le ministère qui conserve la main et qui n'est nullement obligé de suivre les avis du CE. Donc, on a un directeur nommé, aux ordres. Vous avez le choix : soit les comices romaines, soit les élections du corps législatif impérial, c'est-à-dire le retour des candidats officiels. De toute manière si c'est un autre, il sera invalidé.
Jamais on n'avait vu cela auparavant pedro : tout doyen (ou équivalent) est élu par ses pairs et non pas choisi dans un obscur couloir ministériel.
Lors de la dernière version des IUFM "intégrés" (2009-2014), y régnait une réelle démocratie (sans doute la seule fois de leur courte histoire !), comme dans n'importe quel UFR. Pourquoi ? Car ils avaient à la fois perdu la tutelle directe du ministère au sein des Universités autonomes et qu'ils n'étaient plus en charge de la formation des fonctionnaires-stagiaires. Aujourd'hui ils ont récupéré cela, ce qui explique ces tensions avec l'"employeur".
C'est ce que je vous expliquais dans un autre fil de discussion : de nombreux collègues ont postulé en IUFM/ESPE par manque de postes dans leur UFR (gels des postes après l'autonomie et autres fusion à la noix) mais n'ont pas été obligés de suivre les quelques enseignants-chercheurs qui "travaillent" encore sur ces sujets. Chez moi c'est plutôt une espère en voie de disparition.
Pensez-vous vraiment qu'un "didacticien" a le pouvoir de retirer une partie du salaire d'un fonctionnaire-stagiaire ? Non, c'est le rectorat. Pareil pour les titularisations.
Observez le courrier syndical de Sambre : c'est le rectorat (terme un peu inadapté : lire plutôt le trio infernal DGRH, DEGESCO et DGESIP) qui a obligé un maximum de monde à suivre ces DU, qui les a imposé aux Universités/ESPE, et qui n'étaient nullement prêts pour la rentrée, car les ESPE en ignoraient l'existence jusqu'au 24 août 2014...
Pédro, même si nous nous sommes un peu "attrapés" au départ, je vous avais déjà écrit que mon seul but était d'éviter les erreurs factuelles afin que la critique de ce système soit la plus pertinente et efficace possible, rien de plus, rien de moins.
Cela écrit, je souhaite simplement préciser une ou deux remarques en réponse à votre message.
:
Cela c'est ce qu'on peut observer en lisant linéairement le texte juridique. Or, à ces Harkonnens il faut ajouter au moins 4 élus qui représentent les enseignants des établissement scolaires, directement désignés par leurs chefs.pedro cordoba a écrit:Il en résulte que les IEN, IPR et assimilables (DASEN par exemple) représentent au niveau national entre 3% et 5% des intervenants.
Le % grimpe rapidement, sans compter que l'élection même du directeur de l'ESPE ne dépend pas du Conseil d'Ecole. C'est le ministère qui conserve la main et qui n'est nullement obligé de suivre les avis du CE. Donc, on a un directeur nommé, aux ordres. Vous avez le choix : soit les comices romaines, soit les élections du corps législatif impérial, c'est-à-dire le retour des candidats officiels. De toute manière si c'est un autre, il sera invalidé.
Jamais on n'avait vu cela auparavant pedro : tout doyen (ou équivalent) est élu par ses pairs et non pas choisi dans un obscur couloir ministériel.
Lors de la dernière version des IUFM "intégrés" (2009-2014), y régnait une réelle démocratie (sans doute la seule fois de leur courte histoire !), comme dans n'importe quel UFR. Pourquoi ? Car ils avaient à la fois perdu la tutelle directe du ministère au sein des Universités autonomes et qu'ils n'étaient plus en charge de la formation des fonctionnaires-stagiaires. Aujourd'hui ils ont récupéré cela, ce qui explique ces tensions avec l'"employeur".
Pas toujours Pédro. Dans mon Université/ESPE les MCF/PU de ma discipline ne sont nullement inscrits dans les labos des sciences de l'éduc et autres âneries en communication.pedro cordoba a écrit:Et quand on parle de recherche dans les IUFM-Espé, il n’y a aucun doute sur le sens du mot : c’est la recherche en sciences de l’éducation.
C'est ce que je vous expliquais dans un autre fil de discussion : de nombreux collègues ont postulé en IUFM/ESPE par manque de postes dans leur UFR (gels des postes après l'autonomie et autres fusion à la noix) mais n'ont pas été obligés de suivre les quelques enseignants-chercheurs qui "travaillent" encore sur ces sujets. Chez moi c'est plutôt une espère en voie de disparition.
Encore une fois, je crois que vous vous trompez Pédro. Peut-être que dans les grosses "cylindrées" parisiennes c'est la cas, mais pas dans les nombreuses universités de province que je connais.Bref, qui a pris le pouvoir dans les Espé ? Pas du tout les recteurs ou les inspecteurs mais les didacticiens et les plus arrivistes parmi les anciens de l’IUFM.
Pensez-vous vraiment qu'un "didacticien" a le pouvoir de retirer une partie du salaire d'un fonctionnaire-stagiaire ? Non, c'est le rectorat. Pareil pour les titularisations.
Observez le courrier syndical de Sambre : c'est le rectorat (terme un peu inadapté : lire plutôt le trio infernal DGRH, DEGESCO et DGESIP) qui a obligé un maximum de monde à suivre ces DU, qui les a imposé aux Universités/ESPE, et qui n'étaient nullement prêts pour la rentrée, car les ESPE en ignoraient l'existence jusqu'au 24 août 2014...
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- Pedro CordobaNiveau 7
Réponses rapides :
1. Pour autant que je me souvienne les directeurs d'IUFM étaient eux aussi nommés : par exemple Philippe Meirieu à Lyon contre l'avis du CA de l'IUFM (je ne sais pas si ça s'appelait CA mais peu importe : c'est exactement la même chose aujourd'hui. Le CE propose et le ministre nomme. Aucun changement d'aucune sorte.
2. Il y a toujours eu dans les IUFM de vrais EC (j'entends pas des didacticiens et autres scientologues de l'éducation). Comme vous dites, ils n'avaient pas eu de poste dans une UFR. Mais ils ont toujours constitué une minorité. Aucun changement, d'aucune sorte.
3. Le rectorat de Grenoble, c'est (comme je l'ai déjà dit et sambre aussi), Daniel Filâtre, ponte du SGEN, scientologue de l'éducation et maître d'oeuvre des Espé, qui agit de son propre chef: c'est peut-être lui, d'ailleurs et pas Bouvier, mais peu importe; qui a fait intervenir Bonnafous. Ni la DRH ni la DGESCO n'ont absolument rien dit. D'autres recteurs ont l'air d'avoir une tout autre politique, ce qui prouve bien que ce n'est pas une instruction ministérielle, le ministre ayant d'ailleurs changé entre temps. Najat V-B a été saisie. On attend qu'elle se prononce. Un IG ça ne peut pas se virer, un recteur oui : j'espère que Filâtre sera viré pour excès de pouvoir ainsi que tous les recteurs qui agissent comme lui. Et si c'est pas le Ministre qui les vire, ce seront les tribunaux qui annuleront des décisions illégales.
4. Je sais parfaitement qu'un didacticien ne peut pas refuser la titularisation. Mais voyez les explications qu'on donne aux stagiaires à l'Espé d'Amiens. C'est on ne peut plus clair et là aussi passible des tribunaux (ordinaires cette fois car menaces et chantages constituent des délits de droit commun) :
« Pour ceux qui ont déjà un M2 et qui échoueront au M2 MEEF : juridiquement, rien ne les empêcherait d’être titularisés, puisqu’ils sont titulaires d’un M2 ; mais la titularisation est proposée par un jury présidé par le Recteur qui suit en général les avis obligatoires d’un inspecteur, d’un chef d’établissement et du directeur de l’ESPE. Si le stagiaire n’obtient le M2 MEEF, il y a grand risque à ce que ce jury donne un avis défavorable. »
J'espère vraiment qu'il y aura au moins un stagiaire d'Amiens pour porter plainte.
1. Pour autant que je me souvienne les directeurs d'IUFM étaient eux aussi nommés : par exemple Philippe Meirieu à Lyon contre l'avis du CA de l'IUFM (je ne sais pas si ça s'appelait CA mais peu importe : c'est exactement la même chose aujourd'hui. Le CE propose et le ministre nomme. Aucun changement d'aucune sorte.
2. Il y a toujours eu dans les IUFM de vrais EC (j'entends pas des didacticiens et autres scientologues de l'éducation). Comme vous dites, ils n'avaient pas eu de poste dans une UFR. Mais ils ont toujours constitué une minorité. Aucun changement, d'aucune sorte.
3. Le rectorat de Grenoble, c'est (comme je l'ai déjà dit et sambre aussi), Daniel Filâtre, ponte du SGEN, scientologue de l'éducation et maître d'oeuvre des Espé, qui agit de son propre chef: c'est peut-être lui, d'ailleurs et pas Bouvier, mais peu importe; qui a fait intervenir Bonnafous. Ni la DRH ni la DGESCO n'ont absolument rien dit. D'autres recteurs ont l'air d'avoir une tout autre politique, ce qui prouve bien que ce n'est pas une instruction ministérielle, le ministre ayant d'ailleurs changé entre temps. Najat V-B a été saisie. On attend qu'elle se prononce. Un IG ça ne peut pas se virer, un recteur oui : j'espère que Filâtre sera viré pour excès de pouvoir ainsi que tous les recteurs qui agissent comme lui. Et si c'est pas le Ministre qui les vire, ce seront les tribunaux qui annuleront des décisions illégales.
4. Je sais parfaitement qu'un didacticien ne peut pas refuser la titularisation. Mais voyez les explications qu'on donne aux stagiaires à l'Espé d'Amiens. C'est on ne peut plus clair et là aussi passible des tribunaux (ordinaires cette fois car menaces et chantages constituent des délits de droit commun) :
« Pour ceux qui ont déjà un M2 et qui échoueront au M2 MEEF : juridiquement, rien ne les empêcherait d’être titularisés, puisqu’ils sont titulaires d’un M2 ; mais la titularisation est proposée par un jury présidé par le Recteur qui suit en général les avis obligatoires d’un inspecteur, d’un chef d’établissement et du directeur de l’ESPE. Si le stagiaire n’obtient le M2 MEEF, il y a grand risque à ce que ce jury donne un avis défavorable. »
J'espère vraiment qu'il y aura au moins un stagiaire d'Amiens pour porter plainte.
- MarmontNiveau 9
Oui, avant 2009. C'est bien pour cela que j'ai précisé la fourchette 2009-2013 (et non 2014... )Pour autant que je me souvienne les directeurs d'IUFM étaient eux aussi nommés
C'est là qu'il me semble que vous vous trompiez. Il y a eu pendant la période précédente - celle qui connaissait selon moi une forte liberté - une profonde modification des recrutements. La minorité à laquelle vous pensez, est devenue la majorité. C'est le cas dans trois universités de province que je connais. Effectivement, il en est peut-être autrement à Créteil que je connais fort mal.Il y a toujours eu dans les IUFM de vrais EC (j'entends pas des didacticiens et autres scientologues de l'éducation). Comme vous dites, ils n'avaient pas eu de poste dans une UFR. Mais ils ont toujours constitué une minorité. Aucun changement, d'aucune sorte.
Je n'y vois pas la même chose que vous...« Pour ceux qui ont déjà un M2 et qui échoueront au M2 MEEF : juridiquement, rien ne les empêcherait d’être titularisés, puisqu’ils sont titulaires d’un M2 ; mais la titularisation est proposée par un jury présidé par le Recteur qui suit en général les avis obligatoires d’un inspecteur, d’un chef d’établissement et du directeur de l’ESPE. Si le stagiaire n’obtient le M2 MEEF, il y a grand risque à ce que ce jury donne un avis défavorable. »
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"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- cassy88Niveau 4
Des nouvelles de Créteil concernant les lettres/langues. Notification reçue pour une nouvelle demie journée de formation demain matin pour une UE qui jusque-là n'était pas sur la maquette du DU mais uniquement pour les M2 et qui devient obligatoire pour tous. Certes ça a l'air intéressant mais du coup on nous rajoute des heures qui n'étaient pas prévues à la vitesse la on aura vraiment exactement la même formation que les M2. Tout ce qui change pour l'instant c'est le volume horaire des UE.
Concernant les inscriptions, le problème devrait être réglé prochainement.... Affaire à suivre!
Concernant les inscriptions, le problème devrait être réglé prochainement.... Affaire à suivre!
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I'm a lady, but when I'm mad, I'm an evil sadistic demon spawned bitch from hell that'll make you wish you were never born... And when I'm happy, I bake cookies and shit.
- Pedro CordobaNiveau 7
Donc, si je comprends bien ce que nous dit Marmont, la période des IUFM qu'ils préférait c'est celle où les IUFM n'existaient pratiquement plus : 2009-2013. Intégrés à l'université, ils n'intervenaient presque plus dans la formation des stagiaires. Les stagiaires étaient à 18 heures et l'essentiel de leur formation passait par les tuteurs et relevait donc du compagnonnage. C'est l'idée que j'ai toujours défendu contre les IUFM à cette différence près que je voulais seulement 6 heures en responsabilité et le reste avec les tuteurs, à se promener de classe en classe pour voir d'autres cours et d'autres professeurs ou pour des échanges entre eux. Dans mon idée les locaux des IUFM, aujourd'hui des Espé, ne devraient servir qu'à ça : les mettre à disposition des stagiaires pour qu'ils puissent se voir et discuter sans la présence du moindre formateur.
Bon, si c'est ça moi je veux bien. Mais je doute que cela suscite un enthousiasme énorme chez les anciens des IUFM ou les partisans actuels des Espé. Les seuls qui seraient contents, ce seraient les EC qui y ont trouvé (ou y trouveraient) un poste inexistant dans les UFR. Mais comme on n'y ferait rien de plus que dans les UFR, eh bien on pourrait tout simplement fermer ces écoles internes et utiliser les locaux, le fric et les postes pour renforcer les masters-recherche, payer les tuteurs et prêter des salles aux stagiaires. On pourrait aussi songer à rentabiliser les bâtiments en les louant pour des défilés de mode, comme on fait aux Beaux-Arts, ou pour d'autres activités encore plus lucratives (elles ne manquent pas mais j'hésite à les décrire plus amplement par peur des ciseaux de la modération, chacun aura deviné je pense).
Bon, si c'est ça moi je veux bien. Mais je doute que cela suscite un enthousiasme énorme chez les anciens des IUFM ou les partisans actuels des Espé. Les seuls qui seraient contents, ce seraient les EC qui y ont trouvé (ou y trouveraient) un poste inexistant dans les UFR. Mais comme on n'y ferait rien de plus que dans les UFR, eh bien on pourrait tout simplement fermer ces écoles internes et utiliser les locaux, le fric et les postes pour renforcer les masters-recherche, payer les tuteurs et prêter des salles aux stagiaires. On pourrait aussi songer à rentabiliser les bâtiments en les louant pour des défilés de mode, comme on fait aux Beaux-Arts, ou pour d'autres activités encore plus lucratives (elles ne manquent pas mais j'hésite à les décrire plus amplement par peur des ciseaux de la modération, chacun aura deviné je pense).
- MarmontNiveau 9
Oui, car à ce moment c'était de la préparation aux concours d'un point de vue disciplinaire, ce qui fait que bon nombre de profs en sciences de l'éduc. et Cie étaient sur le carreau (en tout cas ils intervenaient moins...). C'est aussi à cette époque que les recrutements ont changé : auparavant les corps d'inspection (c'est revenu avec l'ESPE, mais c'est moins flagrant puisque l'Université tient les cordons de la bourse et se montre regardante sur qui elle recrute) plaçaient qui ils voulaient et réalisaient de l'excès de pédagogisme, parfois par conviction, parfois parce qu'il n'y avait pas le choix et que c'était à la mode. Depuis ce moment, ce sont des commissions ad hoc de l'Université qui recrutent et dans bien des lieux on voulait faire disparaitre vos cerbères.pedro cordoba a écrit:Donc, si je comprends bien ce que nous dit Marmont, la période des IUFM qu'ils préférait c'est celle où les IUFM n'existaient pratiquement plus : 2009-2013. Intégrés à l'université, ils n'intervenaient presque plus dans la formation des stagiaires.
Je ne prétends pas qu'ils ont disparu, mais qu'ils sont moins forts dans les ESPE d'aujourd'hui qu'auparavant (avant 2009).
En quelque sorte des Ecoles normales restaurées si je vous comprends bien ? Empirisme et pragmatisme dénué de toute idéologie en somme. Si c'est cela je crois que nous sommes complètement d'accord.pedro cordoba a écrit: C'est l'idée que j'ai toujours défendu contre les IUFM à cette différence près que je voulais seulement 6 heures en responsabilité et le reste avec les tuteurs, à se promener de classe en classe pour voir d'autres cours et d'autres professeurs ou pour des échanges entre eux. Dans mon idée les locaux des IUFM, aujourd'hui des Espé, ne devraient servir qu'à ça : les mettre à disposition des stagiaires pour qu'ils puissent se voir et discuter sans la présence du moindre formateur.
C'est l'ESPE dont je rêve : des partages de "trucs" entre collègues, des mises en réseau, construire des séances d'enseignement, etc., sans qu'un cerbère vous surveille au fond de la salle avec le fouet de la titularisation et un drôle au coin de la porte avec son ouvrage de didactique dont les théories sont plus que fumeuses et qui ne fonctionnent que très rarement.
Restaurer aussi la possibilité d'accompagner les stagiaires sur le terrain, en classe et de montrer/tester ensemble les "trucs" en question. (ça on peut le voir en partie dans les stages de M1, mais c'est un peu léger)
Mais bon tout cela c'est de l'utopie je pense...
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"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- User17706Bon génie
Je crois que je vais boire à votre santé à tous les deux.
- COCOaineHabitué du forum
cassy88 a écrit:Des nouvelles de Créteil concernant les lettres/langues. Notification reçue pour une nouvelle demie journée de formation demain matin pour une UE qui jusque-là n'était pas sur la maquette du DU mais uniquement pour les M2 et qui devient obligatoire pour tous. Certes ça a l'air intéressant mais du coup on nous rajoute des heures qui n'étaient pas prévues à la vitesse la on aura vraiment exactement la même formation que les M2. Tout ce qui change pour l'instant c'est le volume horaire des UE.
Concernant les inscriptions, le problème devrait être réglé prochainement.... Affaire à suivre!
Pareil pour moi, je dois y aller demain après midi...
Tu es sur St Denis?
- MarmontNiveau 9
On peut boire un coup tous les trois et refaire le monde...PauvreYorick a écrit:Je crois que je vais boire à votre santé à tous les deux.
C'est souvent bon dans ce cas d'avoir un philosophe dans le coup !
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"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- cassy88Niveau 4
Oui je suis à St Denis!
Je sens qu'on se fait couillonner d'une bien belle façon là!
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- COCOaineHabitué du forum
cassy88 a écrit:Oui je suis à St Denis!
Je sens qu'on se fait couillonner d'une bien belle façon là!
Pareil je suis aussi à St Denis enfin un collègue présent sur néo
Alors même si nous avons des cours en plus, j'ai entendu que le DU serait trop chère donc il y aura plus de cours en amphi pour payer juste 1 prof :lol!:
- cassy88Niveau 4
Chouette chouette cette nouvelle, je me sens moins seule d'un coup!
Donc au lieu d'avoir une formation non adaptée en petits groupes on aura une formation non adaptée en amphi! C'est t'y pas beau tout ça?
Donc au lieu d'avoir une formation non adaptée en petits groupes on aura une formation non adaptée en amphi! C'est t'y pas beau tout ça?
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- COCOaineHabitué du forum
Bah je sais pas si c'est beau, mais c'est bien résumé
Nous en tout cas on se fait bien chier... Même si de temps en temps il y a des choses intéressantes.... ^^
Nous en tout cas on se fait bien chier... Même si de temps en temps il y a des choses intéressantes.... ^^
- cassy88Niveau 4
Je dois avouer qu'on se fait bien ch*er aussi! C'est pas inintéressant parfois mais bon 6h de formation pour entendre que la 1ère heure de cours est super importante et qu'il ne faut pas la rater pas, je trouve ça un chouilla long! On a des trucs et astuces de la part de la formatrice mais ça, c'est un plus.
Pour l'instant la maquette ne m'attire pas du tout: cours déjà faits l'an dernier.
Et surtout j'ai du mal à digérer le fait d'avoir des devoirs d'une semaine sur l'autre.
Franchement les prép. de cours c'est déjà pas mal non?!?!?!
Pour l'instant la maquette ne m'attire pas du tout: cours déjà faits l'an dernier.
Et surtout j'ai du mal à digérer le fait d'avoir des devoirs d'une semaine sur l'autre.
Franchement les prép. de cours c'est déjà pas mal non?!?!?!
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- golondrinaNiveau 7
Des devoirs d'une semaine sur l'autre?!?
Ça ne me donne vraiment pas envie d'aller en formation ça... :/
Ça ne me donne vraiment pas envie d'aller en formation ça... :/
- cassy88Niveau 4
Semaine de près rentrée, on nous a demandé de monter une séance ou séquence à partir de doc imposés!
La on nous a demandé de préparer nos progressions annuelles alors qu'on vient seulement de rencontrer nos classes. OK de toutes façons faut le faire pour l'inspection mais bon soyons réaliste normalement la progression annuelle on la fait au fur et à mesure...
La on nous a demandé de préparer nos progressions annuelles alors qu'on vient seulement de rencontrer nos classes. OK de toutes façons faut le faire pour l'inspection mais bon soyons réaliste normalement la progression annuelle on la fait au fur et à mesure...
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- golondrinaNiveau 7
Moi la formation commence la semaine prochaine.
Ils ont eu plus d'inscrits que prévu et n'ont pas su mettre en place tous les groupes d'un coup...
Pas trop envie dy être de ce fait :/
Ils ont eu plus d'inscrits que prévu et n'ont pas su mettre en place tous les groupes d'un coup...
Pas trop envie dy être de ce fait :/
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