- coindeparadisGuide spirituel
Bien-sûr mais quand on ajoute "débutant " et " pas de diplôme exigé" cela ne garantit pas la qualité de la prestation et donc lintéretdezenfants. Mieux vaut un cours de PE !
- may68Expert
forrester1 a écrit:De part chez moi: le centre équestre continue ses cours le mercredi matin....qui va en profiter...si ce n'est les enfants scolarisés dans le privé....
- auléricNeoprof expérimenté
on est bien d'accord , mais ce n'est visiblement pas l'avis du ministère (qui pense plutôt l'inverse vu la réforme)coindeparadis a écrit:Bien-sûr mais quand on ajoute "débutant " et " pas de diplôme exigé" cela ne garantit pas la qualité de la prestation et donc lintéretdezenfants. Mieux vaut un cours de PE !
- PrimuraNiveau 9
Bah les gosses écouteront Black M faire l'apologie de la fusillade dans une école Utilité pédagogique, zéro, mais ça doit être dans linteretdézenfants
- The GoonExpert
Rythmes scolaires : Lyon applique la réforme sans enthousiasme
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Et, une fois réélu, Gérard Collomb a choisi de s’engouffrer dans une brèche ouverte par le décret publié par le ministre de l’Education nationale, Benoît Hamon, qui permet ses « assouplissements adaptés aux réalités locales qui le nécessitent ».
Pour encadrer ces activités, quelque 1.600 animateurs sont recrutés pour un budget total de 15,9 millions en année pleine, dont 8,7 millions financés par la ville et 3 millions à la charge des parents. Ces derniers devront s’acquitter d’une participation mensuelle de 2 à 19 euros selon leur quotidien familial, alors que Gérard Collomb avait évoqué un forfait annuel de 20 euros avant les élections municipales.
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- Ma'amÉrudit
The Goon a écrit:Alors que la composition du nouveau gouvernement doit être annoncée aujourd'hui, Sébastien Meurant, le maire (UMP) de Saint-Leu-la-Forêt, souhaite « que le prochain ministre de l'Education nationale abroge le décret sur la réforme des rythmes scolaires »
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Mouais, ça me paraît compromis...
- may68Expert
- CatsouneExpert
Vive Mayotte!!!!
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Les compliments, c'est comme le mascara, il en faut plusieurs couches.....
- coindeparadisGuide spirituel
A Mayotte ils sont facilement en grève et bloquent tout, y compris l'aéroport et les bateaux. Dans une île on peut se retrouver sans approvisionnement des commerces par exemple (j'ai souvenir de 3 semaines sans lait, ni oeufs, ni beurre...).
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- The GoonExpert
Rythmes scolaires : les opposants à la réforme appellent à manifester le 6 septembre
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"Cette réforme ne va pas dans l'intérêt de l'enfant, dénonce le collectif. Cinq matins de cours par semaine n'améliorent pas les résultats des élèves français." En outre, ces nouveaux rythmes scolaires creusent "les inégalités territoriales, mais aussi scolaires avec l'apparition d'une multitude d'emplois du temps différents d'une école à l'autre, parfois dans une même commune", ajoute-t-il dans le communiqué.
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- The GoonExpert
- The GoonExpert
- The GoonExpert
Martainville Rythmes scolaires : des heures de garderie remplaceront les activités
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Que feront alors les enfants ? Ils devront patienter sagement à la garderie de Martainville ouverte jusqu’à 18 h 30. Certains enfants y resteront 2 h 30 (voire 3 h 15) sans pratiquer la moindre activité : « On ne peut pas financer d’activités. La seule solution serait de faire payer les parents, mais ils ne le veulent pas », avoue Didier Delabrière. D’autant que cette réforme entraîne déjà un investissement important avec le recrutement d’un agent territorial spécialisé des écoles maternelles (ATSEM).
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- The GoonExpert
Rythmes scolaires: quid des communes du Valenciennois qui les refusent?
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Norbert Jessus, Michel Blaise et Jean-Marie Lecerf sont-ils des irréductibles ? Les maires respectifs de Trith-Saint-Léger, Bellaing, et Thiant ont tous eu droit à à un courrier du sous-préfet les rappelant à la loi. S’ils ne veulent pas mettre en place la fameuse réforme, les services de l’État le feront à leur place et avec l’argent de la commune. Voilà pour le premier volet de mesures qui pourront aller jusqu’aux sanctions.
Alors du coup, chacun d’eux arrangera la sauce à sa manière, mardi matin pour la rentrée. Norbert Jessus, lui, ne changera rien par rapport à l’an dernier. Il n’a pas bougé depuis que les parents d’élèves ont clairement montré leur hostilité au projet. Il attend de savoir si le conseil d’État tranchera dans son sens, en déclarant illégal le décret du 24 janvier 2013 (NDLR : le transfert de charges vers les communes ne respecterait donc pas, aux yeux de la plus haute instance administrative, l’article 72-2 de la Constitution).
« Tout le monde n’a pas les mêmes moyens, l’argent il faudra le trouver » - pointe par ailleurs du doigt la distinction entre écoles publiques et écoles privées . En effet, ces dernières « ne sont pas obligées de suivre. » L’élu s’interroge sur les risques de fermetures de classes s’il y a une fuite vers l’enseignement privé.
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- senaNiveau 8
- JohnMédiateur
Rythmes scolaires : les parents d’élèves de Merris comptent « boycotter » le mercredi matin .
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Si personne n’est d’accord avec cette réforme des rythmes scolaires, pourquoi ne pas organiser une action ? Voici l’esprit de la démarche des parents d’élèves de Merris. Qui, dès mercredi, entendent laisser les deux écoles du village (la maternelle et la primaire) vides ou presque. « Les parents viendront mais pas les enfants », indique un papa. Une protestation silencieuse qui pourrait durer tout le mois de septembre.
L’idée a été lancée presque « bêtement ». « C’était en juin lors d’une réunion sur l’organisation des rythmes scolaires. Quelqu’un a posé la question de savoir qui était pour ou qui était contre. Les gens ne se parlent pas forcément… Et là, on s’est rendu compte que la majeure partie des parents était contre. »[...]
Parmi les récriminations contre la réforme des rythmes scolaires, celle du changement d’organisation, du coût – « Même si c’est encore gratuit, on sait très bien que les prochaines années, ce sont les contribuables qui vont payer » – mais pas seulement. « Pour les maternelles, c’est un non-sens. Alléger les journées alors qu’ils font la sieste l’après-midi ? Ma fille a 4 ans. Avec les fameux ponts, lorsqu’il faut rattraper le mercredi matin, on voit bien qu’elle est complètement KO. »
Et à Merris, les parents ont bon espoir que ce ne soit pas un coup d’épée dans l’eau. Ils espèrent même – pourquoi pas – que leur action puisse faire boule de neige. « Le but, c’est de faire comprendre au gouvernement que les parents ne sont pas d’accord. »
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
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- The GoonExpert
Rythmes scolaires : la réforme qui ne passe pas
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Ils seraient au minimum 200 maires à refuser d'appliquer la réforme. Ces maires qui se mettent volontairement "hors la loi" risquent la suspension de leur mandat, voire la révocation ou la réquisition des locaux par le préfet.
Pour René Raimondi, maire PS de Fos-sur-Mer, il est question du respect du rythme de l'enfant. "Après une vaste concertation entre parents d'élèves, enseignants et élus municipaux, il a été voté au conseil municipal du 2 juin dernier le maintien du rythme de quatre jours. Le mercredi est le jour du temps de repos et de respiration pour l'enfant. Il y a aussi une inégalité dans le traitement de la réforme entre les villes qui savent faire et les autres villes qui ne savent pas faire. C'est une réforme qui s'est décidée un peu trop rapidement", explique le maire socialiste. Les 1 600 enfants de la commune conserveront le rythme de quatre jours d'école par semaine. "En tant qu'élu local, je reste à l'écoute de la population et je réponds ainsi aux attentes des habitants de ma commune." Il espère un mouvement national malgré le rappel à l'ordre du préfet qui le menace de saisir le tribunal administratif.
"Le collectif est contre la réforme et non contre le gouvernement, précise Céline Fabre, porte-parole du collectif et professeur des écoles à Toulon. D'après une étude menée sur les 4 000 communes pionnières, la réforme ne va pas dans l'intérêt de l'enfant et elle est réputée pour être inefficace. Les enfants sont très fatigués. Non seulement elle coûte cher, mais elle démontre des inégalités territoriales sur la qualité des activités proposées suivant les communes, une discrimination pour les enfants handicapés et une déstructuration de la cellule familiale..."
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- The GoonExpert
Rythmes scolaires à Marseille : Parents et enseignants en otage
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« Pour nous, c’est inacceptable », réagit Jean-Philippe Garcia, président de la Fédération des parents d’élèves (FCPE) des Bouches-du-Rhône. « Nous dire aujourd’hui qu’on n’est pas prêts, alors qu’on avait deux ans pour l’être.... On prend en otages les parents et les enfants ». Quand « le périscolaire est laissé en jachère depuis de nombreuses années à Marseille », comme le remarque Annie Levy, du Mouvement départemental des parents d’élèves (MPE13), on ne s’étonnera pas de l’immense problème logistique qui s’annonce dans les écoles de la ville. « Ce n’est pas à nous parents, de quitter notre lieu de travail le vendredi à 11h30 pour acheminer les enfants vers le centre aéré », lance Séverine Gil du MPE13 soulignant encore « ce sont les mères isolées qui vont en faire les frais, d’autant plus quand elles occupent des emplois précaires ».
Le mercredi, même combat lorsque les parents seront obligés de chercher leurs enfants. « La cantine n’est même pas assurée le mercredi, continue le parent d’élève, la garderie instaurée de 11h30 à 12h30 doit être assurée par un enseignant ou un parent d’élève mais il n’y a personne ». Côté enseignants, on accuse également le coup d’une réforme faite « à l’emporte-pièce » et une mise en place des nouveaux rythmes scolaires « de bric et de broc », selon Cyrille Trignac, enseignant et futur directeur d’école à la maternelle Cadenas. Dans le 3e arrondissement où seulement 3 centres aérés de 174 places devront accueillir les 7000 élèves des écoles du secteur, les nouveaux rythmes scolaires seront très compliqués à mettre en place. « Seules 90 écoles sur 445 ont un centre aéré intégré à l’école », déclare le futur directeur de l’école maternelle accusant encore le manque à gagner des personnels Bafa ( seulement 350 à Marseille) pour respecter le taux d’encadrement des enfants le vendredi après-midi ou encore « la précarité des contrats d’animation proposés sur une seule demi-journée » pour les 3500 animateurs dont les écoles de la ville auraient besoin afin d’appliquer la réforme. Une réforme mise ne place « sans aucune concertation réelle avec la communauté éducative qui se trouve maintenant au pied du mur. »
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- The GoonExpert
Agen : la nécessaire adaptation aux rythmes scolaires
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Jusqu'à la réforme des quatre jours en 2008, le système était sensiblement le même les mercredis après-midi. « Pour l'instant, on ne sait pas si la fréquentation diminuera. A priori, cela devrait rester stable. Nous gardons les mêmes équipes d'animateurs et les mêmes activités, donc pour nous la réforme ne change pas grand-chose », relativise Sylvie Cazé, chef de service à la petite enfance qui gère notamment le centre de Donnefort.
La plupart des intervenants partagent cet avis et sont enclins à attendre la rentrée pour constater une évolution positive ou négative de la fréquentation. Cyril Guilbert, directeur de l'Accueil de loisirs des Îles, s'attend néanmoins à une légère diminution. « Si nous perdons du monde, ça sera un choix des parents. Jusque-là, certains venaient le matin et profitaient de notre offre demi-journée/repas, puis repartaient l'après-midi pour pratiquer d'autres activités comme la musique ou le sport en club. Nous perdrons peut-être ceux-là et passerons alors de 130 à 100 enfants par mercredi. »
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- The GoonExpert
s'il y en a qui ne sont toujours pas au courant Europe 1 fait un rappel :
Rythmes scolaires : que risquent les maires réfractaires ?
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Rythmes scolaires : que risquent les maires réfractaires ?
Face à une délibération du Conseil municipal ou un arrêté du maire refusant ouvertement d'appliquer la réforme, le préfet, chargé d’exercer le contrôle des collectivités, "pourra utiliser la procédure du référé liberté. Avantage ? "La décision du juge administratif est forcément rendue dans les deux jours", précise Me Bardon. Et devrait, sauf cas exceptionnel, aboutir à la condamnation des maires résistants.
dupont aignan 930
© Max PPP
"Le préfet fera ce qu'il veut !" Ces derniers en ont-ils conscience ? Deux maires contactés par Europe 1 assurent qu'ils sont prêts à prendre le risque. "Le préfet fera ce qu'il veut ! Je préfère être en infraction avec un décret plutôt qu'avec les normes de sécurité des enfants", lance, bravache, le maire de Yerres Nicolas Dupont-Aignan. L'élu de l'Essonne estime qu'il est plus responsable pour le moment de ne pas ouvrir l'école le mercredi matin, sa commune étant dans l'incapacité d'assurer la cantine le mercredi midi, les transports des élèves et des activités extra-scolaires l'après-midi faute d'avoir trouvé suffisamment d'animateurs. Le maire socialiste de Fos-sur-Mer René Raimondi préfère encore en plaisanter. "S'ils veulent me mettre un mois en vacances, qu'ils me mettent un mois en vacances !", répond l'élu, à l'évocation d'une des sanctions possibles – une suspension d'un mois.
Suspension, voire révocation. En effet, excepté le recours en justice, il existe des sanctions plus radicales. Un maire qui persisterait dans ce refus d'appliquer la réforme pourrait être suspendu pour un mois par le préfet ou par arrêté ministériel. C'est ce qui était arrivé au maire de Bègles Noël Mamère en 2004 pour avoir marié un couple homosexuel alors que la loi ne l'y autorisait pas. Sur le papier, les sanctions peuvent aller jusqu'à une révocation. "Une procédure tout à fait exceptionnelle. Il faudrait démontrer des fautes graves", nuance Me Bardon. A ce jour, il n'existe qu'un exemple, celui du maire d'Hénin-Beaumont, Gérard Dalongeville, révoqué en 2009.
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- The GoonExpert
Les nouveaux rythmes scolaires font toujours débat à Gien
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Devant l'ampleur de la mobilisation, le maire de Gien a décidé de faire un geste pour les parents en réduisant le tarif de la garderie de 30%. C'est la seule modification consentie.
En guise de protestation, certains parents d'élèves ont d'ores et déjà l'intention de boycotter l'école le mercredi à la rentrée.
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- The GoonExpert
Mayotte : les instituteurs en grève contre les nouveaux rythmes scolaires
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Comme l'explique Mayotte 1ère, les représentants syndicaux des enseignants estiment que ces rythmes scolaires sont "néfastes pour les enfants et pour le système éducatif à Mayotte, compte tenu des conditions de travail difficiles dans l'île". Le préavis de grève est illimité et les grévistes assurent qu'ils seront chaque jour plus nombreux.
Spécificités mahoraises
Le système éducatif de Mayotte doit faire face à des difficultés très lourdes : face à la forte natalité, il manque "500 salles de classe pour un fonction normal", selon un rapport du vice-rectorat de Mayotte en date de février 2014. Un système de "rotation" est donc mis en place depuis des années dans l'île pour pallier ce manque de locaux et d'enseignants : les élèves du primaire vont à l'école soit le matin, soit l'après-midi pour que chacun puisse tout de même être scolarisé.
Dans ces conditions déjà très difficiles, les nouveaux rythmes scolaires décrété en 2012 par Vincent Peillon, le ministre de l'Education de l'époque, viennent encore compliquer la tâche du vice-rectorat et des mairies de Mayotte. Ainsi à Mamoudzou, seuls 10 des 37 groupes scolaires ont pu mettre en place les nouvelles mesures. L'adjointe au maire chargée des affaires scolaires explique : "On a senti une grande désorganisation. Nous avons voulu faire mais nous n'avons pas encore les moyens techniques et financiers pour recruter des gens."
Lors du dernier Congrès des maires, les élus mahorais avaient tenté d'alerter, en vain, sur leur situation particulière.
Un premier dossier pour Najat Vallaud-Belkacem, la toute nouvelle ministre de l'Education ?
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- The GoonExpert
Melun Rythmes scolaires : premiers couacs ?
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là ça part très très fort s'ils n'ont même pas de places pour tout le monde ! :shock:
« Quand, début août, je me suis rendue à la mairie pour inscrire mes enfants pour le mercredi après-midi, comme chaque année, on m’a annoncé que j’allais devoir compter sur un désistement car les structures étaient déjà au complet », raconte cette mère de famille qui a préféré garder l’anonymat, espérant « que la mairie puisse trouver une solution. » Une surprise pour cette travailleuse qui ne peut pas se permettre de prendre des jours de congé en milieu de semaine.
« Je me suis renseignée pour obtenir les services d’une nounou mais, financièrement, je ne peux pas me le permettre », poursuit-elle.
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là ça part très très fort s'ils n'ont même pas de places pour tout le monde ! :shock:
- The GoonExpert
La réforme des rythmes scolaires adoptée bon gré mal gré
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« D’après le questionnaire que nous avons distribué, une grande majorité de parents est contre. Et, des élus de mon conseil aussi. Mais, nous sommes contraints et forcés de l’appliquer. On est en train de transférer l’éducation aux communes alors que nous ne sommes pas préparés à assumer cette mission », déplore l’élu.
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- The GoonExpert
Rythmes scolaires : pas une option
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Sur le papier, les communes peuvent faire «appel à des associations partenaires de l’école, des mouvements d’éducation populaire, des associations sportives ou culturelles locales» et même à la caisse d’allocations familiales. Sur le papier toujours «des emplois d’avenir peuvent aussi être créés par les collectivités pour étoffer les équipes.»
Reste que ces personnes qualifiées comme des animateurs périscolaires doivent présenter des aptitudes et qualifications pour encadrer des enfants. Et c’est une denrée qui commence à se faire rare. Prises à la gorge en pensant que la réforme n’allait pas être appliquée, beaucoup de communes cherchent toujours à embaucher. C’est le cas de Versailles qui recrute au niveau du BAFA, mais sur un contrat horaire. Dans d’autres communes, on ignore encore vers qui se tourner. «Le problème est que Paris a largement ratissé les animateurs qualifiés pour ses écoles. Du coup, dans le département, c’est plus difficile de trouver des gens compétents. D’autant que le temps de travail ne permet pas de gagner un gros salaire», rapporte une employée du Pôle emploi qui est, en ce moment, très sollicitée sur le sujet. Marion, justement originaire de Versailles, le confirme. «La mairie de Paris m’a tout de suite embauchée dès que j’ai dit que j’avais le BAFA. Pour eux, c’était idéal. Pour moi, c’est pratique car je suis des études à Paris. Et je sais que beaucoup comme moi ont préféré aller vers la capitale. Tout simplement parce que les écoles ont été les premières à mettre en place des TAP. Donc, pour nous, on gagnait quelques mois de salaire.»
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- Luigi_BGrand Maître
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
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