- Luigi_BGrand Maître
- ycombeMonarque
Solution: n'utiliser que des animateurs bénévoles. La FCPE a lancé un appel aux parents pour qu'ils se mobilisent comme bénévoles?
- User21714Expert spécialisé
:vvv: :devil:
Youpiiii!!!
Vivez dans le monde de Candie avec la fcpe!!!
- ycombeMonarque
Special dédicace à Paul Raoult:républicain a écrit::vvv: :devil:
Youpiiii!!!
Vivez dans le monde de Candie avec la fcpe!!!
- The GoonExpert
- The GoonExpert
Transports scolaires et rythmes scolaires: Un surcoût de 750.000 € pour le conseil général
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C’est une dépense supplémentaire et sans contrepartie de 750000 € à laquelle le conseil général de l’Aube doit faire face lors de cette rentrée dans le cadre des nouveaux rythmes scolaires. Tout simplement parce qu’il convient désormais de véhiculer les élèves le mercredi matin. Et l’État ne compense pas cette nouvelle dépense.
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- PrimuraNiveau 9
Et on ne parle pas de la pollution à cause de tous ces cars et de toutes ces voitures
- retraitéeDoyen
Va falloir faire le bilan carbone de la réforme !
- trompettemarineMonarque
Un cas concret :
Voilà, voilà... dans notre petite ville du Var, il n'y aura pas de TAP mais juste de la garderie gratuite (la pause de midi : (2 heures!) et 3/4 d'heure l'après-midi) :
Donc pour les lundis, mardis, jeudis et vendredis : classe de 8h30 à 11h30 puis 13h30 à 15h45 : soit un peu plus de quatre heures de cours.
Et pour le reste de la journée, si par chance je peux amener ma petite à 8h30, cela lui fait plus de 4 heures de garderie ou périscolaire, plus de 5 heures si je dois l'amener à 7h30.
(mon mari peut la reprendre à 18 heures, 18h30 n'étant plus possible).
L'école de ma ville est donc devenue au moins pour moitié une garderie : bravo Peillon !
Faut-il que les femmes s'arrêtent de travailler pour s'occuper des enfants : c'était cela le but ?
L'égalité entre les écoles, les riches, les pauvres...
Je suis l'affaire et lis vos posts avec attention, mais je pense que la plupart des parents ne vont se rendre compte de ces aberrations qu'à la rentrée.
Voilà, voilà... dans notre petite ville du Var, il n'y aura pas de TAP mais juste de la garderie gratuite (la pause de midi : (2 heures!) et 3/4 d'heure l'après-midi) :
Donc pour les lundis, mardis, jeudis et vendredis : classe de 8h30 à 11h30 puis 13h30 à 15h45 : soit un peu plus de quatre heures de cours.
Et pour le reste de la journée, si par chance je peux amener ma petite à 8h30, cela lui fait plus de 4 heures de garderie ou périscolaire, plus de 5 heures si je dois l'amener à 7h30.
(mon mari peut la reprendre à 18 heures, 18h30 n'étant plus possible).
L'école de ma ville est donc devenue au moins pour moitié une garderie : bravo Peillon !
Faut-il que les femmes s'arrêtent de travailler pour s'occuper des enfants : c'était cela le but ?
L'égalité entre les écoles, les riches, les pauvres...
Je suis l'affaire et lis vos posts avec attention, mais je pense que la plupart des parents ne vont se rendre compte de ces aberrations qu'à la rentrée.
- Madame MadoNiveau 8
"Je suis l'affaire et lis vos posts avec attention, mais je pense que la plupart des parents ne vont se rendre compte de ces aberrations qu'à la rentrée."
Déjà, la moitié ne va pas être au courant des nouveaux horaires.
Et c'est ki ki va garder les petits abandonnés pour peau de balle ? :succes:
Déjà, la moitié ne va pas être au courant des nouveaux horaires.
Et c'est ki ki va garder les petits abandonnés pour peau de balle ? :succes:
- User21714Expert spécialisé
- User21714Expert spécialisé
retraitée a écrit:Enfin !
Ce n'est pas encore un APPEL, juste un PREAVIS, mais ceux qui voudront lutter pourront l'utiliser et donc être dans les clous, c'est déjà énorme; et c'est plus précis que le préavis généraliste de SUD éduc...
Maintenant, on doit vraiment se fâcher!
- The GoonExpert
trompettemarine a écrit:Un cas concret :
Voilà, voilà... dans notre petite ville du Var, il n'y aura pas de TAP mais juste de la garderie gratuite (la pause de midi : (2 heures!) et 3/4 d'heure l'après-midi) :
Donc pour les lundis, mardis, jeudis et vendredis : classe de 8h30 à 11h30 puis 13h30 à 15h45 : soit un peu plus de quatre heures de cours.
Et pour le reste de la journée, si par chance je peux l'amener à 8h30, cela lui fait plus de 4 heures de garderie ou périscolaire, plus 5 heures si je dois l'amener à 7h30.
(mon mari peut la reprendre à 18 heures, 18h30 n'étant plus possible).
L'école de ma ville est donc devenue au moins pour moitié une garderie : bravo Peillon !
Faut-il que les femmes s'arrêtent de travailler pour s'occuper des enfants : c'était cela le but ?
L'égalité entre les écoles, les riches, les pauvres...
Je suis l'affaire et lis vos posts avec attention, mais je pense que la plupart des parents ne vont se rendre compte de ces aberrations qu'à la rentrée.
C'est ce qui est dénoncé depuis le début. On peut s'attendre dans quelques années à un rapport désastreux sur l'impact de la réforme sur le travail des femmes effectivement, comme en Allemagne, comme aux USA. Rapport de l'OCDE probablement. Pendant que la Cour des comptes en fera un autre tout aussi critique sur la gabegie budgétaire consacrée aux TAP alors que la réforme aura contribué à accroitre encore les inégalités à l'école.
- The GoonExpert
Manuel Valls a prévenu ce jeudi à la Rochelle, à quelques jours de la rentrée scolaire, que la «loi» sur les rythmes scolaires«s’appliquerait» et a appelé les élus socialistes et radicaux à être «fiers» de cette réforme.
«N’ayons pas peur de la revendiquer ! N’ayons peur d’aucuns conservatismes, d’où qu’ils viennent !», a déclaré le chef du gouvernement, à moins d’une semaine de la rentrée scolaire. «La loi doit s’appliquer, elle s’appliquera. Il n’y a qu’une seule loi dans la République», a affirmé Manuel Valls.
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- The GoonExpert
Rythmes scolaires: des maires font de la résistance
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C'est le dossier brûlant de la nouvelle ministre de l'Education. A l'approche de la rentrée scolaire, de nombreux maires refusent d'appliquer la réforme des rythmes scolaires. C'est par exemple le cas à Montgeron, où les écoles publiques resteront fermées le mercredi. Si Benoît Hamon avait prévenu qu'il se montrerait intransigeant, Najat Vallaud-Belkacem s'est inscrite dans la continuité de son prédécesseur affirmant qu'elle ne touchera pas à cette réforme polémique.
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- The GoonExpert
Réforme des rythmes scolaires : comment contraindre les maires frondeurs ?
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Les préfets vont-il pouvoir contraindre les maires à faire ouvrir leurs écoles primaires le mercredi matin ?
Les préfets n’ont plus ce pouvoir. Ils disposent en revanche d’un outil précieux pour faire annuler les arrêtés municipaux : le déféré préfectoral. Seul bémol : le Tribunal administratif met en moyenne plus d’un an avant de statuer sur la décision du maire. Les préfets useront plutôt du référé suspension qui permettra à la justice administrative d’annuler l’arrêté en deux semaines maximum. Selon Manuel Gros, il s’agit de la conjecture la plus probable.
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- senaNiveau 8
The Goon a écrit:Manuel Valls a prévenu ce jeudi à la Rochelle, à quelques jours de la rentrée scolaire, que la «loi» sur les rythmes scolaires«s’appliquerait» et a appelé les élus socialistes et radicaux à être «fiers» de cette réforme.«N’ayons pas peur de la revendiquer ! N’ayons peur d’aucuns conservatismes, d’où qu’ils viennent !», a déclaré le chef du gouvernement, à moins d’une semaine de la rentrée scolaire. «La loi doit s’appliquer, elle s’appliquera. Il n’y a qu’une seule loi dans la République», a affirmé Manuel Valls.
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Les élections sénatoriales vont être une grande réussite pour....la droite! Valls a décidé de détruire le PS et il le fait bien!
- The GoonExpert
La calculette est de mise pour la rentrée. A partir du mardi 2 septembre, environ 6 millions d'écoliers du secteur public vont découvrir la réforme des rythmes scolaires : les 24 000 communes françaises qui ont une école ont désormais l'obligation de proposer une semaine de 4 jours et demi de classe. La réforme instaure aussi de nouvelles activités périscolaires, à la charge des communes.
L'Association des maires de France (AMF) estime le coût de cette réforme pour les communes à 150 euros par enfant et par an.
Pour permettre à chaque commune d'appliquer la réforme, l'Etat leur verse une aide via un fonds d'amorçage. Ce fonds, estimé à 250 millions d'euros pour l'année scolaire 2013-2014, passe à 360 millions d'euros pour 2014-2015. Soit 50 euros par enfant.
Pourquoi une telle différence ? Lors de la précédente rentrée, seules 4 000 communes avaient décidé de passer à la semaine de 4,5 jours, ce qui correspond à 1,3 million d'écoliers. Pour 2014-2015, la nouvelle semaine scolaire va concerner 24 000 communes, soit environ 6 millions d'écoliers du secteur public.
En revanche, le fonds d'amorçage sera réduit lors de la rentrée suivante, et calibré pour venir en aide aux communes qui rencontrent des problèmes, avait annoncé le 7 mai l'ex-ministre de l'Education Benoît Hamon.
Chaque maire est libre de demander une participation aux familles pour financer les activités périscolaires. France 2 cite l'exemple de Bruz, une ville de 18 000 habitants dans l'Ille-et-Vilaine, où les parents devront débourser entre 5 et 30 euros par trimestre et par enfant. Les fervents opposants à la réforme choisissent parfois de faire payer le prix fort aux parents en guise de protestation. Par exemple, le maire de Nice (Alpes-Maritimes), Christian Estrosi (UMP), qui s'est vivement opposé cette réforme portée par le gouvernement de François Hollande, facture les activités aux parents pas moins de 15 euros par mois. Dans ces villes, la participation des parents varie aussi en fonction du quotient familial.
"Pour compenser, on va ralentir les projets. Ceux qui sont lancés, notamment pour améliorer la sécurité sur les routes du village, vont être réalisés en quatre tranches au lieu de trois. Ils vont être menés à terme, mais à long terme",
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- The GoonExpert
Cher... ce que les nouveaux rythmes scolaires vont vraiment coûter aux familles
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Atlantico : Plusieurs communes ont déjà annoncé vouloir faire payer aux parents une partie des coûts liés aux nouveaux rythmes scolaires. Après les premières déclarations d'il y a quelques mois, la tendance s'est-elle généralisée ? A quoi les parents doivent s'attendre ?
Valérie Marty : Beaucoup de communes feront payer quelque chose aux parents. Cela pourra n’être que deux ou trois euros mensuels mais d’autres communes annoncent environ quarante euros tous les mois.
Dans d’autres communes, les hausses liées à ces nouvelles activités périscolaires ont été directement impactées sur les autres services proposés par les mairies, à savoir la cantine, la garderie du matin et les études du soir. Ces augmentations représentent parfois des hausses pouvant aller jusqu’à 40%. Les mairies montent les prix des services pour redistribuer ensuite aux écoles, afin de financer ces nouvelles dépenses.
Selon la plateforme de baby-sitting Yoopies, les zone de France déjà passées aux nouveaux rythmes scolaires ont vu l'heure de garde d'enfant monter en flèche (+6,2% contre +3,5% en moyenne). Quel est le lien de cause à effet entre les deux ?
Les baby-sitters augmentent leurs tarifs pour compenser la baisse de leur activité issue de la perte du créneau du mercredi matin maintenant occupé par l’école. Après, beaucoup de parents ont eu aussi recours aux baby-sitters pour emmener leurs enfants aux activités périscolaires où vont leurs enfants et qui se retrouvent maintenant positionnées le soir vers 16 heures avec les nouveaux horaires. Comme ils ne peuvent pas emmener leurs enfants et qu’ils font appel à ces baby-sitters, cela a créé une pénurie de ces dernières, ce qui a contribué à faire augmenter les prix.
De plus, pour de nombreux enfants qui sont en maternelle, beaucoup de parents ont préféré faire sortir leurs enfants plus tôt de l’école afin qu’ils ne participent pas aux activités périscolaires. Et pour cause, chez les maternelles, ces activités sont fatigantes et peu intéressantes pour l’enfant, en plus d’être mal encadrées. Ils sont donc obligés de payer une baby-sitter pour garder leur enfant.
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- The GoonExpert
claye-Souilly Le maire (UMP) refuse d'appliquer la réforme des rythmes scolaires
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Il a décidé d'être le frondeur de la Seine-et-Marne. Yves Albarello, le député-maire (UMP) de Claye-Souilly refuse d'appliquer la réforme des rythmes scolaires pour cette rentrée. Il n'ouvrira donc pas les portes de ses écoles le mercredi matin.
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- The GoonExpert
Rythmes scolaires : des parents d'élèves inquiets
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Les représentants de la FCPE, fédération de parents d'élèves, dénoncent l'absence d'activités périscolaires proposées par la ville pour la rentrée des classes.
«À quelques jours de la rentrée de la classe, on ne sait toujours pas ce que nos enfants vont faire lors des heures dédiées aux activités périscolaires», indique Virginie Deves. La présidente de la FCPE est toujours inquiète sur l'application des rythmes scolaires à Castres.
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- The GoonExpert
A Lyon, le privé ne veut pas des nouveaux rythmes scolaires
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Parmi les 36 écoles primaires et maternelles privées de Lyon recensées sur le site du rectorat, une seule applique la semaine à 4,5 jours, loin des 10 % estimés à l’échelle nationale. Il s’agit de l’école Pierre-Termier, dans le 8e arrondissement. Un rythme qui existe dans cet établissement depuis près de 40 ans !
Les parents voulaient conserver la semaine de 4 jours
Les autres ont fait le choix de rester à la semaine de 4 jours, sans être totalement réfractaires à la réforme. "On y a beaucoup réfléchi et on est restés très attentifs, mais ce n’était pas le souhait des familles" déclare-t-on du côté de l’école du Saint-Nom-de-Jésus. Comme cette école, d’autres avouent s’être interrogées sur la question et avoir sondé les parents d’élèves l’année dernière. Il en est ressorti qu’une grande majorité souhaitait que le rythme de 4 jours soit conservé, permettant "une coupure salutaire le mercredi".
A Lyon, dans le public, la municipalité a fait le choix de regrouper les activités périscolaires le vendredi après-midi. Certaines des écoles que nous avons sondées nous ont confié attendre de voir comment se passe la mise en place des nouveaux rythmes scolaires dans le public avant de prendre une décision pour la rentrée 2015, comme l’Externat de la Rédemption : "Avec la directive de la DEC (Direction de l’enseignement catholique, NDLR), nous n’étions pas obligés de l’appliquer. Du coup, on attend de voir."
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- The GoonExpert
Pas de changement pour les élèves du privé. À Nîmes, comme dans le reste du département à une exception près (1), les écoles catholiques sous contrat avec l’Éducation nationale ont pris la décision de ne pas appliquer la réforme des rythmes scolaires.
La réflexion menée toute l’année avec les parents d’élèves et les équipes pédagogiques a abouti "à la semaine des quatre jours, avec une écrasante majorité", affirme le directeur diocésain du Gard, Claude Chatte.
Un travail mené avec une neuroscientifique
Pour autant, le sujet n’est pas clos et le privé n’a pas jeté l’éponge, lui qui n’a jamais caché son intention de revenir sur les rythmes scolaires. "Ce que je regrette, c’est que le débat a pris la tournure d’une opposition semaine de quatre jours contre semaine des quatre jours et demi, poursuit Claude Chatte. Or le débat est ailleurs. Il y a des choses à faire au niveau de la journée pour améliorer le bien-être de l’enfant."
"La réflexion n’est absolument pas fermée, nous sommes en mouvement", indique le responsable de la rue Briçonnet. C’est dans ce cadre qu’à partir de septembre, une neuroscientifque-ergonome interviendra et travaillera avec les enseignants et les familles.
En attendant, les écoles privées doivent s’adapter aux répercussions de la réforme dans le public, notamment en apportant des solutions de garde le mercredi matin. Les écoles Saint-Stanislas et D’Alzon se sont par exemple associées (D’Alzon propose une garderie le mercredi matin, NDLR), d’autres établissent un partenariat avec l’Œuvre Argaud, mais qui ne peut accueillir les enfants de moins de 6 ans. "Nous sommes encore en recherche de solutions pour répondre aux besoins des familles."
Reste une dernière interrogation : l’effet de la réforme, très critiquée, sur les effectifs qui pourraient grimper en flèche. Pour le moment, le directeur diocésain ne note pas de hausse spectaculaire mais il reprendra sa calculette dès la rentrée passée.
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- The GoonExpert
ALÈS Réforme des rythmes scolaires : un dispositif a minima
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Certes, l’État a créé un fonds spécifique pour accompagner les collectivités dans cette réorganisation. Reste que le coût de la réforme est généralement supérieur à la dotation. À Alès par exemple, l’enveloppe promise de 270 000 € est loin de couvrir les 400 000 € nécessaires… Nous préférons prendre le temps de coordonner au mieux cette réforme, tant pour les services que pour les enfants et les parents”, justifie Max Roustan, maire d’Alès. Et à Christian Chambon, adjoint à l’éducation, d’ajouter : “C’est la réduction du temps scolaire qu’il faut souligner, et pas la création d’activités à tous crins. Il aurait fallu recruter 130 personnes pour seulement 1h par jour, c’était impossible. Et on aurait jamais trouvé assez d’associations pour prendre en charge 3000 élèves”.
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- Luigi_BGrand Maître
Au SE-UNSA on n'a peur de rien :
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Un constat, déplore C. Chevalier : les collègues sont « désabusés, déçus, dépités ». Or le dialogue social a pourtant été intense, avec de vraies avancées, même sur de vieux dossiers (sur les maîtres formateurs, les statuts de 1950...). Mais la question des rythmes a pris le devant de la scène et les enseignants ont le sentiment que rien n'a bougé.
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
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