- OlympiasProphète
thrasybule a écrit:J'étais en train de me dire qu'il y avait longtemps qu'on n'avait pas vitupéré contre les honteux privilèges des agrégés...
Ca ne va pas tarder...
- LefterisEsprit sacré
C'est la suite logique, on a bien pu lire sur ce forum que c'était une noblesse avec ses privilègesOlympias a écrit:thrasybule a écrit:J'étais en train de me dire qu'il y avait longtemps qu'on n'avait pas vitupéré contre les honteux privilèges des agrégés...
Ca ne va pas tarder...
- Spoiler:
- mais que font les profs d'histoire et de français pour leurs collègues qui n'ont aucune idée, ni sémantique, ni historique de l'un et l'autre de ces termes ?
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- atriumNeoprof expérimenté
Puisqu'on est occupé à se taper les uns sur les autres, je suis d'accord avec Lefteris: à entendre comme on nous balance du "privilège", du "coût du travail" et de la "prise d'otages" pour un oui pour un non, il faut que nos collègues de français, d'éco et d'histoire-géo, se remettent en cause.
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It's okay to be a responsible member of society if only you know what you're going to be held responsible for.
John Brunner, The Jagged Orbit
- OlympiasProphète
On nourrit à la chrono... :shock: :shock: et à la cartoLefteris a écrit:C'est la suite logique, on a bien pu lire sur ce forum que c'était une noblesse avec ses privilègesOlympias a écrit:thrasybule a écrit:J'étais en train de me dire qu'il y avait longtemps qu'on n'avait pas vitupéré contre les honteux privilèges des agrégés...
Ca ne va pas tarder...
- Spoiler:
mais que font les profs d'histoire et de français pour leurs collègues qui n'ont aucune idée, ni sémantique, ni historique de l'un et l'autre de ces termes ?
- CarabasVénérable
Tiens, je me retrouve un peu là-dedans.Robin a écrit:J'ai quitté l’Éducation nationale en 2010 sur les conseils de mon médecin, juste au moment où on pouvait prendre sa retraite à 60 ans. J'exerce actuellement dans un organisme de formation privé sérieux (cours particuliers, aide aux devoirs).
Je me dis que ce genre de centre a de beaux jours devant lui et j'ai parfois un peu honte de "prospérer" sur les décombres de l’École de la République. Mais à qui la faute ? J'en avais assez de ramer à contre courant, de me faire traiter de fasciste parce que j'étais au SNALC, de refaire le programme de CM1 en 3ème, de passer mon temps à faire de la discipline au lieu de faire cours, de supporter les élèves sans éducation, leurs géniteurs qui prennent l’École pour un supermarché, la lâcheté d'une administration aux ordres, les "réformes aberrantes" : suppression des CPPN, suppression de l'orientation après la 5ème, suppression des 4ème et 3ème technos., "l'élève au centre du système éducatif", un philosophe raté, Philippe Meirieu pour le nommer, érigé en phare de la pensée, 30% d'élèves en 6ème ne sachant ni lire ni écrire correctement, la violence, la vulgarité, la médiocrité au quotidien pendant plus de 20 ans (j'ai fait autre chose avant et ça me sert maintenant), ça use un bonhomme.
Je me demande comment j'ai pu supporter tout ça et maintenant je m'occupe d'enfants qui en veulent, raisonnement polis et bien élevés, surdoués ou sous-doués, je m'en fiche, souvent malmenés comme je l'ai été moi-même par ce système.
Sauf que j'ai démissionné rapidement et que l'organisme pour lequel je travaille n'est pas aussi sérieux que je le souhaiterais.
Mais j'ai la même impression que toi.
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Les chances uniques sur un million se réalisent neuf fois sur dix.
Terry Pratchett
- IgniatiusGuide spirituel
thrasybule a écrit:J'étais en train de me dire qu'il y avait longtemps qu'on n'avait pas vitupéré contre les honteux privilèges des agrégés...
C'est tellement bon de se la couler douce, de toucher de la thune, et de regarder la plèbe s'entre-déchirer...
C'est bien simple : je suis actuellement en vacances et je ne vois aucune différence avec la période scolaire.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- coindeparadisGuide spirituel
+ 10Lefteris a écrit:
Le malheur est que certains tombent dans le panneau, dans tous les secteurs. Diviser est la chose du monde qui fonctionne le mieux, d'autant que plus les gens sont maltraités, moins ils ont de recul et plus ils voient l'herbe très verte dans le pré du voisin.
Et en recrutant de préférence des candidats peu critiques, peu impliqués socialement (syndicats, partis, associations...) et en leur demandant dès leur intégration d'accepter des conditions matérielles et personnelles (je pense au harcèlement de certains conseillers pédagogiques, IPR...) inadmissibles , on les fragilise suffisamment pour s'assurer de leur servilité.
Mon problème n'est pas dans la considération que les agrégés gagnent trop mais dans celle que les autres corps ne gagnent pas assez.
- LefterisEsprit sacré
Aucun corps ne gagne assez, quand on compare avec les déroulements de carrière, les ouvertures , les régimes indemnitaires fixes des autres professions de la fonction publique (pourtant pas le domaine des "nantis"), qui débouchent au sein du même corps hors-grille par le système des emplois ou d'une promotion interne réservée au corps (par exemple les emplois de direction au MINEF , mais pas seulement).coindeparadis a écrit:+ 10Lefteris a écrit:
Le malheur est que certains tombent dans le panneau, dans tous les secteurs. Diviser est la chose du monde qui fonctionne le mieux, d'autant que plus les gens sont maltraités, moins ils ont de recul et plus ils voient l'herbe très verte dans le pré du voisin.
Et en recrutant de préférence des candidats peu critiques, peu impliqués socialement (syndicats, partis, associations...) et en leur demandant dès leur intégration d'accepter des conditions matérielles et personnelles (je pense au harcèlement de certains conseillers pédagogiques, IPR...) inadmissibles , on les fragilise suffisamment pour s'assurer de leur servilité.
Mon problème n'est pas dans la considération que les agrégés gagnent trop mais dans celle que les autres corps ne gagnent pas assez.
Le principe du "tuilage" (déjà expliqué sur d'autres fils) a été fatal aux enseignants : en tassant le haut de la grille indiciaire des corps des corps , on a tassé l'ensemble : les agrégés ayant été "oubliés" dans la revalorisation des autres catégories A+ (qui vont désormais a minima sur l'échelle lettre B) de la fonction publique dans les années 90 , il est impossible aux autres corps de monter par "tuilage" sur un indice correspondant à l’espace indiciaire de ce corps. Les certifiés, PE et assimilés ne peuvent donc excéder 783 (et encore c'est très haut sur la grille des agrégés, c'est la fin de la classe normale) , et tout espoir de sortir de la grille ne peut se faire que par changement de corps .
Rien à voir avec la carrière d'un attaché d'administration, d'un inspecteur des impôts ou des douanes.
Quant au régime indemnitaire, hormis quelques enseignants de classe préparatoire (et pas autant qu'on le dit) , il place de fait n'importe quel enseignant, agrégés compris , en revenus mensuels au-dessous de la quasi-totalité de la catégorie A .
Il est là, et entièrement là, le problème ... l'attrait supposé de la profession ne compense plus ce déclassement : plus de qualité de vie pour beaucoup, harcèlement hiérarchique pour certains, comme tu le rappelles , vacances guère supérieures en nombre de jours annuels, et bientôt amputées encore, savoirs relégués au second plan, derrière des objectifs très éloignés.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
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- DhaiphiGrand sage
Lefteris a écrit:tout espoir de sortir de la grille ne peut se faire que par changement de corps
Morpheus dans Matrix Reloaded, j'ai bon ?
Bon... OK, je
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De toutes les écoles que j’ai fréquentées, c’est l’école buissonnière qui m’a paru la meilleure.
[Anatole France]
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[Alain Souchon]
- dandelionVénérable
Ce qui est certain, c'est que le primaire est la clef de voûte de tout système éducatif, et que ce n'est pas avec des salaires étiques et des conditions de travail difficiles que l'on va pouvoir recruter des candidats d'un niveau suffisant.
J'ai eu l'occasion de comparer, et je confirme, on travaille beaucoup en primaire. Ce n'est pas le même travail, il est beaucoup plus incompressible à mon sens (modèles d'écriture à faire à la main, cahiers à corriger systématiquement, beaucoup plus de travail de préparation matérielle globalement). Cela ne veut pas dire qu'on travaille moins dans le secondaire mais c'est quelque chose qui est méconnu à mon sens, comme on ignore qu'enseigner en primaire demande de très solides connaissances disciplinaires.
Il y a un élément qui n'est pas pris en compte dans vos calculs: en étant PE, avec le mercredi matin qui saute maintenant, les coûts des transports et de garde des enfants sont plus importants. Ça peut sembler secondaire, mais je pense qu'avec l'impossibilité de faire des heures sup' pour augmenter son salaire, cela doit faire basculer des collègues dans le rouge. Et la présence devant élèves étant plus importante, la fatigue peut atteindre des sommets encore plus vertigineux que dans le secondaire.
J'ai eu l'occasion de comparer, et je confirme, on travaille beaucoup en primaire. Ce n'est pas le même travail, il est beaucoup plus incompressible à mon sens (modèles d'écriture à faire à la main, cahiers à corriger systématiquement, beaucoup plus de travail de préparation matérielle globalement). Cela ne veut pas dire qu'on travaille moins dans le secondaire mais c'est quelque chose qui est méconnu à mon sens, comme on ignore qu'enseigner en primaire demande de très solides connaissances disciplinaires.
Il y a un élément qui n'est pas pris en compte dans vos calculs: en étant PE, avec le mercredi matin qui saute maintenant, les coûts des transports et de garde des enfants sont plus importants. Ça peut sembler secondaire, mais je pense qu'avec l'impossibilité de faire des heures sup' pour augmenter son salaire, cela doit faire basculer des collègues dans le rouge. Et la présence devant élèves étant plus importante, la fatigue peut atteindre des sommets encore plus vertigineux que dans le secondaire.
- LefterisEsprit sacré
On le voit bien à la carte des recrutements, que ce métier n'attire plus vraiment : ca passe encore dans les académies demandées, parce que PE permet de rester dans sa région ( tiens justement, comme pour me donner raison, quelqu'un que je connais , en reconversion, vient de basculer de la prépa capes d'anglais sur celle de PE, pur éviter de quitter sa région) . Mais là où l' on peut faire autre chose, c'st la désertion (académies de Créteil-vesailles notamment), il faut aller piocher dans la liste complémentaire, les contractuels...dandelion a écrit:Ce qui est certain, c'est que le primaire est la clef de voûte de tout système éducatif, et que ce n'est pas avec des salaires étiques et des conditions de travail difficiles que l'on va pouvoir recruter des candidats d'un niveau suffisant.
J'ai eu l'occasion de comparer, et je confirme, on travaille beaucoup en primaire. Ce n'est pas le même travail, il est beaucoup plus incompressible à mon sens (modèles d'écriture à faire à la main, cahiers à corriger systématiquement, beaucoup plus de travail de préparation matérielle globalement). Cela ne veut pas dire qu'on travaille moins dans le secondaire mais c'est quelque chose qui est méconnu à mon sens, comme on ignore qu'enseigner en primaire demande de très solides connaissances disciplinaires.
Il y a un élément qui n'est pas pris en compte dans vos calculs: en étant PE, avec le mercredi matin qui saute maintenant, les coûts des transports et de garde des enfants sont plus importants. Ça peut sembler secondaire, mais je pense qu'avec l'impossibilité de faire des heures sup' pour augmenter son salaire, cela doit faire basculer des collègues dans le rouge. Et la présence devant élèves étant plus importante, la fatigue peut atteindre des sommets encore plus vertigineux que dans le secondaire.
Pour le fait de ne plus couper la semaine, je conçois la fatigue , puisque ça m'est souvent arrivé en raison de ma matière , il faut étaler l'option et dans la semaine, et dans la journée, ce qui m'a fait des amplitudes énormes, avec 4 à 6 classes (par exemple 3 de français, 2 de latin) quand j'étais certifié, et un travail de préparation en lettres qui n'est plus à présenter . Un métier peut devenir tout simplement un calvaire en fonction des conditions.
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Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- LefterisEsprit sacré
Je n'ai pas vu Matrix, mais je doute de la similitudeDhaiphi a écrit:Lefteris a écrit:tout espoir de sortir de la grille ne peut se faire que par changement de corps
Morpheus dans Matrix Reloaded, j'ai bon ?
Bon... OK, je
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- adelaideaugustaFidèle du forum
Aliceinwonderland a écrit:Suite à mon expérience dans des collèges de l'Essonne, je m'étais dit "au pire je mettrai mes enfants dans le privé". Encourager le développement d'un bon privé (de fait certains copains de mes fils sont boursiers) pourquoi pas. Mais il ne faut pas se voiler la face, moins encore que le public le privé n'a vocation à combattre les inégalités, s'il le peut il se contente de prendre les meilleurs.
On avait un système public qui fonctionnait bien mais on l'a ruiné en donnant les pleins pouvoirs aux parents, en ouvrant peu à peu les classes à des enfants qui auraient dû redoubler ou aller dans des structures spécifiques, pour masquer cet échec on a abaissé les exigences (y compris en termes de recrutement des professeurs). On est à un point de non retour désormais, et je ne pense pas que le salut puisse venir du privé malheureusement.
Je ne sais plus qui avait cité la phrase de Bossuet "Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes"...
Je l'ai citée, mais probablement d'autres avant moi...Je trouve que cela s'applique particulièrement en vrac à des gens comme Meirieu, Bentolila, le trio infernal Sylviane Valdois, Jean-Emile Gombert, Pascale Colé (tous les trois grrrrrands chercheurs directeurs de recherche au CNRS, "spécialistes de la dyslexie", qui se "nourrissent sur la bête", puisque leur recherche est fondée sur l'étude de leurs victimes : les enfants qui (n') ont (pas) appris à lire avec leur méthode "Crocolivre", très aimée d'un autre gourou, Roland Goigoux, qui a même inventé pour elle un nouveau terme : "méthode intégrative".
J'ajoute que plusieurs des personnages cités ont été membres de l'ONL. (Office National de la Lecture). A qui se fier ???
Sans oublier le "mathématicien" André Antibi, pour lequel le mal de l'école française se résume à cette manie, la notation. (Liste, hélas, non exhaustive)
"Tout coule !" (Héraclite.)
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"Instruire une nation, c'est la civiliser.Y éteindre les connaissances, c'est la ramener à l'état primitif de la barbarie." (Diderot)
"Un mensonge peut faire le tour du monde pendant que la vérité se met en route". (Mark Twain)
"Quand les mots perdent leur sens, les hommes perdent leur liberté".(Confucius)
- adelaideaugustaFidèle du forum
Robin a écrit:J'ai quitté l’Éducation nationale en 2010 sur les conseils de mon médecin, juste au moment où on pouvait prendre sa retraite à 60 ans. J'exerce actuellement dans un organisme de formation privé sérieux (cours particuliers, aide aux devoirs).
Je me dis que ce genre de centre a de beaux jours devant lui et j'ai parfois un peu honte de "prospérer" sur les décombres de l’École de la République. Mais à qui la faute ? J'en avais assez de ramer à contre courant, de me faire traiter de fasciste parce que j'étais au SNALC, de refaire le programme de CM1 en 3ème, de passer mon temps à faire de la discipline au lieu de faire cours, de supporter les élèves sans éducation, leurs géniteurs qui prennent l’École pour un supermarché, la lâcheté d'une administration aux ordres, les "réformes aberrantes" : suppression des CPPN, suppression de l'orientation après la 5ème, suppression des 4ème et 3ème technos., "l'élève au centre du système éducatif", un philosophe raté, Philippe Meirieu pour le nommer, érigé en phare de la pensée, 30% d'élèves en 6ème ne sachant ni lire ni écrire correctement, la violence, la vulgarité, la médiocrité au quotidien pendant plus de 20 ans (j'ai fait autre chose avant et ça me sert maintenant), ça use un bonhomme.
Je me demande comment j'ai pu supporter tout ça et maintenant je m'occupe d'enfants qui en veulent, raisonnement polis et bien élevés, surdoués ou sous-doués, je m'en fiche, souvent malmenés comme je l'ai été moi-même par ce système.
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"Instruire une nation, c'est la civiliser.Y éteindre les connaissances, c'est la ramener à l'état primitif de la barbarie." (Diderot)
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"Quand les mots perdent leur sens, les hommes perdent leur liberté".(Confucius)
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