[pétition] Rentrée 2014 en Bretagne, ailleurs bientôt : Les classes bilangues seront supprimées, et la LV2 rendue obligatoire pour tous dès la 5e, les sections euro menacées.

Message du snes :
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Aux collègues de langues vivantes,
> Aux militants des S1 pour info,
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> Cher(e) collègue,
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> Depuis quelques jours, des informations circulent sur des annonces que ferait le Recteur sur les langues vivantes, à l'occasion des réunions de bassin avec les chefs d'établissement.
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> Ce matin, la presse régionale confirme les décisions que le recteur aurait prises : suppression des bilangues dans l'académie, généralisation d'une seconde LV dès la classe de 5ème, réflexion (suppression ?) sur les classes et sections européennes. Cette réorganisation a été décidée unilatéralement par le Recteur Quéré de l'académie de Rennes et ne répond à aucune consigne nationale. Elle n'a été présentée et débattue dans aucune instance paritaire.
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> Au CTA (comité technique) du 7 novembre, le recteur s'est bien gardé de faire des annonces aux élus du personnel : il a manifestement préféré réserver ses décisions aux chefs d'établissement, sans mesurer l'émoi chez les professeurs de langues vivantes, directement concernés par cette réforme de grande envergure. Avec les initiatives propres à l'académie pour la session du bac 2014 (avancée des épreuves de EO en avril, livret d'accompagnement "PACT" obligatoire ), cela suffit des arbitrages du recteur et des IPR de LV qui ne tiennent compte ni de l'avis des collègues ni des usages de concertation avec les organisations syndicales, dont le Ministre Peillon dit pourtant qu'il faut en faire un impératif !
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> Le SNES-FSU Bretagne interviendra dès lundi matin pour exiger des explications sur ces annonces et demander la convocation au plus vite du CALV (comité académique des Langues Vivantes). Il est aussi important de savoir comment ces nouvelles heures en 5ème seraient financées : tout laisse à penser que, dans le cadre de la globalisation de l'enseignement des LV et à moyens constants, il n'y ait aucune rallonge horaire. Cela conduirait par exemple à diminuer les heures en 4ème et 3ème pour financer le projet en 5ème (de 2 x 3h à 3 x 2h ?).
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> Nous invitons chacun d'entre vous à réagir dès ce week-end auprès du cabinet du recteur (avec copie au SNES) à cette adresse : ce.cab@ac-rennes.fr
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> Nous demandons également à la section nationale du SNES d'intervenir auprès du ministère.
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> Enfin, un rassemblement devant le rectorat n'est pas à exclure pour exprimer la colère des profs de langues et leur exaspération avec des réformes qui s'enchainent depuis des années. Une audience avec le recteur et les IPR serait alors demandé. Mais nous avons besoin de mesurer si une telle action rencontrera l'adhésion du plus grand nombre et si vous êtes prêts à y participer. Merci de nous dire par retour de mel si vous êtes prêt(e) à vous engager dans cette mobilisation, un mercredi après midi probablement.
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> Bon courage à tous,
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> Gwénaël LE PAIH
> Secrétaire général du SNES-FSU Bretagne

trompettemarine a écrit:

kensington a écrit:
Je crois que les bilangues ont été créées pour "sauver" les postes d'allemand. En tout cas je peux te dire que chez nous les élèves ne sont pas sélectionnés et qu'on fait même un peu de remplissage.
Deux options facultatives obligatoires, pourquoi pas. Il y aura tout de même concurrence entre elles.

Il y en a en anglais, en espagnol etc.
C'est bien que chez vous les élèves ne soient pas sélectionnés.
En lycée, cela se complique encore plus car l'inspecteur d'académie décide qui ira
en langues euro anglais, allemand, espagnol, en bachibac, esabac, abibac, EPS spécialisé... ne sont pris que les meilleurs dossiers.

 

Chaque établissement fait son propre recrutement. Au moins c'est que j'ai toujours connu.

La masse de travail en bachibac, essabac ou abibac justifie la sélection à mes yeux.

Sinon, pour les nouveaux horaires de LVE dont parle Adri, c'est incroyable: on veut avoir les élèves linguistiquement performants en réduisant les heures de cours.  Même un enfant de quatre ans verrait le problème.

Si, si chez nous c'est l'inspecteur qui décide parmi tous les établissements, .pas les enseignants.
Je n'ai rien contre bachibac, esabac etc., ce que je pense c'est que les autres élèves doivent prendre aussi une autre option : un même nombre d'heures (ou presque).
Mais chez nous les bachibac esabac et abibac ne choisissent pas forcément la section pour la langue mais soit 1. parce qu'ils sont déjà bilingues 2. soit pour être avec les meilleurs.
(voir les crises de larmes quand ils ne sont pas pris : dans le secondaire du lycée public : ça me gêne...)

Mais dans tous les cas, il est honteux de toujours et encore réduire les heures d'enseignement !

Idem ici, le recrutement est fait par l'équipe du lycée où la section existe.
Il y a d'abord examen du dossier de l'élève, de ses bulletins, de la recommandation du prof principal et du prof de la langue concernée, puis de la lettre de motiv. Ensuite, il y a un entretien oral, prépondérant, qui juge à la fois de la capacité de l'élève à suivre les enseignements dispensés (cours de langue à haute dose, d'histoire et de géographie en allemand dès la seconde pour l'Abibac, de littérature - vraiment - en allemand dès la première) et de sa motivation personnelle (et non de celle de papa-maman). Et les enseignants essaient, dans la mesure du possible, de discerner quels sont les candidats qui sont réellement intéressés par la langue, la culture et la littérature de la langue enseignée (et non seulement par l'intégration d'une filière élitiste). Au final, discussion collégiale, avec la participation du proviseur de l'établissement.
Sinon, qu'y a-t-il de mal, quand on en a les capacités, à vouloir recevoir un enseignement exigeant, qui pousse vers le haut ? Vaut-il mieux se contenter du minimum ?

Supprimons aussi les classes prépas tant qu'on y est ! Ah, ben justement...

Adri a écrit:
Sinon, qu'y a-t-il de mal, quand on en a les capacités, à vouloir recevoir un enseignement exigeant, qui pousse vers le haut ? Vaut-il mieux se contenter du minimum ?

Supprimons aussi les classes prépas tant qu'on y est ! Ah, ben justement...

Attention je n'ai rien contre les classes à haut niveau d'exigence. Bien au contraire
-Mais il faut être vigilant par rapport à ceux qui détournent le système
-Et il faut que les autres élèves ne restent pas à la maison : ils doivent apprendre eux aussi et on doit permettre aux profs de leur offrir les options idoines (mais je sais bien que je rêve...)

Comme en ce moment la tendance est au nivellement par le bas, je réagis au quart de tour !
Tout à fait d'accord pour offrir à tous un enseignement de qualité, mais le curseur ne se place pas au même endroit pour tous...

Je suis d'accord .  

Je ne suis pas sûre que tous les élèves veuillent avoir plus d'heures de cours.

Aujourd'hui, le ton a légèrement changé, l'annonce n'est plus aussi catégorique, on parle de discussions... Aurait-on encore une chance de ne pas expérimenter cette réforme débile ?

annonces en LV : ça bouge !
COMMUNIQUE DU SNES-FSU BRETAGNE

Langues vivantes dans l’académie de Rennes : la concertation est nécessaire ! Une réforme de grande ampleur sur les langues vivantes dans l’académie de Rennes a été annoncée il y a quelques jours par voie de presse. Suppression des classes bilangues au collège, début d’une seconde langue vivante en cinquième, réflexion sur le maintien des classes européennes sont les arbitrages pris par le recteur de Rennes pour la rentrée 2014.

Décidées sans concertation ni débat préalable avec les représentants des personnels, les orientations du Recteur ont entraîné une vague de réactions indignées des professeurs de langues vivantes. Le SNES-FSU Bretagne a reçu des dizaines de messages de collègues pour dénoncer ce passage en force dont les effets sont désastreux : disparition progressive de toute diversité en langues vivantes dans l’académie, diminution des horaires élèves en 4ème et 3ème pour financer les nouveaux enseignements de langues en 5ème, augmentation du nombre d’élèves pris en charge pour chaque collègue, multiplication des services partagés sur plusieurs établissements pour atteindre un temps complet, disparition de nombreux postes définitifs. Particulièrement, l’enseignement de l’allemand, dont les classes bilangues ont fait leurs preuves depuis plusieurs années pour maintenir et augmenter les effectifs, est fragilisé par les initiatives académiques. Doit-on rappeler que l’allemand et toutes les autres langues vivantes participent à la découverte des cultures tout en formant les futurs citoyens et acteurs économiques ?

Le secrétaire général du rectorat contacté en urgence par le SNES-FSU Bretagne a tenu à rassurer sur les intentions du recteur : aucun arbitrage n’est pris. Le recteur organisera début décembre une concertation avec les organisations syndicales avant de convoquer un CALV (comité académique des langues vivantes qui réunit tous les acteurs dont les parents d’élèves et les élus des collectivités). Doit-on comprendre que les annonces des inspecteurs de langues vivantes n’engageraient a priori pas le recteur ?

Le SNES-FSU demande qu’une clarification soit apportée publiquement afin d’engager, dans un climat apaisé, un débat contradictoire nécessaire avant toute décision majeure modifiant la politique éducative académique.

Le dialogue social, dont le Ministre Peillon fait la promotion, doit redevenir une priorité des autorités académiques sur ce dossier aussi.

Le SNES-FSU attend donc l’ouverture de discussions paritaires. Il informera régulièrement l’ensemble des collègues. Le SNES-FSU n’exclut pas un rassemblement au rectorat des professeurs de langues vivantes pour défendre la diversité des langues vivantes dans l’académie, notamment par le maintien des classes bilangues, et pour dénoncer l’alourdissement ininterrompu des tâches professionnelles des collègues de langues vivantes en collège comme au lycée.

Le SNES-FSU et l’ensemble des collègues attendent au plus vite des assurances du recteur d’académie.

le secrétariat académique
25 novembre 2013

Et si tout ça était imposé nationalement?

Ça ne m'étonnerait pas, c'est dans l'air du temps. Je me dis qu' il y aurait une réaction, c'est trop grave. Mais si les attaques viennent de toutes parts ça va être difficile...

Le rapport de chépuki a écrit:La baisse de l’exigence en français (l’acquisition de l’orthographe et de la grammaire sont chronophages) n’a permis aucune amélioration en anglais.

Savoureux.
Mais sinon, l'acquisition de la grammaire (ie abstraction sur la langue, perception de la langue comme système) et de l'orthographe (histoire de la langue, notamment) sont des actes de violence envers les enfants. Bref...

Plus personne ne réagit nulle part... sauf quelques uns qu'on prend pour des allumés
... et sur néprofs.
dégoûtée de l'inertie des collègues qui viendront geindre quand cela sera trop tard. :
Debrouithi seauton...

Les spécialistes confirmeront ou infirmeront mais quand j'étais au collège et au lycée, j'ai toujours eu l'impression que la Bretagne faisait parfois partie des académies expérimentales pour certaines choses ensuite parachutées au niveau national.

Je n'étais pas en Bretagne alors, mais je crois bien qu'effectivement la Bretagne est souvent pilote.
D'ailleurs, si je ne m'abuse, on a en Bretagne une section Abibac depuis la création. (D'ailleurs, avec cette réforme, c'est drôlement menacé ! Comment passer l'Abitur si on ne fait de l'allemand qu'à partir de la 5e et à horaires réduits ??? C'est la même chose pour toutes les autres filières de ce type... Mais comme on veut que surtout aucune tête ne dépasse, ça tombe plutôt bien : que ces filières élitistes disparaissent elles aussi, tiens !  )

Cette fois, je ne sais pas trop ce qu'on pilote...

Il semblerait que dans l'académie de Toulouse, les rumeurs ne soient pas bonnes non plus...

En Bretagne, on devrait avoir plus d'infos dans les jours à venir. Je vous dirai ce qu'il en est.
(Réunion de CDE avec le recteur, de syndicats aussi, la semaine prochaine)

@Kensington: l'allemand survit grâce à la bilangue. On proposait alors quelque chose "de plus", sans rien d'autre en face (bilangue allemand/anglais ou alors juste anglais). Les effectifs en LV2 meurent d'eux-mêmes, car dans cette configuration il y a un choix à faire entre allemand et espagnol et le choix se porte sur l'espagnol à 90%, voire 95%, ce sera pareil en 5e...De nombreuses sections allemand lv2 ont déjà fermé dans les petits collèges ou collèges de taille moyenne.

trompettemarine a écrit:Plus personne ne réagit nulle part... sauf quelques uns qu'on prend pour des allumés
... et sur néprofs.
dégoûtée de l'inertie des collègues qui viendront geindre quand cela sera trop tard. :
Debrouithi seauton...

sur le forum PROFS d'ALLEMAND, les gens sont écoeurés...

Je compatis avec eux:pale: 

sur le site du Snes, une motion à soumettre au CA est proposée, je la trouve claire - évidemment, elle concerne les établissements de Bretagne, seuls concernés - pour le moment -  :

Motion collèges Langues Vivantes

Monsieur le Recteur d’Académie a récemment annoncé la disparition de l’enseignement des langues vivantes en sections bilangues. Cette annonce a eu lieu au cours de réunions dans les bassins d’animation pédagogique (BAPE), instance dans laquelle ni les personnels, ni les parents d’élèves ne sont représentés. Le 23 novembre dernier, la même annonce a été faite par la voix de son représentant dans la presse régionale. Aucune instance représentative  n’a été consultée !
D’après le porte-parole de Monsieur le Recteur, cette disparition des classes bilangues serait compensée par l’avancement du début de l’apprentissage d’une seconde langue vivante au niveau 5ème pour tous les élèves. D’une façon assez habile, il est suggéré que le privilège accordé jusqu’alors à certains cède la place à un bénéfice accordé à tous et que le nouveau dispositif favorisera l’apprentissage des langues vivantes au niveau Collège.
Pourtant, le volume horaire de 684 heures d’enseignement de langues vivantes qui seront dispensées à chaque élève au cours de sa scolarité au collège dans ce « nouveau » dispositif, et qui, parait-il, représentera « un léger surcoût » correspond, à l’heure près, au volume actuel.
Si l’on assure le même nombre d’heures de cours qu’aujourd’hui en ajoutant un niveau, on ne sera à l’évidence pas en mesure de financer 3 heures de cours de Langues vivantes 1 et 2 sur chaque niveau de Collège concerné.
Outre la disparition regrettable des classes bilangues, c’est donc à une dégradation des conditions d’enseignement qu’il faut s’attendre. Au-delà, les principes d’individualisation des parcours des élèves et de diversification de l’offre de langues vivantes sont gravement remis en cause. Car une fois encore, les langues minoritaires, notamment l’allemand, que les classes bilangues avaient permis de maintenir, feront immanquablement les frais de cette décision.
Si Monsieur le Recteur entend réellement développer l’apprentissage des langues vivantes dans l’académie, il n’a d’autre choix que d’y consacrer les moyens nécessaires.

Le conseil d’administration du collège/lycée…. demande à Monsieur le Recteur d’Académie de retirer ce projet.

Quelques nouvelles suite à une rencontre CDE - Recteur : ça n'est pas bon du tout. La décision officielle sera annoncée en janvier... Le recteur est bien décidé à porter son projet.
Le mensonge qui consiste à faire croire que l'académie de Rennes innove et renforce l'enseignement des langues grâce à cette réforme perdure. Grâce à un savant enfumage, bien peu se rendent compte qu'un enfant de collège n'aura pas une heure de langue de plus dans sa scolarité avec ce dispositif ! Bon nombre se rendent compte que ceux qui bénéficiaient de plus seront ramenés au même nombre que les autres, au nom de l'égalitarisme, on nivelle par le bas. Bientôt la disparition d'autres options : langues anciennes, options euro ?
Le service minimum, le socle commun qu'on vous dit, et pas une tête qui dépasse !
Quelques postes supprimés au passage, de substantielles économies, peut-être quelques heures dans la dgh pour des projets fumeux, et hop, le tour est joué.
L'académie de Rennes joue les pilotes, le reste suivra. 

Adri a écrit: Bon nombre se rendent compte que ceux qui bénéficiaient de plus seront ramenés au même nombre que les autres, au nom de l'égalitarisme, on nivelle par le bas. Bientôt la disparition d'autres options : langues anciennes, options euro ?
Le service minimum, le socle commun qu'on vous dit, et pas une tête qui dépasse !
Quelques postes supprimés au passage, de substantielles économies, peut-être quelques heures dans la dgh pour des projets fumeux, et hop, le tour est joué.
 

Très bon résumé à mon avis...hélas!!!

C'est alarmant...Je vais diffuser massivement l'info mais je doute que ça change quoi que ce soit...

Si tous ceux qui pensent que ce projet est une vaste fumisterie envoyaient un mail au recteur de l'académie de Rennes pour lui exposer leur avis, ça pourrait faire réagir...
Ce.Cab@ac-rennes.fr

Et pourtant, un rapport du Sénat en décembre 2011 préconisait tout autre chose :

3. Un enseignement plus attractif et plus efficace : des parcours diversifiés

- Renforcer l'évaluation, afin de proposer aux élèves des parcours d'apprentissage diversifiés, balisés et évolutifs. Doter chaque élève d'un « carnet de route » permettant de visualiser les progrès accomplis et les objectifs à atteindre.

- Supprimer la hiérarchie LV1 - LV2 - LV3 et mettre en place, au lycée notamment, des groupes de performances, aux contenus adaptés aux objectifs des élèves.

- Généraliser l'introduction d'une deuxième langue dès l'entrée au collège.

- Désenclaver les langues, par le développement de l'interdisciplinarité.

- Renforcer et mieux cibler l'enseignement des langues vivantes dans les filières professionnelles.

Si des collègues pouvaient faire entendre leurs voix au Recteur...

Je remets ici la demande du SNES :
Nous invitons chacun d’entre vous à réagir dès ce week-end auprès du cabinet du recteur (avec copie au SNES) à cette adresse : ce.cab@ac-rennes.fr

Une pétition a été mise en ligne!