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- Ali DevineNiveau 8
Je suis bien d'accord. J'ajoute que les positions de Cohn-Bendit me paraissent intéressantes en ce qu'elles montrent que, pour lui, l'archétype de "l'élève" est l'ado de banlieue à qui ses parents ne peuvent pas ou ne veulent pas consacrer le temps qui serait nécessaire à son éducation, et qui par conséquent "zone au pied des tours" plutôt que de s'initier à l'ikebana ou à l'art du pochoir mural au collège Bakounine. Ce biais tend à devenir un lieu commun et un impensé du discours sur l'école, de Sarkozy versant des larmes de crocodiles sur les "orphelins de seize heures" à Peillon justifiant la réforme des rythmes scolaires par le souci de ne pas abandonner les enfants à leur Playstation (cette dernière position ayant de nombreux défenseurs dans le champ public, comme on peut entre autres [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]).Pseudo a écrit:Mais si les gamins sont désœuvrés, où est-il inscrit dans le marbre que c'est aux profs de leur assurer des activités ?
Il faut aimer les enfants au point de vouloir les sauver de l'univers familial pour être prof, c'est ça ? Et pour être parents, alors ? Ne faut-il pas avoir envie de s'occuper de ses gosses quand ils ne sont pas à l'école ?
Or même dans les zones urbaines sensibles beaucoup de jeunes occupent leurs loisirs autrement que dans un ennui prostré susceptible d'évoluer à tout moment vers la délinquance, et ils en ont la possibilité, rappelons-le au risque de passer pour populiste, dans le cadre d'activités financées par la munificence des contribuables (médiathèques, installations sportives, associations, centres aérés, etc). Bien évidemment certains n'utilisent aucune de ces nombreuses possibilités mais on peut se demander si c'est à l'école de prendre en charge ces individus avec une bienveillance inlassable. J'ai l'impression qu'avec toute sa coolitude Gabriel Cohn-Bendit pense l'école comme un immense camp de redressement où des éducateurs sympa mais quand même un peu gardiens prendraient en charge des enfants arrachés à une société corruptrice et à des parents démis de leurs fonctions car suspects d'insuffisance. On se trouve devant un superbe paradoxe, soit un libertaire qui au nom de ses idéaux nous tient un discours gentiment fascisant.
- JacqGuide spirituel
Volubilys a écrit:Les résultats? Typiquement un truc de prof ça!Olympias a écrit:Les résultats au bac du lycée autogéré sont très mauvais....et nous sommes les méchants qui refusons de laisser le pouvoir aux élèves dans l'école !!Paratge a écrit:Toujours des chiffres ou des mesures !
Mais ce qui compte ce sont les bons sentiments, voyons !
En même temps je viens d'aller voir sur le net les résultats du bac.... comment dire :
- DinosauraHabitué du forum
Excellent !Ali Devine a écrit:Je suis bien d'accord. J'ajoute que les positions de Cohn-Bendit me paraissent intéressantes en ce qu'elles montrent que, pour lui, l'archétype de "l'élève" est l'ado de banlieue à qui ses parents ne peuvent pas ou ne veulent pas consacrer le temps qui serait nécessaire à son éducation, et qui par conséquent "zone au pied des tours" plutôt que de s'initier à l'ikebana ou à l'art du pochoir mural au collège Bakounine. Ce biais tend à devenir un lieu commun et un impensé du discours sur l'école, de Sarkozy versant des larmes de crocodiles sur les "orphelins de seize heures" à Peillon justifiant la réforme des rythmes scolaires par le souci de ne pas abandonner les enfants à leur Playstation (cette dernière position ayant de nombreux défenseurs dans le champ public, comme on peut entre autres [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]).Pseudo a écrit:Mais si les gamins sont désœuvrés, où est-il inscrit dans le marbre que c'est aux profs de leur assurer des activités ?
Il faut aimer les enfants au point de vouloir les sauver de l'univers familial pour être prof, c'est ça ? Et pour être parents, alors ? Ne faut-il pas avoir envie de s'occuper de ses gosses quand ils ne sont pas à l'école ?
Or même dans les zones urbaines sensibles beaucoup de jeunes occupent leurs loisirs autrement que dans un ennui prostré susceptible d'évoluer à tout moment vers la délinquance, et ils en ont la possibilité, rappelons-le au risque de passer pour populiste, dans le cadre d'activités financés par la munificence des contribuables (médiathèques, installations sportives, associations, centres aérés, etc). Bien évidemment certains n'utilisent aucune de ces nombreuses possibilités mais on peut se demander si c'est à l'école de prendre en charge ces individus avec une bienveillance inlassable. J'ai l'impression qu'avec toute sa coolitude Gabriel Cohn-Bendit pense l'école comme un immense camp de redressement où des éducateurs sympa mais quand même un peu gardiens prendraient en charge des enfants arrachés à une société corruptrice et à des parents démis de leurs fonctions car suspects d'insuffisance. On se trouve devant un superbe paradoxe, soit un libertaire qui au nom de ses idéaux nous tient un discours gentiment fascisant.
Dans cette optique, je suis d'ailleurs gênée de l'existence de "l'école ouverte" (je ne sais si ça existe partout, ou si ce n'est que dans les ZEP de ZUS... lol), qui fait concurrence aux centres aérés et fait de l'Ecole une immense structure phagocytant toutes les activités éducatives. Il y a aussi le non moins gênant discours, tenus par certains profs mêmes, sur l'"école des parents", démissionnaires, forcément démissionnaires, et qui ne savent pas s'occuper de leurs enfants.
Tout cela tend en effet l'école vers une entreprise totalitaire, mais sous couvert de faire triompher l'âge démocratique (rappelons-nous le superbe slogan du CRAP : "Changer l'école pour changer la société"...)
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"Le plus esclave est celui qui ignore ses chaînes."
- OlympiasProphète
C'est pathétique, navrant...et ensuite, c'est nous qu'on accuse....Jacq a écrit:En même temps je viens d'aller voir sur le net les résultats du bac.... comment dire :Volubilys a écrit:Les résultats? Typiquement un truc de prof ça!Olympias a écrit:Les résultats au bac du lycée autogéré sont très mauvais....et nous sommes les méchants qui refusons de laisser le pouvoir aux élèves dans l'école !!
- InvitéeLoChaHabitué du forum
tout à fait : inutile de parler ici pendant des pages de quelqu'un qui croit détenir LA vérité et qui sort une ânerie de plus .Certains ne savent plus quoi inventer pour faire parler d'eux . Ils font le buzz : nous on zappe ...arcenciel a écrit:Pfffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff...
- Reine MargotDemi-dieu
+1000Ali Devine a écrit:Je suis bien d'accord. J'ajoute que les positions de Cohn-Bendit me paraissent intéressantes en ce qu'elles montrent que, pour lui, l'archétype de "l'élève" est l'ado de banlieue à qui ses parents ne peuvent pas ou ne veulent pas consacrer le temps qui serait nécessaire à son éducation, et qui par conséquent "zone au pied des tours" plutôt que de s'initier à l'ikebana ou à l'art du pochoir mural au collège Bakounine. Ce biais tend à devenir un lieu commun et un impensé du discours sur l'école, de Sarkozy versant des larmes de crocodiles sur les "orphelins de seize heures" à Peillon justifiant la réforme des rythmes scolaires par le souci de ne pas abandonner les enfants à leur Playstation (cette dernière position ayant de nombreux défenseurs dans le champ public, comme on peut entre autres [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]).Pseudo a écrit:Mais si les gamins sont désœuvrés, où est-il inscrit dans le marbre que c'est aux profs de leur assurer des activités ?
Il faut aimer les enfants au point de vouloir les sauver de l'univers familial pour être prof, c'est ça ? Et pour être parents, alors ? Ne faut-il pas avoir envie de s'occuper de ses gosses quand ils ne sont pas à l'école ?
Or même dans les zones urbaines sensibles beaucoup de jeunes occupent leurs loisirs autrement que dans un ennui prostré susceptible d'évoluer à tout moment vers la délinquance, et ils en ont la possibilité, rappelons-le au risque de passer pour populiste, dans le cadre d'activités financés par la munificence des contribuables (médiathèques, installations sportives, associations, centres aérés, etc). Bien évidemment certains n'utilisent aucune de ces nombreuses possibilités mais on peut se demander si c'est à l'école de prendre en charge ces individus avec une bienveillance inlassable. J'ai l'impression qu'avec toute sa coolitude Gabriel Cohn-Bendit pense l'école comme un immense camp de redressement où des éducateurs sympa mais quand même un peu gardiens prendraient en charge des enfants arrachés à une société corruptrice et à des parents démis de leurs fonctions car suspects d'insuffisance. On se trouve devant un superbe paradoxe, soit un libertaire qui au nom de ses idéaux nous tient un discours gentiment fascisant.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- arcencielGrand Maître
lorine a écrit:tout à fait : inutile de parler ici pendant des pages de quelqu'un qui croit détenir LA vérité et qui sort une ânerie de plus .Certains ne savent plus quoi inventer pour faire parler d'eux . Ils font le buzz : nous on zappe ...arcenciel a écrit:Pfffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff...
- atriumNeoprof expérimenté
+1Ali Devine a écrit:Je suis bien d'accord. J'ajoute que les positions de Cohn-Bendit me paraissent intéressantes en ce qu'elles montrent que, pour lui, l'archétype de "l'élève" est l'ado de banlieue à qui ses parents ne peuvent pas ou ne veulent pas consacrer le temps qui serait nécessaire à son éducation, et qui par conséquent "zone au pied des tours" plutôt que de s'initier à l'ikebana ou à l'art du pochoir mural au collège Bakounine. Ce biais tend à devenir un lieu commun et un impensé du discours sur l'école, de Sarkozy versant des larmes de crocodiles sur les "orphelins de seize heures" à Peillon justifiant la réforme des rythmes scolaires par le souci de ne pas abandonner les enfants à leur Playstation (cette dernière position ayant de nombreux défenseurs dans le champ public, comme on peut entre autres [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]).
Or même dans les zones urbaines sensibles beaucoup de jeunes occupent leurs loisirs autrement que dans un ennui prostré susceptible d'évoluer à tout moment vers la délinquance, et ils en ont la possibilité, rappelons-le au risque de passer pour populiste, dans le cadre d'activités financés par la munificence des contribuables (médiathèques, installations sportives, associations, centres aérés, etc). Bien évidemment certains n'utilisent aucune de ces nombreuses possibilités mais on peut se demander si c'est à l'école de prendre en charge ces individus avec une bienveillance inlassable. J'ai l'impression qu'avec toute sa coolitude Gabriel Cohn-Bendit pense l'école comme un immense camp de redressement où des éducateurs sympa mais quand même un peu gardiens prendraient en charge des enfants arrachés à une société corruptrice et à des parents démis de leurs fonctions car suspects d'insuffisance. On se trouve devant un superbe paradoxe, soit un libertaire qui au nom de ses idéaux nous tient un discours gentiment fascisant.
Du bon racisme social:tous les parents de milieu populaire n'ont rien à transmettre à leur enfant. Ils ne l'inscrivent pas au club de foot, ni au centre social, ni à la bibliothèque. Ils ne demandent pas aux étudiants du quartier (si,si, il y en a. Il faudrait le dire à Gaby) de donner un coup de main pour les devoirs. Ils n'accordent aucune importance à l'instruction, ni à la sécurité. Ils ne peuvent pas acheter un stylo, tout doit être fourni par l'école. Ils ne savent pas ce qu'est une association. Ils sont tellement bêtes qu'ils ne font aucune différence entre un enseignant et un animateur du centre de loisir. Les pauvres, il faut absolument les prendre en main en leur enlevant leurs enfants, à ces cassos'.
Comme ça on perpétue la dépendance et les bonnes consciences conserveront leur vision exagérée de leur propre importance. Les dames patronnesses modèle XIXème siècle étaient vachement progressistes tout compte fait.
Alors que le bourgeois emmène ses enfants à l'opéra systématiquement et valorise la culture. C'est bien connu.
- DaphnéDemi-dieu
Pour moi c'est GCB le scandale
- JacqGuide spirituel
Effectivement, j'imagine bien la réaction de notre proviseur (et plus haut) si nos résultats étaient les mêmes.... et il(s) aurait(ent) raison.Olympias a écrit:C'est pathétique, navrant...et ensuite, c'est nous qu'on accuse....Jacq a écrit:En même temps je viens d'aller voir sur le net les résultats du bac.... comment dire :Volubilys a écrit:Les résultats? Typiquement un truc de prof ça!
- palomitaNeoprof expérimenté
Et toujours cette volonté de " faire le bonheur des autres" sans les consulter .Je trouve ça particulièrement méprisant, et pour les familles modestes , et pour les professionnels .
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"La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit"
Oscar wilde.
- PseudoDemi-dieu
En plus, si les vacances sont un scandale (qui dure depuis toujours en plus), quel mot lui reste-t-il pour bien pire ?
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- arcencielGrand Maître
+10Pseudo a écrit:En plus, si les vacances sont un scandale (qui dure depuis toujours en plus), quel mot lui reste-t-il pour bien pire ?
- JPhMMDemi-dieu
GCB n'est-il pas en vacances en ce moment ?
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- palomitaNeoprof expérimenté
+1:topela:
Mais peut-être est-il prêt à y renoncer dans l'intérêt des enfants !
Mais peut-être est-il prêt à y renoncer dans l'intérêt des enfants !
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"La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit"
Oscar wilde.
- User17706Bon génie
Ça n'est même plus une plaisanterie. Dans quasiment tous les milieux, les détenteurs de l'autorité ou du pouvoir ont bien compris l'intérêt de la rhétorique révolutionnaire, et en ont conclu que faire partie de l'establishment n'était finalement qu'une raison de plus pour le vilipender en paroles.Paratge a écrit:C'est le Parti révolutionnaire institutionnel !
- User5899Demi-dieu
C'est pas faux a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Alors qu'il a fondé, en 1982, le lycée expérimental de Saint-Nazaire pour enrayer le décrochage scolaire, Gabriel Cohn-Bendit poursuit son engagement en publiant aujourd'hui Pour une autre école. Repenser l'éducation, vite! (ed. Autrement).
L'auteur milite pour une refondation du système scolaire. "L'école doit être un endroit où on a envie d'être". Il faudrait selon lui, replacer l'élève au centre du système éducatif, et penser l'école non plus en fonction des enseignants mais des enfants.
Les vacances scolaires seraient à ses yeux "un scandale" puisqu'elles ne profiteraient qu'aux enfants du corps enseignant et des cadres supérieurs. "Les autres gosses tournent en rond dans leur quartier."
C'est facile d'écrire ça quand on est retraité.
Et présupposer que l'intérêt du maître ne soit pas complémentaire avec celui des enfants, c'est un vice fondamental du raisonnement.
Tutaféatrium a écrit:Le fait de renvoyer les enfants chez eux à la fin de la journée de classe est un scandale!
Vite, des phalanstères !
Elles ont été déjà réduites de près de trois semaines en trente ans, sans aucune compensation financière. Ca commence à bien faire, non ? Une vraie coupure, je trouve que c'est bien. Et l'organisation scolaire, ce n'est pas l'occupation des enfants. Nous ne sommes pas une garderie.Tine523 a écrit:Et que pensez-vous de réduire les vacances scolaires d'été, c'est une idée qui circule? il y aurait de nombreux aménagement à faire mais cela pourrait faire des journées plus allégées! Je ne sais pas...
A Mailley, en Haute-Saône, il y avait une école sur ce rythme, on la voyait chaque année au journal télévisé. Ce qu'on ne disait jamais, c'est que les deux tiers des élèves étaient absents jusqu'au début septembre. Contrainte adulte, laxisme parental.forrester1 a écrit:Avant 2008, lorsque j’étais à 4 jours, les vacances d'été étaient réduites d'une dizaine de jours (j'en conviens, reprendre le 22-23 aout, ce n'est pas ce qu'il y a de plus fun, mais c’était la régle du jeu à l’époque et on l'acceptait)
A titre personnel, pourquoi pas (si on me rend le mercredi), mais je sais que les collègues directeurs terminent généralement une semaine après leurs adjoints pour reprendre une semaine avant eux, donc pour moi, c'est non, et surement pas avec le mercredi matin en sus!
C'est mauvais pour le transit*Lady of Shalott* a écrit:je prendrais bien aussi un jus d'orange. Merci.
- didine13Niveau 4
Non mais c'est ça qui est drôle en fait, G. Cohn-Bendit découvre l'existence des vacances scolaires! Cela dit je suis sûre que beaucoup de gens le redécouvrirait avec lui et crierait au scandale...Pseudo a écrit:En plus, si les vacances sont un scandale (qui dure depuis toujours en plus), quel mot lui reste-t-il pour bien pire ?
- User5899Demi-dieu
On a les résultats : son fondateur est à la retraite.Luigi_B a écrit:Au bout de 31 ans il est toujours expérimental ou on a enfin les résultats de l'expérience ?Alors qu'il a fondé, en 1982, le lycée expérimental de Saint-Nazaire pour enrayer le décrochage scolaire, Gabriel Cohn-Bendit...
- philannDoyen
Cripure a écrit:On a les résultats : son fondateur est à la retraite.
Ce qui est triste c'est que je trouvais l'idée super intéressante...mais il en a fait le tremplin à plein de généralisations abusives et délirantes...:|
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2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
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- Philippe Meirieu, Gabriel Cohn-Bendit, Agnès van Zanten, Antoine Prost...: les livres sur l'école de la rentrée 2013 !
- Rythmes scolaires : 88% des communes sont prêtes, 6% ont des difficultés, 5,6% sont "dans une posture d'opposition".
- Les Martine Aubry, Daniel Cohn-Bendit et les réformes du PS
- Daniel Cohn-Bendit devient docteur honoris causa de la fac de Nanterre.
- Rythmes scolaires : 83% des maires ayant appliqué la réforme en sont satisfaits.
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