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- doublecasquetteEnchanteur
J'ai aussi parlé du harcèlement des PE par des membres de leur hiérarchie (ou se prenant pour...).
Les 15 élèves par classe, excusez-moi, mais ce ne serait nécessaire que si on ne changeait pas les programmes.
Avec des programmes corrects, mis en place par une hiérarchie correcte, ayant complètement changé d'objectif pour l’École, 20 à 25 élèves par classe, c'est tout à fait faisable.
Par ailleurs, même à 10 ou 5 élèves par classe, si on ne leur apprend ni à lire, ni à écrire, ça ne changera rien au programme.
Les 15 élèves par classe, excusez-moi, mais ce ne serait nécessaire que si on ne changeait pas les programmes.
Avec des programmes corrects, mis en place par une hiérarchie correcte, ayant complètement changé d'objectif pour l’École, 20 à 25 élèves par classe, c'est tout à fait faisable.
Par ailleurs, même à 10 ou 5 élèves par classe, si on ne leur apprend ni à lire, ni à écrire, ça ne changera rien au programme.
- Invité-BHabitué du forum
Si j'étais ministre de l'EN, je proposerais à M.Peillon de revenir devant des élèves afin que, dans l'intérêt de l'enfant, il les fasse bénéficier de son savoir .
- arcencielGrand Maître
+1Bel-Ami a écrit:Si j'étais ministre de l'EN, je proposerais à M.Peillon de revenir devant des élèves afin que, dans l'intérêt de l'enfant, il les fasse bénéficier de son savoir .
- InviteeFVénérable
Le temps de prendre connaissance de tout ce qui est caché dans le placard/sous les tapis et de l'étendue du désastre "vu d'en haut" et de réfléchir à comment tenter de sauver les meubles, et lesquels sauver en premier, je pense que je lancerais deux grands chantiers
- 1. une refonte complète du système de mutations
- 2. la mise en place de commissions de professeurs en activité, sur la base du volontariat + sélection d'un panel "représentatif" (tranches d'âge, zone géographique, poste fixe / TZR, etc.) pour l'élaboration des programmes.
et que je ferais des sondages (vraiment) anonymés (via Iprof, par exemple) pour avoir l'avis des enseignants sur le plus urgent selon eux.
- 1. une refonte complète du système de mutations
- 2. la mise en place de commissions de professeurs en activité, sur la base du volontariat + sélection d'un panel "représentatif" (tranches d'âge, zone géographique, poste fixe / TZR, etc.) pour l'élaboration des programmes.
et que je ferais des sondages (vraiment) anonymés (via Iprof, par exemple) pour avoir l'avis des enseignants sur le plus urgent selon eux.
- Laurence LMNiveau 2
Olympias a écrit:Laurence LM a écrit:Nicolatsar a écrit:Un sujet très sérieux !
Ma feuille de route pour le quinquennat en tant que ministre (...).
Plusieurs idées intéressantes ! + 1
Mais rien contre le harcèlement moral mené impunément par certains CDE ?
Rien contre les Commissions Disciplinaires bidons employées pour faire taire ou faire craquer les enseignants pas assez malléables ?
Laurence, je pense que tu ne lis pas les fils attentivement...
J'ai écrit en page 2
Olympias a écrit: Mise à pied immédiate de tous les chefs d'établissement qui harcèlent les personnels.
Bravo ! + 1 pour cette proposition, Olympias !
Je lis plutôt attentivement les fils. Mon message "Plusieurs idées intéressantes ! + 1
Mais rien contre le harcèlement moral mené impunément par certains CDE ?
Rien contre les Commissions Disciplinaires bidons employées pour faire taire ou faire craquer les enseignants pas assez malléables ?" s'adressait uniquement à Nicolatsar. C'est pour ça que je le citais.
- InviteeFVénérable
Sikelia a écrit:
12) j'augmenterais les postes mis à concours pour l'enseignement de l'italien, afin que leur nombre s'aligne à celui des concours pour l'espagnol. (j'ai eu le CAPES et l'Agrég, donc je ne parle pas pour moi-même... )
Suis-je trop fleur bleue ? :flower: Est-ce que cela se voit trop, que je dois encore commencer mon année de stage ?
C'est bien joli mais à ce compte, quid de l'allemand ? Encore laissé pour compte ?
L'espagnol n'est pas l'ennemi des autres LV2 à montrer du doigt à tout prix
- InviteeFVénérable
D'ailleurs je suis stupéfaite (sincèrement) d'avoir été la première à parler de refonte du système de mut'...
A moins que je n'aie sauté des messages...
A moins que je n'aie sauté des messages...
- InviteeFVénérable
Ah, au temps pour moi, OUF Calipsa l'a dit page 5.... mais ça reste quand même maigre, seuls 2 intervenants qui le mentionnent...
- NicolatsarNiveau 9
Laurence LM a écrit:Olympias a écrit:Laurence LM a écrit:
Plusieurs idées intéressantes ! + 1
Mais rien contre le harcèlement moral mené impunément par certains CDE ?
Rien contre les Commissions Disciplinaires bidons employées pour faire taire ou faire craquer les enseignants pas assez malléables ?
Laurence, je pense que tu ne lis pas les fils attentivement...
J'ai écrit en page 2
Olympias a écrit: Mise à pied immédiate de tous les chefs d'établissement qui harcèlent les personnels.
Bravo ! + 1 pour cette proposition, Olympias !
Je lis plutôt attentivement les fils. Mon message "Plusieurs idées intéressantes ! + 1
Mais rien contre le harcèlement moral mené impunément par certains CDE ?
Rien contre les Commissions Disciplinaires bidons employées pour faire taire ou faire craquer les enseignants pas assez malléables ?" s'adressait uniquement à Nicolatsar. C'est pour ça que je le citais.
Et bien je n'ai pas vraiment été confronté à cela. Mais effectivement ma proposition n°10 vise à limiter le pouvoir des CDE. D'ailleurs il faudrait que tous les CDE aient déjà été enseignant, ce qui n'est pas toujours le cas dans le public. Dans les établissements privés du secondaire les CDE gardent souvent une classe, je trouve que ce n'est pas plus mal et qu'ils sont moins coupés de la réalité. Après, je pense que les syndicats sont là pour nous défendre si de telles choses arrivent, enfin j'espère!
- Presse-puréeGrand sage
Je ne serai jamais ministre de l'EN. Une idée cependant: des formations disciplinaires conséquentes sur le temps de la formation continue, pour que tout le monde reste dans le bain de sa discipline.
Et je referai intégralement les programmes, par des colllectifs identifiés de profs de terrain, d'IPR et d'universitaires.
Et je referai intégralement les programmes, par des colllectifs identifiés de profs de terrain, d'IPR et d'universitaires.
_________________
Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- RonubNiveau 9
+ 1000. C'est la première chose à faire selon moi aussi. Les programmes sont le ciment de la qualité du travail entre les élèves et les professeurs. De plus je rétablirai les dédoublements de droit.Presse-purée a écrit:Je ne serai jamais ministre de l'EN. Une idée cependant: des formations disciplinaires conséquentes sur le temps de la formation continue, pour que tout le monde reste dans le bain de sa discipline.
Et je referai intégralement les programmes, par des colllectifs identifiés de profs de terrain, d'IPR et d'universitaires.
- InviteeFVénérable
Personnellement, je confierais cette charge-là uniquement aux professeurs en exercice, et pas aux IPR et aux universitaires... (on a déjà vu le résultat *tousse* )
- Presse-puréeGrand sage
Voli vola a écrit:Personnellement, je confierais cette charge-là uniquement aux professeurs en exercice, et pas aux IPR et aux universitaires... (on a déjà vu le résultat *tousse* )
Concernant les IPR, certains sont de fins connaisseurs des élèves, des auteurs de bons manuels et des personnes réalistes.
Concernant les universitaires (de disciplines scolaires, entendons-nous bien), il en faut pour vérifier le contenu scientifique des programmes.
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- InviteeFVénérable
Ok pour quelques IPR.
Pour ce qui est de "vérifier le contenu scientifique des programmes", mais GRANDS DIEUX pourquoi seuls des universitaires en seraient-ils capables ? Les professeurs du premier et du second degré ne sont pas la famille Groseille ni les Bidochons à la plage...
Pour ce qui est de "vérifier le contenu scientifique des programmes", mais GRANDS DIEUX pourquoi seuls des universitaires en seraient-ils capables ? Les professeurs du premier et du second degré ne sont pas la famille Groseille ni les Bidochons à la plage...
- OlympiasProphète
Mettre davantage de profs de terrain éviterait de se retrouver avec des questions infaisables par l'élève lambda...car tous ne sont pas à H.IV....De l'ambition intellectuelle, oui, mais des objectifs raisonnables...
- User5899Demi-dieu
1) Merci Will pour les programmes
2) Je lis la liste. C'est marrant, parce qu'à peu près tout ce qui est proposé est contenu dans "revenir à la situation du 31/12/1974"
2) Je lis la liste. C'est marrant, parce qu'à peu près tout ce qui est proposé est contenu dans "revenir à la situation du 31/12/1974"
- GrypheMédiateur
C'est quoi cet argument ?Laurence LM a écrit:Appliquer les textes sur le harcèlement moral permettrait une économie annuelle cumulée de plusieurs millions d'€uros.
Le harcèlement n'a pas à être pour des motifs purement humains et éthiques. Dire qu'il faut y mettre fin pour des raisons de productivité économique (ce qui est parfaitement vrai, certes) me paraît assez cynique.
M'enfin c'est juste ce que j'en dis.
- GrypheMédiateur
Ce qui revient je crois à ce que tu préconisais.Cripure a écrit:2) Je lis la liste. C'est marrant, parce qu'à peu près tout ce qui est proposé est contenu dans "revenir à la situation du 31/12/1974"
Oui mais le problème, si on dit ça comme ça, c'est qu'on va encore passer pour des méchants dinosaures passéistes.
- missaudreyNiveau 8
Je démissionnerais sur le champ !
- OlympiasProphète
Là, on peut toujours courir...il va rester accroché à son cocotier
- Fesseur ProGuide spirituel
Pour postuler à la culture ?missaudrey a écrit:Je démissionnerais sur le champ !
_________________
Pourvu que ça dure...
- Roumégueur IerÉrudit
Ben voilà, on l'a notre livre blanc pour l'éducation sauce neoprofs : qui se charge de la synthèse et l'envoie au 'vrai' ministre?
- tonton goldenNiveau 5
Si j'étais ministre de l'Education Nationale , je mettrais " le paquet " dans l'humain et non dans le numérique.
L'accompagnement est à la mode mais qui accompagne les professeurs ?
Le travail collectif est à la mode mais il est basé uniquement sur le bénévolat.
Dans le rapport du Sénat sur les enseignants de juin 2012, il y avait des réflexions et des propositions intéressantes.
Je ne pense pas qu'il ait été utilisé dans la refondation de l'Ecole.
L'école est malade nous dit-on. Commençons par soigner les enseignants car il y en a beaucoup qui souffrent.
Pour les fins de carrière, il y avait autrefois la cessation progressive d'activité qui a été supprimée !
Les collègues travaillaient à mi-temps pour environ 80 % de salaire. " Argent trop cher " . CPA supprimée.
Pour les débuts de carrière, on balance les jeunes enseignants dans " la fosse aux lions " avec tous les dégâts que cela peut occasionner depuis quelques années. Il suffit de lire quelques discussions de ce forum.
Ma proposition est simple et elle est en direction de tous les enseignants.
Un enseignant " chevronné " pourrait avoir une décharge de services disons 20 % .
Ce temps de décharge, il le passerait avec un jeune professeur stagiaire pour l'accompagner dans le métier.
Préparation de séquences à deux, cours effectué à deux, correction de copies à deux, concertation, etc ...
Ce professeur accompagnateur n'aurait aucun pouvoir de décision sur la carrière du stagiaire qui serait ainsi en principe en pleine confiance pour parler de ses problèmes éventuels et qui se sentirait sans aucun doute moins seul.
On va me répondre qu'il faut des moyens.
Supprimons les tuteurs actuels ( dont j'ai fait partie mais je me sentais plus accompagnateur ).
Faisons des économies sur les formations " théoriques " de l'ex-futur IUFM , sur les HSE distribuées sans aucune transparence. Arrêtons d'investir à tout va dans le numérique ( c'est un " bouffe-pognon " dont on ne sait même pas s'il est efficace ). Et j'en passe ...
J'ai eu l'occasion au long de ma " carrière " d'expérimenter parfois un travail à deux ( voire plus ) et les participants y avaient toujours trouvé de l'intérêt, parfois retrouver de l'énergie. Le problème, c'est que c'était toujours sur la base du bénévolat et çà tout le monde en avait vite marre de travailler plus pour gagner moins.
L'accompagnement est à la mode mais qui accompagne les professeurs ?
Le travail collectif est à la mode mais il est basé uniquement sur le bénévolat.
Dans le rapport du Sénat sur les enseignants de juin 2012, il y avait des réflexions et des propositions intéressantes.
Je ne pense pas qu'il ait été utilisé dans la refondation de l'Ecole.
L'école est malade nous dit-on. Commençons par soigner les enseignants car il y en a beaucoup qui souffrent.
Pour les fins de carrière, il y avait autrefois la cessation progressive d'activité qui a été supprimée !
Les collègues travaillaient à mi-temps pour environ 80 % de salaire. " Argent trop cher " . CPA supprimée.
Pour les débuts de carrière, on balance les jeunes enseignants dans " la fosse aux lions " avec tous les dégâts que cela peut occasionner depuis quelques années. Il suffit de lire quelques discussions de ce forum.
Ma proposition est simple et elle est en direction de tous les enseignants.
Un enseignant " chevronné " pourrait avoir une décharge de services disons 20 % .
Ce temps de décharge, il le passerait avec un jeune professeur stagiaire pour l'accompagner dans le métier.
Préparation de séquences à deux, cours effectué à deux, correction de copies à deux, concertation, etc ...
Ce professeur accompagnateur n'aurait aucun pouvoir de décision sur la carrière du stagiaire qui serait ainsi en principe en pleine confiance pour parler de ses problèmes éventuels et qui se sentirait sans aucun doute moins seul.
On va me répondre qu'il faut des moyens.
Supprimons les tuteurs actuels ( dont j'ai fait partie mais je me sentais plus accompagnateur ).
Faisons des économies sur les formations " théoriques " de l'ex-futur IUFM , sur les HSE distribuées sans aucune transparence. Arrêtons d'investir à tout va dans le numérique ( c'est un " bouffe-pognon " dont on ne sait même pas s'il est efficace ). Et j'en passe ...
J'ai eu l'occasion au long de ma " carrière " d'expérimenter parfois un travail à deux ( voire plus ) et les participants y avaient toujours trouvé de l'intérêt, parfois retrouver de l'énergie. Le problème, c'est que c'était toujours sur la base du bénévolat et çà tout le monde en avait vite marre de travailler plus pour gagner moins.
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- "Et puis, j'ai tenté d'expliquer aux élèves : on vous a sans doute toujours dit que vous étiez nuls, moi je vous dis que ce n'est pas vrai"
- Vous étiez enseignant et vous êtes devenu proviseur-adjoint? Satisfait ou pas?
- Que répondre à des élèves qui vous demandent pourquoi vous étiez absent ?
- M6 : Si vous étiez prof au Danemark, vous seriez heureux !
- Propos déplacés à l'égard du professeur : vous êtes jolie. Qu'en feriez-vous?
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