- JPhMMDemi-dieu
Si la vie qui s'y déploie est exceptionnelle dans sa singularité — par rapport à notre monde, tant le personnage semble anachronique, porté par des idéaux personnels qui refusent le monde dans lequel il vit, sa banalité, sa normalisation, sa médiocrité dirait-il sans doute — le style utilisé m'a dérangé. Le cynisme en acte du personnage se mêle au cynisme de discours de l'écrivain d'une façon qui ne me semble pas la plus adaptée. J'espérais une chirurgie littéraire, j'ai eu l'impression de lire un charcutage fort inélégant — parfois très vulgaire — d'une existence, et j'ai été mal à l'aise. Mais j'ai dévoré le livre. Mon impression est donc paradoxale.Frisouille a écrit:Et qu'en as-tu pensé Jph ?
- OudemiaBon génie
Je trouve ce message par hasard : j'ai une traduction ancienne Grands coeurs, pas sous la main pour vérifier, mais il me semble que c'était un livre de "lecture courante" d'avant 1914, il faudrait regarder pour quel niveau.zizza a écrit:" />
Un journal intime fictif d'un enfant à l'école primaire, à la fin du XIXe siècle en Italie. L'histoire se passe une vingtaine d'années après l'unification italienne, on est donc encore dans un état d'esprit plutôt patriotique et beaucoup de pages incitent donc à aimer sa patrie, à lui rendre hommage, à l'honorer, ainsi que tous les italiens, qui font partie de cette patrie. Il est fort probable que le mouvement fasciste s'est inspiré de ces idées, ce qui ne serait pas étonnant. On pourrait penser en effet que toute cette emphase soit un peu excessive, elle peut nous écoeurer à notre époque, mais si on replace tout ça dans le contexte historique du XIXe siècle, c'est plus acceptable. Mais il n'y pas que cela dans ce livre, il y a aussi beaucoup d'émotion: le narrateur est un gamin d'environ 8 ans qui raconte le monde autour de lui (ses amis, l'école, ses bêtises, la mort aussi). C'est mignon.
Je crois qu'il existe une traduction en français, Le Livre-Coeur (je trouve la traduction du titre très bizarre!): http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Livre-Cœur
Plus que mignon j'ai trouvé ça moralisateur, une volonté d'édifier le lecteur, il y a un père caricatural...
Oui, il y a des passages émouvants, mais...
Si je le retrouve je mettrai des photos des illustrations.
- JPhMMDemi-dieu
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Hervé HervéFidèle du forum
Un inédit de Saramago!!!
Retrouvé dernièrement et par hasard ( http://www.seuil.com/livre-9782021095555.htm ).
Retrouvé dernièrement et par hasard ( http://www.seuil.com/livre-9782021095555.htm ).
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« Et je demande aux économistes politiques, aux moralistes, s’ils ont déjà calculé le nombre d’individus qu’il est nécessaire de condamner à la misère, à un travail disproportionné, au découragement, à l’infantilisation, à une ignorance crapuleuse, à une détresse invincible, à la pénurie absolue, pour produire un riche ? » (Almeida Garrett cité parJosé Saramago).
- NadejdaGrand sage
Je commence :
Ce chef-d'œuvre de la littérature yiddish, inédit en France, s'ouvre au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, parmi les cendres, les corps disloqués, dans la froideur d'une terre sans Dieu où les réchappés de la barbarie des hommes tentent de retrouver un semblant d'humanité. Le héros – un être triple, car la focalisation oscille entre Leibl, S. ou «Je» – vogue de lieu en lieu ; partout, pour mille raisons, il est retenu et comme happé par l'endroit qui l'accueille. Chaque ville fait naître des romans dans le roman, où se croisent des dizaines de personnages – ceux qui ont connu «les Plaines», comme l'auteur nomme les lieux d'extermination, et les autres, les épargnés. Les premiers tentent de vivre, mais demeurent à tout jamais des êtres de souvenir, portant leurs tragédies personnelles et la tragédie de l'Histoire ; les seconds souhaitent juste oublier. Puis les bourreaux, à leur tour, resurgissent. Entre ces hommes, entre les morts et les vivants, se tissent des liens : des drames anciens ou nouveaux éclatent, les sentences tombent. Les fantasmes comme le réel vacillent et se mêlent, alimentant à l'infini le chaos d'un univers à jamais halluciné. Le cortège de morts et les héros de Rochman, tel Ulysse en route pour Ithaque, partent en quête d'un lieu où le dénombrement pourra enfin advenir : sous leurs pas, sous le poids du nombre et des souffrances, c'est le monde tout entier qui menace de céder.
- DerborenceModérateur
J'ai découvert cet auteur sur les conseils d'une collègue. Palpitant.
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"La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne." Proverbe chinois
"Derborence, le mot chante triste et doux dans la tête pendant qu’on se penche sur le vide, où il n’y a plus rien, et on voit qu’il n’y a plus rien."
Charles-Ferdinand Ramuz, Derborence
- DerborenceModérateur
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"La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne." Proverbe chinois
"Derborence, le mot chante triste et doux dans la tête pendant qu’on se penche sur le vide, où il n’y a plus rien, et on voit qu’il n’y a plus rien."
Charles-Ferdinand Ramuz, Derborence
- AnagrammeFidèle du forum
J'ai cessé de publier sur ce fil depuis un moment...Je reviens !
(en même temps, depuis que je suis en ultraZEP et que j'ai 5 classes de terminale je lis bien moins )
4ème : Aujourd'hui encore, la vie et l'oeuvre de Tina Modotti exercent un pouvoir fascinant. Photographe, star du cinéma muet dans le Hollywood des années 1920, militante ardente, elle est l'incarnation d'une indomptable vitalité latine qui s'affirme à travers l'épreuve de l'exil : chassée d'Italie par la pauvreté, elle s'ouvre à la vocation artistique au contact des communautés italiennes de la diaspora de Californie, trouve un accomplissement éphémère en s'intégrant à la culture foisonnante du Mexique post-révolutionnaire, et finit par se dépasser au service d'une Espagne républicaine vouée à la défaite. Tour à tour muse, amie, amante, elle va croiser quelques-unes des grandes figures qui ont illuminé la première moitié du XXe siècle de leur art, de leur passion et de leurs oeuvres : Diego Rivera, Vladimir Maïakovski, B. Traven, Edward Weston, John Dos Passos, Augusto Cesar Sandino, Alexandra Kollontaï, Frida Kahlo... Tableau d'une époque, cette biographie est également le portrait d'une femme d'exception.
Un PARFAIT cadeau de Noël pour quelqu'un intéressé par la photo, la BD, le Mexique, le militantisme artistique...
(en même temps, depuis que je suis en ultraZEP et que j'ai 5 classes de terminale je lis bien moins )
4ème : Aujourd'hui encore, la vie et l'oeuvre de Tina Modotti exercent un pouvoir fascinant. Photographe, star du cinéma muet dans le Hollywood des années 1920, militante ardente, elle est l'incarnation d'une indomptable vitalité latine qui s'affirme à travers l'épreuve de l'exil : chassée d'Italie par la pauvreté, elle s'ouvre à la vocation artistique au contact des communautés italiennes de la diaspora de Californie, trouve un accomplissement éphémère en s'intégrant à la culture foisonnante du Mexique post-révolutionnaire, et finit par se dépasser au service d'une Espagne républicaine vouée à la défaite. Tour à tour muse, amie, amante, elle va croiser quelques-unes des grandes figures qui ont illuminé la première moitié du XXe siècle de leur art, de leur passion et de leurs oeuvres : Diego Rivera, Vladimir Maïakovski, B. Traven, Edward Weston, John Dos Passos, Augusto Cesar Sandino, Alexandra Kollontaï, Frida Kahlo... Tableau d'une époque, cette biographie est également le portrait d'une femme d'exception.
Un PARFAIT cadeau de Noël pour quelqu'un intéressé par la photo, la BD, le Mexique, le militantisme artistique...
- AnagrammeFidèle du forum
Au secours, pourquoi ne parviens-je pas à insérer des images ? Manque d'entraînement, mauvaise méthode certainement...
- DerborenceModérateur
Choisis l'image sur une page web.Marée a écrit:Au secours, pourquoi ne parviens-je pas à insérer des images ? Manque d'entraînement, mauvaise méthode certainement...
Clique (clic droit) sur "copier l'adresse de l'image".
Retourne sur ton message à poster.
Clique sur "insérer une image". Dans l'url : colle l'adresse que tu as copiée précédemment (clic droit - coller). Clique ensuite sur "insérer".
Il te reste à prévisualiser ton message et à le poster.
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"La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne." Proverbe chinois
"Derborence, le mot chante triste et doux dans la tête pendant qu’on se penche sur le vide, où il n’y a plus rien, et on voit qu’il n’y a plus rien."
Charles-Ferdinand Ramuz, Derborence
- PatissotDoyen
J'ai plein de livre intéressants qui s'entassent dans ma bibliothèque, et finalement je choisis l'un des plus mauvais, enfin disons plutôt que c'est une lecture de mon niveau et que manifestement je manque d'énergie pour essayer de tirer hors de ma médiocrité.
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« Déjà, certaines portions de ma vie ressemblent aux salles dégarnies d'un palais trop vaste, qu'un propriétaire appauvri renonce à occuper tout entier. »
- zizzaNiveau 10
Oudemia a écrit:Je trouve ce message par hasard : j'ai une traduction ancienne Grands coeurs, pas sous la main pour vérifier, mais il me semble que c'était un livre de "lecture courante" d'avant 1914, il faudrait regarder pour quel niveau.zizza a écrit:" />
Un journal intime fictif d'un enfant à l'école primaire, à la fin du XIXe siècle en Italie. L'histoire se passe une vingtaine d'années après l'unification italienne, on est donc encore dans un état d'esprit plutôt patriotique et beaucoup de pages incitent donc à aimer sa patrie, à lui rendre hommage, à l'honorer, ainsi que tous les italiens, qui font partie de cette patrie. Il est fort probable que le mouvement fasciste s'est inspiré de ces idées, ce qui ne serait pas étonnant. On pourrait penser en effet que toute cette emphase soit un peu excessive, elle peut nous écoeurer à notre époque, mais si on replace tout ça dans le contexte historique du XIXe siècle, c'est plus acceptable. Mais il n'y pas que cela dans ce livre, il y a aussi beaucoup d'émotion: le narrateur est un gamin d'environ 8 ans qui raconte le monde autour de lui (ses amis, l'école, ses bêtises, la mort aussi). C'est mignon.
Je crois qu'il existe une traduction en français, Le Livre-Coeur (je trouve la traduction du titre très bizarre!): http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Livre-Cœur
Plus que mignon j'ai trouvé ça moralisateur, une volonté d'édifier le lecteur, il y a un père caricatural...
Oui, il y a des passages émouvants, mais...
Si je le retrouve je mettrai des photos des illustrations.
Oui bien sûr que c'est moralisateur, je pense d'ailleurs que c'est dans cette intention que le livre a été écrit, mais encore une fois il faut le replacer dans son contexte historique (l'Italie de la fin du XIXe siècle), qui n'a rien à voir avec le contexte actuel (quoique sous certains points de vue...).
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2014-2015: 4e, 3e LV2 et 2de, 1e S + ES + STI2D + STL, Tle S + STMG + STI2D + STL LV2 dans 2 lycées (T2)
2013-2014: 4e, 3e LV2 sur 2 collèges (T1)
2012-2013: 2de, 1e S, 1e ES, TS LV2 (stage)
2011-2012: 6e, 5e, 4e, 3e LV1 bis + 4e, 3e LV2 (stage)
- LeilEsprit éclairé
Une compil' bien sympa pour un prix bien sympa aussi !
http://www.bricabook.fr/2013/12/les-plus-belles-histoires-pour-les-enfants-de-3-ans/
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http://www.bricabook.fr/
- sandovalNiveau 6
J'ai une tonne de livres en attente.
J'ai relu celui-ci.
J'ai relu celui-ci.
- liskayaNeoprof expérimenté
Suis au début de celui-ci... j'adore !
Un petit copier coller car j'ai la flemme
"Superman 2 passait à la télé. Je l'avais vu au cinéma de Malvern il y avait à peu près trois ans. Le film était assez bien mais pas au point de lui sacrifier un lac gelé rien qu'à moi. Clark Kent renonce à ses pouvoirs tout ça pour avoir des rapports sexuels avec Lois Lane dans des draps de satin. Qui serait assez stupide pour faire un échange pareil ? Quand on peut voler ? Dévier des missiles atomiques vers l'espace ? Remonter le temps en faisant tourner la Terre à l'envers ?" 1982, dans un petit village du Worcestershire. Jason Taylor, treize ans, essaie de réussir son entrée dans l'adolescence. Et ça n'est pas chose facile. À l'école ou chez lui, Jason affronte l'incompréhension et le mépris : ses camarades raillent son bégaiement, ses parents ne cessent de se disputer. Mais Jason mène une vie secrète, dans un monde à lui peuplé de visions étranges et de figures ambiguës. Portrait de famille, chronique de l'Angleterre de Thatcher, roman d'apprentissage à la lisière du fantastique, Le Fond des forêts est avant tout une suite de variations éblouissantes sur l'adolescence et ses multiples facettes.
- JPhMMDemi-dieu
John Buscema au sommet de son art. Certaines planches sont des chefs d’œuvre de la bande-dessinée.
Le tome 1 de l'année 1978 est malheureusement introuvable actuellement.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- ErgoDevin
Oh, je ne l'ai pas lu celui-là ! Je vais le mettre sur ma liste.liskaya a écrit:
Moi, je suis dans:
Et ensuite, je m'attaquerai à l'Encyclopédie Tolkien que mon frère m'a offerte, en lisant en parallèle l'édition 50aire de The Lord of the Rings (je me suis éclatée sur l'histoire des différentes éditions, racontée dans la préface).
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- bikkhouHabitué du forum
Une expédition. Une quête. Celle de deux frères, deux irlandais, sur les plus hauts sommets, dans l'Himalaya. Comme toutes les récits d'ascension, il ne s'agit seulement d'atteindre le ciel...
Le livre a été écrit en allemand (que je ne lis pas), en strophes, en vers. Magique. Monumental. Poétique. Je suis ravie.
Ma lecture a été interrompue il y a quelques mois, parce que j'avais d'autres priorités.
J'ai retrouvé le volume là où je l'avais laissé, à côté du lit, et m'y replonge : c'est mon cadeau de Noël à moi.
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Le rhinocéros courait / Le lion s'accrochait / mordait / le sang giclait le cou se tordait / Le rhinocéros regardait le ciel / Ciel bleu, calme et tranquille : / on y voyait la lune /
Tableau / Incident dans la jungle lointaine / Le paysage se taisait / Les deux bêtes se figeaient / Et dans le silence / Le lion tuait à chaque instant / Le rhinocéros mourait éternellement
KAORU MARUYAMA
- CathEnchanteur
liskaya a écrit:
Suis au début de celui-ci... j'adore !
Un petit copier coller car j'ai la flemme
"Superman 2 passait à la télé. Je l'avais vu au cinéma de Malvern il y avait à peu près trois ans. Le film était assez bien mais pas au point de lui sacrifier un lac gelé rien qu'à moi. Clark Kent renonce à ses pouvoirs tout ça pour avoir des rapports sexuels avec Lois Lane dans des draps de satin. Qui serait assez stupide pour faire un échange pareil ? Quand on peut voler ? Dévier des missiles atomiques vers l'espace ? Remonter le temps en faisant tourner la Terre à l'envers ?" 1982, dans un petit village du Worcestershire. Jason Taylor, treize ans, essaie de réussir son entrée dans l'adolescence. Et ça n'est pas chose facile. À l'école ou chez lui, Jason affronte l'incompréhension et le mépris : ses camarades raillent son bégaiement, ses parents ne cessent de se disputer. Mais Jason mène une vie secrète, dans un monde à lui peuplé de visions étranges et de figures ambiguës. Portrait de famille, chronique de l'Angleterre de Thatcher, roman d'apprentissage à la lisière du fantastique, Le Fond des forêts est avant tout une suite de variations éblouissantes sur l'adolescence et ses multiples facettes.
Je viens de le lire, j'ai aimé.
- JPhMMDemi-dieu
Extraordinaire.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- CarabasVénérable
Je suis dedans et j'adore!Nestya a écrit:J'ai lu Roublard de Terry Pratchett. Plus connu pour ses Annales du Disque Monde, Terry Pratchett abandonne ici la fantasy pour se lancer dans un roman à la Oliver Twist (on y croise d'ailleurs Charles Dickens) en mettant en scène un jeune ravageur, un de ceux qui fouillent les égouts à la recherche de petits objets de valeur, dans le Londres du milieu du XIXème siècle. On y croise toute une galerie de personnages connus: Dickens donc, Sweeney Todd, Benjamin Disraeli...Une lecture distrayante!
Carabas, si tu es dans le coin, une lecture qui peut t'intéresser!
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Les chances uniques sur un million se réalisent neuf fois sur dix.
Terry Pratchett
- NestyaEsprit sacré
Tant mieux!
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"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- SeiGrand Maître
Nadejda a écrit:Sei a écrit:Je devrais me faire un document avec les livres qui m'intéressent parmi ceux que vous proposez, car je les oublie, et c'est difficile ensuite de les retrouver.
Nadejda, si tu passes par là, tu avais parlé d'un livre... islandais, je crois ? Je ne me rappelle plus de rien, si ce n'est que j'avais eu très envie de le lire. Si tu le reconnais dans ma lamentable description...
Peut-être La Lettre à Helga de Bergsveinn Birgisson ?
C'était exactement ça. Merci !
- thrasybuleDevin
Je conseille à tout le monde le dernier Richard Ford, Canada, qui est bouleversant.
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