- coindeparadisGuide spirituel
C'est comme l'affirmation du livre "le pronom QUI a toujours la fonction de sujet". Si j'écris "j'ai appelé l'homme qui habite au-dessus de chez moi", qui ne peut être sujet !
Ils se sont mis à 6 (MF et CPC) pour réaliser l'ouvrage et mettre une belle pagaille dans ma tête !
J'ai bouclé la partie grammaire et attaque la super partie didactique, sorte de gloire à l'ORL, à la méthode de lecture Crocolivre, à la lecture d'albumsde maternelle de qualité au CM .
Ils se sont mis à 6 (MF et CPC) pour réaliser l'ouvrage et mettre une belle pagaille dans ma tête !
J'ai bouclé la partie grammaire et attaque la super partie didactique, sorte de gloire à l'ORL, à la méthode de lecture Crocolivre, à la lecture d'albums
- ProvenceEnchanteur
coindeparadis a écrit:C'est comme l'affirmation du livre "le pronom QUI a toujours la fonction de sujet". Si j'écris "j'ai appelé l'homme qui habite au-dessus de chez moi", qui ne peut être sujet !
Dans ton exemple, "qui" est sujet du verbe de la relative.
- OudemiaBon génie
Bien sûr que si !coindeparadis a écrit:C'est comme l'affirmation du livre "le pronom relatif QUI a toujours la fonction de sujet". Si j'écris "j'ai appelé l'homme qui habite au-dessus de chez moi", qui ne peut être sujet !
Ils se sont mis à 6 (MF et CPC) pour réaliser l'ouvrage et mettre une belle pagaille dans ma tête !
J'ai bouclé la partie grammaire et attaque la super partie didactique, sorte de gloire à l'ORL, à la méthode de lecture Crocolivre, à la lecture d'albumsde maternellede qualité au CM .
qui sujet de habite
Et ça c'est un point de repère sûr, justement, comme que fonction COD, ce que j'enseigne moi-même.
Quelle fonction attribues-tu à qui dans ton exemple ?
Désolée de te remettre de la pagaille !
- coindeparadisGuide spirituel
Non, tu as raison, justement c'est ce que j'explique. A force de lire des choses plus ou moins vraies (voire de vraies erreurs) je finis par ne plus rien savoir, ou par douter de tout.
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- LefterisEsprit sacré
Il y a effectivement pas mal de variantes dans les grammaires, les manuels, et il faut faire avec.
Dans ceux qui utilisent la notion de "complétive", le critère est comme le disait Lisette je crois le caractère indispensable de cette proposition, qui ne peut être supprimée, et non le seul critère de la conjonction .
Il y a alors, selon ce critère , la complétive conjonctive et la complétive infinitive (alors que dans d'autres classements, la proposition conjonctive et l'infinitive sont bien distinctes)
Il affirme qu'il fera beau
Il lui demande de venir
Dans les deux cas, elle est indispensable au sens
Donc en toute logique, selon ce critère, il en va de même avec
Il lui demande s'il viendra , qui est une complétive conjonctive selon ces mêmes grammaires.
Pour le reste, tu analyses en utilisant les procédés de transformation, remplacement, déplacement, effacement tels qu'ils sont mentionnés sous la rubrique "déplacement sur l'axe paradigmatique et syntagmatique" dans la Terminologie grammaticale (dont j'ai donné le lien, le fascicule étant épuisé).
exemples
Et s'il y a des questions à l'oral, tu feras preuve de capacité d'analyse, en principe appréciée des jurys .
Dans ceux qui utilisent la notion de "complétive", le critère est comme le disait Lisette je crois le caractère indispensable de cette proposition, qui ne peut être supprimée, et non le seul critère de la conjonction .
Il y a alors, selon ce critère , la complétive conjonctive et la complétive infinitive (alors que dans d'autres classements, la proposition conjonctive et l'infinitive sont bien distinctes)
Il affirme qu'il fera beau
Il lui demande de venir
Dans les deux cas, elle est indispensable au sens
Donc en toute logique, selon ce critère, il en va de même avec
Il lui demande s'il viendra , qui est une complétive conjonctive selon ces mêmes grammaires.
Pour le reste, tu analyses en utilisant les procédés de transformation, remplacement, déplacement, effacement tels qu'ils sont mentionnés sous la rubrique "déplacement sur l'axe paradigmatique et syntagmatique" dans la Terminologie grammaticale (dont j'ai donné le lien, le fascicule étant épuisé).
exemples
A mon avis , sur les QCM, en raisonnant comme ça en cas de doute, tu peux t'en tirer, vu qu'il est impossible de connaître toutes les définitions de tous les manuels.Coindeparadis a écrit:
Viennent ensuite des fonctions , certaines me laissent perplexe :
- fonctions sujet, cod, coi
- fonction de complément du nom : il a la preuve que Paul est coupable
= "il a la preuve de la culpabilité de Paul", CdN . On peut donc l'analyser de même
-fonction de complément d'adjectif confused : il est fier que son fils ait réussi
= il est fier de la réussite. Idem
- fonction d'apposition confused : mon idée, qu'il est parti rapidement, est idiote.
mon idée, celle de soin départ rapide,
Ajout d'une information , une expansion, "posée à côté", facultative. Cela répond aux critères de l'apposition.
Moi qui pensait récupérer des points en français ! J'ai déjà passé (et râté) le CRPE avec une note faible en maths mais bonne en français, mais à l'époque la grammaire ressemblait davantage à ce que je connaissais. Ou alors le jury aimait bien la grammaire traditionnelle...
Je me demande si je ne vais pas rester sur mes acquis, moins risqué que de tout déconstruire et ne plus rien comprendre...
Et s'il y a des questions à l'oral, tu feras preuve de capacité d'analyse, en principe appréciée des jurys .
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- lisette83Érudit
Bonjour ,coindeparadis a écrit:Non, tu as raison, justement c'est ce que j'explique. A force de lire des choses plus ou moins vraies (voire de vraies erreurs) je finis par ne plus rien savoir, ou par douter de tout.
Avez-vous une grammaire de référence pour le CRPE? Celle qui est souvent préconisée est "Quelle grammaire enseigner ?" de Pellat, un "résumé" de la RIEGEL à laquelle il a aussi participé.
- coindeparadisGuide spirituel
Merci Lefteris. Je vais adopter le système "de manipulation" pour l'analyse et vais conserver l'idée de conjonctive plutôt que de complétive.
Je ne suis pas certaine qu'il y ait un QCM car dans les nouveaux manuels, aucun n'y fait référence. Ce sont plutôt des questions de classement :
-classer ces subordonnées selon leur nature
- classer les adjectifs du texte selon leur fonction...
Et il n' y a plus d'épreuve orale en français, la didactique ayant basculé à l'écrit (et donc à l'admissibilité).
Je ne suis pas certaine qu'il y ait un QCM car dans les nouveaux manuels, aucun n'y fait référence. Ce sont plutôt des questions de classement :
-classer ces subordonnées selon leur nature
- classer les adjectifs du texte selon leur fonction...
Et il n' y a plus d'épreuve orale en français, la didactique ayant basculé à l'écrit (et donc à l'admissibilité).
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- lisette83Érudit
Il y a un QCM dans les sujets zéro mais, à mon avis, il faudra ajouter à la réponse un exemple ou une explication minimale.
- coindeparadisGuide spirituel
J'ai lu sur certains blogs que cette grammaire était préconisée mais là elle m'achèverait;) : notions de compléments essentiels, déterminants...
En tout cas merci de votre aide à tous ! Je vais aller embêter les profs de maths et vous dirai s'ils sont plus sympathiques que vous .
En tout cas merci de votre aide à tous ! Je vais aller embêter les profs de maths et vous dirai s'ils sont plus sympathiques que vous .
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- CelebornEsprit sacré
coindeparadis a écrit:C'est comme l'affirmation du livre "le pronom QUI a toujours la fonction de sujet". Si j'écris "j'ai appelé l'homme qui habite au-dessus de chez moi", qui ne peut être sujet !
Là, il l'est, mais dans la phrase 'L'homme à qui je m'adresse est mon voisin", il l'est déjà beaucoup moins ^^. Ah les prépositions, une si jolie catégorie grammaticale qui vient tout vous pourrir
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
Mon Blog
- CarabasVénérable
Mais peut-on considérer : "avoir la preuve de" comme une locution verbale transitive indirecte?
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Les chances uniques sur un million se réalisent neuf fois sur dix.
Terry Pratchett
- OudemiaBon génie
Je distingue toujours qui de à qui (de qui, sur qui etc), et les élèves en général retiennent bien qui-sujet et que-CODCeleborn a écrit:coindeparadis a écrit:C'est comme l'affirmation du livre "le pronom QUI a toujours la fonction de sujet". Si j'écris "j'ai appelé l'homme qui habite au-dessus de chez moi", qui ne peut être sujet !
Là, il l'est, mais dans la phrase 'L'homme à qui je m'adresse est mon voisin", il l'est déjà beaucoup moins ^^. Ah les prépositions, une si jolie catégorie grammaticale qui vient tout vous pourrir
- retraitéeDoyen
Oui, il y a des subordonnées conjonctives par que qui ont des fonctions de CDN.
La preuve que Paul est coupable = la preuve de sa culpabilité.
Ici, pas de relative, même si la subordonnée suit un nom. Il suffit de rétablir les deux indépendantes de départ pour voir que le QUE ne remplace pas "la preuve" dans la subordonnée.
Paul est coupable.
Il a la preuve (de cela.) J'enlève le "de cela" et je lui substitue la subordonnée conjonctive.
de même
L'idée qu'il partait pour toujours m'angoissait. L'idée = "Il part pour toujours", donc on peut de fait analyser la conjonctive comme apposition à "l'idée". en fait, il y a passage du discours direct au discours indirect, comme dans ton exemple :
Mon idée (= " Il est parti rapidement" ) est idiote.
Idem pour le complément de l'adjectif, ( fier de sa réussite = fier qu'il ait réussi)
Ces cas sont répertoriés dans la grammaire Hamon.
La preuve que Paul est coupable = la preuve de sa culpabilité.
Ici, pas de relative, même si la subordonnée suit un nom. Il suffit de rétablir les deux indépendantes de départ pour voir que le QUE ne remplace pas "la preuve" dans la subordonnée.
Paul est coupable.
Il a la preuve (de cela.) J'enlève le "de cela" et je lui substitue la subordonnée conjonctive.
de même
L'idée qu'il partait pour toujours m'angoissait. L'idée = "Il part pour toujours", donc on peut de fait analyser la conjonctive comme apposition à "l'idée". en fait, il y a passage du discours direct au discours indirect, comme dans ton exemple :
Mon idée (= " Il est parti rapidement" ) est idiote.
Idem pour le complément de l'adjectif, ( fier de sa réussite = fier qu'il ait réussi)
Ces cas sont répertoriés dans la grammaire Hamon.
- retraitéeDoyen
Le relatif qui est toujours sujet s'il est employé seul. J'ai toujours dit à mes élèves que quand il était précédé d'une préposition, elle s'analysait avec le relatif (c'est valable pour les autres pronoms relatifs)
L'homme à qui (auquel) j'ai demandé mon chemin…
J'ai demandé mon chemin à cet homme le pronom (prép) est ici COS ou attribution.
La voisine à cause de qui (de laquelle) j'ai eu un accident
J'ai eu un accident à cause de ma voisine = CC de cause
L'infirmière de qui (de laquelle, dont) il est accompagné
Il est accompagné d'une /par une infirmière (complément d'agent)
L'homme à qui (auquel) j'ai demandé mon chemin…
J'ai demandé mon chemin à cet homme le pronom (prép) est ici COS ou attribution.
La voisine à cause de qui (de laquelle) j'ai eu un accident
J'ai eu un accident à cause de ma voisine = CC de cause
L'infirmière de qui (de laquelle, dont) il est accompagné
Il est accompagné d'une /par une infirmière (complément d'agent)
- retraitéeDoyen
Attention, si qui est un pronom interrogatif, il renvoie à l'animé (le non animé = que, quoi ) et remplit différentes fonctions. Sujet, COD, Attribut, etc.
- CarabasVénérable
J'ai une question (encore...).
Pourquoi "où" est-il adverbe quand il introduit une interrogative et pronom quand il introduit une relative? Qu'est-ce qui justifie ce changement de catégorie qui serait jugé immoral par les membres de la manif pour tous?
Pourquoi "où" est-il adverbe quand il introduit une interrogative et pronom quand il introduit une relative? Qu'est-ce qui justifie ce changement de catégorie qui serait jugé immoral par les membres de la manif pour tous?
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Terry Pratchett
- retraitéeDoyen
je suppose qu'il est pronom quand il représente un nom antécédent.
- CarabasVénérable
Effectivement...
Merci.
Merci.
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- coindeparadisGuide spirituel
La maison où j'ai grandi.
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- adelaideaugustaFidèle du forum
Un grand nombre de problèmes simples effectués par les élèves offre ou offrent un entraînement régulier à la rédaction ??
Est-ce que " l'un et l'autre se dit ou se disent " ??
Est-ce que " l'un et l'autre se dit ou se disent " ??
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"Instruire une nation, c'est la civiliser.Y éteindre les connaissances, c'est la ramener à l'état primitif de la barbarie." (Diderot)
"Un mensonge peut faire le tour du monde pendant que la vérité se met en route". (Mark Twain)
"Quand les mots perdent leur sens, les hommes perdent leur liberté".(Confucius)
- coindeparadisGuide spirituel
j'écrirais offre (accord avec "un grand nombre")
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- SeiGrand Maître
Je dirais spontanément que les deux se disent (souvenirs de la RPR), mais j'y lirais une distinction (infime, mais bon) de sens.
Un grand nombre de problèmes simples effectués par les élèves offre un entraînement régulier à la rédaction : on met l'accent sur le fait que ce qui aide les élèves est d'abord le grand nombre de problèmes simples, le fait d'en faire beaucoup.
Un grand nombre de problèmes simples effectués par les élèves offrent un entraînement régulier à la rédaction : on met l'accent sur le fait que ce qui aide les élèves sont d'abord les problèmes eux-mêmes.
Mais j'attends l'avis de spécialistes.
Un grand nombre de problèmes simples effectués par les élèves offre un entraînement régulier à la rédaction : on met l'accent sur le fait que ce qui aide les élèves est d'abord le grand nombre de problèmes simples, le fait d'en faire beaucoup.
Un grand nombre de problèmes simples effectués par les élèves offrent un entraînement régulier à la rédaction : on met l'accent sur le fait que ce qui aide les élèves sont d'abord les problèmes eux-mêmes.
Mais j'attends l'avis de spécialistes.
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"Humanité, humanité, engeance de crocodile."
- NLM76Grand Maître
J'aime bien ce problème-là. Et que dites-vous deretraitée a écrit:je suppose qu'il est pronom quand il représente un nom antécédent.
"Où tu iras j'irai." ?
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- adelaideaugustaFidèle du forum
V.Marchais a écrit:Les deux accords sont acceptés.
Merci, Véronique. J'ai beaucoup hésité.
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"Instruire une nation, c'est la civiliser.Y éteindre les connaissances, c'est la ramener à l'état primitif de la barbarie." (Diderot)
"Un mensonge peut faire le tour du monde pendant que la vérité se met en route". (Mark Twain)
"Quand les mots perdent leur sens, les hommes perdent leur liberté".(Confucius)
- User17706Bon génie
C'est très intéressant, ça.Sei a écrit:Je dirais spontanément que les deux se disent (souvenirs de la RPR), mais j'y lirais une distinction (infime, mais bon) de sens.
Un grand nombre de problèmes simples effectués par les élèves offre un entraînement régulier à la rédaction : on met l'accent sur le fait que ce qui aide les élèves est d'abord le grand nombre de problèmes simples, le fait d'en faire beaucoup.
Un grand nombre de problèmes simples effectués par les élèves offrent un entraînement régulier à la rédaction : on met l'accent sur le fait que ce qui aide les élèves sont d'abord les problèmes eux-mêmes.
Déjà, l'un et l'autre se dit, ou se disent.
Ensuite, la nuance dont tu parles me semblerait tout à fait nette si l'on enlevait «effectués par les élèves», qui force, me semble-t-il, à choisir l'interprétation n°1 (dans ta numérotation) dans les deux cas (qu'on accorde au pluriel ou au singulier).
Reste que la phrase pourrait vouloir dire deux choses assez distinctes, que bon nombre de logiciens et grammairiens médiévaux auraient distinguées à l'aide des concepts de prédication distributive et de prédication collective.
1. Les problèmes (que nous proposons en grand nombre) offrent un entraînement (qui peut en outre être régulier, du fait du nombre) à la rédaction.
2. Le grand nombre de problèmes offre un entraînement régulier à la rédaction.
Dans le cas (1), il est vrai distributivement de chacun des problèmes qu'il constitue un entraînement à la rédaction (et on peut ajouter que leur nombre fait que cet entraînement peut être régulier mais ce n'est pas l'essentiel du propos).
Dans le cas (2), il est vrai collectivement de l'ensemble formé par ces problèmes en grand nombre qu'ils constituent un entraînement régulier, etc.
C'est une différence proprement logique. Et fichtrement importante.
Il me semble que la clause «effectués par les élèves» joue un peu le rôle d'une condition: s'ils sont effectués par les élèves, alors... (et l'accent mis sur l'effectuation par les élèves de plusieurs problèmes implique dès lors que le nombre et donc la régularité sont indispensables pour parler d'entraînement). C'est pourquoi, me semble-t-il, elle lève l'ambiguïté que tu mentionnais. L'adjectif «régulier» renforce aussi cette interprétation, ce qui fait qu'on a, je crois, pas le choix, en fin de compte.
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