- ProvenceEnchanteur
sebiseb a écrit:Pour faire passer/accepter une revendication fusse-t-elle légitime, il faut avoir des arguments clairs et solides qui ne sont pas justes des postures corporatistes (ce n'est pas mon point de vue, mais ça sera facilement celui d'autres salariés - y compris syndiqués - et surtout du ministère).
Pour le reste, on va en rester là... Parce que je ne suis pas sûre que ce soit l'objet du fil de discussion !
C'est quel temps de quel verbe, "fusse"?
Tu n'as pas répondu à ma question sur les horaires de français.
- thrasybuleDevin
Provence, tu exerces une violence symbolique intolérable du haut de ton capital culturel d'infâme privilégiée. Outré je suis.
- frdmNiveau 10
sebiseb a écrit:
Pour le reste, on va en rester là... Parce que je ne suis pas sûre que ce soit l'objet du fil de discussion !
Che(è)r(e) sebiseb, êtes-vous une femme ?
- PseudoDemi-dieu
On s'empaille sur les rythmes scolaires, les demi journée en plus, les heures en moins, les semaines en plus, comme si c'était ça l'essentiel. C'est un grand classique : si quelque chose ne marche pas (l'école) c'est qu'on en a pas mis assez (et donc rajoutons des semaines et des demi-journées).
Et si on s'occupait du temps scolaire actuel, déjà ? Non ? Ah ben, non, parce que là, il faudrait aborder les aspects qualitatifs, et là...
Et si on s'occupait du temps scolaire actuel, déjà ? Non ? Ah ben, non, parce que là, il faudrait aborder les aspects qualitatifs, et là...
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- DinosauraHabitué du forum
sebiseb a écrit:Pour faire passer/accepter une revendication fusse-t-elle légitime, il faut avoir des arguments clairs et solides qui ne sont pas justes des postures corporatistes (ce n'est pas mon point de vue, mais ça sera facilement celui d'autres salariés - y compris syndiqués - et surtout du ministère).
Pour le reste, on va en rester là... Parce que je ne suis pas sûre que ce soit l'objet du fil de discussion !
Pour le syndicat et le militantisme politique, c'est juste que tu parles bien de quelque part et que ton opinion n'est pas neutre, mais me fait plutôt penser à certains syndicats minoritaires autoproclamés "réformistes" qui œuvrent en fait pour l'abaissement moral et matériel de leurs membres... Enfin bref, il eût été souhaitable, dans l'intérêt et l'honnêteté du débat, que tu précises tes présupposés.
Quant à l'argument du "corporatisme", il me fait bien dire (jaune), parce qu'à force de jouer les vierges effarouchées, on a perdu un à un tous les avantages de ce métier, mais effectivement il y a toujours pire que soi. C'est grâce à cette logique implacable que depuis 30 ans tous les salariés (privés et publics) sont aussi bien lotis aujourd'hui.
- PseudoDemi-dieu
Là où on parlait de solidarité de classe, on parle de corporatisme désormais. Ca change tout...
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- sebisebNiveau 9
Mon avis n'est pas forcément celui de mon syndicat, mais en cherchant vous trouverez sur ce forum. Je ne l'impliquerais pas ici, je disais simplement que face à l'employeur il ne faut pas se pointer avec des revendications sans arguments pertinents ; en gros qu'il ne va rien y gagner, et que cela dégradera le service "éducation" - encore que ces derniers temps, ce dernier point le laisse souvent de marbre !
C'est terrible comment les poncifs ressortent dès lors que l'on émet un avis contradictoire ;
Pour être clair : Je suis pour la réduction du temps de travail puisqu'il est clair que nous faisons plus de 35H / semaine et que nous sommes dans la moyenne d'un temps de travail salarié. J'ajoute que nos conditions de travail sont catastrophiques, et je pense qu'il est urgent que organisations syndicales et le service RH du ministère de l'EN se penchent sur les risques psycho-sociaux du personnel éducatif (enseignants, éducateurs scolaires, ... chefs d'établissements).
Et je ne vois pas en quoi cela est contradictoire avec une réflexion sur la répartition / organisation de notre temps de travail sur l'année ?
Je vous invite à lire ce Hors-Série qui donne quelques exemples d'expériences pédagogiques alternatives. Alternatives qui sans gonfler le temps de travail des jeunes et du personnel, l'aménagent autrement : https://www.neoprofs.org/t57863p220-hors-serie-du-nouvel-obs-etre-enseignant-aujourd-hui#1856004
C'est terrible comment les poncifs ressortent dès lors que l'on émet un avis contradictoire ;
Pour être clair : Je suis pour la réduction du temps de travail puisqu'il est clair que nous faisons plus de 35H / semaine et que nous sommes dans la moyenne d'un temps de travail salarié. J'ajoute que nos conditions de travail sont catastrophiques, et je pense qu'il est urgent que organisations syndicales et le service RH du ministère de l'EN se penchent sur les risques psycho-sociaux du personnel éducatif (enseignants, éducateurs scolaires, ... chefs d'établissements).
Et je ne vois pas en quoi cela est contradictoire avec une réflexion sur la répartition / organisation de notre temps de travail sur l'année ?
Je vous invite à lire ce Hors-Série qui donne quelques exemples d'expériences pédagogiques alternatives. Alternatives qui sans gonfler le temps de travail des jeunes et du personnel, l'aménagent autrement : https://www.neoprofs.org/t57863p220-hors-serie-du-nouvel-obs-etre-enseignant-aujourd-hui#1856004
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sebiseb ...pour une école "vraiment" libre !
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Pseudo a écrit:Là où on parlait de solidarité de classe, on parle de corporatisme désormais. Ca change tout...
C'est sans doute parce que la solidarité de classe, c'est une notion socialement horizontale et transversale (par exemple, les ouvriers et les employés), alors qu'une corporation, c'est l'ensemble d'un métier, au-delà des différences sociales.
- DinosauraHabitué du forum
Pseudo a écrit:Là où on parlait de solidarité de classe, on parle de corporatisme désormais. Ca change tout...
Oui, oui, la novlangue libérale qui a infiltré les "analyses" politiques (autorisées) joue un rôle déterminant dans notre mise au pas et donc notre affaiblissement symbolique et financier. Ce que je trouve tragique, c'est que certains professeurs reprennent à leur compte ce genre d'antiennes.
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"Le plus esclave est celui qui ignore ses chaînes."
- IphigénieProphète
Oui, mais est-ce bien un professeur?
sexe et orthographe indéterminés peuvent faire douter de la naïveté du propos.
A tout le moins, c'est quelqu'un qui aurait besoin de vacances, ne serait-ce que pour approfondir ses compétences.
sexe et orthographe indéterminés peuvent faire douter de la naïveté du propos.
A tout le moins, c'est quelqu'un qui aurait besoin de vacances, ne serait-ce que pour approfondir ses compétences.
- DinosauraHabitué du forum
sebiseb a écrit:Mon avis n'est pas forcément celui de mon syndicat, mais en cherchant vous trouverez sur ce forum. Je ne l'impliquerais pas ici, je disais simplement que face à l'employeur il ne faut pas se pointer avec des revendications sans arguments pertinents ; en gros qu'il ne va rien y gagner, et que cela dégradera le service "éducation" - encore que ces derniers temps, ce dernier point le laisse souvent de marbre !
C'est terrible comment les poncifs ressortent dès lors que l'on émet un avis contradictoire ;
Pour être clair : Je suis pour la réduction du temps de travail puisqu'il est clair que nous faisons plus de 35H / semaine et que nous sommes dans la moyenne d'un temps de travail salarié. J'ajoute que nos conditions de travail sont catastrophiques, et je pense qu'il est urgent que organisations syndicales et le service RH du ministère de l'EN se penchent sur les risques psycho-sociaux du personnel éducatif (enseignants, éducateurs scolaires, ... chefs d'établissements).
Et je ne vois pas en quoi cela est contradictoire avec une réflexion sur la répartition / organisation de notre temps de travail sur l'année ?
Je vous invite à lire ce Hors-Série qui donne quelques exemples d'expériences pédagogiques alternatives. Alternatives qui sans gonfler le temps de travail des jeunes et du personnel, l'aménagent autrement : https://www.neoprofs.org/t57863p220-hors-serie-du-nouvel-obs-etre-enseignant-aujourd-hui#1856004
L'employeur se fiche pas mal aujourd'hui d'avoir en face de lui des arguments raisonnés et "pertinents", il veut faire passer ses réformes qui diminueront encore notre pouvoir d'achat et dégraderont nos conditions de travail sans contrepartie. Qu'est-ce d'ailleurs qu'un argument pertinent quand on discute conditions de travail et salaires ? C'est toujours le résultat d'une négociation collective, pas un terrain apaisé où chacun regarderait dans la même direction.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Dinosaura a écrit:Pseudo a écrit:Là où on parlait de solidarité de classe, on parle de corporatisme désormais. Ca change tout...
Oui, oui, la novlangue libérale qui a infiltré les "analyses" politiques (autorisées) joue un rôle déterminant dans notre mise au pas et donc notre affaiblissement symbolique et financier. Ce que je trouve tragique, c'est que certains professeurs reprennent à leur compte ce genre d'antiennes.
Encore une fois (et même si je partage tout à fait le rejet de cette dénonciation stupide d'un prétendu réflexe corporatiste), le monde enseignant n'est pas une "classe" au sens où on l'entendait du temps de la pensée marxiste dominante. Donc il n'y aurait pas de sens à faire de la défense (légitime et que je soutiens!) par les enseignants de leur statut une "solidarité de classe".
- PseudoDemi-dieu
Marcel Khrouchtchev a écrit:Pseudo a écrit:Là où on parlait de solidarité de classe, on parle de corporatisme désormais. Ca change tout...
C'est sans doute parce que la solidarité de classe, c'est une notion socialement horizontale et transversale (par exemple, les ouvriers et les employés), alors qu'une corporation, c'est l'ensemble d'un métier, au-delà des différences sociales.
Ca marche sans "de classe".
La solidarité, c'est bien. Le corporatisme, c'est mal. Pourtant, assez régulièrement, ca se ressemble.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- frdmNiveau 10
Je pense que sebiseb nous fait une farce : soit il(elle) n'est pas professeur, soit il(elle) fait exprès de maltraiter notre pauvre langue qui ne lui a rien fait. Ses propos amphigouriques et son orthographe incertaine me le font craindre. Mais quel but poursuivez, che(è)r(e) sebiseb ?
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Pseudo a écrit:Ca marche sans "de classe".
La solidarité, c'est bien. Le corporatisme, c'est mal. Pourtant, assez régulièrement, ca se ressemble.
Moi je ne vois pas trop de mal au réflexe de défense de corps. C'est sans doute mon côté Ancien Régime :lol: .
Mais avec cette précision, je comprends mieux ce que tu veux dire et j'y souscris: la façon de présenter le combat des enseignants est tout sauf neutre.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
frdm a écrit:Je pense que sebiseb nous fait une farce : soit il(elle) n'est pas professeur, soit il(elle) fait exprès de maltraiter notre pauvre langue qui ne lui a rien fait. Ses propos amphigouriques et son orthographe incertaine me le font craindre. Mais quel but poursuivez, che(è)r(e) sebiseb ?
N'en fais pas trop, tu peux écrire simplement
(ça t'évitera au passage d'oublier le sujet de la dernière phrase )
- sebisebNiveau 9
Bref, l'employeur n'a qu'un objectif qui serait d'em... les salariés ? Et particulièrement dans le service publique de l'éducation ? Des pervers, qui se fichent de pousser dans la rue des milliers de personnes, bloquant parallèlement les établissements ?Dinosaura a écrit:
L'employeur se fiche pas mal aujourd'hui d'avoir en face de lui des arguments raisonnés et "pertinents", il veut faire passer ses réformes qui diminueront encore notre pouvoir d'achat et dégraderont nos conditions de travail sans contrepartie.
L'employeur a des raisons souvent contradictoires avec les intérêts des salariés, c'est clair ! Mais à te lire, il faut croire que le ministre ne vise qu'une chose : Pourrir pour le plaisir la vie des profs ? C'est un peu court, non ?
Oui, et c'est totalement contradictoire avec ce que tu dis ci-avant !Dinosaura a écrit:
Qu'est-ce d'ailleurs qu'un argument pertinent quand on discute conditions de travail et salaires ? C'est toujours le résultat d'une négociation collective, pas un terrain apaisé où chacun regarderait dans la même direction.
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- MUTISExpert
Pseudo a écrit:Là où on parlait de solidarité de classe, on parle de corporatisme désormais. Ca change tout...
Effectivement, le libéralisme a imposé son langage : tous ceux qui résistent à la mise en place de sa logique sont d'affreux corporatistes !!!
Et les chiens de garde du libéralisme sauvage, ceux qui jouent les gros bras en bombant le torse parce qu'ils sont "dans le privé", de répéter benoîtement, "corporatistes" à tous ceux qui ne courbent pas l'échine devant l'horreur économique.
Quant aux privilèges des journalistes (n'ont-ils pas toujours une remise fiscale spéciale) (http://www.bfmtv.com/politique/senat-maintient-labattement-fiscal-journalistes-389742.html) ce n'est bien sûr pas du corporatisme : c'est de l'intérêt général !
Très peu parleront de cet avantage et des autres...
"Corporatisme" = mot incontournable de la novlangue libérale à la mode chez les sots intoxiqués à la propagande des milieux financiers.
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"Heureux soient les fêlés car ils laissent passer la lumière" (Audiard)
"Ce n'est pas l'excès d'autorité qui est dangereux, c'est l'excès d'obéissance" (Primo Levi)
"La littérature, quelque passion que nous mettions à le nier, permet de sauver de l'oubli tout ce sur quoi le regard contemporain, de plus en plus immoral, prétend glisser dans l'indifférence absolue" (Enrique Vila-Matas)
" Que les dissemblables soient réunis et de leurs différences jaillira la plus belle harmonie ; rien ne se fait sans lutte." (Héraclite)
"Les hommes sont si nécessairement fous que ce serait être fou par un autre tour de folie, de n'être pas fou" (Pascal).
- sebisebNiveau 9
Désolé pour l'orthographe, je suis comme "malheureusement" beaucoup de prof' de technique (construction mécanique) pas très regardant sur l'orthographe. On ne demande pas non plus au prof' de lettres de respecter les normes de dessin technique hein ! Bon Ok, c'est pas un argument terrible, mais bon... On se détend !frdm a écrit:Je pense que sebiseb nous fait une farce : soit il(elle) n'est pas professeur, soit il(elle) fait exprès de maltraiter notre pauvre langue qui ne lui a rien fait. Ses propos amphigouriques et son orthographe incertaine me le font craindre. Mais quel but poursuivez, che(è)r(e) sebiseb ?
Je ne poursuis aucun but sur ce forum, je discute (ou j'essaie). Je pense juste que si l'on souhaite réellement voir l'idée que l'on se fait de l'éducation changer, il ne va pas falloir attendre de subir les réformes ministérielles et juste tenter simplement d'y résister.
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- DinosauraHabitué du forum
sebiseb a écrit:Bref, l'employeur n'a qu'un objectif qui serait d'em... les salariés ? Et particulièrement dans le service publique de l'éducation ? Des pervers, qui se fichent de pousser dans la rue des milliers de personnes, bloquant parallèlement les établissements ?Dinosaura a écrit:
L'employeur se fiche pas mal aujourd'hui d'avoir en face de lui des arguments raisonnés et "pertinents", il veut faire passer ses réformes qui diminueront encore notre pouvoir d'achat et dégraderont nos conditions de travail sans contrepartie.
L'employeur a des raisons souvent contradictoires avec les intérêts des salariés, c'est clair ! Mais à te lire, il faut croire que le ministre ne vise qu'une chose : Pourrir pour le plaisir la vie des profs ? C'est un peu court, non ?Oui, et c'est totalement contradictoire avec ce que tu dis ci-avant !Dinosaura a écrit:
Qu'est-ce d'ailleurs qu'un argument pertinent quand on discute conditions de travail et salaires ? C'est toujours le résultat d'une négociation collective, pas un terrain apaisé où chacun regarderait dans la même direction.
Alors continuons la caricature que vous me prêtez : je pense effectivement que nos dirigeants ne font qu'appliquer les directives de l'OCDE et du FMI, qui ont pris la forme chez nous de la RGPP, et donc que peu leur chaut la qualité de l'instruction délivrée dans l'école publique. Du même coup, une des étapes de la déréglementation de l'école publique est la mise au pas des professeurs (fonctionnaires), la casse à terme des statuts, et leur remplacement par des personnels précaires, mal formés, exécutant les ordres sans faire de vagues (puisque précaires) et notamment les projets éducatifs territoriaux qui prendraient la place d'une éducation nationale.
- ProvenceEnchanteur
Provence a écrit:Je cite car cette question m'intéresse: quelle est précisément la part de responsabilité de la société française dans la baisse des horaires consacrés à l'enseignement de sa langue?Provence a écrit:
Laquelle?Je pense justement que la société a aussi une part de responsabilité sur la baisse des horaires consacrés à l'enseignement du français.
- sebisebNiveau 9
C'est le constat, pas si caricatural ! Et selon votre dernière phrase, vous souhaitez que l'État se charge de tout ce qui contredit la première où vous accusez à juste titre le pouvoir exécutif d'être à la solde des marchés ?Dinosaura a écrit:
Alors continuons la caricature que vous me prêtez : je pense effectivement que nos dirigeants ne font qu'appliquer les directives de l'OCDE et du FMI, qui ont pris la forme chez nous de la RGPP, et donc que peu leur chaut la qualité de l'instruction délivrée dans l'école publique. Du même coup, une des étapes de la déréglementation de l'école publique est la mise au pas des professeurs (fonctionnaires), la casse à terme des statuts, et leur remplacement par des personnels précaires, mal formées, exécutant les ordres sans faire de vagues (puisque précaires) et notamment les projets éducatifs territoriaux qui prendraient la place d'une éducation nationale.
La question n'est pas de faire et refaire éternellement le bilan, mais de s'interroger sur comment on se ré-approprie le projet éducatif des enfants, de nos enfants d'ailleurs - En tant qu'enseignant, et en tant que parent ? Et je n'ai dans la discussion pas franchement trouvé de réponses / propositions ... (cela pour répondre également @Provence)
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- DinosauraHabitué du forum
Et sinon, en quoi ce que j'ai écrit concernant les conditions de travail/salaires et les arguments que l'on opposera au gouvernement sont contradictoires ?
Je doute simplement de la bonne foi de nos dirigeants à vouloir véritablement nous écouter et à se mettre au diapason de leurs personnels. Sinon à quoi bon l'invocation menée tambour battant dans tous les médias par not'bon ministre de lintérêdézenfans, si ce n'est pour disqualifier a priori nos revendications ? (remarque que même le mot "revendication" a été disqualifié par la novlangue libérale, présenté comme un discours syndicaliste ringard et rigide)
Je doute simplement de la bonne foi de nos dirigeants à vouloir véritablement nous écouter et à se mettre au diapason de leurs personnels. Sinon à quoi bon l'invocation menée tambour battant dans tous les médias par not'bon ministre de lintérêdézenfans, si ce n'est pour disqualifier a priori nos revendications ? (remarque que même le mot "revendication" a été disqualifié par la novlangue libérale, présenté comme un discours syndicaliste ringard et rigide)
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- ProvenceEnchanteur
Provence a écrit:Provence a écrit:Je cite car cette question m'intéresse: quelle est précisément la part de responsabilité de la société française dans la baisse des horaires consacrés à l'enseignement de sa langue?Provence a écrit:
Laquelle?Je pense justement que la société a aussi une part de responsabilité sur la baisse des horaires consacrés à l'enseignement du français.
Pas de réponse alors?
- sebisebNiveau 9
Bon, il faut se le dire... Actuellement les syndicats se battent surtout pour ne pas perdre les acquis plus que pour en conquérir d'autres ! Ils ont fait abroger la journée de carence sans obtenir de revalorisation du point d'indice, ce qui illustre parfaitement cette situation.Dinosaura a écrit:Et sinon, en quoi ce que j'ai écrit concernant les conditions de travail/salaires et les arguments que l'on opposera au gouvernement sont contradictoires ?
Je doute simplement de la bonne foi de nos dirigeants à vouloir véritablement nous écouter et à se mettre au diapason de leurs personnels. Sinon à quoi bon l'invocation menée tambour battant dans tous les médias par not'bon ministre de lintérêdézenfans, si ce n'est pour disqualifier a priori nos revendications ? (remarque que même le mot "revendication" a été disqualifié par la novlangue libérale, présenté comme un discours syndicaliste ringard et rigide)
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- sebisebNiveau 9
J'ai donné ma réponse ici : https://www.neoprofs.org/t57949p380-vincent-peillon-sur-bfm-tv-six-semaines-de-vacances-d-ete-avec-deux-zones#1857426Provence a écrit:Provence a écrit:Provence a écrit:Je cite car cette question m'intéresse: quelle est précisément la part de responsabilité de la société française dans la baisse des horaires consacrés à l'enseignement de sa langue?Provence a écrit:
Laquelle?Je pense justement que la société a aussi une part de responsabilité sur la baisse des horaires consacrés à l'enseignement du français.
Pas de réponse alors?
Et à d'autres endroits, mais visiblement elles ne te conviennent pas !
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