Page 5 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
- Le grincheuxSage
C'est sûr, on va régler tous les problèmes du supérieur en faisant des cours en anglais. J'aime d'ailleurs assez le glissement sémantique entre langue étrangère et anglais... Actuellement, je suis sans cours fixe parce que ma matière n'intéresse plus les p'tits djeunz (tu m'étonnes, il faut savoir calculer et avoir un certain nombre de notions transverses), me ne fais que de l'encadrement de stagiaires. De toute façon, n'étant pas anglophone, je refuse l'idée de devoir faire un cours en anglais.barèges a écrit:Hier G. Fioraso était l'invitée de La Tête au carré (France Inter) pour parler de la réforme. Presque tout l'entretien a porté sur la possibilité des cours en anglais et le retard français dans le transfert entre recherche fondamentale et applications et brevets.
La question que je me pose sur les cours en anglais est de savoir s'il est plus pertinent d'avoir des gens parlant (ou se figurant parler) l'anglais que de gens
capables de s'exprimer dans leur langue maternelle à peu près correctement.
Quant aux brevets, comment dire ? Ce n'est pas ce qui va sauver l'économie. Le brevet est la protection d'un point précis (le diable est dans la précision de la chose). Il est aisément contournable et il est très dur de faire valoir ses droits. Autant utiliser des enveloppes Soleau.
- CondorcetOracle
La gestion du MESR à l'épreuve des faits : la Présidente de l'Université de Montpellier témoigne dans une lettre accablante - pour l'État - de l'asphyxie budgétaire.
http://blogs.mediapart.fr/blog/pascal-maillard/190913/comment-l-etat-saigne-les-universites-francaises
Sa conclusion est sans ambages
http://blogs.mediapart.fr/blog/pascal-maillard/190913/comment-l-etat-saigne-les-universites-francaises
Sa conclusion est sans ambages
Anne Fraïsse a écrit:En voyant les longues files d’étudiants hors délai qui cherchent à s’inscrire aujourd’hui à l’université, en pensant à tous les jeunes encore plus nombreux qui l’année prochaine seront tirés au sort pour entrer dans nos formations ou qui ne pourront pas faire d’études supérieures à cause de la fermeture de notre site de Béziers, nous posons une question à l’Etat : est-ce vraiment ce que vous voulez pour l’université française vous qui vous vantez de faire de la Jeunesse une priorité ?
- philannDoyen
Merci de rappeler...l'essentiel!Condorcet a écrit:La gestion du MESR à l'épreuve des faits : la Présidente de l'Université de Montpellier témoigne dans une lettre accablante - pour l'État - de l'asphyxie budgétaire.
http://blogs.mediapart.fr/blog/pascal-maillard/190913/comment-l-etat-saigne-les-universites-francaises
Sa conclusion est sans ambagesAnne Fraïsse a écrit:En voyant les longues files d’étudiants hors délai qui cherchent à s’inscrire aujourd’hui à l’université, en pensant à tous les jeunes encore plus nombreux qui l’année prochaine seront tirés au sort pour entrer dans nos formations ou qui ne pourront pas faire d’études supérieures à cause de la fermeture de notre site de Béziers, nous posons une question à l’Etat : est-ce vraiment ce que vous voulez pour l’université française vous qui vous vantez de faire de la Jeunesse une priorité ?
_________________
2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
Page 5 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
- Spécificités des élèves, étudiants et personnels de l'enseignement scolaire et de l'enseignement supérieur sportifs de haut niveau
- Août 2013 - Note d'information du MESR : Les personnels enseignants de l’enseignement supérieur (2011-2012).
- L'agreg interne permet-elle d'entrer dans l'enseignement supérieur?
- La loi silencieuse : l'enseignement supérieur et la recherche au Parlement (mai 2013).
- Qui sont les personnels BIATSS et ITRF de l'Enseignement supérieur ?
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum