Faire entrer l'école dans l'ère numérique : une envie partagée ?
- Docteur OXGrand sage
Cripure a écrit:Mais bon sang, pourquoi ce sont toujours les profs d'histoire qui nous fatiguent avec le numérique ? Je passe mes journées avec des collègues d'histoire, qui sont mes meilleurs amis au lycée, et qui enseignent l'histoire par le récit, ce qui les rend manifestement intéressants aux élèves d'après les échos de ci de là, et mes soirées à lire des posts de collègues d'histoire qui ne parlent que d'informatique. C'est quand même dingue !bruno09 a écrit:Il y a plusieurs débat en fait:
1° Le Numérique doit-il être enseigné à l'école?
Ben oui, forcément. On n'apprend plus de la même façon, on ne vit plus de la même façon et on pourrait faire un cours "comment c'était avant le numérique". La transition est tellement violente que l'on ne peut décemment pas passer à côté. C'est d'autant plus nécessaire qu'avec l'informatique, les élèves s'y prennent comme des quiches (pour les mêmes raisons que d’habitude).
2° Doit on enseigner avec le numérique? Vous venez au bahut en char à bœuf? C'est pareil?
3° Les élèves doivent-ils tout faire avec du numérique? Eh ben non. Parce qu'ils ne savent pas s'en servir efficacement et que dans mon cas, un cours d'histoire n'est pas un cours d'informatique, parce que le temps n'est pas extensible, parce que le matériel ne suit pas ou n'est pas adapté, parce qu'ils en profitent pour faire autre chose.
Alors 1°) et 2°) Histoire et lettres sont les deux secteurs du bahut seulement équipés de vidéopros (+ ordi pour l'appel et le lecteur dvd). Et nous nous passons fort bien du reste. On a un secret : on parle, on lit, on fait écrire, on élabore avec eux. Point-barre. Et le soir, on remonte dans le char à boeufs, ne vous déplaise. Et nul ne s'en plaint.
+1000 Cripure.
Il doit y avoir une mauvaise conscience chez les profs d'HG du genre on est "has been" et nos matières intéressent moins les générations actuelles. Donc vite, une petite cure de "modernitude" et une forte dose de "numéricalax" pour capter l'attention (et seulement elle ?) des petits jeunes. Perso, je trouve qu'un TBI, c'est trop gros comme appât...
- MareuilNeoprof expérimenté
Le TBI, c'est une bouse informatique. C'est pour cela qu'on le vend si bien aux collectivités territoriales.Docteur OX a écrit:Cripure a écrit:Mais bon sang, pourquoi ce sont toujours les profs d'histoire qui nous fatiguent avec le numérique ? Je passe mes journées avec des collègues d'histoire, qui sont mes meilleurs amis au lycée, et qui enseignent l'histoire par le récit, ce qui les rend manifestement intéressants aux élèves d'après les échos de ci de là, et mes soirées à lire des posts de collègues d'histoire qui ne parlent que d'informatique. C'est quand même dingue !bruno09 a écrit:Il y a plusieurs débat en fait:
1° Le Numérique doit-il être enseigné à l'école?
Ben oui, forcément. On n'apprend plus de la même façon, on ne vit plus de la même façon et on pourrait faire un cours "comment c'était avant le numérique". La transition est tellement violente que l'on ne peut décemment pas passer à côté. C'est d'autant plus nécessaire qu'avec l'informatique, les élèves s'y prennent comme des quiches (pour les mêmes raisons que d’habitude).
2° Doit on enseigner avec le numérique? Vous venez au bahut en char à bœuf? C'est pareil?
3° Les élèves doivent-ils tout faire avec du numérique? Eh ben non. Parce qu'ils ne savent pas s'en servir efficacement et que dans mon cas, un cours d'histoire n'est pas un cours d'informatique, parce que le temps n'est pas extensible, parce que le matériel ne suit pas ou n'est pas adapté, parce qu'ils en profitent pour faire autre chose.
Alors 1°) et 2°) Histoire et lettres sont les deux secteurs du bahut seulement équipés de vidéopros (+ ordi pour l'appel et le lecteur dvd). Et nous nous passons fort bien du reste. On a un secret : on parle, on lit, on fait écrire, on élabore avec eux. Point-barre. Et le soir, on remonte dans le char à boeufs, ne vous déplaise. Et nul ne s'en plaint.
+1000 Cripure.
Il doit y avoir une mauvaise conscience chez les profs d'HG du genre on est "has been" et nos matières intéressent moins les générations actuelles. Donc vite, une petite cure de "modernitude" et une forte dose de "numéricalax" pour capter l'attention (et seulement elle ?) des petits jeunes. Perso, je trouve qu'un TBI, c'est trop gros comme appât...
- Luigi_BGrand Maître
Attendez, je parle de trucs qu'il faut vendre. :lol:Mareuil a écrit:J'ai ! Les annales numéro zéro du brevet, ou n'importe quel corrigé de bac.Luigi_B a écrit:Absolument pas. Trouvez-moi dans une édition papier un corrigé aussi stupide que celui que j'ai proposé aux sites de corrigés en ligne.
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- Luigi_BGrand Maître
Bonus sur le sondage :
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- Collier de BarbeNeoprof expérimenté
Docteur OX a écrit:Cripure a écrit:Mais bon sang, pourquoi ce sont toujours les profs d'histoire qui nous fatiguent avec le numérique ? Je passe mes journées avec des collègues d'histoire, qui sont mes meilleurs amis au lycée, et qui enseignent l'histoire par le récit, ce qui les rend manifestement intéressants aux élèves d'après les échos de ci de là, et mes soirées à lire des posts de collègues d'histoire qui ne parlent que d'informatique. C'est quand même dingue !bruno09 a écrit:Il y a plusieurs débat en fait:
1° Le Numérique doit-il être enseigné à l'école?
Ben oui, forcément. On n'apprend plus de la même façon, on ne vit plus de la même façon et on pourrait faire un cours "comment c'était avant le numérique". La transition est tellement violente que l'on ne peut décemment pas passer à côté. C'est d'autant plus nécessaire qu'avec l'informatique, les élèves s'y prennent comme des quiches (pour les mêmes raisons que d’habitude).
2° Doit on enseigner avec le numérique? Vous venez au bahut en char à bœuf? C'est pareil?
3° Les élèves doivent-ils tout faire avec du numérique? Eh ben non. Parce qu'ils ne savent pas s'en servir efficacement et que dans mon cas, un cours d'histoire n'est pas un cours d'informatique, parce que le temps n'est pas extensible, parce que le matériel ne suit pas ou n'est pas adapté, parce qu'ils en profitent pour faire autre chose.
Alors 1°) et 2°) Histoire et lettres sont les deux secteurs du bahut seulement équipés de vidéopros (+ ordi pour l'appel et le lecteur dvd). Et nous nous passons fort bien du reste. On a un secret : on parle, on lit, on fait écrire, on élabore avec eux. Point-barre. Et le soir, on remonte dans le char à boeufs, ne vous déplaise. Et nul ne s'en plaint.
+1000 Cripure.
Il doit y avoir une mauvaise conscience chez les profs d'HG du genre on est "has been" et nos matières intéressent moins les générations actuelles. Donc vite, une petite cure de "modernitude" et une forte dose de "numéricalax" pour capter l'attention (et seulement elle ?) des petits jeunes. Perso, je trouve qu'un TBI, c'est trop gros comme appât...
Tu n'utilises jamais Google Earth? Geoportail? Tes élèves font zéro recherche sur le réseau?
Aucune mode la dedans, juste des possibilités nouvelles a exploiter...
_________________
CdB
@AbbeCordillere
- MareuilNeoprof expérimenté
Collier de Barbe a écrit:Docteur OX a écrit:Cripure a écrit:Mais bon sang, pourquoi ce sont toujours les profs d'histoire qui nous fatiguent avec le numérique ? Je passe mes journées avec des collègues d'histoire, qui sont mes meilleurs amis au lycée, et qui enseignent l'histoire par le récit, ce qui les rend manifestement intéressants aux élèves d'après les échos de ci de là, et mes soirées à lire des posts de collègues d'histoire qui ne parlent que d'informatique. C'est quand même dingue !bruno09 a écrit:Il y a plusieurs débat en fait:
1° Le Numérique doit-il être enseigné à l'école?
Ben oui, forcément. On n'apprend plus de la même façon, on ne vit plus de la même façon et on pourrait faire un cours "comment c'était avant le numérique". La transition est tellement violente que l'on ne peut décemment pas passer à côté. C'est d'autant plus nécessaire qu'avec l'informatique, les élèves s'y prennent comme des quiches (pour les mêmes raisons que d’habitude).
2° Doit on enseigner avec le numérique? Vous venez au bahut en char à bœuf? C'est pareil?
3° Les élèves doivent-ils tout faire avec du numérique? Eh ben non. Parce qu'ils ne savent pas s'en servir efficacement et que dans mon cas, un cours d'histoire n'est pas un cours d'informatique, parce que le temps n'est pas extensible, parce que le matériel ne suit pas ou n'est pas adapté, parce qu'ils en profitent pour faire autre chose.
Alors 1°) et 2°) Histoire et lettres sont les deux secteurs du bahut seulement équipés de vidéopros (+ ordi pour l'appel et le lecteur dvd). Et nous nous passons fort bien du reste. On a un secret : on parle, on lit, on fait écrire, on élabore avec eux. Point-barre. Et le soir, on remonte dans le char à boeufs, ne vous déplaise. Et nul ne s'en plaint.
+1000 Cripure.
Il doit y avoir une mauvaise conscience chez les profs d'HG du genre on est "has been" et nos matières intéressent moins les générations actuelles. Donc vite, une petite cure de "modernitude" et une forte dose de "numéricalax" pour capter l'attention (et seulement elle ?) des petits jeunes. Perso, je trouve qu'un TBI, c'est trop gros comme appât...
Tu n'utilises jamais Google Earth? Geoportail? Tes élèves font zéro recherche sur le réseau?
Aucune mode la dedans, juste des possibilités nouvelles a exploiter...
Je me réfère à votre présentation : "et un peu de géographie". Bah là j'aimerais savoir, ne serait-ce que pour cesser des propos dignes d'un boudoir, quelle est en géographie votre progression du CP au CM.
Et ne me répondez pas que cela ne vous regarde pas parce que vous n'enseignez pas à l'école primaire.
- Docteur OXGrand sage
Collier de Barbe a écrit:Docteur OX a écrit:Cripure a écrit:Mais bon sang, pourquoi ce sont toujours les profs d'histoire qui nous fatiguent avec le numérique ? Je passe mes journées avec des collègues d'histoire, qui sont mes meilleurs amis au lycée, et qui enseignent l'histoire par le récit, ce qui les rend manifestement intéressants aux élèves d'après les échos de ci de là, et mes soirées à lire des posts de collègues d'histoire qui ne parlent que d'informatique. C'est quand même dingue !bruno09 a écrit:Il y a plusieurs débat en fait:
1° Le Numérique doit-il être enseigné à l'école?
Ben oui, forcément. On n'apprend plus de la même façon, on ne vit plus de la même façon et on pourrait faire un cours "comment c'était avant le numérique". La transition est tellement violente que l'on ne peut décemment pas passer à côté. C'est d'autant plus nécessaire qu'avec l'informatique, les élèves s'y prennent comme des quiches (pour les mêmes raisons que d’habitude).
2° Doit on enseigner avec le numérique? Vous venez au bahut en char à bœuf? C'est pareil?
3° Les élèves doivent-ils tout faire avec du numérique? Eh ben non. Parce qu'ils ne savent pas s'en servir efficacement et que dans mon cas, un cours d'histoire n'est pas un cours d'informatique, parce que le temps n'est pas extensible, parce que le matériel ne suit pas ou n'est pas adapté, parce qu'ils en profitent pour faire autre chose.
Alors 1°) et 2°) Histoire et lettres sont les deux secteurs du bahut seulement équipés de vidéopros (+ ordi pour l'appel et le lecteur dvd). Et nous nous passons fort bien du reste. On a un secret : on parle, on lit, on fait écrire, on élabore avec eux. Point-barre. Et le soir, on remonte dans le char à boeufs, ne vous déplaise. Et nul ne s'en plaint.
+1000 Cripure.
Il doit y avoir une mauvaise conscience chez les profs d'HG du genre on est "has been" et nos matières intéressent moins les générations actuelles. Donc vite, une petite cure de "modernitude" et une forte dose de "numéricalax" pour capter l'attention (et seulement elle ?) des petits jeunes. Perso, je trouve qu'un TBI, c'est trop gros comme appât...
Tu n'utilises jamais Google Earth? Geoportail? Tes élèves font zéro recherche sur le réseau?
Aucune mode la dedans, juste des possibilités nouvelles a exploiter...
Ah mais moi, Monsieur, je suis un prolétaire ! Je suis dans 2 bahuts et dans 7 salles différentes... et on me file ce qui reste : un vieux projecteur !
- Collier de BarbeNeoprof expérimenté
...Ce qui limite évidemment les possibilités d'utilisation des TICE.
J'ai assez souvent des problèmes similaires, c'est pour ça que je me garde bien de m'installer dans le moindre systématisme numérique. Ajoutons à cela que la présence du matériel n'implique évidemment pas son bon fonctionnement ou celui du réseau.
Encore une fois, je ne suis pas du tout un apôtre du tout numérique mais pour nos matières, on ne peut nier qu'elle nous ouvre des perspectives majeures.
J'ai assez souvent des problèmes similaires, c'est pour ça que je me garde bien de m'installer dans le moindre systématisme numérique. Ajoutons à cela que la présence du matériel n'implique évidemment pas son bon fonctionnement ou celui du réseau.
Encore une fois, je ne suis pas du tout un apôtre du tout numérique mais pour nos matières, on ne peut nier qu'elle nous ouvre des perspectives majeures.
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CdB
@AbbeCordillere
- User5899Demi-dieu
Oui, là, j'arrive à suivrebruno09 a écrit:Cripure a écrit:Mais bon sang, pourquoi ce sont toujours les profs d'histoire qui nous fatiguent avec le numérique ? Je passe mes journées avec des collègues d'histoire, qui sont mes meilleurs amis au lycée, et qui enseignent l'histoire par le récit, ce qui les rend manifestement intéressants aux élèves d'après les échos de ci de là, et mes soirées à lire des posts de collègues d'histoire qui ne parlent que d'informatique. C'est quand même dingue !bruno09 a écrit:Il y a plusieurs débat en fait:
1° Le Numérique doit-il être enseigné à l'école?
Ben oui, forcément. On n'apprend plus de la même façon, on ne vit plus de la même façon et on pourrait faire un cours "comment c'était avant le numérique". La transition est tellement violente que l'on ne peut décemment pas passer à côté. C'est d'autant plus nécessaire qu'avec l'informatique, les élèves s'y prennent comme des quiches (pour les mêmes raisons que d’habitude).
2° Doit on enseigner avec le numérique? Vous venez au bahut en char à bœuf? C'est pareil?
3° Les élèves doivent-ils tout faire avec du numérique? Eh ben non. Parce qu'ils ne savent pas s'en servir efficacement et que dans mon cas, un cours d'histoire n'est pas un cours d'informatique, parce que le temps n'est pas extensible, parce que le matériel ne suit pas ou n'est pas adapté, parce qu'ils en profitent pour faire autre chose.
Alors 1°) et 2°) Histoire et lettres sont les deux secteurs du bahut seulement équipés de vidéopros (+ ordi pour l'appel et le lecteur dvd). Et nous nous passons fort bien du reste. On a un secret : on parle, on lit, on fait écrire, on élabore avec eux. Point-barre. Et le soir, on remonte dans le char à boeufs, ne vous déplaise. Et nul ne s'en plaint.
Si je peux te rassurer, les gamins qui aiment mes cours (il y en a) disent que c'est entre autre grâce aux récits et aux anecdotes et pas au vidéoprojecteur (qui m'évite de bouffer de la craie, me permet de gagner du temps ici et là et de montrer des trucs intéressants et rigolos ) . En fait, j'ai un épiscope 2.0.
Mais moi, j'aime la craie. D'amour. J'en emporte même en vacances
- Christian-HG-TZR67Niveau 6
Cripure a écrit:Mais bon sang, pourquoi ce sont toujours les profs d'histoire qui nous fatiguent avec le numérique ? Je passe mes journées avec des collègues d'histoire, qui sont mes meilleurs amis au lycée, et qui enseignent l'histoire par le récit, ce qui les rend manifestement intéressants aux élèves d'après les échos de ci de là, et mes soirées à lire des posts de collègues d'histoire qui ne parlent que d'informatique. C'est quand même dingue !
Alors 1°) et 2°) Histoire et lettres sont les deux secteurs du bahut seulement équipés de vidéopros (+ ordi pour l'appel et le lecteur dvd). Et nous nous passons fort bien du reste. On a un secret : on parle, on lit, on fait écrire, on élabore avec eux. Point-barre. Et le soir, on remonte dans le char à boeufs, ne vous déplaise. Et nul ne s'en plaint.
Cripure a écrit: Alors, je vais être précis. J'ai copié mes textes persos, tous amoureusement tapés de ma main et mis en page sur le réseau et si en cours je fais une allusion, je vidéoprojette immédiatement. Bon, voilà. Mais je ne projette jamais un cours ou un corrigé tout fait, pas plus que je ne le distribue. Je le fais avec eux, et l'informatique ne m'aide en rien.
Pour les tableaux, c'est mieux de projeter le palette, en effet, par exemple.So what Wink
Donc, pour l'instant, j'en fais la même utilisation que vous.... ce qui ne m'empêche de penser
1) que ce n'est que du confort et qu'on pourrait très bien s'en passer, en tout cas pour l'instant.
2) qu'avec des logiciels ou des sites comme géoportail, histoire par l'image etc... le net regorge de ressources nouvelles qu'on ne sait pas encore pleinement exploiter en cours, que les SIG sont des outils très appréciables pour qui sait les manier pour faire comprendre fondamentalement à des lycéens ce qu'est une carte, un seuil d'expert et comment le tout se manipule dans un but.
3) que le récit bien mené et vivant du combat d'Achille et d'Hector fait par le professeur en lisant homère ne se trouve pas dans le net, mais l'Histoire, ce n'est pas QUE du récit non plus.
4) que ces différents outils ne sont pas instinctifs, il y a une différence entre cliquer par instinct (ou tourner les pages d'un livre par imitation des parents) et s'en servir pour faire des recherches (et savoir lire et comprendre un texte....) et donc, qu'il faut APPRENDRE à S'en servir comme on APPREND à lire.
5) Que, même si j'apprécie votre humour et votre répartie, que je partage en grande partie vos analyses et votre vision du métier, je ne peux m'empêcher de vous trouver parfois de mauvaise fois (ce qui ne me gêne pas) et souvent prompt à jeter l'anathème sur qui ne partage pas exactement vos idées, ce qui est stérile dans toute discussion. Je trouve cela très dommage dans la mesure où votre savoir faire et votre expérience mérite sans doute plus de considération que ce que vous laissez voir sur néo.
Cordialement, Christian.
- OudemiaBon génie
J'avais oublié et le nom et l'engin !bruno09 a écrit: En fait, j'ai un épiscope 2.0.
J'empruntais le sien au collègue d'arts plastiques...
- adelaideaugustaFidèle du forum
bruno09 a écrit:Collier de Barbe a écrit:Ulrich a écrit:Bruno, Kensei : Spéciale dédicace
Merci, chef d'oeuvre
A rapprocher de face de bouc.
https://www.youtube.com/watch?v=CWW05O05ypA
- yphrogEsprit éclairé
holderfar a écrit:Il y a aussi de vrais dictionnaires en ligne et j'apprends aux élèves à s'en servir. *soupir*
Une chose qui me fait *soupir*: je n'ai jamais eu en France le BAB d'un cours de langue, c'est à dire un dixaine de dictionnaires bilingues au mur. Au lycée, nous habitions le dictionnaire pour travailler les textes.
Si je rentre à l'EN, j'en achète moi-même, en espérant que j'aurai un system de locomotion pas trop mauvais pour mes dicos.
On pourrait même comparer l'experience: un texte avec dico papier; un texte avec dico électronique, un texte avec glossaire collaboratif fait à la volée en cours (application Moodle). J'aimerais bien faire ce test.
allez: d'autres votants?
- philannDoyen
Sasha P. Rog a écrit:holderfar a écrit:Il y a aussi de vrais dictionnaires en ligne et j'apprends aux élèves à s'en servir. *soupir*
Une chose qui me fait *soupir*: je n'ai jamais eu en France leBABB-A-BA nan ? d'un cours de langue, c'est à dire un dixaine de dictionnaires bilingues au mur. Au lycée, nous habitions le dictionnaire pour travailler les textes.
Si je rentre à l'EN, j'en achète moi-même, en espérant que j'aurai un system de locomotion pas trop mauvais pour mes dicos.
On pourrait même comparer l'experience: un texte avec dico papier; un texte avec dico électronique, un texte avec glossaire collaboratif fait à la volée en cours (application Moodle). J'aimerais bien faire ce test.
allez: d'autres votants?
Je ne comprends pas?! Tu imagines qu'un dictionnaire papier est forcément meilleur. Tu penses que les traducteurs se contentent de dictionnaires papier??? En quoi le support est-il une garantie sur le contenu?? :shock:
- InvitéInvité
En plus, c'est débile, l'un des meilleurs dicos papier en allemand est aussi en ligne (le Pons) enrichi avec des exercices de mémorisation de vocabulaire en ligne.
A titre personnel, je ne peux pas supporter les ebooks et les liseuses, mais dénigrer systématiquement le contenu en ligne, c'est ridicule. Surtout quand, du coup, c'est gratuit pour les élèves.
A titre personnel, je ne peux pas supporter les ebooks et les liseuses, mais dénigrer systématiquement le contenu en ligne, c'est ridicule. Surtout quand, du coup, c'est gratuit pour les élèves.
- yphrogEsprit éclairé
philann a écrit:Sasha P. Rog a écrit:holderfar a écrit:Il y a aussi de vrais dictionnaires en ligne et j'apprends aux élèves à s'en servir. *soupir*
Une chose qui me fait *soupir*: je n'ai jamais eu en France le B-A-BA d'un cours de langue, c'est à dire un dixaine de dictionnaires bilingues au mur. Au lycée, nous habitions le dictionnaire pour travailler les textes.
Si je rentre à l'EN, j'en achète moi-même, en espérant que j'aurai un system de locomotion pas trop mauvais pour mes dicos.
On pourrait même comparer l'experience: un texte avec dico papier; un texte avec dico électronique, un texte avec glossaire collaboratif fait à la volée en cours (application Moodle). J'aimerais bien faire ce test.
allez: d'autres votants?
Je ne comprends pas?! Tu imagines qu'un dictionnaire papier est forcément meilleur. Tu penses que les traducteurs se contentent de dictionnaires papier??? En quoi le support est-il une garantie sur le contenu?? :shock:
En rien, mais c'est une garantie d'une "réalité groupale" très différent en cours. Avec le papier, on entend les pages tournent, on voit des entrés à côté, on tombe par hasard sur un mot pas trop mal... avec le dico électronique on lit de l'écran des traductions excellentes de combinaisons verbe-particle chez wordreference... et avec le glossaire collaboratif, on aide les copains en entrant des définitions / liens vers des définitions. (On divise le travail autrement, en plus.) Trois ambiances très différentes. Je ne sais pas si la qualité des outils sera forcément déterminante dans la compréhension.
Oui, B-A-Ba, merci.
holdefar a écrit:En plus, c'est débile, l'un des meilleurs dicos papier en allemand est aussi en ligne (le Pons) enrichi avec des exercices de mémorisation de vocabulaire en ligne.
A titre personnel, je ne peux pas supporter les ebooks et les liseuses, mais dénigrer systématiquement le contenu en ligne, c'est ridicule. Surtout quand, du coup, c'est gratuit pour les élèves.
où ai-je dénigré les dicos en ligne ou les dicos papiers? En fait mon avis, si tu veux l'avoir, c'est que les dictionnaires en ligne sont bien meilleurs de ce que j'aurai les sous à acheter pour mes classes à partir de mon petit budget perso qui doit aussi étendre jusqu'à une petite valise roulante pour les transporter... Ce serait sympa si tu essayais de comprendre ce qui est écrit avant de déclamer que c'est "débile" ou "sans intérêt" (tu récidives là). Je te trouve bien aggressive, et très rapide de répondre à ce que tu imagines -- à tort -- d'avoir compris.
- InvitéInvité
Mais je ne suis pas agressive... En plus, là pour le coup, c'est toi qui n'es pas clair, parce que philann a également mal compris ce que tu voulais dire.
Sous mon message, tu reprends mon *soupir* qui fait suite à des messages dénigrant totalement le numérique, à tort, pour parler du dico papier. Excuse-moi, mais j'y ai vu une opposition nette (et pour le coup sans fondement). Le mot débile est cru, certes, mais dans cette optique, pas injustifié vu l'exemple que je donne juste après.
Après, là tes précisions sont intéressantes, mais je trouve qu'elles apportent de l'eau à mon moulin: le numérique permet aussi de travailler un peu différemment, sans qu'on y perde forcément (exemple des exercices de vocabulaire de pons).
EDIT: je pense quand même avoir le droit de penser et de dire que quelque chose est sans intérêt (et là, je ne vois pas où je l'ai écrit en plus) sans recevoir de leçon de morale en retour, même si tu as le droit de ne pas être d'accord et de le dire, évidemment. Sinon, on tombe dans le politiquement correct et on ne s'en sort pas. (Au passage, le "tu récidives" n'est pas très aimable non plus du coup, je n'en prends pas spécialement ombrage, mais comme tu parles d'agressivité (à tort, je trouve), je te le signale...)
Sous mon message, tu reprends mon *soupir* qui fait suite à des messages dénigrant totalement le numérique, à tort, pour parler du dico papier. Excuse-moi, mais j'y ai vu une opposition nette (et pour le coup sans fondement). Le mot débile est cru, certes, mais dans cette optique, pas injustifié vu l'exemple que je donne juste après.
Après, là tes précisions sont intéressantes, mais je trouve qu'elles apportent de l'eau à mon moulin: le numérique permet aussi de travailler un peu différemment, sans qu'on y perde forcément (exemple des exercices de vocabulaire de pons).
Là, je n'ai rien compris, par exemple. Tu veux dire que les dicos en ligne te permettraient d'économiser des sous pour investir dans autre chose? Ou tu parles d'un gain de place?En fait mon avis, si tu veux l'avoir, c'est que les dictionnaires en ligne sont bien meilleurs de ce que j'aurai les sous à acheter pour mes classes à partir de mon petit budget perso pour une valise roulante pour les transporter...
EDIT: je pense quand même avoir le droit de penser et de dire que quelque chose est sans intérêt (et là, je ne vois pas où je l'ai écrit en plus) sans recevoir de leçon de morale en retour, même si tu as le droit de ne pas être d'accord et de le dire, évidemment. Sinon, on tombe dans le politiquement correct et on ne s'en sort pas. (Au passage, le "tu récidives" n'est pas très aimable non plus du coup, je n'en prends pas spécialement ombrage, mais comme tu parles d'agressivité (à tort, je trouve), je te le signale...)
- yphrogEsprit éclairé
Une chose qui me fait *soupir*: je n'ai jamais eu en France le B-A-BA d'un cours de langue, c'est à dire un dixaine de dictionnaires bilingues au mur. Au lycée, nous habitions le dictionnaire pour travailler les textes.
parmi une cinquantaine de salles que j'ai eu en enseignant aux divers niveaux dans l'EN je n'ai jamais eu, même pas une seule fois, ce qui serait normale dans n'importe quelle salle de langue dans mon bayou... un dizaine de dictionnaires rangé sur un étagère. Je n'ai pas non plus eu même une seule salle équipée d'un seul ordinateur (parmi la dizaine de salles que j'ai fréquenté dans le sécondaire) -- à part celui que j'ai acheté, ou à la limite celui que je ferais venir en cours en réservant deux semaines à l'avance.
- InvitéInvité
Les dictionnaires papier, je peux toujours courir aussi pour en avoir. Sauf si je transporte les miens, mais je n'ai pas envie de me casser le dos...
Pour les salles, jusqu'ici mes établissements ont toujours été plus ou moins bien équipés, mais je suis encore obligée de temps à autre d'amener mon matériel.
C'est sur ce point que ça coince, tu as raison de le souligner: Peillon ne sera jamais crédible sur le numérique s'il ne fait pas équiper TOUS les établissements avec du matériel correct et avec une maintenance efficace.
Pour les salles, jusqu'ici mes établissements ont toujours été plus ou moins bien équipés, mais je suis encore obligée de temps à autre d'amener mon matériel.
C'est sur ce point que ça coince, tu as raison de le souligner: Peillon ne sera jamais crédible sur le numérique s'il ne fait pas équiper TOUS les établissements avec du matériel correct et avec une maintenance efficace.
- InvitéInvité
Sans objet: le post qui a entraîné ma réponse a été supprimé.
- User5899Demi-dieu
Bon, les enfants, la fin du monde, c'est fini : nous ne sommes de nouveau plus qu'amour et que paixholderfar a écrit:Mais je ne suis pas agressive... En plus, là pour le coup, c'est toi qui n'est pas clair, parce que philann a également mal compris ce que tu voulais dire.
Sous mon message, tu reprends mon *soupir* qui fait suite à des messages dénigrant totalement le numérique, à tort, pour parler du dico papier. Excuse-moi, mais j'y ai vu une opposition nette (et pour le coup sans fondement). Le mot débile est cru, certes, mais dans cette optique, pas injustifié vu l'exemple que je donne juste après.
Après, là tes précisions sont intéressantes, mais je trouve qu'elles apportent de l'eau à mon moulin: le numérique permet aussi de travailler un peu différemment, sans qu'on y perde forcément (exemple des exercices de vocabulaire de pons).
Là, je n'ai rien compris, par exemple. Tu veux dire que les dicos en ligne te permettraient d'économiser des sous pour investir dans autre chose? Ou tu parles d'un gain de place?En fait mon avis, si tu veux l'avoir, c'est que les dictionnaires en ligne sont bien meilleurs de ce que j'aurai les sous à acheter pour mes classes à partir de mon petit budget perso pour une valise roulante pour les transporter...
EDIT: je pense quand même avoir le droit de penser et de dire que quelque chose est sans intérêt (et là, je ne vois pas où je l'ai écrit en plus) sans recevoir de leçon de morale en retour, même si tu as le droit de ne pas être d'accord et de le dire, évidemment. Sinon, on tombe dans le politiquement correct et on ne s'en sort pas. (Au passage, le "tu récidives" n'est pas très aimable non plus du coup, je n'en prends pas spécialement ombrage, mais comme tu parles d'agressivité (à tort, je trouve), je te le signale...)
- InvitéInvité
Cripure en juge de paix, j'adore!
- User5899Demi-dieu
Voui. Je veux faire partie des modos qui écrivent en vert et en gras. J'ai déjà mes glairesholderfar a écrit:Cripure en juge de paix, j'adore!
- InvitéInvité
C'est un bon début!
- yphrogEsprit éclairé
on était déjà dans l'inter-modération Cripure.
Mes excuses d'avoir réagi à vif.
Mes excuses d'avoir réagi à vif.
- InvitéInvité
Bon, ben pareil, je ne voulais pas t'offenser, hein, ce n'était pas le but
(pour le "aucun intérêt": au moment où j'ai écrit cette phrase, je répondais spontanément à Isis, sans avoir lu les posts du dessus. Depuis je n'ai pas changé d'avis, mais j'aurais développé davantage si j'avais lu le reste avant.)
(pour le "aucun intérêt": au moment où j'ai écrit cette phrase, je répondais spontanément à Isis, sans avoir lu les posts du dessus. Depuis je n'ai pas changé d'avis, mais j'aurais développé davantage si j'avais lu le reste avant.)
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