Stagiaires - Rapports de positionnement

Je répondais à Armide !

zina a écrit:

Patissot a écrit:Ce n'est à moi que viendrait l'idée de lire ce genre d'ouvrage, même en cachette.
Un cours de maths de seconde, ça reste un cours de maths de seconde, c'est à dire une chose dépourvue d'intérêt, je ne vois même pas l'intérêt d'y réfléchir.

Patissot ne te plains pas trop mon ami, attends l'an prochain une fois que tu auras de petits mignons de 6ème et 5ème et surtout ceux de 4ème (mes chers futures ctueles collègue m'ont gaté avec 3 4ème). Le seul moment où je fais des maths c'est quand je prépare l'agreg.

C'est curieux un tel avenir m'apparait aussi lointain et hypothétique que l'au-delà. :lol:

@ Mamousse : J'ai essayé pour la dernière séquence. On a amorcé l'organisation de la séquence et préparé la première séance ensemble. Depuis, je ne sais pas. Pour les autres séances de la séquence, elle a récupéré mes preps qu'elle a plus ou moins mis à sa sauce mais elle ne m'a rien montré. Depuis deux semaines je ne l'ai pas vue pour des raisons d'emploi du temps ( j'étais ou elle était en formation sur les horaires ou nous pouvons nous voir.). J'espère que dès la semaine prochaine, nous reprendrons une vitesse de croisière plus régulière.

zina a écrit:

Patissot a écrit:Ce n'est à moi que viendrait l'idée de lire ce genre d'ouvrage, même en cachette.
Un cours de maths de seconde, ça reste un cours de maths de seconde, c'est à dire une chose dépourvue d'intérêt, je ne vois même pas l'intérêt d'y réfléchir.

Patissot ne te plains pas trop mon ami, attends l'an prochain une fois que tu auras de petits mignons de 6ème et 5ème et surtout ceux de 4ème (mes chers futures ctueles collègue m'ont gaté avec 3 4ème). Le seul moment où je fais des maths c'est quand je prépare l'agreg.

C'est triste, quand même, de considérer ainsi l'enseignement en collège ou en seconde !

Ce n'est pas que triste. C'est inquiétant aussi.

Mamousse a écrit:

zina a écrit:

Patissot a écrit:Ce n'est à moi que viendrait l'idée de lire ce genre d'ouvrage, même en cachette.
Un cours de maths de seconde, ça reste un cours de maths de seconde, c'est à dire une chose dépourvue d'intérêt, je ne vois même pas l'intérêt d'y réfléchir.

Patissot ne te plains pas trop mon ami, attends l'an prochain une fois que tu auras de petits mignons de 6ème et 5ème et surtout ceux de 4ème (mes chers futures ctueles collègue m'ont gaté avec 3 4ème). Le seul moment où je fais des maths c'est quand je prépare l'agreg.

C'est triste, quand même, de considérer ainsi l'enseignement en collège ou en seconde !

That's the way it is !

Mamousse a écrit:

zina a écrit:

Patissot a écrit:Ce n'est à moi que viendrait l'idée de lire ce genre d'ouvrage, même en cachette.
Un cours de maths de seconde, ça reste un cours de maths de seconde, c'est à dire une chose dépourvue d'intérêt, je ne vois même pas l'intérêt d'y réfléchir.

Patissot ne te plains pas trop mon ami, attends l'an prochain une fois que tu auras de petits mignons de 6ème et 5ème et surtout ceux de 4ème (mes chers futures ctueles collègue m'ont gaté avec 3 4ème). Le seul moment où je fais des maths c'est quand je prépare l'agreg.

C'est triste, quand même, de considérer ainsi l'enseignement en collège ou en seconde !

Zina dit peut-être ça à cause de problèmes de discipline avec les 4èmes (donc elle passe plus de temps à les cadrer qu'à faire cours), pas forcément parce que les programmes de maths au collège ne sont pas des maths.

Armide a écrit:J'ai essayé pour la dernière séquence. On a amorcé l'organisation de la séquence et préparé la première séance ensemble. Depuis, je ne sais pas. Pour les autres séances de la séquence, elle a récupéré mes preps qu'elle a plus ou moins mis à sa sauce mais elle ne m'a rien montré. Depuis deux semaines je ne l'ai pas vue pour des raisons d'emploi du temps ( j'étais ou elle était en formation sur les horaires ou nous pouvons nous voir.). J'espère que dès la semaine prochaine, nous reprendrons une vitesse de croisière plus régulière.

Je te le souhaite sincèrement. On sent bien que cela te tient à coeur.
As-tu échangé avec un(e) autre collègue de ton établissement à ce sujet ?
Pour ma part, une collègue maintenant partie à la retraite et également longtemps tutrice m'a bien épaulée lorsque je me sentais démunie. Nous avons fait des visites croisées : elle allait voir mon stagiaire, j'allais voir le sien.
Il m'est aussi arrivé de procéder ainsi avec une collègue d'une autre discipline (anglais notamment).

Patissot a écrit:

Mamousse a écrit:

zina a écrit:

Patissot a écrit:Ce n'est à moi que viendrait l'idée de lire ce genre d'ouvrage, même en cachette.
Un cours de maths de seconde, ça reste un cours de maths de seconde, c'est à dire une chose dépourvue d'intérêt, je ne vois même pas l'intérêt d'y réfléchir.

Patissot ne te plains pas trop mon ami, attends l'an prochain une fois que tu auras de petits mignons de 6ème et 5ème et surtout ceux de 4ème (mes chers futures ctueles collègue m'ont gaté avec 3 4ème). Le seul moment où je fais des maths c'est quand je prépare l'agreg.

C'est triste, quand même, de considérer ainsi l'enseignement en collège ou en seconde !

That's the way it is !

c'est sûr que vu sous cet angle il n'y a pas grand chose à ajouter...

doubledecker a écrit:

Patissot a écrit:

Mamousse a écrit:

zina a écrit:

Patissot a écrit:Ce n'est à moi que viendrait l'idée de lire ce genre d'ouvrage, même en cachette.
Un cours de maths de seconde, ça reste un cours de maths de seconde, c'est à dire une chose dépourvue d'intérêt, je ne vois même pas l'intérêt d'y réfléchir.

Patissot ne te plains pas trop mon ami, attends l'an prochain une fois que tu auras de petits mignons de 6ème et 5ème et surtout ceux de 4ème (mes chers futures ctueles collègue m'ont gaté avec 3 4ème). Le seul moment où je fais des maths c'est quand je prépare l'agreg.

C'est triste, quand même, de considérer ainsi l'enseignement en collège ou en seconde !

That's the way it is !

c'est sûr que vu sous cet angle il n'y a pas grand chose à ajouter...

Si : que les élèves étant ce qu'ils sont...

Je lis avec beaucoup d'intérêt le débat....
Et je viens avec ma petite expérience actuelle pour dire que oui, c'est possible d'avoir un tuteur très attentif et de se sentir en même temps très bien.... serais-je l'exception?

Avec ma tutrice:
- un rythme de travail clair, établi dès le début de l'année (et même, on s'est aperçu toutes les deux qu'on travaillait deux fois plus que ce que l'académie nous demande)
- je vais voir ses cours (2) le vendredi, toutes les semaines (sauf cas exceptionnel)
- elle vient presque toutes les semaines
- on échange des documents (préparations, séquences, sujets de devoirs etc.), même on envisage une double correction sur des copies de mes élèves (parce que j'ai des doutes sur ma façon de noter)
- on s'inspire (oui, c'est à double sens!) des documents de l'autre, on les réutilise chacune à notre façon, on échange nos idées et on regarde après ce que ça a donné dans nos classes respectives
- je me permets de lui faire un petit signe pour la date qui n'est pas correcte, comme elle me signale discrètement la faute d'orthographe sur le tableau
- le plus important: la confiance: jamais de pression, mais la conscience du devoir à faire, mais aussi la compréhension quand ça ne va pas (même si c'est à cause de facteurs purement personnels); je peux discuter avec elle de tout et ça fait du bien

Après, je ne suis pas la stagiaire parfaite et elle non plus la tutrice parfaite (je pense, car la perfection.... c'est quoi?!). Mais jusqu'ici, tout va très bien, nous sommes toutes les deux dans une relation très correcte et surtout très reposante pour moi.

HS : je passe juste pour confirmer que ce que l'on nous demande d'enseigner n'a plus qu'un lointain rapport avec les maths.
C'est l'avis général de toutes mes connaissances et collègues profs de maths.
En collège comme en lycée.

Et c'est un drame.

Je sors.

Patissot a écrit:

Si : que les élèves étant ce qu'ils sont...

les points de suspension me gênent un peu : "les élèves étant ce qu'ils sont..."
a/ il n'y a rien à en tirer
b/ ça ne sert à rien de se casser la tête
c/ ils ne valent pas la peine que je décarcasse pour eux

Teodora29 a écrit:Je lis avec beaucoup d'intérêt le débat....
Et je viens avec ma petite expérience actuelle pour dire que oui, c'est possible d'avoir un tuteur très attentif et de se sentir en même temps très bien.... serais-je l'exception?

Avec ma tutrice:
- un rythme de travail clair, établi dès le début de l'année (et même, on s'est aperçu toutes les deux qu'on travaillait deux fois plus que ce que l'académie nous demande)
- je vais voir ses cours (2) le vendredi, toutes les semaines (sauf cas exceptionnel)
- elle vient presque toutes les semaines
- on échange des documents (préparations, séquences, sujets de devoirs etc.), même on envisage une double correction sur des copies de mes élèves (parce que j'ai des doutes sur ma façon de noter)
- on s'inspire (oui, c'est à double sens!) des documents de l'autre, on les réutilise chacune à notre façon, on échange nos idées et on regarde après ce que ça a donné dans nos classes respectives
- je me permets de lui faire un petit signe pour la date qui n'est pas correcte, comme elle me signale discrètement la faute d'orthographe sur le tableau
- le plus important: la confiance: jamais de pression, mais la conscience du devoir à faire, mais aussi la compréhension quand ça ne va pas (même si c'est à cause de facteurs purement personnels); je peux discuter avec elle de tout et ça fait du bien

Après, je ne suis pas la stagiaire parfaite et elle non plus la tutrice parfaite (je pense, car la perfection.... c'est quoi?!). Mais jusqu'ici, tout va très bien, nous sommes toutes les deux dans une relation très correcte et surtout très reposante pour moi.

voilà, ça existe donc :flower:

et comme ça fait du bien de te lire, Teodora !

doubledecker a écrit:

Patissot a écrit:

Si : que les élèves étant ce qu'ils sont...

les points de suspension me gênent un peu : "les élèves étant ce qu'ils sont..."
a/ il n'y a rien à en tirer
b/ ça ne sert à rien de se casser la tête
c/ ils ne valent pas la peine que je décarcasse pour eux

J'aurais été embêté pour choisir une réponse si je passais le code de la route, sans doute la d/ : j'accélère et je passe.

en général, les choses se passent bien quand :
1/ le tuteur et le stagiaire ont des niveaux en commun (il sait de quoi parle le stagiaire parce qu'il a ces niveaux ou bien il les a eu récemment)
2/ le tuteur et le stagiaire ont des emplois du temps qui coïncident (l'un peut venir voir l'autre toutes les semaines et il est possible de se voir ailleurs qu'entre 2 portes et 2 sonneries)
3/ le tuteur donne de vrais conseils pour que le stagiaire s'améliore
4/ le tuteur n'est pas préoccupé par sa retraite prochaine ou l'autre activité professionnelle qui l'occupe à l'extérieur.
5/ le tuteur promet des choses et tient ses promesses (comme envoyer les notes qu'il a prises lors de sa dernière visite il y a 2 semaines).

Bref, vous comprendrez que je n'ai fait que le portrait de mon tuteur qui est bien gentil mais pas vraiment présent...

medea, tu n'as pas les mêmes niveaux que ton tuteur ?

J'estime aussi avoir une tutrice parfaite, même si la description ne correspond pas à la tienne Teodora. Elle est présente, sans l'être trop (qu'elle vienne une fois par semaine et que j'y aille une fois par semaine : ça me ferait trop). Elle est toujours là quand je la sollicite, mais me laisse prendre mes initiatives. On ne travaille pas forcément de la même façon, ce qui est intéressant. Je me sens comme dans une relation de collègue à collègue, d'égale à égale, tout en sachant qu'elle est là pour me faire profiter de son expérience et m'aider à progresser. On s'entend bien, elle est rigolote, et n'est pas branchée que "boulot/tutorat" quand elle est avec moi. Et puis, elle me défendait bec et ongles en début d'année au moindre petit souci de salle, d'EDT, de matériel.. Je la voyais comme ça ma tutrice quand je cogitais au mois d'août. :succes:

Patissot a écrit:

doubledecker a écrit:

Patissot a écrit:

Si : que les élèves étant ce qu'ils sont...

les points de suspension me gênent un peu : "les élèves étant ce qu'ils sont..."
a/ il n'y a rien à en tirer
b/ ça ne sert à rien de se casser la tête
c/ ils ne valent pas la peine que je décarcasse pour eux

J'aurais été embêté pour choisir une réponse si je passais le code de la route, sans doute la d/ : j'accélère et je passe.

vous auriez été embêté, normal, aucune n'étant bonne. Pardon pour cette pique un peu facile mais je travaille avec des élèves de segpa, d'autres en ulis et j'ai un peu de mal (parfois) avec le cynisme ou l'humour noir. Je vais m'abstenir de répondre à l'avenir.

Elle est toujours là quand je la sollicite, mais me laisse prendre mes initiatives. On ne travaille pas forcément de la même façon, ce qui est intéressant.

Même si moi je la vois très souvent, c'est pareil ici: elle me pousse même à essayer, tenter une chose, puis une autre, qui est au départ qu'une idée vague dans ma tête. Je n'oublierai jamais: "Même si ça ne marche pas, même si tu vas foirer un cours, ce n'est pas grave, tu rattraperas après". C'est dire qu'elle me fait bien confiance....

kiwi a écrit:Ce que je ressors de tes posts, c'est qu'un stagiaire a toujours de bonnes raisons. Mais j'ai l'impression là d'entendre mes élèves qui ont toujours de bonnes raisons pour ne pas avoir fait leur travail, pour ne pas être venu etc etc. Le tuteur et le stagiaire sont dans une relation d'ordre professionnelle. Le stagiaire est là pour se former. Certes, il peut avoir des problèmes personnels qui impactent sa vie professionnelle. Cela arrive à tout le monde. Des titulaires, des gens d'autres professions. Mais à un moment donné, il faut que la formation avec le tuteur se fasse.

Je m'auto-cite :

vo*li a écrit:Mon propos, avec ce que tu cites, ne se voulait être qu'un exemple montrant que la réalité perçue par le tuteur est nécessairement partielle et partiale. Il n'a pas la science infuse et ne peut pas tout décoder s'il n'y a pas de communication, tout simplement. L'interprétation peut être complètement erronée.

Ce qui, au fond, rejoint exactement la démarche d'Armide.... de l'autre côté de la relation.
Il ne s'agit pas de "bonnes" ou mauvaises raisons ou de tirer à boulets rouges sur un camp plutôt que l'autre. JE ne suis pas dans cette logique.
Est-ce plus clair pour toi ?

kiwi a écrit:Si c'est si pesant la formation avec le tuteur, supprimons les formations alors. On fera des économies. On vous enverra au casse-pipe complet. Est-ce que c'est mieux???

Quel vous impérieux... Quelle façon de marquer une frontière... Qui est ce "on" fera des économies par opposition au "vous", au juste ? Les true de l'Educ' Nat' ? :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:

Tournures de phrases à part, j'ai déjà longuement développé (je pense) les aspects positifs, délicats et négatifs que je voyais au rapport tuteur/stagiaire tout au long de mes nombreux messages dans ce fil.
Il me semblait assez clair que je ne prônais pas l'absence de travail collaboratif tuteur/stagiaire, mais que j'expliquais essentiellement à Armide mon point de vue qui est le suivant : ce qui peut être interprété par le tuteur comme un déni ou une esquive suite au constat du peu d'enthousiasme de la part du stagiaire à l'idée d'être visité peut parfaitement être le fruit d'une situation plus complexe au vu des nombreux enjeux et des nombreuses subtilités de la situation vécue lors de l'année de stage et pas toujours perçues par le tuteur. La gestion de l'imprévisible humain : on n'a rien inventé en pédagogie depuis les Jésuites, il faut croire...

Sinon, je joue au jeu "un tuteur pour toi c'est... ?"
un piquet qui soutient pour aider à pousser au mieux.
Pas un engrais ou un pesticide versé à intervalles réguliers ou abusifs en "prévention", mais une structure qui accompagne de près, sans forcément entrer en interaction systématiquement, et qui joue un rôle actif lorsque l'évolution ne se fait pas dans la direction idéale, toujours selon la réalité de la croissance de la plante.

Conclusion :

Spoiler:

Mamousse a écrit:medea, tu n'as pas les mêmes niveaux que ton tuteur ?

non Et elle n'a pas eu mes niveaux depuis des lustres (et les programmes ont changé depuis). Donc, l'échange de docs, les questions sur le fond, ben...c'est pas possible. Pourtant, à entendre ce qu'en disent ceux pour qui les choses se passent bien, ce genre de discussion avec le tuteur a l'air très intéressant.

Mamousse a écrit:

zina a écrit:

Patissot a écrit:Ce n'est à moi que viendrait l'idée de lire ce genre d'ouvrage, même en cachette.
Un cours de maths de seconde, ça reste un cours de maths de seconde, c'est à dire une chose dépourvue d'intérêt, je ne vois même pas l'intérêt d'y réfléchir.

Patissot ne te plains pas trop mon ami, attends l'an prochain une fois que tu auras de petits mignons de 6ème et 5ème et surtout ceux de 4ème (mes chers futures ctueles collègue m'ont gaté avec 3 4ème). Le seul moment où je fais des maths c'est quand je prépare l'agreg.

C'est triste, quand même, de considérer ainsi l'enseignement en collège ou en seconde !

Ce n'est pas le fait d'enseigner en seconde ou en collège qui nous rebute mais la pauvreté de ce qu'on nous demande de leur enseigner, d'un autre côté à ces niveaux là les élèves n'ont pas assez de maturité pour apprécier notre matière ; les belles mathématiques. :study:

zina a écrit:

Mamousse a écrit:

zina a écrit:

Patissot a écrit:Ce n'est à moi que viendrait l'idée de lire ce genre d'ouvrage, même en cachette.
Un cours de maths de seconde, ça reste un cours de maths de seconde, c'est à dire une chose dépourvue d'intérêt, je ne vois même pas l'intérêt d'y réfléchir.

Patissot ne te plains pas trop mon ami, attends l'an prochain une fois que tu auras de petits mignons de 6ème et 5ème et surtout ceux de 4ème (mes chers futures ctueles collègue m'ont gaté avec 3 4ème). Le seul moment où je fais des maths c'est quand je prépare l'agreg.

C'est triste, quand même, de considérer ainsi l'enseignement en collège ou en seconde !

Ce n'est pas le fait d'enseigner en seconde ou en collège qui nous rebute mais la pauvreté de ce qu'on nous demande de leur enseigner, d'un autre côté à ces niveaux là les élèves n'ont pas assez de maturité pour apprécier notre matière ; les belles mathématiques. :study:

Les belles mathématiques, rien que d'y penser j'en ai la larme à l'oeil.