- NitaEmpereur
Clarinette a écrit:Non, Phi, de même que l'on ne doit pas mettre tous les parents dans le même panier, il serait dommage que tu en viennes à la conclusion que tous les collègues du secondaire nous sont hostiles.phi a écrit:L'identité du courageux envoyeur et le nombre de personnes insultées n'a aucune importance, la seule chose qui m'attriste un peu, c'est que j'ai de plus en plus l'impression que c'est révélateur de ce qu'on pense des professeurs des écoles jusque sur ce forum Et j'ai donc encore plus envie de rappeler que dans ce genre d'histoire nous n'avons qu'un seul son de cloche...Clarinette a écrit:Mais quel message haineux, Phi ? Un MP ? Mais de qui, grands dieux ?
Mais je tiens à exprimer ici tout mon mépris à l'égard de la personne qui t'envoie des MP haineux.
Je suis sidérée que quiconque puisse se permettre d'envoyer des messages haineux à n'importe quel moment que ce soit et à qui que ce soit (mais le matin c'est pire ) et je tiens à réaffirmer mon respect envers les PE du forum, que je trouve extraordinaires, et envers le PE en général (bien que, ne vivant pas chez les bisounours, j'en ai connu qui étaient de parfaits imbéciles, à mon sens, comme d'ailleurs des profs du secondaire et du supérieur, parce que la bêtise est la chose la mieux partagée, toussa)
Phi.
et aux PE meurtris.
(Et je confesse que je trouve exaspérants, en bloc et sans nuances, TOUS les parents non-enseignants qui s'inscrivent ici, parce que si je viens sur Néo, ce n'est pas pour rencontrer des parents d'élèves, même si je comprends leurs motivations et leurs interrogations.)
- ClarinetteGrand Maître
Merci Nita !
- adelaideaugustaFidèle du forum
Clarinette a écrit:Tu te veux iconoclaste et provocateur, mais parfois, ça tombe un peu à côté...archeboc a écrit:
@Belquis
- pour le mal de ventre, j'ai une solution, c'est de proposer une gifle. Pour une raison que la médecine explique mal, ce traitement, purement oral, fonctionne à merveille.
Ma fille s'est permis de donner une petite tape sur la fesse à une petite Gitane à genou sur sa chaise et les fesses en l'air : ça a fait un tel scandale dans la famille (elle avait été "battue et avait un bleu" !!!) qu'elle entrait dans son école par une porte dérobée. (CE2 de ZEP en ZUS)
Pour une gifle, certains sont allés en tôle.
- phiExpert
Et imaginez si la maman de la petite élève de la fille d'adélaide était allée sur le forum pour donner sa version!! "ma fille a été battue, elle a un bleu, alors qu'elle se retourne mais c'est parce que les cours ne sont pas adaptés pour elle..."
- coindeparadisGuide spirituel
Une de mes élèves a dit à ses parents : "la maîtresse me tape mais je l'aime bien quand même". J'ai répondu à la mère que :
1) je ne tapais jamais les élèves
2) que par contre sa fille était tout à fait en droit de ne pas m'aimer, la seule obligation étant de travailler.
Fin de l'épisode.
Ma conclusion, est que nous faisons trop grand cas dans notre société de ces petits évènements quotidiens de l'enfance . Oui les enfants n'aiment pas certains de leurs enseignants (je détestais ma maîtresse de CP mais suis quand même devenue instit), oui ils peuvent être violents, menteurs, dissimulateurs, paresseux... Vous comprendrez que je ne suis pas Rousseauiste. Et moins on s'attarde sur ça (tant que c'est passager et non pathologique...), mieux c'est. Parents comme enseignants. L'enfant au centre de tout est une idéologie que je trouve très dangereuse. ( )Et là je suis bonne pour une série de messages ravageurs !!
1) je ne tapais jamais les élèves
2) que par contre sa fille était tout à fait en droit de ne pas m'aimer, la seule obligation étant de travailler.
Fin de l'épisode.
Ma conclusion, est que nous faisons trop grand cas dans notre société de ces petits évènements quotidiens de l'enfance . Oui les enfants n'aiment pas certains de leurs enseignants (je détestais ma maîtresse de CP mais suis quand même devenue instit), oui ils peuvent être violents, menteurs, dissimulateurs, paresseux... Vous comprendrez que je ne suis pas Rousseauiste. Et moins on s'attarde sur ça (tant que c'est passager et non pathologique...), mieux c'est. Parents comme enseignants. L'enfant au centre de tout est une idéologie que je trouve très dangereuse. ( )Et là je suis bonne pour une série de messages ravageurs !!
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- doublecasquetteEnchanteur
21déjà a écrit:Une de mes élèves a dit à ses parents : "la maîtresse me tape mais je l'aime bien quand même". J'ai répondu à la mère que :
1) je ne tapais jamais les élèves
2) que par contre sa fille était tout à fait en droit de ne pas m'aimer, la seule obligation étant de travailler.
Fin de l'épisode.
Ma conclusion, est que nous faisons trop grand cas dans notre société de ces petits évènements quotidiens de l'enfance . Oui les enfants n'aiment pas certains de leurs enseignants (je détestais ma maîtresse de CP mais suis quand même devenue instit), oui ils peuvent être violents, menteurs, dissimulateurs, paresseux... Vous comprendrez que je ne suis pas Rousseauiste. Et moins on s'attarde sur ça (tant que c'est passager et non pathologique...), mieux c'est. Parents comme enseignants. L'enfant au centre de tout est une idéologie que je trouve très dangereuse. ( )Et là je suis bonne pour une série de messages ravageurs !!
En début d'année, j'ai eu le coup aussi. Fiston pleurait tous les matins en arrivant dans la cour, c'était donc que Fiston avait peur de moi. Et si Fiston avait peur de moi, c'était bien sûr que... D'ailleurs le médecin parlait d'une éventuelle phobie scolaire...
Jusqu'au jour où j'ai dit à Fiston à longueur de journée lorsqu'il riait aux éclats quand je lisais une histoire, bousculait les copains pour être le premier à avoir un cerceau et une balle (attention, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, Fiston est un gentil petit bonhomme, mais, comme tous les enfants de cinq ans, quand il veut vraiment quelque chose, il passe devant), levait le doigt à se démantibuler l'épaule en poussant des cris de souris pour répondre, se battait (toujours la même chose, hein) pour me donner la main dans le rang ou dans la ronde et ainsi de suite : "Dis donc, Fiston, tu ne pleures pas, là ? Pourquoi tu ne pleures pas ? Je croyais que tu étais très malheureux à l'école et que tu ne voulais plus y aller ?"
Dix fois, vingt fois par jour, je lui resservais le même discours. Même à la cantine, quand je traversais le réfectoire pour aller me servir !... "Dis donc, Fiston, tu ne pleures pas ?..."
Et là, brusquement, plus de phobie scolaire ! J'en ai profité pour expliquer à la maman qu'il fallait qu'elle change d'attitude envers lui le matin et qu'elle le laisse au portail pour qu'il puisse aller rejoindre ses camarades au lieu de lui jouer la grande scène de l'acte II.
Il m'a encore fait une ou deux crises de larmes parce que maman n'avait pas anticipé tel ou tel apprentissage à la maison et puis il a vu qu'il s'en sortait très bien tout seul et qu'il n'avait pas besoin de son autorisation pour apprendre ci ou ça ni de son secours pour gérer tel ou tel conflit.
Quand je pense au médecin qui n'a pas hésité à parler de phobie scolaire après moins de deux semaines (donc huit jours) de classe ! C'est fou, non ?
- gelsomina31Grand Maître
21déjà a écrit:Une de mes élèves a dit à ses parents : "la maîtresse me tape mais je l'aime bien quand même". J'ai répondu à la mère que :
1) je ne tapais jamais les élèves
2) que par contre sa fille était tout à fait en droit de ne pas m'aimer, la seule obligation étant de travailler.
Fin de l'épisode.
Ma conclusion, est que nous faisons trop grand cas dans notre société de ces petits évènements quotidiens de l'enfance . Oui les enfants n'aiment pas certains de leurs enseignants (je détestais ma maîtresse de CP mais suis quand même devenue instit), oui ils peuvent être violents, menteurs, dissimulateurs, paresseux... Vous comprendrez que je ne suis pas Rousseauiste. Et moins on s'attarde sur ça (tant que c'est passager et non pathologique...), mieux c'est. Parents comme enseignants. L'enfant au centre de tout est une idéologie que je trouve très dangereuse. ( )Et là je suis bonne pour une série de messages ravageurs !!
Je suis d'accord avec toi!
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« De chacun selon ses forces, à chacun selon ses besoins. »
- ClarinetteGrand Maître
Raté !21déjà a écrit:Une de mes élèves a dit à ses parents : "la maîtresse me tape mais je l'aime bien quand même". J'ai répondu à la mère que :
1) je ne tapais jamais les élèves
2) que par contre sa fille était tout à fait en droit de ne pas m'aimer, la seule obligation étant de travailler.
Fin de l'épisode.
Ma conclusion, est que nous faisons trop grand cas dans notre société de ces petits évènements quotidiens de l'enfance . Oui les enfants n'aiment pas certains de leurs enseignants (je détestais ma maîtresse de CP mais suis quand même devenue instit), oui ils peuvent être violents, menteurs, dissimulateurs, paresseux... Vous comprendrez que je ne suis pas Rousseauiste. Et moins on s'attarde sur ça (tant que c'est passager et non pathologique...), mieux c'est. Parents comme enseignants. L'enfant au centre de tout est une idéologie que je trouve très dangereuse. ( )Et là je suis bonne pour une série de messages ravageurs !!
- gelsomina31Grand Maître
pour le problème résolu et + pour le médecin pro de la phobie scolaire...doublecasquette a écrit:
En début d'année, j'ai eu le coup aussi. Fiston pleurait tous les matins en arrivant dans la cour, c'était donc que Fiston avait peur de moi. Et si Fiston avait peur de moi, c'était bien sûr que... D'ailleurs le médecin parlait d'une éventuelle phobie scolaire...
Jusqu'au jour où j'ai dit à Fiston à longueur de journée lorsqu'il riait aux éclats quand je lisais une histoire, bousculait les copains pour être le premier à avoir un cerceau et une balle (attention, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, Fiston est un gentil petit bonhomme, mais, comme tous les enfants de cinq ans, quand il veut vraiment quelque chose, il passe devant), levait le doigt à se démantibuler l'épaule en poussant des cris de souris pour répondre, se battait (toujours la même chose, hein) pour me donner la main dans le rang ou dans la ronde et ainsi de suite : "Dis donc, Fiston, tu ne pleures pas, là ? Pourquoi tu ne pleures pas ? Je croyais que tu étais très malheureux à l'école et que tu ne voulais plus y aller ?"
Dix fois, vingt fois par jour, je lui resservais le même discours. Même à la cantine, quand je traversais le réfectoire pour aller me servir !... "Dis donc, Fiston, tu ne pleures pas ?..."
Et là, brusquement, plus de phobie scolaire ! J'en ai profité pour expliquer à la maman qu'il fallait qu'elle change d'attitude envers lui le matin et qu'elle le laisse au portail pour qu'il puisse aller rejoindre ses camarades au lieu de lui jouer la grande scène de l'acte II.
Il m'a encore fait une ou deux crises de larmes parce que maman n'avait pas anticipé tel ou tel apprentissage à la maison et puis il a vu qu'il s'en sortait très bien tout seul et qu'il n'avait pas besoin de son autorisation pour apprendre ci ou ça ni de son secours pour gérer tel ou tel conflit.
Quand je pense au médecin qui n'a pas hésité à parler de phobie scolaire après moins de deux semaines (donc huit jours) de classe ! C'est fou, non ?
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- dandelionVénérable
+1 21déjà
Quand j'étais prag, je recevais régulièrement des étudiants venus se plaindre de leurs profs (que je supervisais plus ou moins), je jouais donc à un petit jeu amusant: "vraiment, M. Machin a tenu des propos racistes envers vous? Mais c'est très ennuyeux ce que vous me dites là. Tout de même ça me surprend de M. Machin, Vous êtes sûr que c'est ce qu'il vous a dit?" Mine gênée de l'étudiant "Ben, non, pas exactement". Moi"Ecoutez, il faut être précis, parce que vous dites est grave, je vais devoir faire un rapport, il peut y avoir des poursuites etc. Répétez-moi ce qu'il a dit exactement". Bilan, un étudiant déconfit qui regardait ses chaussures et admettait avoir un peu exagéré. Et ça n'allait jamais plus loin. Mais si j'avais 'marché' à tous les coups (et j'ai connu des CDE comme ça), je n'aurais réengagé aucun vacataire (et j'aurais sans doute du me virer moi-même :lol: ). Du coup ça m'énerve vraiment beaucoup quand j'entends les journalistes embrayer au quart de tour dès qu'il s'agit d'une soi-disant exaction d'un méchant enseignant, quand une petite conversation suffit souvent à découvrir que derrière, il n'y a souvent pas grand chose à part un ressentiment mal placé.
Quand j'étais prag, je recevais régulièrement des étudiants venus se plaindre de leurs profs (que je supervisais plus ou moins), je jouais donc à un petit jeu amusant: "vraiment, M. Machin a tenu des propos racistes envers vous? Mais c'est très ennuyeux ce que vous me dites là. Tout de même ça me surprend de M. Machin, Vous êtes sûr que c'est ce qu'il vous a dit?" Mine gênée de l'étudiant "Ben, non, pas exactement". Moi"Ecoutez, il faut être précis, parce que vous dites est grave, je vais devoir faire un rapport, il peut y avoir des poursuites etc. Répétez-moi ce qu'il a dit exactement". Bilan, un étudiant déconfit qui regardait ses chaussures et admettait avoir un peu exagéré. Et ça n'allait jamais plus loin. Mais si j'avais 'marché' à tous les coups (et j'ai connu des CDE comme ça), je n'aurais réengagé aucun vacataire (et j'aurais sans doute du me virer moi-même :lol: ). Du coup ça m'énerve vraiment beaucoup quand j'entends les journalistes embrayer au quart de tour dès qu'il s'agit d'une soi-disant exaction d'un méchant enseignant, quand une petite conversation suffit souvent à découvrir que derrière, il n'y a souvent pas grand chose à part un ressentiment mal placé.
- ClarinetteGrand Maître
Ça fait 22 ! Pardon...dandelion a écrit:+1 21déjà
- C'est pas fauxEsprit éclairé
De toute façon, fumer une Gitane en CE2, c'est pas bien.
Oups !
Oups !
- dandelionVénérable
Clarinette, je trouvais aussi que ça faisait très jeune
- ClarinetteGrand Maître
dandelion a écrit:Clarinette, je trouvais aussi que ça faisait très jeune
- phiExpert
D'accord avec vous tous, j'aurais aussi mille petits incidents du même genre à raconter. La plupart du temps, lorsqu'on ne rentre pas dans le jeu de l'enfant, les malentendus se dissipent très vite pour le plus grand bien de tous. J'ai par contre une petite (plus si petite que ça en CE1) qui fait à peu près le même genre de cinéma que le tien en début d'année DC, mais je ne peux pas faire grand chose parce qu'elle fait visiblement ça pour rassurer ses parents, confortés dans le fait qu'il faut vraiment changer leur enfant d'établissement, parce que dans notre école n'est ce pas, les enseignants sont tous violents et feignants et qu'elle ne se sent donc pas bien du tout à l'école (tant pis si dès que papa et maman ont le dos tourné, la petite rigole avec les gamines si dangereuses qui l'empêchent même de dormir tellement ça lui fait peur de retourner en classe)
- coindeparadisGuide spirituel
Pas grave ! J'ai pris 1 an aujourd'hui ! Mais je n'ai pas tout à fait 22 ans ...Clarinette a écrit:Ça fait 22 ! Pardon...dandelion a écrit:+1 21déjà
- ClarinetteGrand Maître
Joyeux anniversaire !
- SapotilleEmpereur
Imaginez une grande école de la banlieue parisienne.
Une classe de CP dans laquelle je remplaçais une instit en congé de maternité.
Nous étions au mois de mai et chaque matin, il y avait "morale" !!!
Donc, chaque matin, pour préparer la fête des mères, je leur lisais "On demande une maman."
Et un beau matin, juste pendant cette lecture dans un profond et méditatif silence, la porte s'ouvre et la Directrice entre et s'adresse aux enfants :
"Est-ce que la maîtresse vous bat?"
Ce qui est fabuleux, c'est que nous étions toutes (c'était une école de filles) ailleurs, mais vraiment pas là, planant dans cette histoire ...
(Ceux qui la connaissent doivent comprendre !)
Nous devions avoir toute l'air tellement ahurie que la Directrice a répété, en complétant :
"Est-ce que la maîtresse vous bat avec un bâton?"
Et là, les gamines ont répondu que non, je ne les battais pas et que de toutes façons, il n'y avait pas de bâtons dans la classe.
Devant ma stupeur hébétée, la directrice m'a expliqué qu'une gamine avait raconté cela à sa maman et qu'il fallait bien qu'elle mette ceci au clair et elle s'est excusée.
Au début de la semaine, je collais sur chaque table une petite feuille avec 10 tampons de fleurs, fruits ou animaux, et je barrais les images quand les mômes bavardaient trop.
Et cette gamine, après avoir eu 3 fleurs barrées, avait arraché sa petite feuille, donc, je lui avais dit que si elle n'avait pas de feuille, ce serait 0 à la fin de la semaine ...
Alors elle avait inventé cette histoire ...
Une classe de CP dans laquelle je remplaçais une instit en congé de maternité.
Nous étions au mois de mai et chaque matin, il y avait "morale" !!!
Donc, chaque matin, pour préparer la fête des mères, je leur lisais "On demande une maman."
Et un beau matin, juste pendant cette lecture dans un profond et méditatif silence, la porte s'ouvre et la Directrice entre et s'adresse aux enfants :
"Est-ce que la maîtresse vous bat?"
Ce qui est fabuleux, c'est que nous étions toutes (c'était une école de filles) ailleurs, mais vraiment pas là, planant dans cette histoire ...
(Ceux qui la connaissent doivent comprendre !)
Nous devions avoir toute l'air tellement ahurie que la Directrice a répété, en complétant :
"Est-ce que la maîtresse vous bat avec un bâton?"
Et là, les gamines ont répondu que non, je ne les battais pas et que de toutes façons, il n'y avait pas de bâtons dans la classe.
Devant ma stupeur hébétée, la directrice m'a expliqué qu'une gamine avait raconté cela à sa maman et qu'il fallait bien qu'elle mette ceci au clair et elle s'est excusée.
Au début de la semaine, je collais sur chaque table une petite feuille avec 10 tampons de fleurs, fruits ou animaux, et je barrais les images quand les mômes bavardaient trop.
Et cette gamine, après avoir eu 3 fleurs barrées, avait arraché sa petite feuille, donc, je lui avais dit que si elle n'avait pas de feuille, ce serait 0 à la fin de la semaine ...
Alors elle avait inventé cette histoire ...
- dandelionVénérable
Joyeux anniversaire itou!
Sapotille, aujourd'hui tu aurais fait la une de tous les journaux, pas de regrets? :lol:
Sapotille, aujourd'hui tu aurais fait la une de tous les journaux, pas de regrets? :lol:
- SapotilleEmpereur
21déjà a écrit:
Pas grave ! J'ai pris 1 an aujourd'hui ! Mais je n'ai pas tout à fait 22 ans ...
Pour toi !
Bon anniversaire, 22déjà
- SapotilleEmpereur
dandelion a écrit:Joyeux anniversaire itou!
Sapotille, aujourd'hui tu aurais fait la une de tous les journaux, pas de regrets? :lol:
Flûte, alors, je devais avoir 20 ans tout juste !!!
- gelsomina31Grand Maître
Clarinette a écrit:Joyeux anniversaire !
pareil 21déjà!
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Fear buildswalls.Hope builds bridges !
« De chacun selon ses forces, à chacun selon ses besoins. »
- VudiciFidèle du forum
Joie yeux âne hiver serre!
_________________
Front de Libération des Lichens Injustement Massacrés
- doublecasquetteEnchanteur
phi a écrit:D'accord avec vous tous, j'aurais aussi mille petits incidents du même genre à raconter. La plupart du temps, lorsqu'on ne rentre pas dans le jeu de l'enfant, les malentendus se dissipent très vite pour le plus grand bien de tous. J'ai par contre une petite (plus si petite que ça en CE1) qui fait à peu près le même genre de cinéma que le tien en début d'année DC, mais je ne peux pas faire grand chose parce qu'elle fait visiblement ça pour rassurer ses parents, confortés dans le fait qu'il faut vraiment changer leur enfant d'établissement, parce que dans notre école n'est ce pas, les enseignants sont tous violents et feignants et qu'elle ne se sent donc pas bien du tout à l'école (tant pis si dès que papa et maman ont le dos tourné, la petite rigole avec les gamines si dangereuses qui l'empêchent même de dormir tellement ça lui fait peur de retourner en classe)
Faites des photos et exposez-les à la fête de l'école sur le panneau
" Dans mon école, je me sens bien ! "
Édit. :
JOYEUX ANNIVERSAIRE, 21DÉJÀ
- phiExpert
Certains parents ont refusé de signer l'autorisation de faire des photos
(oui je sais je cumule )
(oui je sais je cumule )
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