- IgniatiusGuide spirituel
Triskel a écrit:Tristana a écrit:
La féminisation de la société et/ou du métier d'enseignant est un mensonge régulièrement brandi par certains réactionnaires comme Soral. L'autorité n'a pas grand-chose à voir avec le genre d'une personne.
Tout à fait d'accord.
En réduisant comme peau de chagrin le statut de l'enseignant, qui lui conférait l'autorité nécessaire à sa fonction, on a de fait résumé la relation avec le professeur à une relation sexuée : l'homme véhicule une image autoritaire, pas la femme, préjugé hélas plus dur à faire partir qu'un gratin brûlé. En restaurant (est-ce possible ?) l'autorité professorale, nul doute que le ratio homme-femme sera changé.
J'ai vaguement l'impression que tu dis le contraire de Tristana, non ?
Si la profession est restaurée dans son image d'autorité, alors les hommes reviendront : c'est donc que l'autorité est réservée aux hommes ?
Tristana, je suis partiellement d'accord avec toi quant au fait que l'autorité existe évidemment ds les deux sexes.
En revanche, je trouve excessive la comparaison avec le racisme : je pense bien pour ma part qu'il y a une différence globale statistique entre les sexes, et je ne suis absolument pas mysogine.
D'ailleurs, je ne sais pas pourquoi tout le monde revendique autant l'autorité.
- TriskelNiveau 7
Non, je ne dis pas le contraire de Tristana : la conception que fait le premier pékin venu de l'autorité l'associe à l'homme, alors qu'elle est associée à la fonction. Ce qui fait que des hommes comme des femmes savent être autoritaires, c'est qu'ils endossent une fonction, réelle ou virtuelle, qui leur confère autorité.
Mais pour que cela fonctionne, il faut que l'audience accepte l'autorité. C'est un mouvement double, d'où ma remarque sur la réduction du statut de l'enseignant.
Mais pour que cela fonctionne, il faut que l'audience accepte l'autorité. C'est un mouvement double, d'où ma remarque sur la réduction du statut de l'enseignant.
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L'espoir des cantharides
Est un bien bel espoir.
- Reine MargotDemi-dieu
Tristana: justement je m'opposais au fait qu'on demande de plus en plus à l'école de résoudre ce problème de société, pour moi l'école est faite avant tout pour instruire, même si le prof est un adulte référent par ailleurs.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- doublecasquetteEnchanteur
Dugong a écrit:Si, en distinguant femmes et bonnesfemmes.philann a écrit:On ne peut pas sortir de homme-femme-autorité ???
La bonne femme se caractérise par une mièvrerie à grand rayon d'action, une écœurante soumission à l'autorité, un imaginaire de gastéropode.
En ce sens, il y a incontestablement une bonnefemmisation de l'EN.
On remarquera que, selon cette caractérisation, il y a des bonnes femmes chez les hommes. On dépasse ainsi le faux débat homme-femme-autorité (mais pas forcément par le haut).
Sauf que "bonnefemmisation" est misogyne, et vous rajoutez à juste titre qu'il y a des " bonnes femmes " chez les hommes.
On pourrait peut-être utiliser plutôt démocrate-christianisation, plus approprié et moins sexiste ? Ou démocrate-christianisation à tendance psychanalysante ? Et on s'éloignerait ainsi d'une opposition hommes-femmes que nombreux ici s'accordent à trouver nullissime ?
DC véto
- User5899Demi-dieu
+1l'ENgénu a écrit:J'ai lu l'article de Polony. Je suis d'accord avec le postulat, trop de femmes, mais pas du tout pour les mêmes raisons qu'elle.
Par exemple, quelles sont ces inepties sur l'autorité des hommes et le maternage des femmes? John Gray n'est pas loin.
Il y a un problème de maternage des ados et des enfants à l'école, mais il n'est pas lié, jusqu'à preuve du contraire, à la présence des femmes. Bien des hommes causent ou subissent des problèmes liés à ce point !
- AlExpert spécialisé
mais la "féminisation" de certaines carrières est bien une réalité, comme le disait philann, même fait significatif dans la magistrature, la médecine, etc. ça n'est pas un "mensonge". par contre la manière d'analyser le phénomène et de tirer certaines conclusions, c'est un autre problème. le fait que certains secteurs ne comprennent quasiment plus d'hommes est à séparer de ce que l'on peut en déduire sur les problèmes de "maternage", "autorité", "virilité" dans l'enseignement...
"Est-ce si délirant d'envisager que ce soit mieux pour un enfant d'être en contact avec des adultes hommes ET femmes plutôt qu'avec un seul des deux sexes sans que cela n'ait rien à voir avec l'autorité ou le maternage ???" : tout à fait d'accord
"Est-ce si délirant d'envisager que ce soit mieux pour un enfant d'être en contact avec des adultes hommes ET femmes plutôt qu'avec un seul des deux sexes sans que cela n'ait rien à voir avec l'autorité ou le maternage ???" : tout à fait d'accord
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"C’est le grand nuage des ambitions moroses qui étouffe la voix d’Éros."
- DugongNiveau 8
Pour une fois d'accord sur le fond (!)doublecasquette a écrit:On pourrait peut-être utiliser plutôt démocrate-christianisation, plus approprié et moins sexiste ? Ou démocrate-christianisation à tendance psychanalysante ? Et on s'éloignerait ainsi d'une opposition hommes-femmes que nombreux ici s'accordent à trouver nullissime ?
Mais "démocrate-christianisation à tendance psychanalysante", c'est juste mais trop long
"Rocardisation" ferait-il (elle ?) l'affaire ?
- doublecasquetteEnchanteur
Rocardisation sous-entendrait que Rocard est le précurseur et le penseur du mouvement alors qu'il n'est qu'un suiveur, ou tout au moins un opportuniste.
On en revient à Mériolisation ...
On en revient à Mériolisation ...
- DugongNiveau 8
Je vous sens désireuse d'attribuer le bébé à un exosocialiste exclu par le collomb.doublecasquette a écrit:On en revient à Mériolisation ...
La tentation est grande de suivre votre suggestion mais le dédouanement est trop facile.
Évidemment, pour les mêmes raisons, hollandisation ne vous conviendra pas non plus.
Longue sera votre revisitation de l'histoire...
- doublecasquetteEnchanteur
Non non. Ce que je voulais dire c'est que Rocardisation ou Mériolisation ne convenaient pas, puisque l'un ou l'autre ont pris un train déjà en marche.
- doublecasquetteEnchanteur
En fait, on ne peut pas prendre le nom d'un individu pour désigner la chose. Même "doltoïsation" serait abusif.
- doublecasquetteEnchanteur
Bisounoursisme ?
DC instit
DC instit
- doublecasquetteEnchanteur
doublecasquette a écrit:Bisounoursisme ?
DC instit
J'y avais bien un peu pensé mais ça désigne juste le phénomène, sans mettre le doigt sur le courant de pensée responsable.
Je reste sur démocrato-christianisation.
DC véto
- DugongNiveau 8
doublecasquette a écrit:doublecasquette a écrit:Bisounoursisme ?
DC instit
J'y avais bien un peu pensé mais ça désigne juste le phénomène, sans mettre le doigt sur le courant de pensée responsable.
Je reste sur démocrato-christianisation.]
Pédagolgothisme ?
- PseudoDemi-dieu
Moi, c'est les professions de maçon et de garagiste que je trouve trop masculinisées. Ce qui fait que les maisons et les voitures ne sont traitées qu'avec virilité, résultat, les plans sont idiots, pas du tout fonctionnels le plus souvent, et en pour ce qui est des voitures, dangereux.
En effet, les hommes, avec leur tendance à trop viriliser les choses, oublient des qualités essentielles dans la construction de maisons et de voitures.
C'est étonnant ? Ah bon ? Pourquoi diable doit-on se plaindre que certaines professions sont trop féminisées (sous entendu que c'est un défaut) quand d'autres professions sont masculines à presque 100% sans que ca gène personne ?
Cette demoiselle à raison, et le dit avec vigueur. Polony, je l'aime pas, déjà. Et en plus, c'est une femme journaliste, profession qui se féminise beaucoup, et je suppose donc que c'est un gros défaut.
En effet, les hommes, avec leur tendance à trop viriliser les choses, oublient des qualités essentielles dans la construction de maisons et de voitures.
C'est étonnant ? Ah bon ? Pourquoi diable doit-on se plaindre que certaines professions sont trop féminisées (sous entendu que c'est un défaut) quand d'autres professions sont masculines à presque 100% sans que ca gène personne ?
Cette demoiselle à raison, et le dit avec vigueur. Polony, je l'aime pas, déjà. Et en plus, c'est une femme journaliste, profession qui se féminise beaucoup, et je suppose donc que c'est un gros défaut.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- nigousseHabitué du forum
J'ai toujours pensé que la médiocrité de nos traitements tenait à l'extrême féminisation de la profession, le salaire du prof le plus souvent femme étant considéré comme un salaire d'appoint venant compléter le budget familial. Je m’interrogeais beaucoup sur ma capacité à gérer mon budget en écoutant des collègues femmes parler de leurs vacances au bout du monde, en voyant leurs sacs qui coûtent un bras et en discutant avec elles, elles m'ont dit que leur salaire c'était pour la coiffure, la manucure et les extras car leur mari avait un " vrai travail" et un "vrai salaire". Beaucoup se mettent d'ailleurs à temps partiel. Ce qui explique aussi en partie, je pense, le problème de recrutement de la profession: métier idéal pour une mère de famille ( peu d'heures de présence comparativement à un travail de bureau, travail à la maison donc souplesse d'organisation, moins de frais de garde car même vacances que les enfants...) mais pas pour un homme ( aucune réelle possibilité d'évolution de carrière...).
- kensingtonEsprit éclairé
Et si tous les PE étaient des hommes?
Pensez-vous que ce serait totalement anodin pour les petites filles (en tant qu'élèves et du point de vue de leur scolarité)?
Pensez-vous que ce serait totalement anodin pour les petites filles (en tant qu'élèves et du point de vue de leur scolarité)?
- PseudoDemi-dieu
nigousse a écrit:J'ai toujours pensé que la médiocrité de nos traitements tenait à l'extrême féminisation de la profession, le salaire du prof le plus souvent femme étant considéré comme un salaire d'appoint venant compléter le budget familial. Je m’interrogeais beaucoup sur ma capacité à gérer mon budget en écoutant des collègues femmes parler de leurs vacances au bout du monde, en voyant leurs sacs qui coûtent un bras et en discutant avec elles, elles m'ont dit que leur salaire c'était pour la coiffure, la manucure et les extras car leur mari avait un " vrai travail" et un "vrai salaire". Beaucoup se mettent d'ailleurs à temps partiel. Ce qui explique aussi en partie, je pense, le problème de recrutement de la profession: métier idéal pour une mère de famille ( peu d'heures de présence comparativement à un travail de bureau, travail à la maison donc souplesse d'organisation, moins de frais de garde car même vacances que les enfants...) mais pas pour un homme ( aucune réelle possibilité d'évolution de carrière...).
Ce fût même théorisé par le sieur Pochard, de sinistre mémoire.
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- PseudoDemi-dieu
kensington a écrit:Et si tous les PE étaient des hommes?
Pensez-vous que ce serait totalement anodin pour les petites filles (en tant qu'élèves et du point de vue de leur scolarité)?
Je suppose que ce cas de figure ne défriserait personne.
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- WonderWomanBon génie
mouais, ça c'est reconnaître que le métier de prof est un métier pour des gens sans ambition (donc pour les femmes). ça me fait penser à cet article :nigousse a écrit:J'ai toujours pensé que la médiocrité de nos traitements tenait à l'extrême féminisation de la profession, le salaire du prof le plus souvent femme étant considéré comme un salaire d'appoint venant compléter le budget familial. Je m’interrogeais beaucoup sur ma capacité à gérer mon budget en écoutant des collègues femmes parler de leurs vacances au bout du monde, en voyant leurs sacs qui coûtent un bras et en discutant avec elles, elles m'ont dit que leur salaire c'était pour la coiffure, la manucure et les extras car leur mari avait un " vrai travail" et un "vrai salaire". Beaucoup se mettent d'ailleurs à temps partiel. Ce qui explique aussi en partie, je pense, le problème de recrutement de la profession: métier idéal pour une mère de famille ( peu d'heures de présence comparativement à un travail de bureau, travail à la maison donc souplesse d'organisation, moins de frais de garde car même vacances que les enfants...) mais pas pour un homme ( aucune réelle possibilité d'évolution de carrière...).
http://www.madmoizelle.com/etre-ambitieuse-31086
qui m'a fait bondir ...
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Vide dressing petite fille https://www.vinted.fr/membres/15210542-wiwiagathe
Vide dressing sur néo : https://www.neoprofs.org/t128716-vd-fille-wonderwoman-du-3-mois-au-4-ans-sergent-major-jacadi-zara-dpam-kiabi-verbaudet#4954294
- alberto79Habitué du forum
nigousse a écrit:J'ai toujours pensé que la médiocrité de nos traitements tenait à l'extrême féminisation de la profession, le salaire du prof le plus souvent femme étant considéré comme un salaire d'appoint venant compléter le budget familial. Je m’interrogeais beaucoup sur ma capacité à gérer mon budget en écoutant des collègues femmes parler de leurs vacances au bout du monde, en voyant leurs sacs qui coûtent un bras et en discutant avec elles, elles m'ont dit que leur salaire c'était pour la coiffure, la manucure et les extras car leur mari avait un " vrai travail" et un "vrai salaire". Beaucoup se mettent d'ailleurs à temps partiel. Ce qui explique aussi en partie, je pense, le problème de recrutement de la profession: métier idéal pour une mère de famille ( peu d'heures de présence comparativement à un travail de bureau, travail à la maison donc souplesse d'organisation, moins de frais de garde car même vacances que les enfants...) mais pas pour un homme ( aucune réelle possibilité d'évolution de carrière...).
Je ne suis pas très convaincu de cette hypothèse. Les salaires des universitaires sont aussi médiocres, voire plus par rapport au nombre d´années d´études et ce n´est pas une profession féminisée (41% de femmes parmi les MCF et 20% parmi les PR).
- JohnMédiateur
Il y a des spécialistes pour ça : les uns pour réaliser l'envie, et les autres pour essayer de s'en passer.Ton article réac et vulgairement simplet me donne envie de me balancer par la fenêtre, et d'infliger à la vue de tous un gif d'un cheval avec des ailes arc en ciel à paillettes.
Tu vois jusqu'où tu me forces à aller, Natacat?
Tout m'offense dans tes propos, tout me donne envie de m'arracher la peau et de frotter ma chair sanguinolente avec des orties couplés de barbelés.
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- Reine MargotDemi-dieu
c'est moche à dire mais c'est malheureusement ce qui se passe. Un bouquin d'étude sociologique montrait l'évolution de la femme professeur depuis la IIIe république. Eh bien au début c'était un boulot de femmes émancipées, ayant fait des études, d'intellectuelles. Ces femmes avaient réussi à casser l'image du "bas-bleu". Maintenant c'est un boulot où la majorité des femmes profs ont un conjoint qui a un bien meilleur salaire, c'est valorisant dans certains milieux de s'afficher avec une épouse diplômée... et oui, pas mal le font aussi pour pouvoir concilier vie professionnelle et vie de famille (seules les femmes semblent se soucier de garder du temps pour la maison et les enfants)
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La famille Bélier
- JohnMédiateur
Justement ! Pour les MCF, ça peut se discuter, mais les PU gagnent tout de même bien leur vie !Je ne suis pas très convaincu de cette hypothèse. Les salaires des universitaires sont aussi médiocres, voire plus par rapport au nombre d´années d´études et ce n´est pas une profession féminisée (41% de femmes parmi les MCF et 20% parmi les PU).
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- PseudoDemi-dieu
C'est pourtant une donnée assez reconnue : quand un métier se féminise, il est de facto déconsidéré et moins bien payé. Ce qui ne veut pas dire que tous les jobs mal payées soient féminisés.
Mais la société machiste donne une valeur inférieur au travail féminin, c'est ainsi. Et au demeurant, les femmes sont payé 20 % de moins que leur confrères aux mêmes postes. Cela veut bien dire que le boulot d'une femme vaut moins que le boulot d'un mec.
Mais la société machiste donne une valeur inférieur au travail féminin, c'est ainsi. Et au demeurant, les femmes sont payé 20 % de moins que leur confrères aux mêmes postes. Cela veut bien dire que le boulot d'une femme vaut moins que le boulot d'un mec.
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- JohnMédiateur
Et plus on monte haut, plus la chute est dureJe vais avoir un travail qui correspondra aux efforts que j'ai fait pour monter aussi haut
Je ne suis pas forcément d'accord avec ce qu'écrit N. Polony sur les rapports homme/femme, les questions de genre, etc.
Le jour où Polony a dit que le mariage pour tous était "une mesure cosmétique", j'ai répondu devant ma télé : "cosmétique, et ta soeur ?"
Mais l'article de l'étudiante est attristant, parce qu'on sent qu'elle est énervée, qu'elle va bientôt être assez déçue, qu'elle est sincère, qu'elle a du mal à argumenter, qu'elle fait des bourdes sans s'en rendre compte (la médaille Phelps, c'est énorme) et qu'en plus elle ne maîtrise pas le conditionnel et le futur.
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