- JulianneHabitué du forum
Mes élèves m'ont parlé de Hunger games mais je ne le trouve pas en poche, normal ?
- ysabelDevin
oui
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- NestyaEsprit sacré
Comme promis, me voilà, après avoir terminé la lecture de la Cité des Jarres. Une lecture agréable, ça se lit facilement et rapidement. Ce qui m'a surtout intéressée, plus que l'enquête policière, c'est tout ce qu'on apprend sur l'Islande et les islandais. Moi qui rêve de visiter ce pays un jour, j'ai apprécié de suivre Erlendur sur les routes islandaises (même si chez Indridason, le climat islandais ne fait pas très envie ).Nestya a écrit:Promis!Violet a écrit:Tu nous diras si c'est bien ?Nestya a écrit:Oui, quand je commence une série, j'aime bien la commencer dans l'ordre. Je suppose qu'en ce qui concerne Indridason, chaque roman présente une enquête indépendante, non? Mais d'après les résumés, j'ai cru comprendre qu'on parlait aussi de la vie privée du policier. Je me suis dit que si je voulais y comprendre quelque chose, mieux valait commencer par le premier.Frisouille a écrit:Le 1er donc !
Maintenant, je vais continuer ma découverte des auteurs nordiques (parce que jusqu'à présent, à part Millenium, je n'y connais pas grand chose) avec Arto Paasilinna et Le lièvre de Vatanen. Depuis le temps que je dis que je dois lire un Paasilinna...
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"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- carlottaHabitué du forum
Nestya, si tu aimes les polars nordiques, je te conseille Gunnar Staalesen et Nesbo (avec o barré!) qui sont norvégiens et le suédois Hennig Mankell.
- NestyaEsprit sacré
Mankell est en route. Je l'ai acheté sur eBay ce week end, je devrais bientôt le recevoir. Nesbo, je suis effectivement tombée dessus au hasard de mes périgrinations sur le net. Ce sera pour plus tard. Par contre, je ne pense pas avoir entendu parler de Staalesen. Il y a aussi Yrsa Sigurdardottir qui me tente bien. J'ai acheté le Magazine littéraire de mars 2011 sur les littératures nordiques sur Priceminister. J'espère y faire d'autres découvertes.carlotta a écrit:Nestya, si tu aimes les polars nordiques, je te conseille Gunnar Staalesen et Nesbo (avec o barré!) qui sont norvégiens et le suédois Hennig Mankell.
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"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- carlottaHabitué du forum
Connais pas sigurdadottir, je vais me renseigner, merci ! (vu le nom j'imagine qu'elle est islandaise!)
- FrisouilleEnchanteur
lulucastagnette a écrit:
Ici j'ai terminé Stoner de John Williams (traduction d' Anna Gavalda, oui, oui !).
Bien la seule fois où tu pourras l'apprécier, celle-ci. :lol:
Je suis mauvaise, je n'en ai même pas lu un.
- FrisouilleEnchanteur
Nestya a écrit:Comme promis, me voilà, après avoir terminé la lecture de la Cité des Jarres. Une lecture agréable, ça se lit facilement et rapidement. Ce qui m'a surtout intéressée, plus que l'enquête policière, c'est tout ce qu'on apprend sur l'Islande et les islandais. Moi qui rêve de visiter ce pays un jour, j'ai apprécié de suivre Erlendur sur les routes islandaises (même si chez Indridason, le climat islandais ne fait pas très envie ).Nestya a écrit:Promis!Violet a écrit:Tu nous diras si c'est bien ?Nestya a écrit:Oui, quand je commence une série, j'aime bien la commencer dans l'ordre. Je suppose qu'en ce qui concerne Indridason, chaque roman présente une enquête indépendante, non? Mais d'après les résumés, j'ai cru comprendre qu'on parlait aussi de la vie privée du policier. Je me suis dit que si je voulais y comprendre quelque chose, mieux valait commencer par le premier.Frisouille a écrit:Le 1er donc !
J'ai émis le même commentaire il y a qq mois.
La dame en vert, le suivant, est vraiment bien, même si on en apprend moins sur le pays. :aau:
Edit : Je m'étonne d'ailleurs que le cinéma ne se soit pas encore jeté sur cette belle aubaine, après la déferlante Millenium.
- MéluEmpereur
La Cité des Jarres a été adaptée.
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"Pourquoi sommes-nous au monde, sinon pour amuser nos voisins et rire d'eux à notre tour ?"
[ Jane Austen ] - Extrait de Orgueil et préjugés
- lulucastagnetteEmpereur
Faut que je note les nordiques, là ! Je pense avoir du mal à les retenir de tête ! :lol:
Mankell c'est extra, dans un autre genre qu'Indridason.
Paasilinna, c'est déjanté et très drôle ! :lol:
Mankell c'est extra, dans un autre genre qu'Indridason.
Paasilinna, c'est déjanté et très drôle ! :lol:
- RaizelNiveau 10
Les figures de style illustrées par Plantu; pas une grosse lecture, mais j'ai trouvé ça très chouette!
- V.MarchaisEmpereur
lulucastagnette a écrit: Paasilinna, c'est déjanté et très drôle ! :lol:
Je suis fan de Paasilina. Mais je ne parlerais pas de romans déjantés (c'est plutôt un vocable que je réserverais à Murakami, par exemple). Sa fantaisie a quelque chose de grave et de profondément mélancolique. Je dirais plutôt que c'est décalé et poétique. Le Lièvre de Vatanen est un de mes meilleurs souvenirs de littérature contemporaine.
- lamelimeloÉrudit
J'ai lu dernièrement :
Le Chinois d'Henning Mankell
Henning Mankell partage sa vie entre la Suède et le Mozambique David Ebener /DPA/DPA/AFP
Après avoir mis un point final à sa série "Kurt Wallander" (neuf petits bijoux devenus de gros succés d'édition), le Suédois Henning Mankell rebondit avec "Le Chinois". Son héroïne est, cette fois, une juge d'instruction embarquée dans une saga intercontinentale, à cheval sur trois siècles. Et une fois de plus, ça fonctionne merveilleusement...Henning Mankell est un orfèvre. Lorsque la mode du polar scandinave se sera essouflée, lui sera toujours là. Mankell n'écrit d'ailleurs pas que des polars (essayez, en particulier, ses "Chaussures Italiennes" ou ses "Profondeurs", des romans inoubliables). Avec Kurt Wallander, le commissaire d'Ystad - ses angoisses, son diabète... et ses coups de génie - il tenait le héros récurrent idéal, témoin de l'évolution d'une Suède non dépourvue de zones d'ombres. Comme Simenon avec Maigret, il aurait pu lui faire traverser les époques... Mais Mankell a préféré s'arrêter l'an dernier avec, en bouquet final, l'époustouflant "Homme inquiet".
A peine le temps de digérer sa disparition, que nous arrive ce "Chinois". Ca démarre comme du Wallander - un carnage mystérieux dans un village perdu, quelques détails qui échappent à tout le monde sauf à l'héroïne - et voilà Mankell qui change de braquet et transporte son récit au Nevada, en Chine et au Mozambique, sa destination favorite.
Une fois de plus, ça fuse, c'est brillant. Chaud, froid, sucré, salé, c'est un voyage plein de suspense, parfaitement construit.
Les nombreux fans français de Mankell peuvent dormir tranquille. En envoyant Wallander en pré-retraite, Henning Mankell ne s'est pas rangé des voitures. Son inspiration et sa capacité à installer de délicieuses ambiances est intacte.
Puis ceci Remède Mortel de Harlan Coben
Après Sans un adieu, un nouveau collector publié en 1991 aux États-Unis, signé par un jeune Harlan Coben diabolique à souhait.
Une clinique new-yorkaise hautement sécurisée.
Un médecin qui se suicide.
Des patients sauvagement assassinés.
Coïncidences ? Complot ?
Et si l’annonce prochaine d’une extraordinaire découverte médicale avait déclenché cette vague meurtrière ?
Sara Lowell, jeune journaliste très en vue, mène l’enquête. Mais ses révélations pourraient bien faire d’elle la prochaine victime d’un mystérieux serial killer…
Guerre des lobbies pharmaceutiques, machination politique, pression des médias, mensonges… Au cœur d’un débat toujours aussi brûlant, un thriller angoissant et terriblement réaliste par celui qui allait devenir le maître de vos nuits blanches.
et enfin, Miséricorde dont Leil a parlé p 30.
Bilan: à lire sans réserve Henning Mankel et l'autre suédois . Coben peut bien attendre voire ne pas être lu...
Et puis comme Nestya, depuis que je lis de la littérature venant du froid, je n'ai qu'une envie , c'est d'y aller...L'année dernière, virée express à Stockholm et cet été, ce sera l'Islande !!!!
Le Chinois d'Henning Mankell
Henning Mankell partage sa vie entre la Suède et le Mozambique David Ebener /DPA/DPA/AFP
Après avoir mis un point final à sa série "Kurt Wallander" (neuf petits bijoux devenus de gros succés d'édition), le Suédois Henning Mankell rebondit avec "Le Chinois". Son héroïne est, cette fois, une juge d'instruction embarquée dans une saga intercontinentale, à cheval sur trois siècles. Et une fois de plus, ça fonctionne merveilleusement...Henning Mankell est un orfèvre. Lorsque la mode du polar scandinave se sera essouflée, lui sera toujours là. Mankell n'écrit d'ailleurs pas que des polars (essayez, en particulier, ses "Chaussures Italiennes" ou ses "Profondeurs", des romans inoubliables). Avec Kurt Wallander, le commissaire d'Ystad - ses angoisses, son diabète... et ses coups de génie - il tenait le héros récurrent idéal, témoin de l'évolution d'une Suède non dépourvue de zones d'ombres. Comme Simenon avec Maigret, il aurait pu lui faire traverser les époques... Mais Mankell a préféré s'arrêter l'an dernier avec, en bouquet final, l'époustouflant "Homme inquiet".
A peine le temps de digérer sa disparition, que nous arrive ce "Chinois". Ca démarre comme du Wallander - un carnage mystérieux dans un village perdu, quelques détails qui échappent à tout le monde sauf à l'héroïne - et voilà Mankell qui change de braquet et transporte son récit au Nevada, en Chine et au Mozambique, sa destination favorite.
Une fois de plus, ça fuse, c'est brillant. Chaud, froid, sucré, salé, c'est un voyage plein de suspense, parfaitement construit.
Les nombreux fans français de Mankell peuvent dormir tranquille. En envoyant Wallander en pré-retraite, Henning Mankell ne s'est pas rangé des voitures. Son inspiration et sa capacité à installer de délicieuses ambiances est intacte.
Puis ceci Remède Mortel de Harlan Coben
Après Sans un adieu, un nouveau collector publié en 1991 aux États-Unis, signé par un jeune Harlan Coben diabolique à souhait.
Une clinique new-yorkaise hautement sécurisée.
Un médecin qui se suicide.
Des patients sauvagement assassinés.
Coïncidences ? Complot ?
Et si l’annonce prochaine d’une extraordinaire découverte médicale avait déclenché cette vague meurtrière ?
Sara Lowell, jeune journaliste très en vue, mène l’enquête. Mais ses révélations pourraient bien faire d’elle la prochaine victime d’un mystérieux serial killer…
Guerre des lobbies pharmaceutiques, machination politique, pression des médias, mensonges… Au cœur d’un débat toujours aussi brûlant, un thriller angoissant et terriblement réaliste par celui qui allait devenir le maître de vos nuits blanches.
et enfin, Miséricorde dont Leil a parlé p 30.
Bilan: à lire sans réserve Henning Mankel et l'autre suédois . Coben peut bien attendre voire ne pas être lu...
Et puis comme Nestya, depuis que je lis de la littérature venant du froid, je n'ai qu'une envie , c'est d'y aller...L'année dernière, virée express à Stockholm et cet été, ce sera l'Islande !!!!
- lamelimeloÉrudit
Et comme Vero et Lulu , je suis fan absolue de Paasilina!!
- MufabGrand Maître
Clarinette a écrit: Ca m'a rappelé "Les Animaux dénaturés" de Vercors, à lire absolument, pour ceux que ces questions intéressent.
+ 1 pour Vercors.
Et Le silence de la mer, aussi, un chef-d'oeuvre, je trouve.
- lulucastagnetteEmpereur
V.Marchais a écrit:lulucastagnette a écrit: Paasilinna, c'est déjanté et très drôle ! :lol:
Je suis fan de Paasilina. Mais je ne parlerais pas de romans déjantés (c'est plutôt un vocable que je réserverais à Murakami, par exemple). Sa fantaisie a quelque chose de grave et de profondément mélancolique. Je dirais plutôt que c'est décalé et poétique. Le Lièvre de Vatanen est un de mes meilleurs souvenirs de littérature contemporaine.
Bon j'avoue que j'ai parlé un peu vite. En fait je n'ai lu que "Sang chaud, nerfs d'acier"... et dans mon souvenir c'était déjanté.
Tu vois, Murakami je ne le qualifierais pas de déjanté mais plutôt de "décalé et poétique"...
Je vais essayer "le Lièvre de Vatanen", tu m'as donné envie.
- lamelimeloÉrudit
Lis aussi La douce empoisonneuse, La cavale du géomètre et Petits suicides entre amis Lulu!!!
- lulucastagnetteEmpereur
lamelimelo a écrit:Lis aussi La douce empoisonneuse, La cavale du géomètre et Petits suicides entre amis Lulu!!!
J'adooooooooooore quand on me propose des lectures !
- RaizelNiveau 10
[quote="Mufab"]
Merci pour la référence, je ne connaissais pas. Je viens de le commander!
Clarinette a écrit: Ca m'a rappelé "Les Animaux dénaturés" de Vercors, à lire absolument, pour ceux que ces questions intéressent.
Merci pour la référence, je ne connaissais pas. Je viens de le commander!
- blancheExpert
Sur vos conseils, je viens de terminer La Femme en vert et je l'ai dévoré! Merci!
Je continue avec La Cité des jarres???
Et de Mankell, vous me conseillez lequel en premier?
Je continue avec La Cité des jarres???
Et de Mankell, vous me conseillez lequel en premier?
- ClarinetteGrand Maître
Oui, c'est celle que je conseille aux ados de mon entourage qui ne lisent pas de romans trop touffus. Je suis d'ailleurs surprise que cette pièce ne soit pas plus étudiée au lycée.Carabas a écrit:J'ai fait exactement le même rapprochement.Clarinette a écrit:Alors, mes dernières lectures :
- "La Controverse de Valladolid", de JC Carrière : le récit de la "dispute" théo-philosophique de deux religieux au XVIe siècle. Les Indiens du Nouveau-Monde sont-ils de vrais hommes ? Passionnant. Ca m'a rappelé "Les Animaux dénaturés" de Vercors, à lire absolument, pour ceux que ces questions intéressent.
D'ailleurs, la version théâtralisée des Animaux dénaturés, Zoo, est très bien aussi.
Ah ça oui, alors, sans oublier la magnifique adaptation de Melville.Mufab a écrit:Clarinette a écrit: Ca m'a rappelé "Les Animaux dénaturés" de Vercors, à lire absolument, pour ceux que ces questions intéressent.
+ 1 pour Vercors.
Et Le silence de la mer, aussi, un chef-d'oeuvre, je trouve.
J'en ai lu pas mal, de Paasilina, avec beaucoup de plaisir et d'amusement. Je te conseille aussi "Prisonniers du Paradis". Sur ma PAL depuis plus d'un an, il y a le bestial serviteur..", mais il se retrouve régulièrement repoussé au fond par des lectures plus pressantes. Comment il avait fait, l'autre, pour avoir "lu tous les livres" ?lamelimelo a écrit:Lis aussi La douce empoisonneuse, La cavale du géomètre et Petits suicides entre amis Lulu!!!
Tu vas passer un grand moment !Mufab a écrit:Clarinette a écrit: Ca m'a rappelé "Les Animaux dénaturés" de Vercors, à lire absolument, pour ceux que ces questions intéressent.
Merci pour la référence, je ne connaissais pas. Je viens de le commander!
Moi aussi, j'adore ce fil. Même si je ne suis pas friande de policiers, je vais finir par céder à tous vos Nordiques, je sens !
- MéluEmpereur
Mélu a écrit:La Cité des Jarres a été adaptée.
Frisouille a écrit:Oh ?
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"Pourquoi sommes-nous au monde, sinon pour amuser nos voisins et rire d'eux à notre tour ?"
[ Jane Austen ] - Extrait de Orgueil et préjugés
- FrisouilleEnchanteur
blanche a écrit:Sur vos conseils, je viens de terminer La Femme en vert et je l'ai dévoré! Merci!
Je continue avec La Cité des jarres???
Et de Mankell, vous me conseillez lequel en premier?
Il aurait été préférable de commencer par la cité des Jarres.
- V.MarchaisEmpereur
lulucastagnette a écrit:V.Marchais a écrit:lulucastagnette a écrit: Paasilinna, c'est déjanté et très drôle ! :lol:
Je suis fan de Paasilina. Mais je ne parlerais pas de romans déjantés (c'est plutôt un vocable que je réserverais à Murakami, par exemple). Sa fantaisie a quelque chose de grave et de profondément mélancolique. Je dirais plutôt que c'est décalé et poétique. Le Lièvre de Vatanen est un de mes meilleurs souvenirs de littérature contemporaine.
Bon j'avoue que j'ai parlé un peu vite. En fait je n'ai lu que "Sang chaud, nerfs d'acier"... et dans mon souvenir c'était déjanté.
Tu vois, Murakami je ne le qualifierais pas de déjanté mais plutôt de "décalé et poétique"...
Je vais essayer "le Lièvre de Vatanen", tu m'as donné envie.
Disons que Paasilina, pour ce que j'en ai lu du moins, même s'il met en scène des personnages hors norme (un type qui plante tout du jour au lendemain avec un lapin dans la poche, des gangsters dignes des frères Cohen...) reste dans un cadre réaliste. Pas le genre à jouer sur les failles temporelles, faire tomber une pluie de harengs sur une ville où un vagabond dialogue tout naturellement avec les chats ou laisser se volatiliser un éléphant. Murakami prend davantage de libertés avec la rationalité, la chaîne de causalité en prend un coup dans la succession des actions, c'est pourquoi, si le qualificatif de déjanté devait s'appliquer à un auteur, ce serait plutôt à lui, à mon avis, qu'à Paasilina. Ce qui n'exclut pas, je suis d'accord avec toi, une grande poésie dans les romans de Murakami.
C'est beau, Le Lièvre de Vatanen (plus très sûre de l'orthographe). C'est une espèce d'errance étonnante, très touchante, qui emporte le lecteur. Ça donne envie d'aller se perdre dans les forêts du grand Nord. Enfin, ça, ce sera seulement à mon retour de Guernesey et par une météo plus clémente...
- Pavel FortNiveau 2
L'homme couvert de femmes de Pierre Drieu La Rochelle
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