- ErgoDevin
Tiens, moi aussi, j'ai eu du mal avec ce livre.
J'ai beaucoup aimé le film mais le livre m'a laissé assez indifférente:
En ce moment, je lis des nouvelles de Shirley Jackson et c'est assez chouette pour l'instant. Par contre, pour les amateurs d'action, on repassera. :lol:
J'ai beaucoup aimé le film mais le livre m'a laissé assez indifférente:
- Spoiler:
- je n'ai pas du tout accroché au côté spritualo-religio-messianique.
En ce moment, je lis des nouvelles de Shirley Jackson et c'est assez chouette pour l'instant. Par contre, pour les amateurs d'action, on repassera. :lol:
- CarabasVénérable
Ergo a écrit:Tiens, moi aussi, j'ai eu du mal avec ce livre.
J'ai beaucoup aimé le film mais le livre m'a laissé assez indifférente:
- Spoiler:
je n'ai pas du tout accroché au côté spritualo-religio-messianique.
- Spoiler:
- Pour moi, la fin signifie que les adultes vont bouffer le gosse. Je ne vois pas le côté spiritualo-religio-messianique.
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Les chances uniques sur un million se réalisent neuf fois sur dix.
Terry Pratchett
- FourseasonsGrand sage
Carabas a écrit:Ergo a écrit:Tiens, moi aussi, j'ai eu du mal avec ce livre.
J'ai beaucoup aimé le film mais le livre m'a laissé assez indifférente:
- Spoiler:
je n'ai pas du tout accroché au côté spritualo-religio-messianique.
- Spoiler:
Pour moi, la fin signifie que les adultes vont bouffer le gosse. Je ne vois pas le côté spiritualo-religio-messianique.
Ahhh je viens de lire ton spoiler ! Zut zut !
- ErgoDevin
Tiens, on a eu cette discussion avec d'autres lecteurs du livre justement,Carabas a écrit:Ergo a écrit:Tiens, moi aussi, j'ai eu du mal avec ce livre.
J'ai beaucoup aimé le film mais le livre m'a laissé assez indifférente:
- Spoiler:
je n'ai pas du tout accroché au côté spritualo-religio-messianique.
- Spoiler:
Pour moi, la fin signifie que les adultes vont bouffer le gosse. Je ne vois pas le côté spiritualo-religio-messianique.
- Spoiler:
- l'idée que ce n'était pas possible que la fin soit optimiste, compte-tenu du reste du livre. Mais je parlais aussi de tout le discours "carrying the fire" etc. pour le côté "spirituel" - je n'ai pas le mot exact. Puis y a l'histoire de la pomme. :lol:
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- CarabasVénérable
Ok. Je ne m'en souvenais pas.Ergo a écrit:Tiens, on a eu cette discussion avec d'autres lecteurs du livre justement,Carabas a écrit:Ergo a écrit:Tiens, moi aussi, j'ai eu du mal avec ce livre.
J'ai beaucoup aimé le film mais le livre m'a laissé assez indifférente:
- Spoiler:
je n'ai pas du tout accroché au côté spritualo-religio-messianique.
- Spoiler:
Pour moi, la fin signifie que les adultes vont bouffer le gosse. Je ne vois pas le côté spiritualo-religio-messianique.
- Spoiler:
l'idée que ce n'était pas possible que la fin soit optimiste, compte-tenu du reste du livre. Mais je parlais aussi de tout le discours "carrying the fire" etc. pour le côté "spirituel" - je n'ai pas le mot exact. Puis y a l'histoire de la pomme. :lol:
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Terry Pratchett
- FrisouilleEnchanteur
Leil a écrit:Loise a écrit:Frisouille a écrit:Carabas a écrit:Comme je te comprends!Loise a écrit:Je n'arrive pas à terminer La route... Je trouve ca chiant par moments !
L'homme dit à l'enfant de pousser le caddie.
L'enfant pousse le caddie.
Pardon, Frisouille!
C'est aussi cela qui fait la beauté de la littérature, la diversité des avis.
Vous me donnez tout de même une furieuse envie de replonger dedans pour vous trouver des passages qui m'ont émue...
Effectivement il y a quelques passages émouvants mais pour le reste je suis d'accord avec Carabas... Bon je vais quand même le terminer ! Pt qu'il y a plus d'action dans la deuxieme partie du livre !
J'ai adoré le style !
Dans mes bras !
Et oui Loise, la 2nde partie est plus... mouvementée...
- AnguaGrand sage
Au milieu d'un tas d'autres lectures, je viens de terminer Cryoburn, dernier tome de la saga Vorkosigan excellente série de SF de détente qui était introuvable depuis des années! Que J'ai Lu a l'excellente idée de rééditer sous forme d'omnibus. Le premier rassemble trois titres dont je ne connais que les deux derniers:
... et c'est du bon, du très bon! Au sens "très agréable"! Bref, je ne saurais que vous les conseiller si vous cherchez de la détente. Même si vous n'aimez pas la SF, Cordélia Vorkosigan et Barrayar se dégustent comme des sucreries.
Il me reste à découvrir En chute libre, le premier, qui se déroule 200 ans plus tôt, que j'ai trouvé cet été après deux ans de recherches infructueuses... du coup, pour le principe, je me demande encore quelle édition lire.
... et c'est du bon, du très bon! Au sens "très agréable"! Bref, je ne saurais que vous les conseiller si vous cherchez de la détente. Même si vous n'aimez pas la SF, Cordélia Vorkosigan et Barrayar se dégustent comme des sucreries.
Il me reste à découvrir En chute libre, le premier, qui se déroule 200 ans plus tôt, que j'ai trouvé cet été après deux ans de recherches infructueuses... du coup, pour le principe, je me demande encore quelle édition lire.
- FrisouilleEnchanteur
Carabas a écrit:Ergo a écrit:Tiens, moi aussi, j'ai eu du mal avec ce livre.
J'ai beaucoup aimé le film mais le livre m'a laissé assez indifférente:
- Spoiler:
je n'ai pas du tout accroché au côté spritualo-religio-messianique.
- Spoiler:
Pour moi, la fin signifie que les adultes vont bouffer le gosse. Je ne vois pas le côté spiritualo-religio-messianique.
Loise, file finir le bouquin !
- Spoiler:
- Oh non!!!!
Bon, alors il faut se souvenir que le roman est dédié au jeune fils de Mac Carthy, tout petit alors que lui a plus de 70 ans quand il écrit le roman...
Du coup, sachant cela, j'analyse la fin comme porteuse d'un message d'espoir : en dépit de toutes les atrocités humaines dont Mac Carthy a pu se faire le témoin à travers ses différentes œuvres, je vois dans la mort du père -"naturelle", dans le droit déroulement de la vie- un passage de flambeau inter-générationnel. Le père meurt, après avoir protégé son fils de toutes ses forces, lui avoir transmis aussi la part de ce qui en fait un homme, et l'enfant est recueilli par une famille, non, pas des cannibales, une famille ! Souvenez-vous, ce ne sont pas seulement des adultes à qui a affaire le garçon,, mais à des parents et leurs enfants, qui tentent de survivre et, eux aussi, de protéger leurs enfants ! Ainsi, l'enfant, nourri par l'amour sans borne de son père, rejoint un autre groupe d'humains... véritablement humain... désintéressé et généreux...
J'entends les arguments que vous pourriez m'opposer... Mais non, je ne peux pas, je ne veux pas, accepter qu'un auteur, au seuil de sa vie, puisse ainsi dédier son (peut-être) ultime roman à un tout jeune enfant, en lui délivrant un message aussi pessimiste... :|
- LeilEsprit éclairé
Frisouille, je ne peux pas te contredire puisque j'ai eu la même interprétation de la fin !
Sinon, si, à mes yeux, il y a un style particulier qui se dégage de ce livre, après on aime ou pas.
Sinon, si, à mes yeux, il y a un style particulier qui se dégage de ce livre, après on aime ou pas.
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http://www.bricabook.fr/
- FourseasonsGrand sage
Oui chef Frisouilles !
Les "et" m agacent dans ce livre, il y en a une quantité impressionnante ! Quelle lourdeur !
"... et referma le barillet et tourna le révolver et l'examina."
Les "et" m agacent dans ce livre, il y en a une quantité impressionnante ! Quelle lourdeur !
"... et referma le barillet et tourna le révolver et l'examina."
- CarabasVénérable
Oui, hein?Loise a écrit:Les "et" m agacent dans ce livre, il y en a une quantité impressionnante ! Quelle lourdeur !
"... et referma le barillet et tourna le révolver et l'examina."
Je me suis dit que quand on lisait des copies écrites comme ça, on pénalisait.
Peut-être que cela passe mieux en anglais?
Frisouille :
- Spoiler:
- Pauvre gosse, il n'a pas mérité ça!
Dans ce cas, je pense que c'est volontairement ambigu. Mais pour moi, les gosses sont "une réserve" de nourriture.
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Terry Pratchett
- ErgoDevin
L'anglais est beaucoup moins sensible aux répétitions que le français, oui.Carabas a écrit:
Je me suis dit que quand on lisait des copies écrites comme ça, on pénalisait.
Peut-être que cela passe mieux en anglais?
Frisouille: je comprends ton point de vue.
Je pense que j'ai eu du mal parce que le style me paraît tellement froid que du coup, je n'ai pas été touchée par cette relation père-fils comme j'aurais dû l'être mais agacée par la manière d'écrire.
(Je l'ai lu en anglais.)
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« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- FrisouilleEnchanteur
Carabas a écrit:
Frisouille :
- Spoiler:
Pauvre gosse, il n'a pas mérité ça!
Dans ce cas, je pense que c'est volontairement ambigu. Mais pour moi, les gosses sont "une réserve" de nourriture.
Oui, j'imaginais bien que tu me proposerais cet argument. Mais je rejette tout en bloc, votre Honneur !
Sinon, je viens tout juste de finir La Séance, de John Hartwood, dont tu avais parlé il a un an et demi, Leil.
J'ai passé un très agréable moment, complètement prise dans l'ambiance ( à me donner des envies de thé ! ), intriguée par ces mystères et par l'habileté de la narration, à travers les différents personnages.
Merci !
- LeilEsprit éclairé
De rien, Frisouille ! Oui, j'avais bien aimé l'ambiance de ce roman moi aussi !
Sinon mon polar du mois pour le prix ELLE :
Suis passée complètement à côté, pourtant sur Babelio, il est bien noté. Dommage.
Sinon mon polar du mois pour le prix ELLE :
Suis passée complètement à côté, pourtant sur Babelio, il est bien noté. Dommage.
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- FourseasonsGrand sage
Bon terminé et je n'ai pas accroché tout le long... Même pas envie d'analyser la fin, juste contente de l'avoir enfin terminé !
- lulucastagnetteEmpereur
Bof, je n'ai pas accroché du tout. Pourtant j'avais bien aimé "La Mécanique du coeur".
Mauvaise pioche aussi...
- ClarinetteGrand Maître
Moi aussi, j'avais bien aimé "La mécanique du coeur", mais pas complètement adhéré, donc ça ne m'a pas donné envie d'en lire un autre.
Dans ma mauvaise pioche récente, il y avait "Kétala", de Fatou Diome. Idée intéressante : les meubles d'une défunte racontent sa vie à travers leurs souvenirs avant d'être dispersés dans le kétala, le partage des affaires chez les Sénégalais musulmans.
Mais le livre ne tient pas ses promesses, notamment sur le plan stylistique.
PS : je me pencherai sur "comment insérer une image" ultérieurement : je ne suis qu'une petite nouvelle...
Dans ma mauvaise pioche récente, il y avait "Kétala", de Fatou Diome. Idée intéressante : les meubles d'une défunte racontent sa vie à travers leurs souvenirs avant d'être dispersés dans le kétala, le partage des affaires chez les Sénégalais musulmans.
Mais le livre ne tient pas ses promesses, notamment sur le plan stylistique.
PS : je me pencherai sur "comment insérer une image" ultérieurement : je ne suis qu'une petite nouvelle...
- NestyaEsprit sacré
J'adore la couverture!lulucastagnette a écrit:
Bof, je n'ai pas accroché du tout. Pourtant j'avais bien aimé "La Mécanique du coeur".
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"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- gelsomina31Grand Maître
Je viens de le commencer en anglais. J'aime beaucoup!! J'y retrouve la truculence et le charme de la série qui en a été tirée, série diffusée à la rentrée scolaire si je me souviens bien!
- FrisouilleEnchanteur
Je suis en train de lire La vie devant soi de Romain Gary/Émile Ajar - tes mots Angua m'avaient donné envie de le découvrir...- et je me régale : la modernité de l'écriture, les personnages, l'univers métissé... mais je suis profondément surprise, et triste, de constater que le discours sous-jacent sur le traitement des personnes âgées demeurent encore cruellement d'actualité...
Heureusement que l'humour vient apporter un peu de lumière dans ce monde "d'enfants de putes" !
Heureusement que l'humour vient apporter un peu de lumière dans ce monde "d'enfants de putes" !
- HopeHabitué du forum
Dans le même style, Gros Câlin, de Gary / Ajar, est très sympa aussi (malgré un titre peu aguicheur). Il faudrait que je relise La Vie devant soi - j'avais beaucoup aimé, mais ça commence à faire un bail, je ne me souviens plus de grand chose.
_________________
Omnia mutantur nihil interit (Ovide)
- lulucastagnetteEmpereur
J'ai lu ça qui m'a fait penser à "Freedom". L'histoire d'une famille américaine ultra-riche.
- lamelimeloÉrudit
Ca me dit bien de le lire ce livre, Lulu.
La documentaliste s'est débarrassée de certains livres qui n'avaient pas été choisis par les élèves depuis des décennies et du coup, j'ai récupéré quelques classiques du genre policier.
J'ai donc relu avec plaisir L'homme au complet marron d'Agatha Christie.
Une jeune fille désargentée, Anne Beddingfeld, venue tenter sa chance à Londres après le décès de son père, professeur désargenté féru de paléontologie mais détaché des réalités « terrestres », est le témoin de la chute suspecte d'un homme sur la voie ferrée, dans le métro de Londres, la victime ayant, selon ses observations, été effrayée par la présence d'un homme mystérieux. Par une suite de hasards et de petites investigations, elle finit par retrouver la trace du mystérieux inconnu aperçu sur la scène de l'accident du métro, achète sur une impulsion subite, avec le reste de ses économies, un billet sur un navire en partance pour l'Afrique du Sud et se fait engager, dans la foulée, comme secrétaire de sir Eustace Pedler, propriétaire d'un moulin dans lequel a parallèlement été découvert le corps d'une femme inconnue, après que la police londonienne y fut attirée par la découverte, dans la poche de l'homme mort dans le métro, d'une carte d'agence immobilière chargée de la vente du moulin. S'ensuivent divers rebondissements et aventures
.
Je poursuis la série avec La maison biscornue.
La documentaliste s'est débarrassée de certains livres qui n'avaient pas été choisis par les élèves depuis des décennies et du coup, j'ai récupéré quelques classiques du genre policier.
J'ai donc relu avec plaisir L'homme au complet marron d'Agatha Christie.
Une jeune fille désargentée, Anne Beddingfeld, venue tenter sa chance à Londres après le décès de son père, professeur désargenté féru de paléontologie mais détaché des réalités « terrestres », est le témoin de la chute suspecte d'un homme sur la voie ferrée, dans le métro de Londres, la victime ayant, selon ses observations, été effrayée par la présence d'un homme mystérieux. Par une suite de hasards et de petites investigations, elle finit par retrouver la trace du mystérieux inconnu aperçu sur la scène de l'accident du métro, achète sur une impulsion subite, avec le reste de ses économies, un billet sur un navire en partance pour l'Afrique du Sud et se fait engager, dans la foulée, comme secrétaire de sir Eustace Pedler, propriétaire d'un moulin dans lequel a parallèlement été découvert le corps d'une femme inconnue, après que la police londonienne y fut attirée par la découverte, dans la poche de l'homme mort dans le métro, d'une carte d'agence immobilière chargée de la vente du moulin. S'ensuivent divers rebondissements et aventures
.
Je poursuis la série avec La maison biscornue.
- leyadeEsprit sacré
Lu Le caveau de famille, la suite du Mec de la tombe d'à côté.
Autant j'ai trouvé le premier original, frais, émouvant, romantique et drôle, autant la suite, je me suis ennuyée ferme, c'était fade, hyper répétitif et assez niais.
Autant j'ai trouvé le premier original, frais, émouvant, romantique et drôle, autant la suite, je me suis ennuyée ferme, c'était fade, hyper répétitif et assez niais.
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Maggi is my way, Melfor is my church and Picon is my soutien. Oui bon je sais pas dire soutien en anglais.
LSU AP ENT HDA PAI PAP PPMS PPRE ULIS TICE PAF
- AnguaGrand sage
Frisouille a écrit:Je suis en train de lire La vie devant soi de Romain Gary/Émile Ajar - tes mots Angua m'avaient donné envie de le découvrir...- et je me régale : la modernité de l'écriture, les personnages, l'univers métissé... mais je suis profondément surprise, et triste, de constater que le discours sous-jacent sur le traitement des personnes âgées demeurent encore cruellement d'actualité...
Heureusement que l'humour vient apporter un peu de lumière dans ce monde "d'enfants de putes" !
Hélas, oui, que ce roman est actuel encore... en tout cas, la prochaine que j'aurai des lycéens, ils n'y couperont pas!
@ Hope: tu me rappelles que je m'étais dit que je lirais Gros Câlins... je l'avais écouté en audiobook sur un long trajet il y a trèèèèèès longtemps de cela, et c'était déjà la conclusion que j'en avais tiré!
Sinon, au milieu d'autres nombreuses lectures, je suis en ce moment dans L'apprentie du Philosophe de James Morrow... un régal pour l'instant (et je doute que ça change!). Un thésard en philosophe qui envoie tout promener le jour de sa soutenance est employé pour devenir une sorte de précepteur, afin de rendre la "rectitude morale" à une ado qui l'aurait perdu après un traumatisme crânien.
- FrisouilleEnchanteur
Angua a écrit:Frisouille a écrit:Je suis en train de lire La vie devant soi de Romain Gary/Émile Ajar - tes mots Angua m'avaient donné envie de le découvrir...- et je me régale : la modernité de l'écriture, les personnages, l'univers métissé... mais je suis profondément surprise, et triste, de constater que le discours sous-jacent sur le traitement des personnes âgées demeurent encore cruellement d'actualité...
Heureusement que l'humour vient apporter un peu de lumière dans ce monde "d'enfants de putes" !
Hélas, oui, que ce roman est actuel encore... en tout cas, la prochaine que j'aurai des lycéens, ils n'y couperont pas!
Je l'ai fini hier soir (merci la coupure internet) ... Punaise que c'est fort, et beau, et triste, infiniment...La fin prend littéralement aux tripes... l'adresse du gamin à un "vous" qui pourrait le sortir de sa misère noire...
Je partage ton avis, c'est un texte à faire partager, de toute urgence... C'est difficile de réaliser que nous n'avons pas avancé sur cette question depuis les années 70... Je n'ai pas pu m'empêcher de penser au sort de ma grand-mère, pendant cette lecture...
Merci en tout cas Angua.
Me suis mise ce matin, au petit-dèj, à l'avant-dernier Camilla Lackberg, L'oiseau de mauvaise augure, du roman policier pas prise de tête, pour me laisser le temps de me remettre de La peste et de La vie devant soi.
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