- Invité19Esprit sacré
virer de cours pour ne pas avoir de manuel, je ne sais pas... dans le règlement intérieur, on a :
"exclusion ponctuelle de cours en cas de grave perturbation de celui ci"
je ne pense pas que l'établissement considère un oubli de manuel comme une grave perturbation...
"exclusion ponctuelle de cours en cas de grave perturbation de celui ci"
je ne pense pas que l'établissement considère un oubli de manuel comme une grave perturbation...
- Marie LaetitiaBon génie
Oiseau phenix a écrit:j'oubliais, le pompon : j'avais dit au premier cours que j'interrogeais souvent en début de cours, noté sur 5 ou 10. Là, je l'ai fait (3e cours avec cette classe, au 2e cours les autres classes l'ont fait aussi sans pb). Une élève est volontaire, j'interroge, il y avait des oublis, des approximations... je pensais lui mettre 6 ou 7 sur 10. Et quand à la fin j'ai parlé de note, elle a dit "mais attendez, c'était noté madame là ?? ah mais si j'avais su j'aurais mieux appris !! je pourrai me rattraper ? et quand j'ai dit que j'allais mettre 6 ou 7 elle a dit "bon, ca va". je dois noter trop gentiment... en même temps j'ai senti que ses approximations étaient liées à des incompréhensions de ce qu'on avait fait.. (l'autre classe pas de pb en revanche)
et sans les notes, ils deviennent quoi ces élèves ? :lol:
Moi, je ne donnerais pas leurs notes. Ça maintiendrait le suspense... Au pire tu leur donnes leurs notes au milieu du trimestre. :diable:
_________________
Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Marie LaetitiaBon génie
Oiseau phenix a écrit:virer de cours pour ne pas avoir de manuel, je ne sais pas... dans le règlement intérieur, on a :
"exclusion ponctuelle de cours en cas de grave perturbation de celui ci"
je ne pense pas que l'établissement considère un oubli de manuel comme une grave perturbation...
c'est compliqué parce que tu es stagiaire. Demande à ton tuteur comment il fait pour chaque type de problème, ça vaudra mieux. Sinon, punition, mais PAS de grâce.
Comme disent les militochs, action, réaction! Si tu leurs laisses une brèche, ils vont s'engouffrer et ça va être de pire en pire.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Marie LaetitiaBon génie
Cave : chapeau ! (fais gaffe, tu vas finir par aimer )
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- MélisandeNeoprof expérimenté
Oiseau phenix a écrit:j'ai regardé le règlement à l'interclasse, ils parlent seulement de "travail supplémentaire". Je vais éplucher le BO paru fin août, et au prochain cours ce sera petite mise au point peut être (ou pas ?)
Merci Ml et Al Qalam, ça me rassure un peu. Je marchais sur des oeufs... j'ai eu peur d'être trop démago mais j'ai en effet vu venir le moment où la classe me prendrait en grippe (et on a beau dire qu'on n'est pas là pour se faire aimer, ils travaillent quand même mieux ainsi !!), et ferait la grève de la participation...
heureusement, Glandeuse sympa a continué à animer le cours (j'avais dit, il faut dire, que s'ils étaient tranquilles j'enlèverais la punition)
Mais je crois qu'ils ont peut être trop eu le sentiment de négocier (même si c'est venu de moi, eux ne demandaient même pas que j'enlève la punition, mais ils protestaient).
Bref... je crois que la prochaine fois je vais faire mon carré de la mort, comme dit l'autre, marquer les pages à copier ou à faire en exo, et je les préviens que j'inscris des noms... ou alors je fais un système de croix : une croix = avertissement, 2 croix : punition)
Ne mets surtout pas de croix. Tu les as déjà avertis à voix haute, de façon générale, en faisant ton carré. Un seul avertissement suffit, deux seraient de la faiblesse, pour les élèves, une preuve que tu hésites à punir.
Et d'ailleurs, une fois que tu as tracé ton carré, tu n'hésites pas et tu inscris le nom de chaque bavard au premier mot chuchoté aux voisins, et sans état d'âme. Sinon, ton carré n'aura pas l'impact que tu souhaites lui donner.
- cavecattumNeoprof expérimenté
Marie Laetitia a écrit:Cave : chapeau ! (fais gaffe, tu vas finir par aimer )
Faut pas pousser!
Disons que pour l'instant, ça ne me pèse pas! Mais j'ai quand même une seconde qui ne va pas, et ça m'énerve!
- GrypheMédiateur
Tu l'as dit toi-même : "J'ai voulu tester mon autorité", ils l'ont senti et eux aussi ont voulu, gentiment, voir jusqu'où tu serais prête à aller.Oiseau phenix a écrit:Je rame...
La classe de L sympas et bavards. Comme ils m'aiment bien J'ai voulu tester mon autorité ..
Ça a l'air d'être plutôt des gentils, ils se sont "contrôlés" à peu près,... mais si tu as dû noter plusieurs noms, c'est bien qu'ils ont un peu testé...
Vous avez eu un temps de "régulation" où tu as réexpliqué le pourquoi du comment, le silence, ce n'est pas pour les embêter, mais pour qu'ils puissent bien travailler, ils ont entendu, ils ont vu que tu as réagi "moyennement", a priori, ils peuvent en conclure que tu es une gentille (comme moi !), mais que tu n'accepteras pas n'importe quoi non plus.
Vis-à-vis de cette classe, ton potentiel de sympathie est à 100%, et ton potentiel d'autorité est à 60% pour le moment (les chiffres sont au pif, bien sûr). La sympathie peut t'aider à asseoir ton autorité, mais ne t'aidera pas longtemps ; en étant un peu plus ferme les prochains cours, ça devrait bien se passer.
Pour les idées de punitions, je pense que tu en trouveras beaucoup par ici, certains ont de bonnes idées en la matière !
RAS : et sinon, les pâtisseries, elles sont achetées avec tout ça ?
Alors là, je te rassure tout de suite : sur le contenu, quoi que tu racontes, ils n'y verront que du feu. C'est même limite dangereux ; on pourrait leur raconter n'importe quoi que ça passerait. Les élèves sont souvent très contestataires sur la forme, les règles de vie de classe, les "c'est pas moi"... en revanche, c'est relativement rare qu'ils se permettent des remarques sur le contenu (à l'exception de l'histoire religieuse), et lorsque c'est le cas, c'est à côté de la plaque. Alors, à partir du moment où tu as préparé ton cours, no stress sur ce point là !je me dis que mon cours va leur paraître nul et vide à côté...
Ah oui tiens, une bonne surprise est toujours possible !Cave : chapeau ! (fais gaffe, tu vas finir par aimer)
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Τί ἐστιν ἀλήθεια ;
- DerborenceModérateur
Entièrement d'accord avec ML.Marie Laetitia a écrit:Oiseau phenix a écrit:virer de cours pour ne pas avoir de manuel, je ne sais pas... dans le règlement intérieur, on a :
"exclusion ponctuelle de cours en cas de grave perturbation de celui ci"
je ne pense pas que l'établissement considère un oubli de manuel comme une grave perturbation...
c'est compliqué parce que tu es stagiaire. Demande à ton tuteur comment il fait pour chaque type de problème, ça vaudra mieux. Sinon, punition, mais PAS de grâce.
Comme disent les militochs, action, réaction! Si tu leurs laisses une brèche, ils vont s'engouffrer et ça va être de pire en pire.
Dans la plupart des établissements, l'absence de matériel n'est pas un motif d'exclusion de cours.
Maintenant, si plusieurs élèves ne peuvent pas faire le travail que tu as prévu parce qu'ils n'ont pas apporté leur matériel (ex : le manuel), rien ne t'empêche de leur dire : "Vous n'avez pas le matériel nécessaire pour travailler avec la classe, vous allez donc faire des exercices/ études de documents jusqu'à la fin de l'heure. Et je ne veux pas vous entendre. Le cours d'aujourd'hui est à évidemment à rattraper pour la prochaine fois. " Et tu travailles avec ceux qui ont leur matériel.
Pour l'avoir déjà fait, je peux te dire que cela fonctionne plutôt bien. Il faut évidemment que tu aies à ta disposition des fiches d'exercices, des étude de docs, etc. Les élèves trouvent pénibles de passer l'heure à gratter alors que leurs camarades peuvent participer au cours.
Quant aux punitions, copier la leçon du livre est très pédagogique.
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"La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne." Proverbe chinois
"Derborence, le mot chante triste et doux dans la tête pendant qu’on se penche sur le vide, où il n’y a plus rien, et on voit qu’il n’y a plus rien."
Charles-Ferdinand Ramuz, Derborence
- Invité19Esprit sacré
Marie Laetitia a écrit:Oiseau phenix a écrit:j'oubliais, le pompon : j'avais dit au premier cours que j'interrogeais souvent en début de cours, noté sur 5 ou 10. Là, je l'ai fait (3e cours avec cette classe, au 2e cours les autres classes l'ont fait aussi sans pb). Une élève est volontaire, j'interroge, il y avait des oublis, des approximations... je pensais lui mettre 6 ou 7 sur 10. Et quand à la fin j'ai parlé de note, elle a dit "mais attendez, c'était noté madame là ?? ah mais si j'avais su j'aurais mieux appris !! je pourrai me rattraper ? et quand j'ai dit que j'allais mettre 6 ou 7 elle a dit "bon, ca va". je dois noter trop gentiment... en même temps j'ai senti que ses approximations étaient liées à des incompréhensions de ce qu'on avait fait.. (l'autre classe pas de pb en revanche)
et sans les notes, ils deviennent quoi ces élèves ? :lol:
Moi, je ne donnerais pas leurs notes. Ça maintiendrait le suspense... Au pire tu leur donnes leurs notes au milieu du trimestre. :diable:
pour les autres classes je n'ai pas donné les notes. Mais j'ai dit parfois à quoi ils pouvaient s'attendre (ni très bon ni très mauvais).
- Invité19Esprit sacré
Derborence a écrit:Entièrement d'accord avec ML.Marie Laetitia a écrit:Oiseau phenix a écrit:virer de cours pour ne pas avoir de manuel, je ne sais pas... dans le règlement intérieur, on a :
"exclusion ponctuelle de cours en cas de grave perturbation de celui ci"
je ne pense pas que l'établissement considère un oubli de manuel comme une grave perturbation...
c'est compliqué parce que tu es stagiaire. Demande à ton tuteur comment il fait pour chaque type de problème, ça vaudra mieux. Sinon, punition, mais PAS de grâce.
Comme disent les militochs, action, réaction! Si tu leurs laisses une brèche, ils vont s'engouffrer et ça va être de pire en pire.
Dans la plupart des établissements, l'absence de matériel n'est pas un motif d'exclusion de cours.
Maintenant, si plusieurs élèves ne peuvent pas faire le travail que tu as prévu parce qu'ils n'ont pas apporté leur matériel (ex : le manuel), rien ne t'empêche de leur dire : "Vous n'avez pas le matériel nécessaire pour travailler avec la classe, vous allez donc faire des exercices/ études de documents jusqu'à la fin de l'heure. Et je ne veux pas vous entendre. Le cours d'aujourd'hui est à évidemment à rattraper pour la prochaine fois. " Et tu travailles avec ceux qui ont leur matériel.
Pour l'avoir déjà fait, je peux te dire que cela fonctionne plutôt bien. Il faut évidemment que tu aies à ta disposition des fiches d'exercices, des étude de docs, etc. Les élèves trouvent pénibles de passer l'heure à gratter alors que leurs camarades peuvent participer au cours.
Quant aux punitions, copier la leçon du livre est très pédagogique.
c'est exactement ce que je pensais faire. Du coup, oui, je prévoirais des exos de punition.
- NitaEmpereur
Je trouve aussi que tu t'en es bien sortie ; pour les nouvelles, elles se dém..., elles sont en seconde, elles peuvent gérer ça toute seules. Elles n'ont eu ton collègue que quelques heures, donc tu n'as pas à redouter qu'elles le regrettent.
Pour le coup de se relever, c'est normal.
Pour le coup de se relever, c'est normal.
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A clean house is a sign of a broken computer.
- Invité19Esprit sacré
Gryphe : eh oui.... j'ai bien peur au prochain cours d'avoir à nouveau une rébellion quand je punirai (parce que je les connais, ca va pas leur avoir suffi).
avec les autres classes je suis plus sévère (j'ai eu ces L en tout premier, et je savais pas trop comment faire... le pire c'est que leur pp me dit qu'avec eux je peux obtenir le silence absolu donc, oui, je suis nulle ...).
Mais dans ces autres classes, je n'en ai qu'une qui est très sage. Les autres sont des secondes, dont une classe peut être domptée, peut être (quoi que si mes L ont réagi comme ça, je me demande ce que ça va donner...). Et la 2nde terrible, alors là, je crains le pire quand je vais punir.
avec les autres classes je suis plus sévère (j'ai eu ces L en tout premier, et je savais pas trop comment faire... le pire c'est que leur pp me dit qu'avec eux je peux obtenir le silence absolu donc, oui, je suis nulle ...).
Mais dans ces autres classes, je n'en ai qu'une qui est très sage. Les autres sont des secondes, dont une classe peut être domptée, peut être (quoi que si mes L ont réagi comme ça, je me demande ce que ça va donner...). Et la 2nde terrible, alors là, je crains le pire quand je vais punir.
- CondorcetOracle
Oiseau, quand tu puniras, l'essentiel est de vider la peur de toi : tu peux avoir peur avant ou après le cours mais pas pendant (je ne te le souhaite pas hein). Sur l'instant, avoir l'air décidée te sera d'une aide précieuse.
Oiseau
Oiseau
- *Fifi*Modérateur
Allez courage Oiseau tu vas t'en sortir !
Je vais comme le disait (je crois !) ML des interros en début d'heure à l'oral. Je me demandais justement s'il valait mieux donner les notes ou pas. Quels sont vos avis et pourquoi ?
merci
Je vais comme le disait (je crois !) ML des interros en début d'heure à l'oral. Je me demandais justement s'il valait mieux donner les notes ou pas. Quels sont vos avis et pourquoi ?
merci
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Pour accéder à la banque de données en HG, merci de lire le règlement ici :
https://www.neoprofs.org/t36320-bdd-hg-reglement
- cavecattumNeoprof expérimenté
Oiseau phenix a écrit:Gryphe : eh oui.... j'ai bien peur au prochain cours d'avoir à nouveau une rébellion quand je punirai (parce que je les connais, ca va pas leur avoir suffi).
avec les autres classes je suis plus sévère (j'ai eu ces L en tout premier, et je savais pas trop comment faire... le pire c'est que leur pp me dit qu'avec eux je peux obtenir le silence absolu donc, oui, je suis nulle ...).
Mais dans ces autres classes, je n'en ai qu'une qui est très sage. Les autres sont des secondes, dont une classe peut être domptée, peut être (quoi que si mes L ont réagi comme ça, je me demande ce que ça va donner...). Et la 2nde terrible, alors là, je crains le pire quand je vais punir.
Ah, toi aussi tu en as une! Je compatis. Je crois que je n'aime pas ce niveau! (Dis-je doctement avec ma semaine d'expérience )
- Marie LaetitiaBon génie
*Fifi* a écrit:Allez courage Oiseau tu vas t'en sortir !
Je vais comme le disait (je crois !) ML des interros en début d'heure à l'oral. Je me demandais justement s'il valait mieux donner les notes ou pas. Quels sont vos avis et pourquoi ?
merci
Quelqu'un ici disait qu'il interrogeait (mais par écrit? Ou oral?) cinq fois un élève et qu'il gardait les quatre meilleurs notes... Donc dans ce cadre-là on peut donner les notes, ça ne démotive pas les élèves, au contraire.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- *Fifi*Modérateur
5 fois ?? Mais c'est énorme si c'est par oral !! Ca marche pas même sur l'année ... Dans le trimestre, tous mes élèves ne seront pas passés.
D'ailleurs : au premier cours j'ai demandé s'il y avait un volontaire, si je le refais, je crains qu'ils ne révisent qu'une fois, et basta. Je choisis, donc ?
D'ailleurs : au premier cours j'ai demandé s'il y avait un volontaire, si je le refais, je crains qu'ils ne révisent qu'une fois, et basta. Je choisis, donc ?
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- Marie LaetitiaBon génie
ah oui, tu choisis ! Si tu attends les volontaires, ce seront tjrs les mêmes.
Je crois que les 5 notes c'était une des collègues ici en collège et qui faisait des mini-interro écrite en début d'heure.
Je crois que les 5 notes c'était une des collègues ici en collège et qui faisait des mini-interro écrite en début d'heure.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- *Fifi*Modérateur
Oui, je vais choisir.
Par contre, est-ce qu'une âme charitable pourrait me réexpliquer comment elle s'y prend pour faire reformuler une idée par les élèves ? J'y arrive pas. Après une explication/prise de note, je leur demande s'ils ont des questions, s'ils ont compris. C'est là que je devrais leur faire reformuler ? ou avant ? et je dis quoi ?
désolée, ca me semble bien obscur ...
Par contre, est-ce qu'une âme charitable pourrait me réexpliquer comment elle s'y prend pour faire reformuler une idée par les élèves ? J'y arrive pas. Après une explication/prise de note, je leur demande s'ils ont des questions, s'ils ont compris. C'est là que je devrais leur faire reformuler ? ou avant ? et je dis quoi ?
désolée, ca me semble bien obscur ...
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- GrypheMédiateur
Oui mais moi, on va dire que je n'ai plus le droit de jouer puisque je ne fais plus cours... Pourtant la reformulation m'apparaît comme quelque chose de vraiment important pour que les élèves assimilent ce que l'on est en train de faire. Sinon, on peut faire un cours niveau bac+5, et ne pas se rendre compte qu'ils sont perdus. On peut aussi faire un cours niveau seconde en seconde, et les perdre pour peu qu'on n'y fasse pas attention.*Fifi* a écrit:Par contre, est-ce qu'une âme charitable pourrait me réexpliquer comment elle s'y prend pour faire reformuler une idée par les élèves ? J'y arrive pas.
désolée, ca me semble bien obscur ...
Je pars du principe (qui est le mien, qui peut être contesté, contestable...) que ce qui compte n'est pas tant ce que l'on dit en cours, que ce que les élèves en retiennent. Vous n'êtes pas obligés d'être d'accord.
Partant de ce principe, lorsque je faisais cours (et d'une autre manière quand je suis en entretien individuel par exemple), je faisais répéter l'IDEE importante par les élèves, avec leurs propres mots, à 2-3 moment stratégiques de l'avancée de la leçon du jour. Interroger des élèves un peu en difficulté à ce moment-là est d'ailleurs assez intéressant : ils disent ce qu'ils ont compris, on peut les remercier voire les complimenter pour tout ce qu'ils arrivent à redire, il y a alors quelqu'un d'autre qui intervient pour rajouter "mais il y a aussi tel élément qui est important" ; on rajoute notre grain de sel en posant la question de la cause et de la conséquence, et lorsqu'on a l'impression que la classe accroche bien, ils peuvent noter.
Ça marche très très bien en collège, en seconde, je ne sais pas.
Voilà ce qui avait marché pour moi, mais c'est vrai qu'on ne peut pas transposer comme ça à un autre public, d'un autre niveau... à vous de faire vos expériences, vous avez toute l'année pour ça !
Bon courage !
Et moi il faut que je m'y mette, là, je n'ai encore rien fichu cet après-midi après une matinée mouvementée ! :lol:
- KelemNiveau 7
Personnellement, je ramasse les préparations sur la base du volontariat, avec la règle d'une préparation rendue par mois (je tiens les comptes). Si quelqu'un veut m'en rendre plus, je ne tiendrais compte que des meilleures productions.
Dès la deuxième séance de cours, j'ai ramassé une dizaine de préparation sur deux classes. Je vais voir si ce sont toujours les mêmes qui se manifestent, mais ça fait plaisir de voir que les élèves sont aussi demandeurs.
Dès la deuxième séance de cours, j'ai ramassé une dizaine de préparation sur deux classes. Je vais voir si ce sont toujours les mêmes qui se manifestent, mais ça fait plaisir de voir que les élèves sont aussi demandeurs.
- *Fifi*Modérateur
Merci Gryphe. Ce que je me demande, c'est quand vaut-il mieux les faire reformuler ?Gryphe a écrit:Oui mais moi, on va dire que je n'ai plus le droit de jouer puisque je ne fais plus cours... Pourtant la reformulation m'apparaît comme quelque chose de vraiment important pour que les élèves assimilent ce que l'on est en train de faire. Sinon, on peut faire un cours niveau bac+5, et ne pas se rendre compte qu'ils sont perdus. On peut aussi faire un cours niveau seconde en seconde, et les perdre pour peu qu'on n'y fasse pas attention.*Fifi* a écrit:Par contre, est-ce qu'une âme charitable pourrait me réexpliquer comment elle s'y prend pour faire reformuler une idée par les élèves ? J'y arrive pas.
désolée, ca me semble bien obscur ...
Je pars du principe (qui est le mien, qui peut être contesté, contestable...) que ce qui compte n'est pas tant ce que l'on dit en cours, que ce que les élèves en retiennent. Vous n'êtes pas obligés d'être d'accord.
Partant de ce principe, lorsque je faisais cours (et d'une autre manière quand je suis en entretien individuel par exemple), je faisais répéter l'IDEE importante par les élèves, avec leurs propres mots, à 2-3 moment stratégiques de l'avancée de la leçon du jour. Interroger des élèves un peu en difficulté à ce moment-là est d'ailleurs assez intéressant : ils disent ce qu'ils ont compris, on peut les remercier voire les complimenter pour tout ce qu'ils arrivent à redire, il y a alors quelqu'un d'autre qui intervient pour rajouter "mais il y a aussi tel élément qui est important" ; on rajoute notre grain de sel en posant la question de la cause et de la conséquence, et lorsqu'on a l'impression que la classe accroche bien, ils peuvent noter.
Ça marche très très bien en collège, en seconde, je ne sais pas.
Voilà ce qui avait marché pour moi, mais c'est vrai qu'on ne peut pas transposer comme ça à un autre public, d'un autre niveau... à vous de faire vos expériences, vous avez toute l'année pour ça !
Bon courage !
Et moi il faut que je m'y mette, là, je n'ai encore rien fichu cet après-midi après une matinée mouvementée ! :lol:
Si je fais questions (sur doc ou à l'oral) -> leurs réponses -> ca devient leur trace écrite. Si je demande de reformuler avant d'écrire, j'ai peur que ca ruine le processus de prise de note, et qu'après je sois obligée de dicter en reprenant ce qui a été dit. Si je le fais après avoir écrit, et donc avant de passer à une autre idée, je me dis qu'ils viennent de l'écrire, donc c'est peut-être pas le meilleur moment, ils l'ont en tête. A la fin ? Bref, voila, je ne trouve pas le moment opportun !
- lapetitemuExpert
Je fais un tour sur ce sujet, j'ai tout lu, et je voudrais donner mon avis de néotit sur plusieurs points qui ont été abordés :
- l'histoire de passer dans les rangs et, donc, de risquer d'avoir plus de bavardage : effectivement, c'est un problème dur à résoudre. Ma tutrice me disait tout le temps qu'il fallait que je circule plus dans les rangs (je le faisais déjà pas mal, mais pas les cours où elle était là, je ne sais pas pourquoi...). Mais j'ai toujours trouvé que j'avais bien plus d'autorité debout sur l'estrade, bien face à eux. Et que j'étais plus à même de garder les rênes. Cette année, je varie. Mais je reste assez souvent côté estrade, voire à côté de mon bureau, même quand ils font des exercices. Manière aussi de leur montrer qu'ils sont capables de se débrouiller tout seuls (sinon, ils m'appellent toutes les cinq minutes).
- pour les punitions : j'ai toujours trouvé qu'il y avait un paradoxe dans les consignes qu'on nous donne. D'un côté on nous dit que les punitions doivent être pédagogiques (donc pas de "bêtes" lignes à copier), d'un autre on nous préconise de ne pas dégoûter nos élèves de la matière... J'ai un peu de mal avec l'idée de leur donner une leçon ou, pire, un texte littéraire, en punition. Apprendre une leçon, c'est un boulot à part entière, pas une punition... Et pareil pour la découverte d'un texte ! Le compromis que j'ai trouvé, c'est des exercices du style : recopier des phrases en écrivant le sujet en vert, le verbe en rouge, etc. Quelque chose de simple mais chiant. Je donne aussi des lignes... Et si un élève me dit que je n'ai pas le droit, je lui dis de m'apporter une preuve : sinon, c'est moi qui décide.
- pour l'histoire de la secrétaire qui traite les stagiaires comme des gamins : oh que je suis d'accord !!! Celle de l'an dernier n'était pas antipathique, loin de là, mais qu'est-ce que ça me gonflait, l'air condescendant qu'elle prenait pour dire "ah bah il fallait le faire avant", ou autre... C'est ce que je disais l'an dernier, d'un côté on compatit à notre sort, pauvres stagiaires, etc, d'un autre on voudrait qu'on soit aussi opérationnels que des habitués !
Voilà, et sinon, autre chose que je voudrais dire : c'est plus facile à dire qu'à faire, certes, mais il faut que vous réussissiez à vous dire que vous n'êtes pas responsables de votre statut, on vous a envoyés au casse-pipes avec le temps complet, les multiples responsabilités, les rendez-vous incessants avec le tuteur, les formateurs, etc... Donc, une bonne fois pour toutes, dites-vous que vous êtes là pour APPRENDRE. On a tendance à l'oublier, du fait du nouveau statut des stagiaires, mais, zut, un stage, c'est fait pour apprendre le métier ! Donc on essaie des choses, que ce soit pour la gestion de classe ou le contenu du cours, et puis, si on a l'impression de s'être planté, tant pis. On serre les dents en cas de classe vraiment difficile, et on se dit qu'à la rentrée d'après, tout deviendra plus simple, comme d'un coup de baguette magique.
Je vous dis ça car je n'ai réussi à me le dire qu'en fin d'année alors que c'était la clé de tout...
Bon courage à tout le monde ! (Et désolée pour le pavé ! Mais je ne passe que de temps à autre sur le forum...)
- l'histoire de passer dans les rangs et, donc, de risquer d'avoir plus de bavardage : effectivement, c'est un problème dur à résoudre. Ma tutrice me disait tout le temps qu'il fallait que je circule plus dans les rangs (je le faisais déjà pas mal, mais pas les cours où elle était là, je ne sais pas pourquoi...). Mais j'ai toujours trouvé que j'avais bien plus d'autorité debout sur l'estrade, bien face à eux. Et que j'étais plus à même de garder les rênes. Cette année, je varie. Mais je reste assez souvent côté estrade, voire à côté de mon bureau, même quand ils font des exercices. Manière aussi de leur montrer qu'ils sont capables de se débrouiller tout seuls (sinon, ils m'appellent toutes les cinq minutes).
- pour les punitions : j'ai toujours trouvé qu'il y avait un paradoxe dans les consignes qu'on nous donne. D'un côté on nous dit que les punitions doivent être pédagogiques (donc pas de "bêtes" lignes à copier), d'un autre on nous préconise de ne pas dégoûter nos élèves de la matière... J'ai un peu de mal avec l'idée de leur donner une leçon ou, pire, un texte littéraire, en punition. Apprendre une leçon, c'est un boulot à part entière, pas une punition... Et pareil pour la découverte d'un texte ! Le compromis que j'ai trouvé, c'est des exercices du style : recopier des phrases en écrivant le sujet en vert, le verbe en rouge, etc. Quelque chose de simple mais chiant. Je donne aussi des lignes... Et si un élève me dit que je n'ai pas le droit, je lui dis de m'apporter une preuve : sinon, c'est moi qui décide.
- pour l'histoire de la secrétaire qui traite les stagiaires comme des gamins : oh que je suis d'accord !!! Celle de l'an dernier n'était pas antipathique, loin de là, mais qu'est-ce que ça me gonflait, l'air condescendant qu'elle prenait pour dire "ah bah il fallait le faire avant", ou autre... C'est ce que je disais l'an dernier, d'un côté on compatit à notre sort, pauvres stagiaires, etc, d'un autre on voudrait qu'on soit aussi opérationnels que des habitués !
Voilà, et sinon, autre chose que je voudrais dire : c'est plus facile à dire qu'à faire, certes, mais il faut que vous réussissiez à vous dire que vous n'êtes pas responsables de votre statut, on vous a envoyés au casse-pipes avec le temps complet, les multiples responsabilités, les rendez-vous incessants avec le tuteur, les formateurs, etc... Donc, une bonne fois pour toutes, dites-vous que vous êtes là pour APPRENDRE. On a tendance à l'oublier, du fait du nouveau statut des stagiaires, mais, zut, un stage, c'est fait pour apprendre le métier ! Donc on essaie des choses, que ce soit pour la gestion de classe ou le contenu du cours, et puis, si on a l'impression de s'être planté, tant pis. On serre les dents en cas de classe vraiment difficile, et on se dit qu'à la rentrée d'après, tout deviendra plus simple, comme d'un coup de baguette magique.
Je vous dis ça car je n'ai réussi à me le dire qu'en fin d'année alors que c'était la clé de tout...
Bon courage à tout le monde ! (Et désolée pour le pavé ! Mais je ne passe que de temps à autre sur le forum...)
- DurrutiNiveau 6
Quelqu'un ici disait qu'il interrogeait (mais par écrit? Ou oral?) cinq fois un élève et qu'il gardait les quatre meilleurs notes... Donc dans ce cadre-là on peut donner les notes, ça ne démotive pas les élèves, au contraire.
J'étais stagiaire l'an dernier et j'avais instauré ce système. Au début du cours, je faisais parfois une mini interro écrite de 5 minutes notée sur 5. Je leur posais 2 questions voire 3, ça a plutôt bien fonctionné. Les élèves sont motivés. Je leur explique qu'à la fin je prends les 4 meilleures notes (en général j'en fais 6 dans le trimestre) et que ça compte dans la moyenne. Je suis en histoire géo.
C'est vite corrigé et ça devient une petite tradition, les élèves en viennent à demander des interros pour pouvoir se rattraper. J'ai recommencé cette année dès le début des cours et ça fonctionne aussi plutôt bien.
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"Le péché de pratiquement tous les gens de gauche à partir de 1933 est d'avoir voulu être antifasciste sans être antitotalitaire"
Georges Orwell
- LusioleNiveau 2
Il faut que je pousse un coup de gueule.....
Je ne sais pas comment ça se passe dans les autres académies, mais la formation IUFM de Paris est tout bonnement imbuvable. En plus de nous bouffer une précieuse matinée par semaine (plus un précieux après-midi une semaine sur trois), elle ne sert strictement à rien, en plus d'être totalement démoralisante ! Il faut, en gros, être des super profs dès la première semaine. "Ah bon vous tenez mal votre classe, mais vous vous ne vous en sortirez jamais" (à une de mes collègues). "Votre progression doit être d'ores et déjà impeccable". "Vous êtes en partie responsable de l'échec des élèves". "Gare à vous si vous ne finissez pas le programme", etc. C'est très anxiogène, en plus d'être très infantilisant ! Je ressors de ces cours énervée comme jamais à chaque fois, et avec la profonde envie de tout arrêter.....
Et vous, comment ça se passe ?
Je ne sais pas comment ça se passe dans les autres académies, mais la formation IUFM de Paris est tout bonnement imbuvable. En plus de nous bouffer une précieuse matinée par semaine (plus un précieux après-midi une semaine sur trois), elle ne sert strictement à rien, en plus d'être totalement démoralisante ! Il faut, en gros, être des super profs dès la première semaine. "Ah bon vous tenez mal votre classe, mais vous vous ne vous en sortirez jamais" (à une de mes collègues). "Votre progression doit être d'ores et déjà impeccable". "Vous êtes en partie responsable de l'échec des élèves". "Gare à vous si vous ne finissez pas le programme", etc. C'est très anxiogène, en plus d'être très infantilisant ! Je ressors de ces cours énervée comme jamais à chaque fois, et avec la profonde envie de tout arrêter.....
Et vous, comment ça se passe ?
- lenidjiNiveau 8
Lusiole... Je suis d'accord avec toi. C'est infantilisant et anxiogène je ne peux pas le dire mieux que toi. J'ai l'impression qu'on cherche à nous laver le cerveau, à nous formater. J'en ai même rêvé... J'étais obligée de me plier en 4 pour rentrer dans une baignoire trop petite pour moi. Sans parler des contradictions entre les 1 et les autres... Formateurs, IPR, cde, tuteurs... Chez moi ils tiennent tous un discours différent. Les ordres contradictoires, idéal pour te rendre dingue... Tu dis oui oui et tu fais comme tu le sens. Ne prends que ce qui te convient.
Je ne sais pas vous mais je n'arrive pas à déconnecter, j'y pense en boucle, je me repasse le film de ma journée quand je rentre, je remets tout en cause, ça me bouffe. Je n'ai l'esprit libre pour rien d'autre. Je ne me suis rappelé l'anniversaire de mon mari que de justesse aujourd'hui... Alors si en plus on doit se faire culpabiliser, ça ne va vraiment pas le faire.
Je ne sais pas vous mais je n'arrive pas à déconnecter, j'y pense en boucle, je me repasse le film de ma journée quand je rentre, je remets tout en cause, ça me bouffe. Je n'ai l'esprit libre pour rien d'autre. Je ne me suis rappelé l'anniversaire de mon mari que de justesse aujourd'hui... Alors si en plus on doit se faire culpabiliser, ça ne va vraiment pas le faire.
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