- zabriskieÉrudit
Ben non, ma mère étant prof de français, tout était dans les gènes !
- frimoussette77Guide spirituel
ça explique toutzabriskie a écrit:Ben non, ma mère étant prof de français, tout était dans les gènes !
- roxanneOracle
j'ai enseigné lettres_histoire en plp , ça me paraît déjà plus réaliste.Pour la petite histoire j'ai même eu le plp lettres-histoire en interne à la suite avec à l'écrit un 16..en histoire ! mais bon , il y a eu tout de même des moments de solitude quand je faisais la géographie ...Le plp est un concours bi-matières donc ça me paraît plus légitime que lettres classiques en venant d'histoie..ceci dit, je connais une fille, maîtrise d'allemand qui a eu le capes de lettres puis l'agreg en interne ! mais elle avait préparé ces concours..steph1103 a écrit:Donc selon toi, je devrais refuser l'offre que Pole-emploi vient de m'envoyer par mail, pour un poste de 2/4 heures en lettres-histoire dans un lycée?
- frimoussette77Guide spirituel
Je ne vois pas trop comment tu pourrais obtenir ces concours sans rien préparer et en ayant fait tes études dans une autre matière.roxanne a écrit:j'ai enseigné lettres_histoire en plp , ça me paraît déjà plus réaliste.Pour la petite histoire j'ai même eu le plp lettres-histoire en interne à la suite avec à l'écrit un 16..en histoire ! mais bon , il y a eu tout de même des moments de solitude quand je faisais la géographie ...Le plp est un concours bi-matières donc ça me paraît plus légitime que lettres classiques en venant d'histoie..ceci dit, je connais une fille, maîtrise d'allemand qui a eu le capes de lettres puis l'agreg en interne ! mais elle avait préparé ces concours..steph1103 a écrit:Donc selon toi, je devrais refuser l'offre que Pole-emploi vient de m'envoyer par mail, pour un poste de 2/4 heures en lettres-histoire dans un lycée?
Obtenir une note correcte en ancien français en n'en ayant jamais fait
- steph1103Niveau 5
roxanne a écrit:
j'ai enseigné lettres_histoire en plp , ça me paraît déjà plus réaliste.
Ben tu vois, je pense que c'est une question d'affinités personnelles. Autant le latin ne m'effraye pas le moins du monde, autant je ne me vois absolument pas dispenser des cours de lettres en lycée, même en lycée pro.
- derouteÉrudit
steph1103 a écrit:Sur ma zone géo il y a bien peu d'établissements qui proposent du grec, quasiment seulement les mieux côtés, dans lesquels on ne trouve pas de contractuels, ni même de jeunes titulaires, uniquement des expérimentés.
Et pour le privé je ne le souhaite pas pour tout un tas de raisons, notamment pour ma grossesse; je sais bien qu'aucun d'entre eux ne me signera un contrat.
Je suis dans un établissement privé et la plupart de mes collègues y sont maitres auxiliaires depuis des années et ont déjà connu plusieurs grossesse dans l'établissement. Elles étaient remplacées puis revenaient comme dans le public. Ma collègue d'histoire a eu son deuxième cette année et ma collègue d'anglais c'est pour cette année! Tu devrais vraiment tenter le privé : ça t'ouvrirait plus de portes et tu pourrais enseigner dans ta matière.
- MillEiffelÉrudit
Suppléante dans le privé, je suis exactement de ton avis ! Je vais entamer ma 3ème année dans le même établissement, alors qu'il n'y a pourtant aucun poste vacant, et sans interruption entre les suppléances. Je reste convaincue qu'il y a plus de possibilités dans le privé, et qu'on prend des remplaçants plus rapidement que dans le public.
Pour le reste, j'étais moi même très pessimiste sur mon propre sort : alors qu'il y a pléthore de remplaçants, pourquoi nous donnerait-on un poste à l'année sachant qu'on va s'absenter quasiment la moitié ? Je n'ai pour le moment qu'un petit remplacement, et j'en suis satisfaite à 100%, non pas par manque d'ambition, simple lucidité.
Pour le reste, j'étais moi même très pessimiste sur mon propre sort : alors qu'il y a pléthore de remplaçants, pourquoi nous donnerait-on un poste à l'année sachant qu'on va s'absenter quasiment la moitié ? Je n'ai pour le moment qu'un petit remplacement, et j'en suis satisfaite à 100%, non pas par manque d'ambition, simple lucidité.
- Thalia de GMédiateur
Je reviens sur le forum après quelques heures et je suis atterrée.
Tout a été dit sur la nécessité d'avoir une vraie formation (même si on n'a pas le concours), pour dominer une discipline exigeante, une discipline à part entière.
Et je sais de quoi je parle, j'ai une formation de lettres classiques.
Tout a été dit sur la nécessité d'avoir une vraie formation (même si on n'a pas le concours), pour dominer une discipline exigeante, une discipline à part entière.
Et je sais de quoi je parle, j'ai une formation de lettres classiques.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- PryneiaNiveau 9
Comme la plupart ici, je ne comprends pas trop ton désir de vouloir enseigner les LC alors que tu as une formation d'historienne. Tu risques de te mettre en difficulté! Et cela aura des répercussions sur les apprentissages de tes élèves. Et imagine si tu dois enseigner le grec! La cata
Je suis un cas un peu particulier. Je suis prof des écoles et j'ai obtenu un détachement dans le second degré. J'ai été affectée en lycée. Si je me réjouis de cette opportunité, je suis également assez stressée! Malgré mon Master 2 en lettres classiques, mon admissibilité au CAPES, j'ai peur de ne pas être à la hauteur! Je révise ma grammaire et refait du petit latin depuis plusieurs mois pour réactiver mes acquis, mais ce n'est pas évident! Le latin exige beaucoup de rigueur, tu ne pourras pas improviser.
Je suis un cas un peu particulier. Je suis prof des écoles et j'ai obtenu un détachement dans le second degré. J'ai été affectée en lycée. Si je me réjouis de cette opportunité, je suis également assez stressée! Malgré mon Master 2 en lettres classiques, mon admissibilité au CAPES, j'ai peur de ne pas être à la hauteur! Je révise ma grammaire et refait du petit latin depuis plusieurs mois pour réactiver mes acquis, mais ce n'est pas évident! Le latin exige beaucoup de rigueur, tu ne pourras pas improviser.
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"Leave me alone and let me go to hell by my own route." Calamity Jane
« Nicht ein Wolf ist der Mensch dem Menschen. Er ist ihm Produkt, die totale Ware ist er ihm. » E. Palmetshofer
(« L’homme n’est pas un loup pour l’homme. Il est un produit pour lui, une marchandise, rien de plus. »)
- EmeraldiaÉrudit
Bien-sûr, c'est plus stable d'être non titulaire ds le privé q ds le public (surtt ds l'Académie de Lille). Ds le public, on ne reste quasiment jamais ds l'établissement où on a remplacé et on se fait jeter vu le peu de postes qui st vacants.deroute a écrit:steph1103 a écrit:Sur ma zone géo il y a bien peu d'établissements qui proposent du grec, quasiment seulement les mieux côtés, dans lesquels on ne trouve pas de contractuels, ni même de jeunes titulaires, uniquement des expérimentés.
Et pour le privé je ne le souhaite pas pour tout un tas de raisons, notamment pour ma grossesse; je sais bien qu'aucun d'entre eux ne me signera un contrat.
Je suis dans un établissement privé et la plupart de mes collègues y sont maitres auxiliaires depuis des années et ont déjà connu plusieurs grossesse dans l'établissement. Elles étaient remplacées puis revenaient comme dans le public. Ma collègue d'histoire a eu son deuxième cette année et ma collègue d'anglais c'est pour cette année! Tu devrais vraiment tenter le privé : ça t'ouvrirait plus de portes et tu pourrais enseigner dans ta matière.
- mimilouNiveau 10
C'est surtout ça qui m'ennuie chez Steph. Qu'elle accepte une suppléance qui n'est pas dans sa matière (bon en soit, je ne suis pas d'accord), elle n'est pas la seule à la rigueur (j'ai tout de même dit plus tôt ce que j'en pensais) ; mais c'est plutôt le manque d'humilité qui me choque, le discours "j'en suis capable et je ne vois pas pourquoi je n'y arriverais pas, je n'ai pas à stresser". Et rien à voir avec l'absence de concours, on connait tous des gens qui ont raté le concours mais se sont révélés excellents profs en contractuels, et des gens avec concours qui ne valent plus grand chose devant une classe.Pryneia a écrit:J'ai été affectée en lycée. Si je me réjouis de cette opportunité, je suis également assez stressée! Malgré mon Master 2 en lettres classiques, mon admissibilité au CAPES, j'ai peur de ne pas être à la hauteur!
- ProvenceEnchanteur
Et que dire du discours "j'en sais plus qu'un élève de 3e"? Dans ce cas, confions aux lycéens le soin d'instruire leurs cadets...
- VioletEmpereur
Je me suis même demandé s'il ne s'agissait pas d'un troll tellement j'étais consternée...
- AudreyOracle
Mes amis LC, il faut se rendre à l'évidence... les vautours sont là. Ils rôdaient jusqu'à lors et passent maintenant à l'action.
Ton attitude Steph est celle d'une opportuniste, ni plus, ni moins: "Il y a plein de postes en LC, alors c'est ce que je demande, même si ce n'est pas ce que je sais faire!".
Ça me donne la nausée.
Et le couplet façon "Rémi sans-famille victime du tsunami près de Fukushima à cause de DSK" me dégoûte encore plus. Tu fais un choix moralement (si si, je me place à ce niveau-là!) répugnant, assume-le, c'est un choix. Ne viens pas nous expliquer que tu fais ça parce que tu n'as pas eu ton concours car la vie est vraiment trop méssante avec toi. Certains ont raconté leur parcours, pas plus rose que le tien, et rien ne les a empêchés de se battre pour obtenir le sésame vers l'enseignement. Quand on veut obtenir ce concours, rien ne peut nous empêcher de le passer. Le réussir, c'est autre chose, mais le passer est toujours possible.
Je ne vais pas m'étaler sur ma vie, mais j'en ai bavé aussi. Et le CAPES c'était LA solution pour m'en sortir, alors je n'ai jamais lâché.
J'ai durant mes études vu un paquet d'historiens suivre les cours de latin ou grec avec nous, LC ou LM... Oui, certains comprenaient bien le sens littéral d'un texte, mais JAMAIS ils n'ont envisagé ce texte sous son aspect littéraire, jamais je ne les ai vus chercher ou réussir à traduire les nuances pourtant si constitutives d'une pensée d'auteur. Et désolée de te le redire, Steph, mais enseigner les LC, c'est faire de la littérature latine, grecque et de la littérature française. Ce n'est pas simplement décrypter grossièrement un texte à grands coups de règles de grammaire. Chaque prof de LC s'efforce de rendre une âme aux textes qu'il étudie en classe, en faisant des ponts avec d'autres langues, d'autres cultures, d'autres textes littéraires. Te penses-tu sincèrement armée par ton parcours d'historienne pour établir au débotté des ponts entre tout ça à la demande des élèves? Parce que oui, crois-moi, les élèves sont très curieux. Ils verront tout de suite si tu esquives la question, et dans ce cas, c'est mal barré pour toi.
Au passage, ton parcours en histoire t'a-t-il suffisamment formée en grammaire et en stylistique? Parce qu'il ne faut pas oublier qu'en français, il ne suffit pas d'être cultivé, de savoir lire et écrire sans faute pour faire un prof compétent, hein...
Et puisque je sens que tu vas encore dégainer l'argument du "j'en sais plus qu'un 3è", je préfère te préciser que bien des 3è savent des choses en grammaire que des collègues d'autres matières ont oublié (ou même jamais appris) depuis belle lurette...
Ton attitude Steph est celle d'une opportuniste, ni plus, ni moins: "Il y a plein de postes en LC, alors c'est ce que je demande, même si ce n'est pas ce que je sais faire!".
Ça me donne la nausée.
Et le couplet façon "Rémi sans-famille victime du tsunami près de Fukushima à cause de DSK" me dégoûte encore plus. Tu fais un choix moralement (si si, je me place à ce niveau-là!) répugnant, assume-le, c'est un choix. Ne viens pas nous expliquer que tu fais ça parce que tu n'as pas eu ton concours car la vie est vraiment trop méssante avec toi. Certains ont raconté leur parcours, pas plus rose que le tien, et rien ne les a empêchés de se battre pour obtenir le sésame vers l'enseignement. Quand on veut obtenir ce concours, rien ne peut nous empêcher de le passer. Le réussir, c'est autre chose, mais le passer est toujours possible.
Je ne vais pas m'étaler sur ma vie, mais j'en ai bavé aussi. Et le CAPES c'était LA solution pour m'en sortir, alors je n'ai jamais lâché.
J'ai durant mes études vu un paquet d'historiens suivre les cours de latin ou grec avec nous, LC ou LM... Oui, certains comprenaient bien le sens littéral d'un texte, mais JAMAIS ils n'ont envisagé ce texte sous son aspect littéraire, jamais je ne les ai vus chercher ou réussir à traduire les nuances pourtant si constitutives d'une pensée d'auteur. Et désolée de te le redire, Steph, mais enseigner les LC, c'est faire de la littérature latine, grecque et de la littérature française. Ce n'est pas simplement décrypter grossièrement un texte à grands coups de règles de grammaire. Chaque prof de LC s'efforce de rendre une âme aux textes qu'il étudie en classe, en faisant des ponts avec d'autres langues, d'autres cultures, d'autres textes littéraires. Te penses-tu sincèrement armée par ton parcours d'historienne pour établir au débotté des ponts entre tout ça à la demande des élèves? Parce que oui, crois-moi, les élèves sont très curieux. Ils verront tout de suite si tu esquives la question, et dans ce cas, c'est mal barré pour toi.
Au passage, ton parcours en histoire t'a-t-il suffisamment formée en grammaire et en stylistique? Parce qu'il ne faut pas oublier qu'en français, il ne suffit pas d'être cultivé, de savoir lire et écrire sans faute pour faire un prof compétent, hein...
Et puisque je sens que tu vas encore dégainer l'argument du "j'en sais plus qu'un 3è", je préfère te préciser que bien des 3è savent des choses en grammaire que des collègues d'autres matières ont oublié (ou même jamais appris) depuis belle lurette...
- EmeraldiaÉrudit
Pour moi, si, en plus, je suis choquée par le concours, non pas parce que je ne l'estime pas capable, mais parce que c'est difficile, ça nécessite bcp de travail et q par exemple, moi, j'ai dû le décrocher pour avoir du travail (je m'étais retrouvée au RMI). On exige de nous un concours difficile, ça n'est pas pour nous dire ensuite qu'on est interchangeables ni que des profs d'autres matières trouvent naturel de venir enseigner ce pour quoi ils n'ont pas été formés.mimilou a écrit:C'est surtout ça qui m'ennuie chez Steph. Qu'elle accepte une suppléance qui n'est pas dans sa matière (bon en soit, je ne suis pas d'accord), elle n'est pas la seule à la rigueur (j'ai tout de même dit plus tôt ce que j'en pensais) ; mais c'est plutôt le manque d'humilité qui me choque, le discours "j'en suis capable et je ne vois pas pourquoi je n'y arriverai pas, je n'ai pas à stresser". Et rien à voir avec l'absence de concours, on connait tous des gens qui ont raté le concours mais se sont révélés excellents profs en contractuels, et des gens avec concours qui ne valent plus grand chose devant une classe.Pryneia a écrit:J'ai été affectée en lycée. Si je me réjouis de cette opportunité, je suis également assez stressée! Malgré mon Master 2 en lettres classiques, mon admissibilité au CAPES, j'ai peur de ne pas être à la hauteur!
C'est un manque de respect pour le travail qu'on a été obligés de fournir.
Je me débrouille très bien en anglais, j'ai même envie de reprendre des cours pour m'améliorer, pour autant, je ne me vois pas devenir prof d'anglais et pourtt, je le maîtrise bien mieux q le latin.
- sandmanNiveau 10
Provence a écrit:Les vautours... C'est exactement ça, Audrey.
Peut-être ne faudrait-il pas exagérer. Je comprends la passion que peut susciter ce débat mais je trouve certains propos limites...
Peace and love brothers and sisters...
- AudreyOracle
Les profs qui ne se battent pas chaque année durant des mois pour sauver leurs matières et leurs postes ne peuvent que difficilement comprendre ce que nous, LC, pouvons ressentir à la lecture d'un tel ramassis de c*********.
Non, pas peace and love! Je me battrai jusqu'au bout pour sauver un enseignement des langues anciennes digne de ce nom en France! Marre de voir notre travail et nos connaissances dénigrés constamment par des gens qui pensent que tout ça sort d'une pochette surprise!
Ce sont les propos de Steph qui sont limites, insultants pour notre travail, notre formation, et bien plus encore, pour les élèves!
(Désolée, Sandman, j'ai rien du tout contre toi, hein... )
Non, pas peace and love! Je me battrai jusqu'au bout pour sauver un enseignement des langues anciennes digne de ce nom en France! Marre de voir notre travail et nos connaissances dénigrés constamment par des gens qui pensent que tout ça sort d'une pochette surprise!
Ce sont les propos de Steph qui sont limites, insultants pour notre travail, notre formation, et bien plus encore, pour les élèves!
(Désolée, Sandman, j'ai rien du tout contre toi, hein... )
- SteredDoyen
steph1103 a écrit: Une question me vient à la lecture de vos post corporatistes : je suppose qu'aucun d'entre vous ne fait de civilisation avec les élèves pendant les heures de latin? Après tout, c'est de l'histoire, ni plus ni moins, et en étant formés en lettres classiques, vous n'êtes pas compétents en histoire...
Marrant... Mes cours d'histoire antique me prenaient pourtant quatre heures par semaine en prépa et à la Sorbonne (et oui, j'ai fait une prépa, et non, sans venir d'une famille aisée puisque je bossais à côté).
Et merci, Audrey, d'exprimer aussi bien ce que nous sommes sans nul doute nombreux à ressentir...
- sandmanNiveau 10
Audrey a écrit:Les profs qui ne se battent pas chaque année durant des mois pour sauver leurs matières et leurs postes ne peuvent que difficilement comprendre ce que nous, LC, pouvons ressentir à la lecture d'un tel ramassis de c*********.
Non, pas peace and love! Je me battrai jusqu'au bout pour sauver un enseignement des langues anciennes digne de ce nom en France! Marre de voir notre travail et nos connaissances dénigrés constamment par des gens qui pensent que tout ça sort d'une pochette surprise!
Ce sont les propos de Steph qui sont limites, insultants pour notre travail, notre formation, et bien plus encore, pour les élèves!
(Désolée, Sandman, j'ai rien du tout contre toi, hein... )
- CondorcetOracle
Audrey, je souhaite plus de succès aux profs de LC que ceux d'histoire-géo qui d'un coup d'un seul a vu l'édifice se lézarder en première et sombrer en terminale.
- barègesÉrudit
Le problème en LC est en partie le tarissement du "vivier" en fac. Il n'y a plus personne dans ces filières.
Je ne sais pas pourquoi
Je ne sais pas pourquoi
- DaphnéDemi-dieu
Violet a écrit:Je me suis même demandé s'il ne s'agissait pas d'un troll tellement j'étais consternée...
+1
A ce niveau c'est vraiment consternant
- CondorcetOracle
barèges a écrit:Le problème en LC est en partie le tarissement du "vivier" en fac. Il n'y a plus personne dans ces filières.
Je ne sais pas pourquoi
C'est dommage car les langues anciennes sont à la base de tout
- AudreyOracle
barèges a écrit:Le problème en LC est en partie le tarissement du "vivier" en fac. Il n'y a plus personne dans ces filières.
Je ne sais pas pourquoi
Beh parce qu'on tue les enseignements LC au collège et au lycée! (y a d'autres raisons, mais c'est la première, je pense...)
On ne va pas choisir d'étudier un truc dont on n'a aucune idée!
- Reine MargotDemi-dieu
deroute a écrit:J'insiste lourdement mais LC c'est aussi le grec et je t'assure que tu n'es pas à l'abri de ce côté là.
je suis d'accord pour dire que ce genre de remplacement dans une matière annexe se multiplie et est un vrai problème. en revanche, quand j'étais tzr et que le rectorat insistait lourdement pour que je fasse latin, ils tenaient compte de ce que je n'avais jamais fait de grec. on ne m'en a jamais donné. sont pas fous non plus.
- se rappeler / se souvenir ...
- accord du participe passé de "se rappeler"
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