- frankensteinVénérable
On m'a aidé aussi.par Spinoza1670 Aujourd'hui à 18:02
Je me dénonce. Mais on m'a aidé.
- FinrodExpert
Cripure a écrit:Michel Delord est un mathématicien qui consacre une bonne partie de son activité à réfléchir, et de façon très intéressante, aux questions d'éducation. Google vous enverra un peu partout. Le problème, c'est que Michel Delord n'a jamais su tuer sa première note de bas de page. Hélas. Elles ont crû et se sont multipliées.Igniatius a écrit:On m'a rien demandé mais je vais quand meme le dire : depuis mon dernier post, je n'ai lu aucun des posts de Spinoza ni de Frankenstein (Condorcet est plus concis) car ils sont trop illisibles.
C'est vrai que les spoilers et les liens, c'est too much : résumez la pensée que vous voulez développer au lieu de nous ensevelir sous du fatras qui ressemble presque aux discours des pedagos : synthétisez que diable !
Et qui est Michel Delord ? La référence ultime en philo de l'enseignement ? Un historien ?
J'ai l'impression que l'on atteint les limites de l'autodidactisme, sans vouloir vexer quiconque.
Pour le débat en général. Je ne me suis pas senti rejeté, mais pour moi, il faut poser un problème et un seul, comme dans toute bonne dissertation. Et on n'ouvre même pas à la fin
La quantité de textes écrit pas M. Delord fait un peu peur mais on y gagne à le lire. Il réfléchit, philosophe, vraiment pas désir de comprendre et de toujours pousser le souci du détail plus loin.
ça rend qq textes peu appétissants, mais mon dieu, que c'est agréable de lire qqun qui, en aucun cas, ne cherche à se mettre en avant, ou à prouver une chose précise, fixe et déterminée. (mais il aime avoir raison, trouver des idées nouvelles et les défendre seul contre tous)
Quand je l'ai lu*, il m'a donné l'impression d'être centré sur la réflexion et le souci d'évoluer, de comprendre plus, de trouver comment faire vraiment avancer les choses... Du coup, le côté marketing manque quand 'il s'agit de vendre ses thèses dont certaines très théoriques ou techniciennes sont inaccessible au grand public (plus par manqué d'intérêt de sa part que par manque d'intellect, triste société qui se construit)
*C'est Guy Morel qui m'a très désagréablement donné le lien et conseillé de lire pour être moins ignorant. Plusieurs intervenants se font la guerre entre intellectuels en commentaire du blog de Brighelli. (Je ne sais pas si c'est là qu'ils sont le plus efficace)
ps : et oui, les quinze liens, ça fait un peu spams pédagos mais on peut suivre sa pensée en lisant deux trois textes consistants. L'essentiel des textes plus précis et théorique porte sur l'histoire de éducations nationale, c'est pas un drame si on ne veux pas savoir toutes les étapes qui nous ont amener au désastre actuel, le tout est d'avoir des idées pour remonter la pente. (Michel Delord fut un fondateur du GRIP)
- Spinoza1670Esprit éclairé
frankenstein a écrit:On m"a aidé aussi.par Spinoza1670 Aujourd'hui à 18:02
Je me dénonce. Mais on m'a aidé.
J'ai honte d'écrire des messages de plus de 5 lignes. Cela nuit à l'intelligibilité.
_________________
« Let not any one pacify his conscience by the delusion that he can do no harm if he takes no part, and forms no opinion. Bad men need nothing more to compass their ends, than that good men should look on and do nothing. » (John Stuart Mill)
Littérature au primaire - Rédaction au primaire - Manuels anciens - Dessin au primaire - Apprendre à lire et à écrire - Maths au primaire - école : références - Leçons de choses.
- AbraxasDoyen
Chocolat a écrit:
C'était quoi, déjà, le sujet?
Miss Polony et son besoin de notoriété?
Polony n'a aucun besoin de notoriété. C'était une prof standard, qui a pensé, non sans raison, qu'il fallait aller se battre sur un autre terrain — parce qu'elle pense, comme moi, que la question scolaire est morte et enterrée. L'Ecole républicaine a perdu. Autant se battre sur des terrains parallèles.
Elle est la plus sûre alliée dans les médias majeurs — sauf quelques autres, ralliées à force de patience et de séduction (la séduction, Michel ! Pas le matraquage à grands coups de discours entortillés. Make them laugh ! Société du spectacle and co.).
J'aimerais être sûr que dans les critiques des uns et des autres, il n'y a pas un vieux fond de jalousie. Que n'avez-vous fait comme elle ?! Il y a six ans, j'ai suggéré aux membres de Sauver les Lettres, qui étaient encore très influents à l'époque, de se glisser dans les inspections pour miner les pédagos. Lequel d'entre eux l'a fait ?
Quant à Delord… Il a failli avoir sa vraie heure de gloire quand je l'ai fait inviter à une réflexion globale au ministère sur les programmes du Primaire; Mais à force d'enculer les mouches, on vous laisse vrombir dans votre coin. Il ne représente plus que lui-même — un retraité maugréant dans son coin-coin.
La question des programmes est donc largement obsolète. C'est cuit — c'est au niveau politique qu'il y a quelque chose à tenter, dans la rue probablement parce que ça ne passera jamais dans les urnes (Mélenchon, combien de divisions ?)
Celui qui proposait un peu plus haut 15 élèves par classe en Primaire et 20 dans le Secondaire y croit-il vraiment lui-même ? A-t-il bien perçu ce qu'est le libéralisme ?
Et pour ce qui est des attaques contre l'élitisme… Comme me l'a dit un jour Double Casquette, il y a des loukoums dont on ne tirera jamais rien. Et des cracks. Autant amener les cracks de toutes origines (et pas seulement les enfants de profs !) au plus haut de leurs capacités. Ce serait déjà pas mal.
- IgniatiusGuide spirituel
Il faut avoir l'âme d'une taupe soviétique pour infiltrer les inspections, vu le mode de recrutement !
Il faut avoir secondé des IPR pdt des annees dans des journées de formation inutiles, et avoir montre sa soumission : son dossier peut alors etre complété et on sera peut-etre adoubé.
En gros, pour y pénétrer, il faut avoir donné l'apparence de renier ses idées pdt longtemps.
On est loin d'un vrai concours.
Il faut avoir secondé des IPR pdt des annees dans des journées de formation inutiles, et avoir montre sa soumission : son dossier peut alors etre complété et on sera peut-etre adoubé.
En gros, pour y pénétrer, il faut avoir donné l'apparence de renier ses idées pdt longtemps.
On est loin d'un vrai concours.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- RuthvenGuide spirituel
Abraxas a écrit: (Mélenchon, combien de divisions ?)
Au moins autant que chez Bayrou ... :diable:
- IphigénieProphète
Le problème de l'école ne sera pris en compte pour maintenant que lorsque le capital se rendra réellement compte du coût (financier, pas humain) de la non-école: les Anglais commencent à s'apercevoir d'un léger problème. Mais pour l'instant ils pensent le régler à coups de caméras de surveillance.Tant que le système tient, on l'oublie vite, comme nous nos banlieues. En attendant on est en train de semer dans toute l'Europe des graines de guerre civile.
Sinon, dans l'immédiat, il y a plus d'avenir avec Ruquier, effectivement.
Sinon, dans l'immédiat, il y a plus d'avenir avec Ruquier, effectivement.
- Jim ThompsonExpert
Abraxas a écrit:Chocolat a écrit:
C'était quoi, déjà, le sujet?
Miss Polony et son besoin de notoriété?
Polony n'a aucun besoin de notoriété. C'était une prof standard, qui a pensé, non sans raison, qu'il fallait aller se battre sur un autre terrain — parce qu'elle pense, comme moi, que la question scolaire est morte et enterrée. L'Ecole républicaine a perdu. Autant se battre sur des terrains parallèles.
Elle est la plus sûre alliée dans les médias majeurs — sauf quelques autres, ralliées à force de patience et de séduction (la séduction, Michel ! Pas le matraquage à grands coups de discours entortillés. Make them laugh ! Société du spectacle and co.).
J'aimerais être sûr que dans les critiques des uns et des autres, il n'y a pas un vieux fond de jalousie. Que n'avez-vous fait comme elle ?! Il y a six ans, j'ai suggéré aux membres de Sauver les Lettres, qui étaient encore très influents à l'époque, de se glisser dans les inspections pour miner les pédagos. Lequel d'entre eux l'a fait ?
Quant à Delord… Il a failli avoir sa vraie heure de gloire quand je l'ai fait inviter à une réflexion globale au ministère sur les programmes du Primaire; Mais à force d'enculer les mouches, on vous laisse vrombir dans votre coin. Il ne représente plus que lui-même — un retraité maugréant dans son coin-coin.
La question des programmes est donc largement obsolète. C'est cuit — c'est au niveau politique qu'il y a quelque chose à tenter, dans la rue probablement parce que ça ne passera jamais dans les urnes (Mélenchon, combien de divisions ?)
Celui qui proposait un peu plus haut 15 élèves par classe en Primaire et 20 dans le Secondaire y croit-il vraiment lui-même ? A-t-il bien perçu ce qu'est le libéralisme ?
Et pour ce qui est des attaques contre l'élitisme… Comme me l'a dit un jour Double Casquette, il y a des loukoums dont on ne tirera jamais rien. Et des cracks. Autant amener les cracks de toutes origines (et pas seulement les enfants de profs !) au plus haut de leurs capacités. Ce serait déjà pas mal.
je sais ce qu'est le libéralisme, et d'ailleurs, appelons un chien un chien, je sais ce qu'est le capitalisme
ce que je sais aussi c'est que les choses peuvent changer pas forcément dans les urnes surtout sur la pression de la mobilisation (cf 36&68) dans la rue voire après dans les urnes
j'y crois dans le sens où je crois qu'un changement est possible, ce n'est pas un voeu pieu c'est plutôt une revendication à mettre en avant et à essayer de faire passer
- doublecasquetteEnchanteur
Je n'ai jamais parlé en ces termes des loukoums (que j'ai plutôt tendance à qualifier de "salades dans le jardin", d'ailleurs) !
En revanche, oui, j'ai bien dit à de nombreuses reprises qu'à l'origine des temps, en Maternelle, il existe des cracks de toutes origines (et des salades, fort peu nombreuses, de toutes origines aussi).
Mais j'ai aussi dit qu'une des solutions est de convaincre les collègues que les pratiques et méthodes qu'ils appliquent à ces niveaux si tendres sont la cause de la dilution des capacités des cracks et du développement des non-capacités des salades.
Et je pense très fort qu'une autre de ces solutions, c'est le "circuit court" pour court-circuiter tout ce qu'il pourrait y avoir de contre-productif dans les programmes actuels.
Ils sont tellement vagues qu'on peut y mettre à peu près tout ce qu'on veut dedans, du moins en Maternelle, dans tous les domaines, et en Élémentaire, sauf en Français et en Maths où on peut très bien considérer que c'est un socle qu'on peut ou même doit dépasser, dès lors que nos élèves arrivent bien préparés par les classes précédentes.
Chacun dans son petit coin, on adapte, on complète, on organise et on envoie dans la classe supérieure des salades qui sont un peu moins démunies que leurs semblables des autres écoles et des cracks dont la "crackitude" n'est pas forcément due à "un accompagnement familial favorable".
Mais bon, voilà que je dévie à nouveau ce post ! Recentrons donc :
Vous ne savez pas ? Eh bien, Natacha Polony sort un nouveau livre sur l'École et ses malheurs au mois de septembre !
En revanche, oui, j'ai bien dit à de nombreuses reprises qu'à l'origine des temps, en Maternelle, il existe des cracks de toutes origines (et des salades, fort peu nombreuses, de toutes origines aussi).
Mais j'ai aussi dit qu'une des solutions est de convaincre les collègues que les pratiques et méthodes qu'ils appliquent à ces niveaux si tendres sont la cause de la dilution des capacités des cracks et du développement des non-capacités des salades.
Et je pense très fort qu'une autre de ces solutions, c'est le "circuit court" pour court-circuiter tout ce qu'il pourrait y avoir de contre-productif dans les programmes actuels.
Ils sont tellement vagues qu'on peut y mettre à peu près tout ce qu'on veut dedans, du moins en Maternelle, dans tous les domaines, et en Élémentaire, sauf en Français et en Maths où on peut très bien considérer que c'est un socle qu'on peut ou même doit dépasser, dès lors que nos élèves arrivent bien préparés par les classes précédentes.
Chacun dans son petit coin, on adapte, on complète, on organise et on envoie dans la classe supérieure des salades qui sont un peu moins démunies que leurs semblables des autres écoles et des cracks dont la "crackitude" n'est pas forcément due à "un accompagnement familial favorable".
Mais bon, voilà que je dévie à nouveau ce post ! Recentrons donc :
Vous ne savez pas ? Eh bien, Natacha Polony sort un nouveau livre sur l'École et ses malheurs au mois de septembre !
- Jim ThompsonExpert
la question c'est: un débat polony vs chatel à la sortie du livre chez ruquier ( avec ODB et les lascars gays)ou chez Y Calvi?
_________________
CAPA/CAPN: SNES CTA/CTM: FSU
- frankensteinVénérable
Tout à fait Doublecasquette, tu dévies à nouveau! Je remets mon message de la page 5 pour recentrer le débat. Et je me garderai bien cette fois-ci d'essayer d'approfondir les sous-entendus (qu'entendre par libéralisme, école républicaine etc.) puisqu'il parait que c'est incompréhensible. Pour des enseignants qui prétendent faire preuve d'esprit critique et de bon sens, j'avoue que ça me désole un peu. Mais c'est une autre histoire dirons-nous. :lol:
frankenstein a écrit:Tiens je viens de trouver le résumé du bouquin qui va paraître en septembre ! Exactement ce qu'on disait pour le BAC !!
http://veille-education.org/2011/06/27/natacha-polony-le-bac-sacralise-court-a-sa-perte/
Natacha Polony : « Le bac, sacralisé, court à sa perte »
Publié le 27 juin 2011 par Veille-Education
Qu’arrive-t-il à notre diplôme des diplômes, au sacro-saint baccalauréat ? Assistons-nous à l’effondrement de ce monument de la République, au tremblement de toute l’Education nationale ?
Pour Natacha Polony, journaliste au Figaro, auteur de plusieurs essais sur l’Education – Nos enfants gâchés (Lattès), M(me) le président, si vous osiez… (Mille et une nuits) – et future héritière, avec Audrey Pulvar, de la double couronne du couple Zemmour-Naulleau dans l’émission de Laurent Ruquier « On n’est pas couchés », cela ne fait aucun doute. Pourtant, s’empresse-t-elle d’ajouter, la question ne date pas d’hier et ne trouvera pas d’issue demain matin. Si l’affaire des fraudes aux épreuves du Bac S et la réaction de Luc Chatel ont réveillé le débat, cela fait bien longtemps, pour elle, que le bac court à sa perte et que « le pire est de plus en plus sûr ». C’est d’ailleurs le titre de son essai à paraître en septembre prochain aux éditions 1001 nuits. dans lequel elle imagine ce que deviendra l’école en 2020.
La dégradation du niveau du bac
« Le problème, nous explique-t-elle, réside dans la sacralisation d’un diplôme qui n’est plus qu’une formalité. Les parents d’élèves partent du principe qu’il s’agit du même examen que celui qu’ils ont passé. Or, cela n’a rien plus à voir ! ». Comment expliquer cette dégradation ? Pourquoi piétiner une telle institution ? Pour Natacha Polony, une idéologie égalitaire et « naïve » serait à l’origine du fléau de l’Education nationale. « L’idée de sélection est devenue si intolérable de nos jours que l’on met en place des systèmes de notation parfaitement ridicules, parfois même ubuesques ! ».
Un système de sélection larvée
Le système éducatif pêcherait-il donc par hantise de la mauvaise note ? Les élèves passeraient-ils de classe en classe sous l’oeil compatissant des professeurs, malgré leur faible niveau ? C’est ce que déplore Natacha Polony, rappelant l’expression de l’un de ses anciens collègues : « le passe-dégage » : « une façon, selon elle, d’ouvrir les portes de la classe supérieure aux élèves les plus faibles pour s’en débarrasser ».
Cette démarche ne ferait pourtant que retarder la sélection. Puisque, affirme-t-elle, « l’on doit bien sélectionner un jour ou l’autre. Ce qui nous amène à des systèmes de sélection larvée comme ces tests d’orientation qui permettent de faire comprendre à l’élève qu’il n’a pas le niveau requis pour le cursus auquel il a déjà été admis ». Désorienté, l’élève n’aurait plus aucun moyen de s’évaluer, de connaître son propre niveau. « D’où une flopée d’étudiants surdiplômés qui se retrouvent dévalorisés sur le marché de l’emploi, et une angoisse terrible dans la société actuelle ».
Le contrôle continu : la solution ?
Pour autant, faut-il, comme le suggèrent de nombreux partis politiques, remplacer l’examen du bac par un contrôle continu ? « C’est vers ce système que l’on se dirige », affirme Natacha Polony, résignée. Une fausse solution, qui « ne ferait qu’accentuer l’injustice puisque les établissements ne possèdent pas les mêmes critères de notation ».
Dans son livre à paraître, Le pire est de plus en plus sûr : enquête sur l’école de demain, Natacha Polony propose pourtant quelques pistes pour ne pas laisser le bac et l’éducation nationale courir à leur perte. « La solution, explique-t-elle, consiste pour moi à instaurer, à chaque étape du cursus scolaire, des critères précis du niveau à atteindre pour les élèves ». Une idée réaliste et pragmatique qui permettrait à notre jeunesse de ne plus subir le « flou » éducatif dans lequel ils construisent, pour l’instant, leur avenir.
Par contre, avec la dernière proposition :
Natacha Polony propose pourtant quelques pistes pour ne pas laisser le bac et l’éducation nationale courir à leur perte. « La solution, explique-t-elle, consiste pour moi à instaurer, à chaque étape du cursus scolaire, des critères précis du niveau à atteindre pour les élèves ». Une idée réaliste et pragmatique qui permettrait à notre jeunesse de ne plus subir le « flou » éducatif dans lequel ils construisent, pour l’instant, leur avenir.
On (administration+ partis politiques) va nous répondre qu'on tente d'y remédier avec le SCC !! , voilà pourquoi je ne serais pas si optimiste mais plutôt lassé...
_________________
Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- Spinoza1670Esprit éclairé
frankenstein a écrit:Tout à fait Doublecasquette, tu dévies à nouveau! Je remets mon message de la page 5 pour recentrer le débat. Et je me garderai bien cette fois-ci d'essayer d'approfondir les sous-entendus (qu'entendre par libéralisme, école républicaine etc.) puisqu'il parait que c'est incompréhensible. Pour des enseignants qui prétendent faire preuve d'esprit critique et de bon sens, j'avoue que ça me désole un peu. Mais c'est une autre histoire dirons-nous. :lol:
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« Let not any one pacify his conscience by the delusion that he can do no harm if he takes no part, and forms no opinion. Bad men need nothing more to compass their ends, than that good men should look on and do nothing. » (John Stuart Mill)
Littérature au primaire - Rédaction au primaire - Manuels anciens - Dessin au primaire - Apprendre à lire et à écrire - Maths au primaire - école : références - Leçons de choses.
- Jim ThompsonExpert
frankenstein a écrit:Pour autant, faut-il, comme le suggèrent de nombreux partis politiques, remplacer l’examen du bac par un contrôle continu ? « C’est vers ce système que l’on se dirige », affirme Natacha Polony, résignée. Une fausse solution, qui « ne ferait qu’accentuer l’injustice puisque les établissements ne possèdent pas les mêmes critères de notation ».
Dans son livre à paraître, Le pire est de plus en plus sûr : enquête sur l’école de demain, Natacha Polony propose pourtant quelques pistes pour ne pas laisser le bac et l’éducation nationale courir à leur perte. « La solution, explique-t-elle, consiste pour moi à instaurer, à chaque étape du cursus scolaire, des critères précis du niveau à atteindre pour les élèves ». Une idée réaliste et pragmatique qui permettrait à notre jeunesse de ne plus subir le « flou » éducatif dans lequel ils construisent, pour l’instant, leur avenir.
Par contre, avec la dernière proposition :
Natacha Polony propose pourtant quelques pistes pour ne pas laisser le bac et l’éducation nationale courir à leur perte. « La solution, explique-t-elle, consiste pour moi à instaurer, à chaque étape du cursus scolaire, des critères précis du niveau à atteindre pour les élèves ». Une idée réaliste et pragmatique qui permettrait à notre jeunesse de ne plus subir le « flou » éducatif dans lequel ils construisent, pour l’instant, leur avenir.
On (administration+ partis politiques) va nous répondre qu'on tente d'y remédier avec le SCC !! , voilà pourquoi je ne serais pas si optimiste mais plutôt lassé... [/quote][/quote]
alors là on est pas dans le KK
- frankensteinVénérable
Ce qui explique sans doute que beaucoup, sur ce fil, feignent de ne pas comprendre certains messages .Puis quand on dit soutenir l'UMP (Darcos), puis le Modem, puis Chevènement, puis certaines analyses du FN et certains groupuscules ou associations pour les flinguer ensuite, évidemment qu'on perd tous repères. Je ne vise personne, hein...alors là on est pas dans le KK
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Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- Spinoza1670Esprit éclairé
Jim Thompson a écrit:frankenstein a écrit:Par contre, avec la dernière proposition :
Natacha Polony propose pourtant quelques pistes pour ne pas laisser le bac et l’éducation nationale courir à leur perte. « La solution, explique-t-elle, consiste pour moi à instaurer, à chaque étape du cursus scolaire, des critères précis du niveau à atteindre pour les élèves ». Une idée réaliste et pragmatique qui permettrait à notre jeunesse de ne plus subir le « flou » éducatif dans lequel ils construisent, pour l’instant, leur avenir.
On (administration partis politiques) va nous répondre qu'on tente d'y remédier avec le SCC !! , voilà pourquoi je ne serais pas si optimiste mais plutôt lassé...
alors là on est pas dans le KK
Bah quoi, qu'est-ce que vous avez contre le socle comique ?
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- IgniatiusGuide spirituel
Eh les gars du calme !
Je ne dis pas que je feins de ne pas comprendre vos messages, mais c'est leur forme qui est infernale : vous échangez des posts dans lesquels il y a trois débuts d'article ou publications fourmillant d'idées, et vous filez les liens. Et ça à un rythme soutenu : si on veut tout lire, c'est mission impossible.
De plus, j'ai l'impression que vous ne répondez pas qu'aux intervenants ici présents : on dirait que vous avez poursuivi le débat d'un autre côté, ou avec vous-mêmes j'en sais rien, et vous nous livrez des réponses à des questions intermédiaires que je n'ai pas l'impression d'avoir lu.
Je redis ce que j'ai écrit hier : résumez ce que vous avez compris de ce que vous avez lu. Si la compréhension n'est possible que par la lecture pleine et entière de vos références, on tue le débat.
Sinon, je suis globalement plutôt en accord avec vos prises de position, quand je les pige.
Si vous me reprochez de ne pas faire preuve d'esprit critique, je vais vous reprochez de ne pas savoir résumer ni synthétiser : vous l'avez appris à l'école pourtant.
Je ne dis pas que je feins de ne pas comprendre vos messages, mais c'est leur forme qui est infernale : vous échangez des posts dans lesquels il y a trois débuts d'article ou publications fourmillant d'idées, et vous filez les liens. Et ça à un rythme soutenu : si on veut tout lire, c'est mission impossible.
De plus, j'ai l'impression que vous ne répondez pas qu'aux intervenants ici présents : on dirait que vous avez poursuivi le débat d'un autre côté, ou avec vous-mêmes j'en sais rien, et vous nous livrez des réponses à des questions intermédiaires que je n'ai pas l'impression d'avoir lu.
Je redis ce que j'ai écrit hier : résumez ce que vous avez compris de ce que vous avez lu. Si la compréhension n'est possible que par la lecture pleine et entière de vos références, on tue le débat.
Sinon, je suis globalement plutôt en accord avec vos prises de position, quand je les pige.
Si vous me reprochez de ne pas faire preuve d'esprit critique, je vais vous reprochez de ne pas savoir résumer ni synthétiser : vous l'avez appris à l'école pourtant.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- Spinoza1670Esprit éclairé
Igniatius a écrit:Eh les gars du calme !
Je ne dis pas que je feins de ne pas comprendre vos messages, mais c'est leur forme qui est infernale : vous échangez des posts dans lesquels il y a trois débuts d'article ou publications fourmillant d'idées, et vous filez les liens. Et ça à un rythme soutenu : si on veut tout lire, c'est mission impossible.
De plus, j'ai l'impression que vous ne répondez pas qu'aux intervenants ici présents : on dirait que vous avez poursuivi le débat d'un autre côté, ou avec vous-mêmes j'en sais rien, et vous nous livrez des réponses à des questions intermédiaires que je n'ai pas l'impression d'avoir lu.
Je redis ce que j'ai écrit hier : résumez ce que vous avez compris de ce que vous avez lu. Si la compréhension n'est possible que par la lecture pleine et entière de vos références, on tue le débat.
Sinon, je suis globalement plutôt en accord avec vos prises de position, quand je les pige.
Si vous me reprochez de ne pas faire preuve d'esprit critique, je vais vous reprochez de ne pas savoir résumer ni synthétiser : vous l'avez appris à l'école pourtant.
Ca y est j'ai compris ce que tu dis !
L'humeur combative (chez toi) ou combattive (chez moi) rend plus difficile le débat. On va essayer de calmer le jeu, mais ça va être difficile, vu ce qu'Abraxas vient de balancer sur Delord. Il ferait bien de faire son auto-critique lui aussi.
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- Jim ThompsonExpert
bah je te dirais que je ne la connais guère cette damefrankenstein a écrit:Ce qui explique sans doute que beaucoup, sur ce fil, feignent de ne pas comprendre certains messages .Puis quand on dit soutenir l'UMP (Darcos), puis le Modem, puis Chevènement, puis certaines analyses du FN et certains groupuscules ou associations pour les flinguer ensuite, évidemment qu'on perd tous repères. Je ne vise personne, hein...alors là on est pas dans le KK
je lis très peu le figaro, ça brûle mes mains
mais vu le parcours décrit, c'est sûre que ça n'aide pas à la confiance
en fait elle semble être une Zemmour femme? je dis ça pour le rapprochement avec Chevènement (sur les positions souverainistes je suppose), donc en gros tu penses que son bouquin, va aller très peu dans notre intérêt (celui des profs), C'est ça? elle va critiquer ce qu'a fait l'UMP mais pour aboutir à ce que tu disais: renforcement du socle???
j'ai bien pigé?,
- IphigénieProphète
Le gros problème avec les intellectuels c'est qu'ils finissent par tellement se diviser en nuances chapelles et écoles (l'enculage de mouches sus-nommé ) qu'ils en restent tout pétrifiés et sans aucune action ,l'essentiel de l'énergie étant absorbée par la lutte des clans.
C'est ce qui se passe dans l'éducation: que de groupes, clubs, sous-groupe, sectes, réseaux d'influences, carrières personnelles, et autres gourous, et autres publications, et autres passages dans les médias qui vont enfin expliquer pour la der des der notre problème ...
Parle, parlons, parlez.....
C'est ce qui se passe dans l'éducation: que de groupes, clubs, sous-groupe, sectes, réseaux d'influences, carrières personnelles, et autres gourous, et autres publications, et autres passages dans les médias qui vont enfin expliquer pour la der des der notre problème ...
Parle, parlons, parlez.....
- AbraxasDoyen
Spinoza1670 a écrit:
L'humeur combative (chez toi) ou combattive (chez moi) rend plus difficile le débat. On va essayer de calmer le jeu, mais ça va être difficile, vu ce qu'Abraxas vient de balancer sur Delord. Il ferait bien de faire son auto-critique lui aussi.
Abraxas n'a pas à faire son auto-critique — sinon pour exprimer ses regrets d'avoir mis dans le jeu des individus qui en ont brouillé les repères. Abraxas se bat à fleurets non mouchetés depuis des années contre l'Inspection, dont je ne sache pas qu'elle a été attaquée un jour par qui que ce soit ici aussi vigoureusement que j'ai pu le faire. Il se bat contre des ministres, des recteurs, des chefs d'établissement abusifs. "Qu'importe : je me bats, je me bats, je me bats". Abraxas en a par dessus la tête qu'on vienne lui faire la leçon parce qu'il a acquis — par lui-même — un début de visibilité. D'ailleurs, il va prochainement changer complètement de rayon, et s'en prendre plus carrément au libéralisme — qui n'est pas exactement le capitalisme. Thatcher ou Sarko ne sont pas Adam Smith…
- Spinoza1670Esprit éclairé
Abraxas a écrit:Spinoza1670 a écrit:
L'humeur combative (chez toi) ou combattive (chez moi) rend plus difficile le débat. On va essayer de calmer le jeu, mais ça va être difficile, vu ce qu'Abraxas vient de balancer sur Delord. Il ferait bien de faire son auto-critique lui aussi.
Abraxas n'a pas à faire son auto-critique — sinon pour exprimer ses regrets d'avoir mis dans le jeu des individus qui en ont brouillé les repères. Abraxas se bat à fleurets non mouchetés depuis des années contre l'Inspection, dont je ne sache pas qu'elle a été attaquée un jour par qui que ce soit ici aussi vigoureusement que j'ai pu le faire. Il se bat contre des ministres, des recteurs, des chefs d'établissement abusifs. "Qu'importe : je me bats, je me bats, je me bats". Abraxas en a par dessus la tête qu'on vienne lui faire la leçon parce qu'il a acquis — par lui-même — un début de visibilité. D'ailleurs, il va prochainement changer complètement de rayon, et s'en prendre plus carrément au libéralisme — qui n'est pas exactement le capitalisme. Thatcher ou Sarko ne sont pas Adam Smith…
Parce que vous avez mis Delord dans le jeu ? Je ne savais pas.
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« Let not any one pacify his conscience by the delusion that he can do no harm if he takes no part, and forms no opinion. Bad men need nothing more to compass their ends, than that good men should look on and do nothing. » (John Stuart Mill)
Littérature au primaire - Rédaction au primaire - Manuels anciens - Dessin au primaire - Apprendre à lire et à écrire - Maths au primaire - école : références - Leçons de choses.
- frankensteinVénérable
OK, je vais essayer de faire une synthèse claire de ce post. Sans être trop long. Mais pas tout de suite.Igniatius a écrit:Eh les gars du calme !
Je ne dis pas que je feins de ne pas comprendre vos messages, mais c'est leur forme qui est infernale : vous échangez des posts dans lesquels il y a trois débuts d'article ou publications fourmillant d'idées, et vous filez les liens. Et ça à un rythme soutenu : si on veut tout lire, c'est mission impossible.
De plus, j'ai l'impression que vous ne répondez pas qu'aux intervenants ici présents : on dirait que vous avez poursuivi le débat d'un autre côté, ou avec vous-mêmes j'en sais rien, et vous nous livrez des réponses à des questions intermédiaires que je n'ai pas l'impression d'avoir lu.
Je redis ce que j'ai écrit hier : résumez ce que vous avez compris de ce que vous avez lu. Si la compréhension n'est possible que par la lecture pleine et entière de vos références, on tue le débat.
Sinon, je suis globalement plutôt en accord avec vos prises de position, quand je les pige.
Si vous me reprochez de ne pas faire preuve d'esprit critique, je vais vous reprochez de ne pas savoir résumer ni synthétiser : vous l'avez appris à l'école pourtant.
Mince, on est déjà reparti sur la critique (et la définition) du libéralisme...Par de vrais libéraux (au sens originel) qui s'ignorent.
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Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- CondorcetOracle
iphigénie a écrit:Le gros problème avec les intellectuels c'est qu'ils finissent par tellement se diviser en nuances chapelles et écoles (l'enculage de mouches sus-nommé ) qu'ils en restent tout pétrifiés et sans aucune action ,l'essentiel de l'énergie étant absorbée par la lutte des clans.
C'est ce qui se passe dans l'éducation: que de groupes, clubs, sous-groupe, sectes, réseaux d'influences, carrières personnelles, et autres gourous, et autres publications, et autres passages dans les médias qui vont enfin expliquer pour la der des der notre problème ...
Parle, parlons, parlez.....
Je crois aussi qu'ils/elles pensent beaucoup (et trop) à leur carrière, exposition médiatique, visibilité dans le champ...
- User5899Demi-dieu
D'autant que chez Ruquier, on a souvent le temps de faire une phrase complète, rendons-lui cette justice. Il est loin d'être indigne. Et vu l'heure de l"émission, parler de grand public est abusif.iphigénie a écrit:Le problème de l'école ne sera pris en compte pour maintenant que lorsque le capital se rendra réellement compte du coût (financier, pas humain) de la non-école: les Anglais commencent à s'apercevoir d'un léger problème. Mais pour l'instant ils pensent le régler à coups de caméras de surveillance.Tant que le système tient, on l'oublie vite, comme nous nos banlieues. En attendant on est en train de semer dans toute l'Europe des graines de guerre civile.
Sinon, dans l'immédiat, il y a plus d'avenir avec Ruquier, effectivement.
- IgniatiusGuide spirituel
Abraxas, nous sommes nombreux a nous battre contre l'inspection, les cde ou les recteurs : ds chaque établissement, il y a un noyau d'emmerdeurs qui s'en prend plein la tronche pour pas un rond.
Et ceux-la mettent peut-etre en péril leur éventuelle demande pour une prepa ou autres.
Je te suivrai sur le libéralisme, ça m'intéresse aussi au quotidien.
Et ceux-la mettent peut-etre en péril leur éventuelle demande pour une prepa ou autres.
Je te suivrai sur le libéralisme, ça m'intéresse aussi au quotidien.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- User5899Demi-dieu
+1Igniatius a écrit:Eh les gars du calme !
Je ne dis pas que je feins de ne pas comprendre vos messages, mais c'est leur forme qui est infernale : vous échangez des posts dans lesquels il y a trois débuts d'article ou publications fourmillant d'idées, et vous filez les liens. Et ça à un rythme soutenu : si on veut tout lire, c'est mission impossible.
De plus, j'ai l'impression que vous ne répondez pas qu'aux intervenants ici présents : on dirait que vous avez poursuivi le débat d'un autre côté, ou avec vous-mêmes j'en sais rien, et vous nous livrez des réponses à des questions intermédiaires que je n'ai pas l'impression d'avoir lu.
Je redis ce que j'ai écrit hier : résumez ce que vous avez compris de ce que vous avez lu. Si la compréhension n'est possible que par la lecture pleine et entière de vos références, on tue le débat.Si vous me reprochez de ne pas faire preuve d'esprit critique, je vais vous reprochez de ne pas savoir résumer ni synthétiser : vous l'avez appris à l'école pourtant.
Allez vous disputer ailleurs :lol:Spinoza1670 a écrit:Parce que vous avez mis Delord dans le jeu ? Je ne savais pas.Abraxas a écrit:Abraxas n'a pas à faire son auto-critique — sinon pour exprimer ses regrets d'avoir mis dans le jeu des individus qui en ont brouillé les repères. Abraxas se bat à fleurets non mouchetés depuis des années contre l'Inspection, dont je ne sache pas qu'elle a été attaquée un jour par qui que ce soit ici aussi vigoureusement que j'ai pu le faire. Il se bat contre des ministres, des recteurs, des chefs d'établissement abusifs. "Qu'importe : je me bats, je me bats, je me bats". Abraxas en a par dessus la tête qu'on vienne lui faire la leçon parce qu'il a acquis — par lui-même — un début de visibilité. D'ailleurs, il va prochainement changer complètement de rayon, et s'en prendre plus carrément au libéralisme — qui n'est pas exactement le capitalisme. Thatcher ou Sarko ne sont pas Adam Smith…Spinoza1670 a écrit:
L'humeur combative (chez toi) ou combattive (chez moi) rend plus difficile le débat. On va essayer de calmer le jeu, mais ça va être difficile, vu ce qu'Abraxas vient de balancer sur Delord. Il ferait bien de faire son auto-critique lui aussi.
Sérieusement, Delord, Morel, et cet enseignant de philo qui avait bataillé avec succès contre un jeu boursicoteur dans son bahut et dont j'oublie le nom en cet instant, ont gâché leur verve à coups de renvois dans les sous-renvois, et pour l'un d'entre eux, de mépris hautain plein de morgue. Dommage.
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