- CelebornEsprit sacré
Cripure a écrit:Le conditionnel présent n'appelle pas le subjonctif imparfait de façon automatique. Il ne l'appelle qu'en référence à un fait passé. Ah ! Que j'aimerais (aujourd'hui) qu'il m'oubliât (hier). Mais sinon : Ah ! Que j'aimerais qu'il m'oublie !
Je disconviens respectueusement. Si l'on veut marquer l'antériorité du fait de la subordonné par rapport à celui de la principale, on utilisera un temps composé (qu'il m'ait oublié/qu'il m'eût oublié), et non l'imparfait du subjonctif. Grevisse affirme qu'on peut employer indifféremment le présent ou l'imparfait quand le verbe de la principale est au conditionnel présent, et que si vraiment on tient à faire une nuance entre les deux, la différence est à faire entre un irréel (je voudrais qu'il plût -> mais il fait grand beau temps) et un possible (je voudrais qu'il pleuve -> et d'ailleurs y'a de gros nuages, ça va peut-être se produire dans pas longtemps). Mais bon, il fait comprendre que c'est se livrer à des pratiques sexuelles sur de pauvres insectes volants.
- MufabGrand Maître
Je disconviens respectueusement
Pourquoi tu me parles pas comme ça, dans "connecteurs", à moi aussi ?
- SapotilleEmpereur
Celeborn a écrit:(je voudrais qu'il plût -> mais il fait grand beau temps) et un possible (je voudrais qu'il pleuve -> et d'ailleurs y'a de gros nuages, ça va peut-être se produire dans pas longtemps).
Là, franchement, non...
Il a assez plu ...
Pour une fois que le soleil brille, laisse-nous le temps de terminer la moisson du blé et de mettre la paille en bottes ...
Après, ton voeu peut se réaliser ...
- bellaciaoFidèle du forum
Celeborn a écrit:Cripure a écrit:Le conditionnel présent n'appelle pas le subjonctif imparfait de façon automatique. Il ne l'appelle qu'en référence à un fait passé. Ah ! Que j'aimerais (aujourd'hui) qu'il m'oubliât (hier). Mais sinon : Ah ! Que j'aimerais qu'il m'oublie !
Je disconviens respectueusement. Si l'on veut marquer l'antériorité du fait de la subordonné par rapport à celui de la principale, on utilisera un temps composé (qu'il m'ait oublié/qu'il m'eût oublié), et non l'imparfait du subjonctif. Grevisse affirme qu'on peut employer indifféremment le présent ou l'imparfait quand le verbe de la principale est au conditionnel présent, et que si vraiment on tient à faire une nuance entre les deux, la différence est à faire entre un irréel (je voudrais qu'il plût -> mais il fait grand beau temps) et un possible (je voudrais qu'il pleuve -> et d'ailleurs y'a de gros nuages, ça va peut-être se produire dans pas longtemps). Mais bon, il fait comprendre que c'est se livrer à des pratiques sexuelles sur de pauvres insectes volants.
:lol!:
- User5899Demi-dieu
Bon, vous venez de prouver par l'exemple qu'il est impossible de faire de la grammaire française sans passer par la latine. Eh oui, l'irréel du présent, en latin, demande l'imparfait du subjonctif.Celeborn a écrit:Cripure a écrit:Le conditionnel présent n'appelle pas le subjonctif imparfait de façon automatique. Il ne l'appelle qu'en référence à un fait passé. Ah ! Que j'aimerais (aujourd'hui) qu'il m'oubliât (hier). Mais sinon : Ah ! Que j'aimerais qu'il m'oublie !
Je disconviens respectueusement. Si l'on veut marquer l'antériorité du fait de la subordonné par rapport à celui de la principale, on utilisera un temps composé (qu'il m'ait oublié/qu'il m'eût oublié), et non l'imparfait du subjonctif. Grevisse affirme qu'on peut employer indifféremment le présent ou l'imparfait quand le verbe de la principale est au conditionnel présent, et que si vraiment on tient à faire une nuance entre les deux, la différence est à faire entre un irréel (je voudrais qu'il plût -> mais il fait grand beau temps) et un possible (je voudrais qu'il pleuve -> et d'ailleurs y'a de gros nuages, ça va peut-être se produire dans pas longtemps). Mais bon, il fait comprendre que c'est se livrer à des pratiques sexuelles sur de pauvres insectes volants.
Autre chose, si je puis me permettre de respectuer disconventionnellement. Je fais une distinction entre "J'aimerais qu'il m'ait oublié / m'eût oublié" (expression d'un état qui dure) et "Que j'aimerais qu'il ne se pointât que plus tard" (tout en convenant avec respectitude que "qu'il ne se fût pointé" est tout aussi possible).
En effet, de gros soucis en perspectives pour des mouches déjà bien affaiblies par un été maussade
- User5899Demi-dieu
Parce que moi, je suis agrégé.Mufab a écrit:Je disconviens respectueusement
Pourquoi tu me parles pas comme ça, dans "connecteurs", à moi aussi ?
Alors, vous avez explosé, ou pas :lool: :lol: :lol!:
- MufabGrand Maître
Mais je le savais, Crip, que c'était que pour ça !
A ton tour ! :boum:
A ton tour ! :boum:
- User5899Demi-dieu
Non, ça me fait rire :lol:Mufab a écrit:Mais je le savais, Crip, que c'était que pour ça !
A ton tour ! :boum:
Je suis tellement au-dessus :lol!:
- La JabotteNeoprof expérimenté
z'avez pas fini de jouer ? Mon pôv' fil qui réussissait tant bien que mal à se maintenir dans le presque sérieux !
Pourquoi ne pas ouvrir un fil drosophilien réservé aux agrégés et non agrégés ?
Pourquoi ne pas ouvrir un fil drosophilien réservé aux agrégés et non agrégés ?
- GrypheMédiateur
Je suis bien incapable de répondre sur le plan de la grammaire, et nos éminents spécialistes ont déjà répondu.bellaciao a écrit:Une question que je me pose souvent ici : faut-il employer avec le conditionnel l'imparfait du subjonctif dans cette situation de communication particulière qu'est un forum ou considérer que c'est une forme d'oral et en rester au subjonctif présent ?
Ceci dit, je me faisais justement la remarque que j'étais incapable de parler au subjonctif ou au passé simple (sauf lorsque j'invente des histoires de pirates pour mon petit neveu mais c'est parce que je fais un effort...), et donc si les éminents spécialistes que vous êtes pouvaient parler au subjonctif ou au passé simple de temps en temps, les tournures grammaticales et les conjugaisons rentreraient peut-être dans mon petit cerveau en vacances.
Ça m'éviterait d'écrire des récits apocalyptiques où Kévin veut sortir de cours avant l'heure, et de me faire enguirlander par Cripure.
- doublecasquetteEnchanteur
Le présent du subjonctif, tout le monde l'emploie au moins vingt fois par jour, avec le nombre de choses que chacun a à faire, à faire faire et à souhaiter. Nous passons les trois quarts de notre temps à user du subjonctif, Gryphe !
Je vous laisse, il faut que je rentre à la maison.
Je vous laisse, il faut que je rentre à la maison.
- User5899Demi-dieu
Gryphe a écrit:je me faisais justement la remarque que j'étais incapable de parler au subjonctif ou au passé simple (sauf lorsque j'invente des histoires de pirates pour mon petit neveu mais c'est parce que je fais un effort...), et donc si les éminents spécialistes que vous êtes pouvaient parler au subjonctif ou au passé simple de temps en temps, les tournures grammaticales et les conjugaisons rentreraient peut-être dans mon petit cerveau en vacances.
Ça m'éviterait d'écrire des récits apocalyptiques où Kévin veut sortir de cours avant l'heure, et de me faire enguirlander par Cripure.
On ne peut pas vraiment utiliser le passé simple dans les récits de tous les jours, car ce temps sert à présenter des faits situés les uns par rapport aux autres, sans rapport avec le moment où on les raconte, alors que nos histoires quotidiennes, pour la plupart rattachées à notre vie, demandent pour cette raison le passé composé. Bon, c'est sommaire, mais c'est à peu près cela. C'est pour cela que dans certains livres, vous avez à la fois le passé composé et le passé simple, en fonction du locuteur (narrateur ou personnage). Voir Benveniste, Problèmes de linguistique générale, "Récit et discours".
- CavaGrand sage
Cripure a écrit:Gryphe a écrit:je me faisais justement la remarque que j'étais incapable de parler au subjonctif ou au passé simple (sauf lorsque j'invente des histoires de pirates pour mon petit neveu mais c'est parce que je fais un effort...), et donc si les éminents spécialistes que vous êtes pouvaient parler au subjonctif ou au passé simple de temps en temps, les tournures grammaticales et les conjugaisons rentreraient peut-être dans mon petit cerveau en vacances.
Ça m'éviterait d'écrire des récits apocalyptiques où Kévin veut sortir de cours avant l'heure, et de me faire enguirlander par Cripure.
On ne peut pas vraiment utiliser le passé simple dans les récits de tous les jours, car ce temps sert à présenter des faits situés les uns par rapport aux autres, sans rapport avec le moment où on les raconte, alors que nos histoires quotidiennes, pour la plupart rattachées à notre vie, demandent pour cette raison le passé composé. Bon, c'est sommaire, mais c'est à peu près cela. C'est pour cela que dans certains livres, vous avez à la fois le passé composé et le passé simple, en fonction du locuteur (narrateur ou personnage). Voir Benveniste, Problèmes de linguistique générale, "Récit et discours".
Cripure vous avez oublié d'indiquer la page!
Je m'en vais, hein!
- Marie LaetitiaBon génie
J'ai un problème... si une bonne âme passe par là:
est-il correct de personnaliser une entité? Exemple:
Faut-il dire
"La conciergerie garde tout ce qui lui est remis pendant un an et un jour"
ou
"Tout ce qui a été remis à la conciergerie est gardé pendant un an et un jour"
Quelqu'un me soutient qu'il ne faut pas personnaliser les entités, mais ça me casse un peu la tête...
est-il correct de personnaliser une entité? Exemple:
Faut-il dire
"La conciergerie garde tout ce qui lui est remis pendant un an et un jour"
ou
"Tout ce qui a été remis à la conciergerie est gardé pendant un an et un jour"
Quelqu'un me soutient qu'il ne faut pas personnaliser les entités, mais ça me casse un peu la tête...
_________________
Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- CondorcetOracle
La deuxième formule me paraît préférable (et je mettrais une majuscule à la Conciergerie).
- Marie LaetitiaBon génie
condorcet a écrit:La deuxième formule me paraît préférable (et je mettrais une majuscule à la Conciergerie).
tu complotes avec mon directeur, hein, avoue !
(n'empêche, heureusement que tu es là, on ne peut même plus compter sur les collègues de lettres... tout fout l'camp, mon brav' monsieur...)
(merci quand même)
_________________
Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- CondorcetOracle
Alors là, je n'oserais pas
D'autant qu'il y a peu, je suais ma mauvaise graisse sur des feuilles rendues diaphanes par les didascalies, mes yeux se brouillaient lorsque, terrassé par le labeur nocturne, une phrase maladroite était couchée avec effroi sur le palimpseste :lol!: :lol!: :lol!:
Il est vrai que les fiers littéraires de jadis, les pourfendeurs de la pédagogie moderne, se sont mués en émules de la Pythie, égarés dans les libations des cultes à mystères. :Gné:
D'autant qu'il y a peu, je suais ma mauvaise graisse sur des feuilles rendues diaphanes par les didascalies, mes yeux se brouillaient lorsque, terrassé par le labeur nocturne, une phrase maladroite était couchée avec effroi sur le palimpseste :lol!: :lol!: :lol!:
Il est vrai que les fiers littéraires de jadis, les pourfendeurs de la pédagogie moderne, se sont mués en émules de la Pythie, égarés dans les libations des cultes à mystères. :Gné:
- User5899Demi-dieu
C'est pour vous guider vers l'autonomie, Cavalol. A la fin du livre, vous trouverez une partie intitulée "Table des matières". Dedans, vous verrez le titre de ce chapitre avec, en face, le n° de la page où il commence. Faites ça, et vous trouverez. Et nous serons tous fiers de vous :cavalol a écrit:Cripure a écrit:Gryphe a écrit:je me faisais justement la remarque que j'étais incapable de parler au subjonctif ou au passé simple (sauf lorsque j'invente des histoires de pirates pour mon petit neveu mais c'est parce que je fais un effort...), et donc si les éminents spécialistes que vous êtes pouvaient parler au subjonctif ou au passé simple de temps en temps, les tournures grammaticales et les conjugaisons rentreraient peut-être dans mon petit cerveau en vacances.
Ça m'éviterait d'écrire des récits apocalyptiques où Kévin veut sortir de cours avant l'heure, et de me faire enguirlander par Cripure.
On ne peut pas vraiment utiliser le passé simple dans les récits de tous les jours, car ce temps sert à présenter des faits situés les uns par rapport aux autres, sans rapport avec le moment où on les raconte, alors que nos histoires quotidiennes, pour la plupart rattachées à notre vie, demandent pour cette raison le passé composé. Bon, c'est sommaire, mais c'est à peu près cela. C'est pour cela que dans certains livres, vous avez à la fois le passé composé et le passé simple, en fonction du locuteur (narrateur ou personnage). Voir Benveniste, Problèmes de linguistique générale, "Récit et discours".
Cripure vous avez oublié d'indiquer la page!
Je m'en vais, hein!
- User5899Demi-dieu
Le principe de la personnalisation (métonymie, d'ailleurs, souvent) étant de traiter en personne ce qui n'en est pas, la question "peut-on personnaliser une entité" trouve, à mon sens, sa réponse dans son énoncé même. D'ailleurs, la modération n'est pas intervenue, le rectorat conserve le double des convocations et la direction ne répond pas des vols commis dans le magasin. Quant à la conciergerie, elle est dans l'escalier. Non, là, ça ne marche pas :lol:Marie Laetitia a écrit:condorcet a écrit:La deuxième formule me paraît préférable (et je mettrais une majuscule à la Conciergerie).
tu complotes avec mon directeur, hein, avoue !
(n'empêche, heureusement que tu es là, on ne peut même plus compter sur les collègues de lettres... tout fout l'camp, mon brav' monsieur...)
(merci quand même)
- User5899Demi-dieu
Condorcet, les poils de ce magnifique toutou, vous ne les fumez pas, quand même, au cours des torrides nuits tourangeaudes ?condorcet a écrit:Alors là, je n'oserais pas
D'autant qu'il y a peu, je suais ma mauvaise graisse sur des feuilles rendues diaphanes par les didascalies, mes yeux se brouillaient lorsque, terrassé par le labeur nocturne, une phrase maladroite était couchée avec effroi sur le palimpseste :lol!: :lol!: :lol!:
Il est vrai que les fiers littéraires de jadis, les pourfendeurs de la pédagogie moderne, se sont mués en émules de la Pythie, égarés dans les libations des cultes à mystères. :Gné:
- CondorcetOracle
En ce moment, elles sont glacées. :lol:
- CondorcetOracle
Cripure a écrit:C'est pour vous guider vers l'autonomie, Cavalol. A la fin du livre, vous trouverez une partie intitulée "Table des matières". Dedans, vous verrez le titre de ce chapitre avec, en face, le n° de la page où il commence. Faites ça, et vous trouverez. Et nous serons tous fiers de vous :cavalol a écrit:Cripure a écrit:Gryphe a écrit:je me faisais justement la remarque que j'étais incapable de parler au subjonctif ou au passé simple (sauf lorsque j'invente des histoires de pirates pour mon petit neveu mais c'est parce que je fais un effort...), et donc si les éminents spécialistes que vous êtes pouvaient parler au subjonctif ou au passé simple de temps en temps, les tournures grammaticales et les conjugaisons rentreraient peut-être dans mon petit cerveau en vacances.
Ça m'éviterait d'écrire des récits apocalyptiques où Kévin veut sortir de cours avant l'heure, et de me faire enguirlander par Cripure.
On ne peut pas vraiment utiliser le passé simple dans les récits de tous les jours, car ce temps sert à présenter des faits situés les uns par rapport aux autres, sans rapport avec le moment où on les raconte, alors que nos histoires quotidiennes, pour la plupart rattachées à notre vie, demandent pour cette raison le passé composé. Bon, c'est sommaire, mais c'est à peu près cela. C'est pour cela que dans certains livres, vous avez à la fois le passé composé et le passé simple, en fonction du locuteur (narrateur ou personnage). Voir Benveniste, Problèmes de linguistique générale, "Récit et discours".
Cripure vous avez oublié d'indiquer la page!
Je m'en vais, hein!
Quand même, indiquer précisément les références bibliographiques précises (page comprise) n'est pas la mer à boire
- CavaGrand sage
Cripure a écrit:C'est pour vous guider vers l'autonomie, Cavalol. A la fin du livre, vous trouverez une partie intitulée "Table des matières". Dedans, vous verrez le titre de ce chapitre avec, en face, le n° de la page où il commence. Faites ça, et vous trouverez. Et nous serons tous fiers de vous :cavalol a écrit:Cripure a écrit:Gryphe a écrit:je me faisais justement la remarque que j'étais incapable de parler au subjonctif ou au passé simple (sauf lorsque j'invente des histoires de pirates pour mon petit neveu mais c'est parce que je fais un effort...), et donc si les éminents spécialistes que vous êtes pouvaient parler au subjonctif ou au passé simple de temps en temps, les tournures grammaticales et les conjugaisons rentreraient peut-être dans mon petit cerveau en vacances.
Ça m'éviterait d'écrire des récits apocalyptiques où Kévin veut sortir de cours avant l'heure, et de me faire enguirlander par Cripure.
On ne peut pas vraiment utiliser le passé simple dans les récits de tous les jours, car ce temps sert à présenter des faits situés les uns par rapport aux autres, sans rapport avec le moment où on les raconte, alors que nos histoires quotidiennes, pour la plupart rattachées à notre vie, demandent pour cette raison le passé composé. Bon, c'est sommaire, mais c'est à peu près cela. C'est pour cela que dans certains livres, vous avez à la fois le passé composé et le passé simple, en fonction du locuteur (narrateur ou personnage). Voir Benveniste, Problèmes de linguistique générale, "Récit et discours".
Cripure vous avez oublié d'indiquer la page!
Je m'en vais, hein!
Cripure, vous êtes un véritable rePère pour moi! Que ferais-je sans vous pour me guider vers la voie de la sagesse et du savoir? :lol:
- CavaGrand sage
par condorcet Hier à 20:31
Quand même, indiquer précisément les références bibliographiques précises (page comprise) n'est pas la mer à boire.
N'est-ce pas Condorcet? C'est le minimum demandé! :lol:
- User5899Demi-dieu
Non, non, non, je n'entrerai pas dans cette spirale de la facilité.condorcet a écrit:Cripure a écrit:C'est pour vous guider vers l'autonomie, Cavalol. A la fin du livre, vous trouverez une partie intitulée "Table des matières". Dedans, vous verrez le titre de ce chapitre avec, en face, le n° de la page où il commence. Faites ça, et vous trouverez. Et nous serons tous fiers de vous :cavalol a écrit:Cripure a écrit:Gryphe a écrit:je me faisais justement la remarque que j'étais incapable de parler au subjonctif ou au passé simple (sauf lorsque j'invente des histoires de pirates pour mon petit neveu mais c'est parce que je fais un effort...), et donc si les éminents spécialistes que vous êtes pouvaient parler au subjonctif ou au passé simple de temps en temps, les tournures grammaticales et les conjugaisons rentreraient peut-être dans mon petit cerveau en vacances.
Ça m'éviterait d'écrire des récits apocalyptiques où Kévin veut sortir de cours avant l'heure, et de me faire enguirlander par Cripure.
On ne peut pas vraiment utiliser le passé simple dans les récits de tous les jours, car ce temps sert à présenter des faits situés les uns par rapport aux autres, sans rapport avec le moment où on les raconte, alors que nos histoires quotidiennes, pour la plupart rattachées à notre vie, demandent pour cette raison le passé composé. Bon, c'est sommaire, mais c'est à peu près cela. C'est pour cela que dans certains livres, vous avez à la fois le passé composé et le passé simple, en fonction du locuteur (narrateur ou personnage). Voir Benveniste, Problèmes de linguistique générale, "Récit et discours".
Cripure vous avez oublié d'indiquer la page!
Je m'en vais, hein!
Quand même, indiquer précisément les références bibliographiques précises (page comprise) n'est pas la mer à boire
- MufabGrand Maître
Ou alors tu nous tapuscrites le passage susceptible de nous intéresser.
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