- lamelimeloÉrudit
Tu ne le regretteras pas! quant à moi, après avoir bossé sur l'acte II de s fourberies de Scapin, je m'octroie une pause lecture: Raison et sentiments donc et tout de suite !!!
- FrisouilleEnchanteur
Leil a écrit:lamelimelo a écrit:Il faut absolument vous jeter sur ce livre! c'est un bijou, un véritable régal et d'ailleurs j'ai essayé de le savourer lentement pour faire durer le plaisir...
On retrouve Adamsberg, fidèle à lui-même avec ses digressions sans fin, ses interrogations sur les toutes petites choses sans grande importance à nos yeux..Bref, on a l'impression que le temps s'arrête lorsqu'on lit un Fred Vargas et on ne s'en lasse pas!
Ce soir, j'entame Raison et sentiments....
Ok, vendu, je file l'acheter dès que mon fils se réveille de sa sieste !
Le 18 juillet au matin, ce sera ma lecture de petit-dèj, le lendemain de mon arrivée chez ma mère.... J'ai hâte !!!!!!!
Je n'ose même pas lire les lignes que tu as citées pour ne éviter d'être frustrée...
- CavaGrand sage
Je n'ai pu résister : je recommence à lire L'insoutenable légèreté ... et je me régale encore!
- RuthvenGuide spirituel
J'ai attaqué L'apprentie du philosophe de James Morrow, un docteur en philo devient précepteur d'une jeune fille qui a perdu son sens moral suite à un accident. Il se trouve sur une île où la mère généticienne a créé des êtres hybrides. Pour l'instant, c'est pas mal du tout, on est bien dans le conte philosophique.
Et je suis dans Trois couronnes pour un roi. La devise d'Henri III et ses mystères de N. Ordine, une enquête historico-philologique passionnante.
Et je suis dans Trois couronnes pour un roi. La devise d'Henri III et ses mystères de N. Ordine, une enquête historico-philologique passionnante.
- LeilEsprit éclairé
Une lecture dérangeante mais intéressante.
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http://www.bricabook.fr/
- bellaciaoFidèle du forum
Je lis un recueil de nouvelles et courts romans de Stephan Sweig. Je les dévore ! C'est aussi prenant que le souvenir que j'ai de L'Ivresse de la métamorphose. Quelle écriture et narration efficaces, je vais avoir du mal à lâcher le livre.
- PatissotDoyen
或阿呆の一生 (la vie d'un idiot)
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« Déjà, certaines portions de ma vie ressemblent aux salles dégarnies d'un palais trop vaste, qu'un propriétaire appauvri renonce à occuper tout entier. »
- marininhaHabitué du forum
Je viens de finir Belle du Seigneur (quelle cruche cette Ariane !!!), et là, je suis dans le 3e tome de Hunger games.
- JEMSGrand Maître
Je commence la lecture d'un grand classique pour les amateurs d'antique : A. CROISET, Les démocraties Antiques, ou comment lier sociologie et histoire dans les principaux systèmes démocratiques de l'antiquité (Athenes, Rome, Carthage).
- InvitéeHrÉrudit
Pour ceux que ça pourrait intéresser, je viens de commander cette étude sur le paysage dans le cinéma américain et toute la mythologie qui le nourrit. Il y a des références à Griffith, que je connais très peu.
- Reine MargotDemi-dieu
je viens de finir le Tome 1 de Millenium, j'ai beaucoup aimé. Les détails de l'affaire wennerstroem sont longs au début, mais si on s'accroche, ça en vaut la peine. c'est aussi un portrait de la société actuelle, avec Lisbeth Sallander, la marginale, et Mickael Blomkvist, représentant les médias capables de défaire les empires financiers. l'enquête sur la famille Vanger est passionnante, ils regorgent de cadavres dans le placard (anciens nazis, criminels, violeurs en série..).
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- bellaciaoFidèle du forum
J'azi lu deux nouvelles de Sweig : "Printemps au Prater" et "La Gouvernante". Magnifique ! C'est l'écriture comme je l'aime, où l'on n'hésite pas à fournir des informations psychologiques au lecteur et analyser les comportements des personnages.
Je lis maintenant "Un brûlant secret" : un jeune garçon en repos dans un hôtel à la montagne avec sa mère se fait un ami en la personne d'un jeune baron qu'il idolâtre, mais il s'aperçoit que celui-ci s'est purement et simplement servi de lui pour approcher sa mère. L'enfant négligé se met à les haïr et cherche à les espionner, à découvrir leur "secret" puis à se venger. C'est plein de sentiments troublants (l'homme chasseur de proies qui se met à briller quand il plaît à une femme, la femme mûre qui s'ennuie, mélancolique mais passionnée, l'enfant qui va perdre son innocence à cause des mensonges des adultes...).
C'est un exemple de la merveilleuse plume de Stefan Sweig, je ne m'en lasse pas !
Je lis maintenant "Un brûlant secret" : un jeune garçon en repos dans un hôtel à la montagne avec sa mère se fait un ami en la personne d'un jeune baron qu'il idolâtre, mais il s'aperçoit que celui-ci s'est purement et simplement servi de lui pour approcher sa mère. L'enfant négligé se met à les haïr et cherche à les espionner, à découvrir leur "secret" puis à se venger. C'est plein de sentiments troublants (l'homme chasseur de proies qui se met à briller quand il plaît à une femme, la femme mûre qui s'ennuie, mélancolique mais passionnée, l'enfant qui va perdre son innocence à cause des mensonges des adultes...).
C'est un exemple de la merveilleuse plume de Stefan Sweig, je ne m'en lasse pas !
- lulucastagnetteEmpereur
Ah, Zweig... j'adore !!
Millenium, j'ai adoré le 1er tome, aimé le 2ème et le 3ème m'a plu mais m'a paru un peu longuet tout de même. Pour le 1er, il faut s'accrocher les 100 premières pages avant que ça devienne intéressant !
Mes dernières lectures en vitesse :
4ème tome du Clan des Otori.
La paix règne au pays des trois frontières depuis que Takeo et sa femme en sont les dirigeants. Entourés de leur fille aînée Shigeko et de leurs jumelles qui effraient le peuple car elles sont un mauvais présage à cette époque, ils feront tout pour préserver cette félicité menacée par l'orgueil et l'avidité de leurs ennemis.
Encore une fois je me suis laissée emporter par l'histoire.
J'avais beaucoup aimé "L'ombre du vent" et là j'ai été emballée par cet autre roman de Zafon presque jusqu'à la fin... qui m'a beaucoup déçue car je l'ai trouvée bâclée, mal ficelée et trop vite expédiée (de l'art de faire mourir 10 personnages en 10 pages, vous savez ! )
L'auteur est né et à grandi dans mon village natal (un petit village lorrain de 400 habitants perdu dans la forêt), elle vit maintenant à Paris où elle est rédactrice en chef d'un magazine. Son premier roman est un roman policier qui se déroule dans un village qui ressemble trait pour trait à celui de mon enfance et qui relate des meurtres de jeunes filles sur fond de secrets datant de l'Occupation (au lendemain de la Libération, un homme accusé d'être un collabo a été pendu près de l'église) et d'ennoyage de mines.
J'ai beaucoup aimé retrouver mon village et reconnaître certaines figures locales dans ce roman que j'ai en plus trouvé bien écrit.
Millenium, j'ai adoré le 1er tome, aimé le 2ème et le 3ème m'a plu mais m'a paru un peu longuet tout de même. Pour le 1er, il faut s'accrocher les 100 premières pages avant que ça devienne intéressant !
Mes dernières lectures en vitesse :
4ème tome du Clan des Otori.
La paix règne au pays des trois frontières depuis que Takeo et sa femme en sont les dirigeants. Entourés de leur fille aînée Shigeko et de leurs jumelles qui effraient le peuple car elles sont un mauvais présage à cette époque, ils feront tout pour préserver cette félicité menacée par l'orgueil et l'avidité de leurs ennemis.
Encore une fois je me suis laissée emporter par l'histoire.
J'avais beaucoup aimé "L'ombre du vent" et là j'ai été emballée par cet autre roman de Zafon presque jusqu'à la fin... qui m'a beaucoup déçue car je l'ai trouvée bâclée, mal ficelée et trop vite expédiée (de l'art de faire mourir 10 personnages en 10 pages, vous savez ! )
L'auteur est né et à grandi dans mon village natal (un petit village lorrain de 400 habitants perdu dans la forêt), elle vit maintenant à Paris où elle est rédactrice en chef d'un magazine. Son premier roman est un roman policier qui se déroule dans un village qui ressemble trait pour trait à celui de mon enfance et qui relate des meurtres de jeunes filles sur fond de secrets datant de l'Occupation (au lendemain de la Libération, un homme accusé d'être un collabo a été pendu près de l'église) et d'ennoyage de mines.
J'ai beaucoup aimé retrouver mon village et reconnaître certaines figures locales dans ce roman que j'ai en plus trouvé bien écrit.
- AbraxasDoyen
Lu Une éducation libertine, de jean-Baptiste Del Amo. Dans le style bougre du XVIIIème siècle, ce ne serait pas mal écrit, sauf que si vous avez lu le Parfum d'un côté, les tableaux de Paris (de Mercier) de l'autre, un bout de la Nouvelle Babylone de Fougeret de Montbron et quelques fragments du Portier des Chartreux ou Fanny Hill, avec un bout de Monsieur Nicolas, et les romans de Jean-François parot, qui sont magnifiques de reconstitution historique, vous avez les bases et le détail d'un roman multi-couronné, mais qui est tissé d'emprunts qui se camouflent. Un pur scandale.
- VioletEmpereur
Quel lecteur de nos jours est capable de reconnaître ces sources ? :lol:
- IgniatiusGuide spirituel
Première intervention sur ce topic : je n'ai pas eu le temps de lire un livre depuis un an !
Je viens de finir, en quelques heures et sur les conseils d'Angua, un livre de SF français : "Meddik" de Thierry Di Rollo.
C'est percutant, et d'une noirceur que je ne pouvais soupçonner : Céline à côté, c'est Walt Disney.
Ca se passe sur une Terre du 23è siècle complètement fatiguée et polluée par des déchets rejetés dans les océans, détruits.
La société est noire, divisée entre des Justes, sortes de démiurges capitalistes totalement désabusés, et des humains qui se font la guerre : les Guerilleros, les Fidèles, les Pauvres, les Industrieux.
Pour chacune de ces parts de "l'humanité", la vie des autres n'a aucune importance et le sexe est sans joie.
Il y aussi des vautours mutants qui bouffent les hommes.
Dans ce contexte de monde à l'agonie, un Juste va entamer une croisade nihiliste et détruire tout espoir en l'homme.
Le roman est extrêmement dérangeant : le "héros" tue sans état d'âme, et gratuitement, le mot cynisme est faible. Sa femme, ses enfants, ses compagnons n'ont aucune valeur.
L'écriture est très elliptique et presqu'aussi hallucinée que les drogues prises par le héros.
Un vrai coup de poing, de la SF vraiment littéraire. J'ai adoré.
Merci Angua !
En revanche, j'ai commencé "Chroniques du pays des mères", d'Elisabeth Vonarburg et je viens de faire une pause au bout de 400 pages (sur 600) : je trouve ça très chiant.
C'est aussi sur une terre post-apocalyptique dévastée, qui commence à revivre par une socièté matriarcale, les hommes étant très rares. Je ne sais pas si ça va démarrer, mais l'aspect chronique est plutôt longuet.
Je commence bientôt "La délicatesse" de David Foenkinos parce qu'on me l'a offert : quelqu'un l'a lu ?
Je viens de finir, en quelques heures et sur les conseils d'Angua, un livre de SF français : "Meddik" de Thierry Di Rollo.
C'est percutant, et d'une noirceur que je ne pouvais soupçonner : Céline à côté, c'est Walt Disney.
Ca se passe sur une Terre du 23è siècle complètement fatiguée et polluée par des déchets rejetés dans les océans, détruits.
La société est noire, divisée entre des Justes, sortes de démiurges capitalistes totalement désabusés, et des humains qui se font la guerre : les Guerilleros, les Fidèles, les Pauvres, les Industrieux.
Pour chacune de ces parts de "l'humanité", la vie des autres n'a aucune importance et le sexe est sans joie.
Il y aussi des vautours mutants qui bouffent les hommes.
Dans ce contexte de monde à l'agonie, un Juste va entamer une croisade nihiliste et détruire tout espoir en l'homme.
Le roman est extrêmement dérangeant : le "héros" tue sans état d'âme, et gratuitement, le mot cynisme est faible. Sa femme, ses enfants, ses compagnons n'ont aucune valeur.
L'écriture est très elliptique et presqu'aussi hallucinée que les drogues prises par le héros.
Un vrai coup de poing, de la SF vraiment littéraire. J'ai adoré.
Merci Angua !
En revanche, j'ai commencé "Chroniques du pays des mères", d'Elisabeth Vonarburg et je viens de faire une pause au bout de 400 pages (sur 600) : je trouve ça très chiant.
C'est aussi sur une terre post-apocalyptique dévastée, qui commence à revivre par une socièté matriarcale, les hommes étant très rares. Je ne sais pas si ça va démarrer, mais l'aspect chronique est plutôt longuet.
Je commence bientôt "La délicatesse" de David Foenkinos parce qu'on me l'a offert : quelqu'un l'a lu ?
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- Invité19Esprit sacré
Cavalol, ne le détourne pas de sa future lecture : je lui ai conseillé un bouquin de Gombrowicz, comme ça je pourrai enfin échanger mes impressions ! (Igniatius, un cobaye ? non...)
- IgniatiusGuide spirituel
Je m'y mettrai prochainement Oiseau, promis, chef !
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- Invité19Esprit sacré
j'ai peur que ça ne te plaise pas (et mon souvenir est lointain, mais j'avais ri tellement c'était loufoque par moments. Après peut-être que tu ne rentreras pas du tout dedans !)
- CavaGrand sage
J'édite Igniatius et je te laisse en tête à tête avec Oiseau!
- IgniatiusGuide spirituel
Mais pourquoi édites-tu tous tes messages Cava ?
C'est illisible après !
Et puis ce que tu as dit ne pose aucun pb, si ?
C'est illisible après !
Et puis ce que tu as dit ne pose aucun pb, si ?
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- CavaGrand sage
Je n'édite pas tous mes messages Igniatius! Ce n'est pas illisible puisqu'il n'y a plus rien. Ce que j'ai dit ne pose pas de pb non. Je voulais juste te dire que La Délicatesse ne m'avait pas laissé un grand souvenir, c'est tout.
- IgniatiusGuide spirituel
Ben oui, c'était intéressant ! On me l'a offert, je vais vite le lire, c'est tout petit et écrit gros, je vous dirai demain.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- stenchMonarque
Je découvre Le Rouge et le noir que je n'avais pas encore lu.
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