- CavaGrand sage
Pffff! Nan pas du jeu. C'est la dernière nouvelle, vilain. :lol:infiniment a écrit: Le choix est difficile... Le recueil est équilibré, toutes ont des qualités indéniables. Allez, un choix arbitraire, tout à fait subjectif : "Arrêt sur image".
Donne-moi envie de continuer ... J'ai lu les trois premières !
- clochetteNeoprof expérimenté
Trilogie Millenium terminée !
Réticente au début ( j'ai mis 2 ans à le sortir de ma bibliothèque ), je l'ai finalement dévorée.
Réticente au début ( j'ai mis 2 ans à le sortir de ma bibliothèque ), je l'ai finalement dévorée.
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"Sans grain de folie, il n'est point d'homme raisonnable"
La Rochefoucauld
http://clochette06.canalblog.com/
- InfinimentHabitué du forum
cavalol a écrit:Pffff! Nan pas du jeu. C'est la dernière nouvelle, vilain. :lol:infiniment a écrit: Le choix est difficile... Le recueil est équilibré, toutes ont des qualités indéniables. Allez, un choix arbitraire, tout à fait subjectif : "Arrêt sur image".
Donne-moi envie de continuer ... J'ai lu les trois premières !
Allons, Cava, tu n'as pas besoin de mon avis ! Jacqueline, c'est un bonheur à chaque page.
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Ah ! la belle chose, que de savoir quelque chose !
- CavaGrand sage
infiniment a écrit:cavalol a écrit:Pffff! Nan pas du jeu. C'est la dernière nouvelle, vilain. :lol:infiniment a écrit: Le choix est difficile... Le recueil est équilibré, toutes ont des qualités indéniables. Allez, un choix arbitraire, tout à fait subjectif : "Arrêt sur image".
Donne-moi envie de continuer ... J'ai lu les trois premières !
Allons, Cava, tu n'as pas besoin de mon avis ! Jacqueline, c'est un bonheur à chaque page.
Certes, mais je sens que tu te défiles un peu ... Bon je vais m'obliger à faire une pause néo et finir de dévorer Jacqueline pour me poser la question et y répondre! :lol:
- lulucastagnetteEmpereur
Dans un paysage minier, Mary et Louisa, les filles d'un pauvre pasteur, réussiront-elles à échapper à la vie étriquée, aux préjugés, au désespoir à quoi tout les condamne ? Dans cette admirable nouvelle, comme dans les six autres qui composent ce recueil, on assiste au combat entre la société, ses règles morales écrasantes, la misère aussi, et la joie, la liberté, le langage de la nature et des sens. Un officier prussien et son ordonnance, une servante et un déserteur, une mariée frivole, l'épouse d'un mineur sont les héros de ces histoires, où le corps, souvent, connaît mieux la vérité que l'esprit.
- zabriskieÉrudit
Je suis en train de me faire toute la série des Arnaldur Indridason, méthodiquement, l'un après l'autre. C'est bon les vacances !
Déjà lus :
Bien avancé :
C'est clair, j'ai bien délaissé la préparation de cours !
Déjà lus :
Bien avancé :
C'est clair, j'ai bien délaissé la préparation de cours !
- adlidiHabitué du forum
J'adore Indridason!!!
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"La vie c'est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber."
- zabriskieÉrudit
Oui !! Des années que je n'avais pas lu de romans policiers...
- adlidiHabitué du forum
J'avais tout particulièrement aimé La femme en vert. D'ailleurs, je crois que c'est le premier livre que j'ai lu de lui...
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"La vie c'est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber."
- FrisouilleEnchanteur
Fini l'Armée furieuse, le dernier Vargas, ce matin. Beaucoup de plaisir et beaucoup d'humour aussi...
Je passe au Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates, dont vous avez dit du bien, les unes et les autres ...
Je passe au Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates, dont vous avez dit du bien, les unes et les autres ...
- adlidiHabitué du forum
Frisouille a écrit:
Je passe au Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates, dont vous avez dit du bien, les unes et les autres ...
Il fait partie de la pile de livres qui trâîne au pied de mon lit...
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"La vie c'est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber."
- lulucastagnetteEmpereur
adlidi a écrit:J'avais tout particulièrement aimé La femme en vert. D'ailleurs, je crois que c'est le premier livre que j'ai lu de lui...
Mon préféré également !
Frisouille a écrit:
Je passe au Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates, dont vous avez dit du bien, les unes et les autres ...
Je n'en faisais pas partie... Je m'étais fait gentiment lyncher quand j'avais dit que c'était du Harlequin amélioré...
- lulucastagnetteEmpereur
zabriskie a écrit:Oui !! Des années que je n'avais pas lu de romans policiers...
Si tu aimes Indridason, tu aimeras Mankell !
- User5899Demi-dieu
Y'a des jours où ce forum nous fait sultans, nous les hommes... Un petit harem bien fermé où les habitantes s'échangent trucs et conseils. :lol:Frisouille a écrit:dont vous avez dit du bien, les unes et les autres ...
- RikkiMonarque
lulucastagnette a écrit:zabriskie a écrit:Oui !! Des années que je n'avais pas lu de romans policiers...
Si tu aimes Indridason, tu aimeras Mankell !
Pas sûr : j'adore Indridason, et beaucoup, beaucoup moins Mankell.
Le dernier Indridason n'est pas un "Erlendur", mais un "Elinborg", ça change... mais il est vrai qu'aucun ne m'a fait l'effet "coup de poing" de "La Femme en vert", qui m'avait laissée KO debout.
_________________
mon site sur l'écriture : www.ecritureparis.fr
- lulucastagnetteEmpereur
Je l'avais déjà lu il y a quelques années.
Un bon petit roman, bien pour des 3èmes je pense.
- CavaGrand sage
cavalol a écrit:
En ce moment, c'est Jacqueline de Romilly, Laisser flotter les rubans. (recueil de nouvelles)
Dans ce recueil, quelle nouvelle a ta préférence?
infiniment a écrit:
Le choix est difficile... Le recueil est équilibré, toutes ont des qualités indéniables. Allez, un choix arbitraire, tout à fait subjectif : "Arrêt sur image".
Mon choix est le suivant : Orel et Catane.
Marianne est avec sa petite fille, Elodie, qui cherche un accessoire pour relever le gris de sa nouvelle robe. (choix innocent, n'est-ce pas, venant de moi ). Elle découvre une paire de boucle d'oreilles offerte par Henri à Marianne pour célébrer une double victoire pendant la seconde guerre mondiale. La victoire à Orel (Russie) et la victoire à Catane (Sicile). Au cours de la discussion, Marianne se rend compte du décalage qu'il peut exister lors d'un échange avec un proche. Mais en grand-mère attentive, elle ne dit rien et laisse sa petite fille imaginer l'histoire liée à cette paire de boucle d'oreille comme elle l'entend. La nouvelle offre alors une réflexion sur l'interprétation que chacun peut faire en fonction de son âge, de son passé ... en fonction de sa personnalité sur le souvenir lié à un événement . L'analyse est très fine et offre un instantané du travail de la mémoire.
" - C'était une fête, murmura Elodie.
Il y eut un bref silence; et Marianne répondit :
- Oui, c'est vrai : une grande fête.
Elle sentait combien les mots étaient trompeurs. Car ce n'avait pas été une fête au sens où l'entendait Elodie, pour qui le mot impliquait sans doute une gaieté légère et facile; elle ne soupçonnait pas le gonflement de joie et d'espérance qui avait marqué ce jour d'exil; et ne soupçonnait pas non plus la force que donnait à cette espérance la lourde chape d'appréhension à travers laquelle la lumière perçait enfin. Elle ne savait pas que cette espérance se mesure à l'anxiété de laquelle elle surgit. Elle ignorait que les choses se combinent, s'entrelacent, et que les extrêmes se rejoignent, chacun prêtant à l'autre de son intensité. Comment aurait-elle pu le savoir?
Marianne pensa : " Elle est trop jeune. " Voulait-elle dire par là qu'Elodie était trop jeune pour avoir connu la guerre. Sans doute, mais cette évidence n'était pas tout. Elle avait aussi le sentiment vague qu'Elodie était trop jeune pour mesurer cette complexité des sentiments et cette richesse qui est la leur. Marianne eut un regard vers les yeux bruns si doux et si naïfs :on ne comprend pas ces choses quand on a un tel regard, une telle fraîcheur. Et tout à coup, quelque chose vacilla en elle. Elle se dit qu'au temps de la guerre, elle devait encore avoir elle aussi, ce même regard, cette même innocence. Il lui sembla mieux comprendre à présent ce qu'elle avait vécu alors.
Elodie, cependant, insistait :
- Alors, à cause de cette nouvelle, il est parti, comme cela, t'acheter un cadeau?
Cela sonnait comme un conte bleu. Marianne répondit seulement :
- Oui, cela s'est passé ainsi ...
Mais elle savait au fond d'elle-même, ou plutôt elle découvrait de façon encore imprécise, que cela ne s'était pas passé ainsi."
Alors, Infiniment, convaincu?
- InfinimentHabitué du forum
cavalol a écrit:Alors, Infiniment, convaincu?
Toujours, quand il s'agit de Jacqueline de Romilly ! Mais Cava, pour que ton choix soit tout à fait juste, il faudrait que tu aies lu toutes les nouvelles de ce recueil...
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Ah ! la belle chose, que de savoir quelque chose !
- CavaGrand sage
infiniment a écrit:cavalol a écrit:Alors, Infiniment, convaincu?
Toujours, quand il s'agit de Jacqueline de Romilly ! Mais Cava, pour que ton choix soit tout à fait juste, il faudrait que tu aies lu toutes les nouvelles de ce recueil...
Hein pourquoi? Moi j'aime bien cette nouvelle! Bon, je triche je n'ai pas encore tout lu! Pas grave, cette grande dame mérite bien qu'on prenne le temps de l'apprécier, non?
Et d'ailleurs que me conseilles-tu après ce recueil de nouvelles?
- InfinimentHabitué du forum
cavalol a écrit:infiniment a écrit:cavalol a écrit:Alors, Infiniment, convaincu?
Toujours, quand il s'agit de Jacqueline de Romilly ! Mais Cava, pour que ton choix soit tout à fait juste, il faudrait que tu aies lu toutes les nouvelles de ce recueil...
Hein pourquoi? Moi j'aime bien cette nouvelle! Bon, je triche je n'ai pas encore tout lu! Pas grave, cette grande dame mérite bien qu'on prenne le temps de l'apprécier, non?
Et d'ailleurs que me conseilles-tu après ce recueil de nouvelles?
Tu n'as que l'embarras du choix :
- un autre recueil de nouvelles (Les Oeufs de Pâques, Sous des dehors si calmes)
- de charmants petits récits sur les souvenirs attachés à des objets familiers (Les roses de la solitude)
- des anecdotes plaisantes, des souvenirs heureux (Le sourire innombrable)
- un ouvrage sur la montagne Sainte-Victoire, superbe, où l'on retrouve des accents de Pétrarque et de Giono (Sur les chemins de Sainte-Victoire)
J'en oublie certainement... Quel que soit ton choix, tu ne seras pas déçue !
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Ah ! la belle chose, que de savoir quelque chose !
- CavaGrand sage
infiniment a écrit:cavalol a écrit:infiniment a écrit:cavalol a écrit:Alors, Infiniment, convaincu?
Toujours, quand il s'agit de Jacqueline de Romilly ! Mais Cava, pour que ton choix soit tout à fait juste, il faudrait que tu aies lu toutes les nouvelles de ce recueil...
Hein pourquoi? Moi j'aime bien cette nouvelle! Bon, je triche je n'ai pas encore tout lu! Pas grave, cette grande dame mérite bien qu'on prenne le temps de l'apprécier, non?
Et d'ailleurs que me conseilles-tu après ce recueil de nouvelles?
Tu n'as que l'embarras du choix :
- un autre recueil de nouvelles (Les Oeufs de Pâques,
- de charmants petits récits sur les souvenirs attachés à des objets familiers (Les roses de la solitude)
- des anecdotes plaisantes, des souvenirs heureux (Le sourire innombrable)
- un ouvrage sur la montagne Sainte-Victoire, superbe, où l'on retrouve des accents de Pétrarque et de Giono (Sur les chemins de Sainte-Victoire)
J'en oublie certainement... Quel que soit ton choix, tu ne seras pas déçue !
Je pense ne pas être déçue effectivement. Bon je crois que je vais me laisser tenter par un autre recueil de nouvelles et je ne sais pas pourquoi celui-ci m'attire Sous des dehors si calmes). Merci Infiniment. :lol:
- User5899Demi-dieu
Oh ! Et en plus d'être lettres classiques et tout et tout, notre nouveau camarade écrit sans fautes :lol: Je viens de lire douze posts en diagonale et j'ai trouvé huit fois "quelque" au lieu de "quel... que", je commençais à désespérer. Et puis Infiniment vint. Enfin !infiniment a écrit:Quel que soit ton choix, tu ne seras pas déçue !
Je n'ai pas comptabilisé les futurs en -rais, c'était déprimant, pis La Jabotte n'est peut-être pas encore rentrée.
Bref, une lueur d'espoir pour la rentrée.
- leyadeEsprit sacré
J'ai dévoré un livre récemment : La Délicatesse, de David Foenkinos :
Juste un extrait des premières pages, que j'ai trouvé tellement fin, tellement juste, tellement drôle aussi :
François vient d'aborder une jeune femme dans la rue, et elle accepte contre toute attente de boire un café avec lui : pendant qu'ils regardent la carte, il se fait cette réflexion :
« François pensa : si elle commande un déca, je me lève et je m’en vais. C’est la boisson la moins conviviale qui soit. Un thé, ce n’est guère mieux. On sent qu’on va passer des dimanches après-midi à regarder la télévision. Ou pire : chez les beaux-parents. Finalement, il se dit qu’un jus ça serait bien. Oui, un jus, c’est sympathique. C’est convivial et pas trop agressif. On sent la fille douce et équilibrée. Mais quel jus ? Mieux vaut esquiver les grands classiques : évitons la pomme ou l’orange, trop vu. Il faut être un tout petit peu original, sans être toutefois excentrique. La papaye ou la goyave, ça fait peur. Le jus d’abricot, ça serait parfait. Si elle choisit ça, je l’épouse…
– Je vais prendre un jus… Un jus d’abricot, je crois, répondit Nathalie.
Il la regarda comme si elle était une effraction de la réalité. »
La délicatesse a obtenu dix prix littéraires et a été traduit dans plus de quinze langues.
Juste un extrait des premières pages, que j'ai trouvé tellement fin, tellement juste, tellement drôle aussi :
François vient d'aborder une jeune femme dans la rue, et elle accepte contre toute attente de boire un café avec lui : pendant qu'ils regardent la carte, il se fait cette réflexion :
« François pensa : si elle commande un déca, je me lève et je m’en vais. C’est la boisson la moins conviviale qui soit. Un thé, ce n’est guère mieux. On sent qu’on va passer des dimanches après-midi à regarder la télévision. Ou pire : chez les beaux-parents. Finalement, il se dit qu’un jus ça serait bien. Oui, un jus, c’est sympathique. C’est convivial et pas trop agressif. On sent la fille douce et équilibrée. Mais quel jus ? Mieux vaut esquiver les grands classiques : évitons la pomme ou l’orange, trop vu. Il faut être un tout petit peu original, sans être toutefois excentrique. La papaye ou la goyave, ça fait peur. Le jus d’abricot, ça serait parfait. Si elle choisit ça, je l’épouse…
– Je vais prendre un jus… Un jus d’abricot, je crois, répondit Nathalie.
Il la regarda comme si elle était une effraction de la réalité. »
La délicatesse a obtenu dix prix littéraires et a été traduit dans plus de quinze langues.
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Maggi is my way, Melfor is my church and Picon is my soutien. Oui bon je sais pas dire soutien en anglais.
LSU AP ENT HDA PAI PAP PPMS PPRE ULIS TICE PAF
- CavaGrand sage
Cripure a écrit:Oh ! Et en plus d'être lettres classiques et tout et tout, notre nouveau camarade écrit sans fautes :lol: Je viens de lire douze posts en diagonale et j'ai trouvé huit fois "quelque" au lieu de "quel... que", je commençais à désespérer. Et puis Infiniment vint. Enfin !infiniment a écrit:Quel que soit ton choix, tu ne seras pas déçue !
Je n'ai pas comptabilisé les futurs en -rais, c'était déprimant, pis La Jabotte n'est peut-être pas encore rentrée.
Bref, une lueur d'espoir pour la rentrée.
Cripure, que vous arrive-t-il? C'est vous qui mettez ce genre de smileys! Vous changez de crèmerie ... :lol: (hihhihi)
Lu Leyade ...et je n'en garde qu'un vague souvenir! (pas taper). Foenkinos se lit mais il ne m'émeut pas, voilà, c'est dit.par leyade :J'ai dévoré un livre récemment : La Délicatesse, de David Foenkinos
- FourseasonsGrand sage
cavalol a écrit:
Lu Leyade ...et je n'en garde qu'un vague souvenir! (pas taper). Foenkinos se lit mais il ne m'émeut pas, voilà, c'est dit.par leyade :J'ai dévoré un livre récemment : La Délicatesse, de David Foenkinos
Autant j'avais été vraiment touchée par la première partie autant la deuxième partie m'a ennuyée.
Là je lis La révolte des accents.
Une jonque qui transporte une troupe de comédiens accoste un jour dans l’île où vivent nos amis Jeanne, son frère Thomas, M. Henri… Le soir-même, ils jouent "Roméo et Juliette", faisant rêver d’amour tous les habitants de l’île. Le lendemain, stupeur ! la jonque est partie. Elle a emporté avec elle les accents et les épices.
L’île découvre alors comme la vie est morne sans eux. Comment avaler, jour après jour, du riz sans safran ? Comment s’émouvoir ou s’émerveiller s’il n’y a plus d’accent aigu sur le e ?
Jeanne décide de partir à leur recherche, d’autant plus que son frère s’est embarqué avec la troupe pour travailler comme souffleur. Son périple va la mener jusqu’en Inde, dans une vallée magique où se réunissent chaque année des comédiens du monde entier pour un festival secret de théâtre et d’épices. Ne viendraient-ils pas là pour se faire épicer ?
Mais les accents se sont installés plus haut, sur les contreforts de l’Himalaya. Elle a retrouvé Thomas, qui mènera l’expédition jusqu’à la villégiature des accents, où se rassemblent régulièrement tous les accents du monde.
Sur ces hauteurs, Jeanne va commencer à découvrir ce que c’est qu’aimer : accentuer sa vie. Elle poursuivra cette exploration dans le prochain livre qui traitera, avec un chef d’orchestre, de la ponctuation.
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