- InvitéInvité
Provence a écrit:milasaintanne a écrit:
Bien les étudiants.
On écoutait et on essayait de prendre des notes. Et au bout d'un an, on était sensés avoir appris par coeur 1.20 m de haut de notes et de cours polycopiés pour passer le concours et entrer en 2e année. Je n'ai pas prononcé un seul mot en cours de l'année. Et d'ailleurs personne ne m'a demandé de le faire et aucun étudiant ne le faisait.
Ai-je besoin de vous dire que je n'ai pas fait médecine ?
On peut attendre d'un étudiant qu'il sache se prendre en main seul. Et on ne peut pas comparer ce qui se passe dans un amphi de médecine (le principe du concours étant de sélectionner...) avec un cours en collège ou lycée.
il n'était pas question de comparer mais de définir.....
- InvitéInvité
Provence a écrit:milasaintanne a écrit:
Bien les étudiants.
On écoutait et on essayait de prendre des notes. Et au bout d'un an, on était sensés avoir appris par coeur 1.20 m de haut de notes et de cours polycopiés pour passer le concours et entrer en 2e année. Je n'ai pas prononcé un seul mot en cours de l'année. Et d'ailleurs personne ne m'a demandé de le faire et aucun étudiant ne le faisait.
Ai-je besoin de vous dire que je n'ai pas fait médecine ?
On peut attendre d'un étudiant qu'il sache se prendre en main seul. Et on ne peut pas comparer ce qui se passe dans un amphi de médecine (le principe du concours étant de sélectionner...) avec un cours en collège ou lycée.
C'était la même chose dans les amphis de lettres ou de droit que j'ai fréquenté par la suite ....
- User5899Demi-dieu
Oui, ben c'est passer des apprentissages à sa copie de bac, y'a pas de quoi monter cinq stages, non ?mel93 a écrit:La définition Wikipédia me convient :
"La pédagogie de projet est une pratique de pédagogie active qui fait passer des apprentissages à travers la réalisation d'une production concrète."
Sinon, la rigueur scientifique de Wikipédia... Limite, non ?
- ysabelDevin
Lornet a écrit:milasaintanne a écrit:
Votre postulat est que "le niveau baisse". Je ne fais pas le même constat que vous : ma fille fait en maths, en seconde, ce que je faisais en Terminale D.
Je ne sais pas où votre fille étudie mais tous les collègues professeurs de mathématiques en lycée que j'ai entendus se plaignent du niveau de plus en plus faible de leurs élèves.
Pareil : je viens de voir le dernier DM d'une de mes 2des... c'est qqch que je faisais en 4ème...
Et quand j'entends les collègues...
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- ProvenceEnchanteur
milasaintanne a écrit:Provence a écrit:milasaintanne a écrit:
Bien les étudiants.
On écoutait et on essayait de prendre des notes. Et au bout d'un an, on était sensés avoir appris par coeur 1.20 m de haut de notes et de cours polycopiés pour passer le concours et entrer en 2e année. Je n'ai pas prononcé un seul mot en cours de l'année. Et d'ailleurs personne ne m'a demandé de le faire et aucun étudiant ne le faisait.
Ai-je besoin de vous dire que je n'ai pas fait médecine ?
On peut attendre d'un étudiant qu'il sache se prendre en main seul. Et on ne peut pas comparer ce qui se passe dans un amphi de médecine (le principe du concours étant de sélectionner...) avec un cours en collège ou lycée.
il n'était pas question de comparer mais de définir.....
Donc une pédagogie active, c'est une pédagogie qui fait parler?
- User5899Demi-dieu
Mais vous étiez censée les apprendre au fur et à mesure, non ? Ce qu'on demande à un médecin, c'est de savoir, pas de s'être amusé en amphi. En d'autres termes, vous n'avez pas fait médecine, mais les médecins, si.milasaintanne a écrit:Provence a écrit:milasaintanne a écrit:Provence a écrit:mel93 a écrit:La définition Wikipédia me convient :
"La pédagogie de projet est une pratique de pédagogie active qui fait passer des apprentissages à travers la réalisation d'une production concrète."
Je ne comprends pas ce principe de pédagogie active. Ça existe la pédagogie passive?
Ah bien oui. J'en ai subi des dizaines d'heures par semaine dans les amphis de PCEM1 à l'époque de ma jeunesse folle ....
Et qui était passif?
Bien les étudiants.
On écoutait et on essayait de prendre des notes. Et au bout d'un an, on était sensés avoir appris par coeur 1.20 m de haut de notes et de cours polycopiés pour passer le concours et entrer en 2e année. Je n'ai pas prononcé un seul mot en cours de l'année. Et d'ailleurs personne ne m'a demandé de le faire et aucun étudiant ne le faisait.
Ai-je besoin de vous dire que je n'ai pas fait médecine ?
- InvitéInvité
écouter et prendre des notes, se poser des questions et en chercher les réponses en bibli, c'est être inactif?
On n'a pas dû appréhender les cours magistraux à la fac de la même façon...
On n'a pas dû appréhender les cours magistraux à la fac de la même façon...
- ysabelDevin
milasaintanne a écrit:Provence a écrit:milasaintanne a écrit:
Bien les étudiants.
On écoutait et on essayait de prendre des notes. Et au bout d'un an, on était sensés avoir appris par coeur 1.20 m de haut de notes et de cours polycopiés pour passer le concours et entrer en 2e année. Je n'ai pas prononcé un seul mot en cours de l'année. Et d'ailleurs personne ne m'a demandé de le faire et aucun étudiant ne le faisait.
Ai-je besoin de vous dire que je n'ai pas fait médecine ?
On peut attendre d'un étudiant qu'il sache se prendre en main seul. Et on ne peut pas comparer ce qui se passe dans un amphi de médecine (le principe du concours étant de sélectionner...) avec un cours en collège ou lycée.
C'était la même chose dans les amphis de lettres ou de droit que j'ai fréquenté par la suite ....
Et bien j'ai toujours aimé les cours où le professeur offrait son savoir... Et ce que je vois dans les classes c'est que les élèves apprécient aussi de vrais cours où on leur donne des savoirs à côté d'autres où ils sont eux-mêmes en activités. Mais recevoir du savoir n'est pas être passif, bien au contraire.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- ProvenceEnchanteur
ysabel a écrit:
Et bien j'ai toujours aimé les cours où le professeur offrait son savoir... Et ce que je vois dans les classes c'est que les élèves apprécient aussi de vrais cours où on leur donne des savoirs à côté d'autres où ils sont eux-mêmes en activités. Mais recevoir du savoir n'est pas être passif, bien au contraire.
Sans compter tous ces gamins bavards qui ouvrent le bec pour ne rien dire tandis que d'autres, silencieux, écoutent attentivement. On confond trop souvent agitation et activité!
- CathEnchanteur
milasaintanne a écrit:
Votre postulat est que "le niveau baisse". Je ne fais pas le même constat que vous : ma fille fait en maths, en seconde, ce que je faisais en Terminale D.
Alors, là, quand même!
Je n'interviens pas sur ce fil (bien que n'en pensant pas moins), mais là, vraiment, mon sang ne fait qu'un tour...
Va faire un tour sur le forum de maths, j'ai eu l'occasion de comparer l'évolution des programmes en 25 ans, et là vraiment, dire que le niveau d'exigence monte, c'est mensonger!
J'ai comparé avec mon neveu fraîchement sorti de S, l'évolution était flagrante...et pas dans le bon sens.
Pour ne citer qu'un exemple, j'ai appris les vecteurs en 3°, aujourd'hui c'est en 2°.
- CathEnchanteur
Ah ben je vois que je ne suis pas la seule à avoir réagi là-dessus...
- Nielsen Rika BellNiveau 7
Surtout pour les maths.
On peut donner des exercices de terminale C à des élèves de maths spé.
On peut donner des exercices de terminale C à des élèves de maths spé.
_________________
Parlons éducation... il me vient encore quelques élèves normaux... certes!... jamais vous pouvez vous vanter d'être absolument sans normaux!... non! un de temps à autre... bon!... je les instruis... pas plus mal que les autres professeurs... pas mieux... pédagogue, je suis! oh! très pédagogue! et très scrupuleux!... jamais une séance de chic!... jamais un cours fantaisiste!... depuis trente et cinq années, jamais une pédagogie drôlette!... pas que je me tienne pas au courant!... que si! que si!... je lis à fond tous les cahiers pédagogiques, les sciences de l'éducation... deux, trois kilos par semaine!... au feu! au feu le tout! c'est pas moi qui serai inquiété pour "instruction à la légère"!...
- supersosoSage
Mathieu Kessler a écrit:John a écrit:Et attention : il faut les gérer tous en même temps.
C'est là où c'est impossible.
Différencier ne consiste pas à faire 30 leçons différentes, mais à repérer les élèves qui doivent recevoir des aides spécifiques pendant la classe, aussi bien sous une forme matérielle que personnelle. Il s'agit également d'organiser des classes à plusieurs niveaux, ce qui, loin d'être impossible, représente le quotidien de dizaines de milliers de professeurs des écoles, professeurs stagiaires inclus. Je rappelle également que dans l'ancien temps on ne connaissait pas les classes-années, mais seulement les cycles (même si on ne les appelait pas ainsi). L'hétérogénéité était la règle, pour ne pas évoquer les classes uniques (donc super hétérogènes) dans les campagnes. L'idée de regrouper des élèves du même âge dans une seule classe est assez récente.
Et ce sont toujours ceux qui n'ont qu'une expérience du secondaire et du supérieur qui viennent expliquer comment faire la classe en primaire à des enfants de 7 ans qui ne savent pas ce qu'ils viennent faire à l'école et ne parlant pas toujours français...
- Nielsen Rika BellNiveau 7
supersoso a écrit:Mathieu Kessler a écrit:John a écrit:Et attention : il faut les gérer tous en même temps.
C'est là où c'est impossible.
Différencier ne consiste pas à faire 30 leçons différentes, mais à repérer les élèves qui doivent recevoir des aides spécifiques pendant la classe, aussi bien sous une forme matérielle que personnelle. Il s'agit également d'organiser des classes à plusieurs niveaux, ce qui, loin d'être impossible, représente le quotidien de dizaines de milliers de professeurs des écoles, professeurs stagiaires inclus. Je rappelle également que dans l'ancien temps on ne connaissait pas les classes-années, mais seulement les cycles (même si on ne les appelait pas ainsi). L'hétérogénéité était la règle, pour ne pas évoquer les classes uniques (donc super hétérogènes) dans les campagnes. L'idée de regrouper des élèves du même âge dans une seule classe est assez récente.
Et ce sont toujours ceux qui n'ont qu'une expérience du secondaire et du supérieur qui viennent expliquer comment faire la classe en primaire à des enfants de 7 ans qui ne savent pas ce qu'ils viennent faire à l'école et ne parlant pas toujours français...
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Parlons éducation... il me vient encore quelques élèves normaux... certes!... jamais vous pouvez vous vanter d'être absolument sans normaux!... non! un de temps à autre... bon!... je les instruis... pas plus mal que les autres professeurs... pas mieux... pédagogue, je suis! oh! très pédagogue! et très scrupuleux!... jamais une séance de chic!... jamais un cours fantaisiste!... depuis trente et cinq années, jamais une pédagogie drôlette!... pas que je me tienne pas au courant!... que si! que si!... je lis à fond tous les cahiers pédagogiques, les sciences de l'éducation... deux, trois kilos par semaine!... au feu! au feu le tout! c'est pas moi qui serai inquiété pour "instruction à la légère"!...
- InvitéInvité
Provence a écrit:milasaintanne a écrit:Provence a écrit:milasaintanne a écrit:
Bien les étudiants.
On écoutait et on essayait de prendre des notes. Et au bout d'un an, on était sensés avoir appris par coeur 1.20 m de haut de notes et de cours polycopiés pour passer le concours et entrer en 2e année. Je n'ai pas prononcé un seul mot en cours de l'année. Et d'ailleurs personne ne m'a demandé de le faire et aucun étudiant ne le faisait.
Ai-je besoin de vous dire que je n'ai pas fait médecine ?
On peut attendre d'un étudiant qu'il sache se prendre en main seul. Et on ne peut pas comparer ce qui se passe dans un amphi de médecine (le principe du concours étant de sélectionner...) avec un cours en collège ou lycée.
il n'était pas question de comparer mais de définir.....
Donc une pédagogie active, c'est une pédagogie qui fait parler?
Voila c'est le genre de réponse qui fait vachement avancer le débat... il n'y a de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.
Amusez vous bien.
- ProvenceEnchanteur
c'est peut-être que la définition n'est pas très claire. Un peu de pédagogie, que diable!milasaintanne a écrit:Provence a écrit:milasaintanne a écrit:Provence a écrit:milasaintanne a écrit:
Bien les étudiants.
On écoutait et on essayait de prendre des notes. Et au bout d'un an, on était sensés avoir appris par coeur 1.20 m de haut de notes et de cours polycopiés pour passer le concours et entrer en 2e année. Je n'ai pas prononcé un seul mot en cours de l'année. Et d'ailleurs personne ne m'a demandé de le faire et aucun étudiant ne le faisait.
Ai-je besoin de vous dire que je n'ai pas fait médecine ?
On peut attendre d'un étudiant qu'il sache se prendre en main seul. Et on ne peut pas comparer ce qui se passe dans un amphi de médecine (le principe du concours étant de sélectionner...) avec un cours en collège ou lycée.
il n'était pas question de comparer mais de définir.....
Donc une pédagogie active, c'est une pédagogie qui fait parler?
Voila c'est le genre de réponse qui fait vachement avancer le débat... il n'y a de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.
Amusez vous bien.
- InvitéInvité
Cripure a écrit:Mais vous étiez censée les apprendre au fur et à mesure, non ? Ce qu'on demande à un médecin, c'est de savoir, pas de s'être amusé en amphi. En d'autres termes, vous n'avez pas fait médecine, mais les médecins, si.milasaintanne a écrit:Provence a écrit:milasaintanne a écrit:Provence a écrit:mel93 a écrit:La définition Wikipédia me convient :
"La pédagogie de projet est une pratique de pédagogie active qui fait passer des apprentissages à travers la réalisation d'une production concrète."
Je ne comprends pas ce principe de pédagogie active. Ça existe la pédagogie passive?
Ah bien oui. J'en ai subi des dizaines d'heures par semaine dans les amphis de PCEM1 à l'époque de ma jeunesse folle ....
Et qui était passif?
Bien les étudiants.
On écoutait et on essayait de prendre des notes. Et au bout d'un an, on était sensés avoir appris par coeur 1.20 m de haut de notes et de cours polycopiés pour passer le concours et entrer en 2e année. Je n'ai pas prononcé un seul mot en cours de l'année. Et d'ailleurs personne ne m'a demandé de le faire et aucun étudiant ne le faisait.
Ai-je besoin de vous dire que je n'ai pas fait médecine ?
Je ne vois pas vraiment ce qui vous permet de dire que je m'y suis amusée... Vous y étiez aussi ?
Non, j'avais tout juste 17 ans et je venais de bosser deux mois dans un bloc opératoire et j'ai passé 7 mois enfermée chez moi. Disons que j'étais plutôt motivée.
- InvitéInvité
Lorica a écrit:écouter et prendre des notes, se poser des questions et en chercher les réponses en bibli, c'est être inactif?
On n'a pas dû appréhender les cours magistraux à la fac de la même façon...
Non, mais pourquoi ne pas être "actif" PENDANT les cours aussi ?
J'en ai plus appris sur la médecine chirurgicale et sur l'anatomie pendant mes deux mois de boulot que pendant mon année de médecine.
- InvitéInvité
Sur ce chers amis, j'ai du boulot. Bonne soirée.
- ProvenceEnchanteur
milasaintanne a écrit:Lorica a écrit:écouter et prendre des notes, se poser des questions et en chercher les réponses en bibli, c'est être inactif?
On n'a pas dû appréhender les cours magistraux à la fac de la même façon...
Non, mais pourquoi ne pas être "actif" PENDANT les cours aussi ?
J'en ai plus appris sur la médecine chirurgicale et sur l'anatomie pendant mes deux mois de boulot que pendant mon année de médecine.
Vous aviez peut-être un problème de concentration?
- InvitéInvité
parce que ça ralentit le rythme. Et vu le ratio temps libre/CM à la fac, je préfère que les cm soient intenses
- FDNiveau 7
Probablement les statistiques et probabilités, une branche des maths qui a pris une importance disproportionnée dans les programmes de collège et lycée ces dernières années.milasaintanne a écrit:
Votre postulat est que "le niveau baisse". Je ne fais pas le même constat que vous : ma fille fait en maths, en seconde, ce que je faisais en Terminale D.
Pour quelques sujets qui sont vus plus tôt aujourd'hui qu'avant, beaucoup d'autres sont vus plus tard voire ont complètement disparu des programmes : les vecteurs sont abordés seulement en seconde au lieu de l'être au collège, et c'est parce que des gens ont râlé sur le projet de programme en 2009, sinon ils auraient été supprimés du programme de seconde alors qu'ils sont nécessaires pour l'étude des forces en physique en première S ; la résolution des équations du second degré est vue en première alors qu'avant (jusqu'à la réforme de 1995 ?) c'était en seconde ; il n'y a presque plus de géométrie non analytique au lycée¹, et de moins en moins au collège je crois, alors que c'est très bien pour apprendre à faire des démonstrations et résoudre des problèmes où il faut vraiment réfléchir et rédiger une solution et pas appliquer une recette apprise par cœur.
Vous pouvez trouver là une étude très intéressante sur l'évolution des programmes de mathématiques de terminale scientifique au 20e siècle, avec des extraits de manuels et des programmes, des explications sur le contexte politique, etc. Ça ne parle pas des programmes de seconde mais l'évolution se fait dans le même sens à tous les niveaux.
Et au-delà de ce qui est écrit dans les programmes, beaucoup d'élèves arrivent au lycée en ayant du mal à calculer 1 + 1/3 ou √4, ou à simplifier des fractions comme 2/4…
Le temps que j’écrive il y a eu d’autres réponses sur ce sujet, mais je poste quand même.
¹ Les livres de géométrie de terminale d'avant la réforme des maths modernes contiennent plein de résultats intéressants pour des leçons d'oral de CAPES ou d'agrégation, mais ils ne sont pas explicitement au programme de ces concours, et beaucoup de candidats font une impasse complète sur la géométrie tellement ça leur semble compliqué, logique puisque ce n'est presque plus étudié.
- CélestineNiveau 2
@ supersoso
Vous êtes consciente que vous tombez sous le coup de la loi en diffamant ?
Je propose que vous nous donniez votre nom de façon à ce que nous puissions demander à vos élèves d'écrire en ligne ce qu'ils pensent de vous.
Vous êtes consciente que vous tombez sous le coup de la loi en diffamant ?
Je propose que vous nous donniez votre nom de façon à ce que nous puissions demander à vos élèves d'écrire en ligne ce qu'ils pensent de vous.
- ysabelDevin
Célestine a écrit:Vous êtes consciente que vous tombez sous le coup de la loi en diffamant ?
Je propose que vous nous donniez votre nom de façon à ce que nous puissions demander à vos élèves d'écrire en ligne ce qu'ils pensent de vous.
de quoi parles-tu ?
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- ProvenceEnchanteur
ysabel a écrit:Célestine a écrit:Vous êtes consciente que vous tombez sous le coup de la loi en diffamant ?
Je propose que vous nous donniez votre nom de façon à ce que nous puissions demander à vos élèves d'écrire en ligne ce qu'ils pensent de vous.
de quoi parles-tu ?
Je me posais la même question...
- InvitéInvité
Célestine a écrit:@ supersoso
Vous êtes consciente que vous tombez sous le coup de la loi en diffamant ?
Je propose que vous nous donniez votre nom de façon à ce que nous puissions demander à vos élèves d'écrire en ligne ce qu'ils pensent de vous.
Heu, ça s'adresse à qui ce post ?
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