- V.MarchaisEmpereur
Kroko a écrit:j'ai une question un peu bizarre (et peut être un peu HS, mais quand j'ai lu le pavé au dessus, elle m'est venue), mais bon, j'ose. Comme vous le savez, j'ai été menacée par un élève. Mon CDE m'avait déconseillé de porter plainte, mais j'ai tout de même déposé une main courante.
Aurais-je dû faire remonter une copie de cette main courante au rectorat ? est ce que ça a une quelconque utilité ?
Kroko, la main courante a dû entraîner une convocation du gamin pour rappel à la loi. La personne qui a pris ta déposition ne t'en a pas parlé ? Facile de comprendre pourquoi ton CDE t'a déconseillé le dépôt de plainte : cela l'aurait obligé à signaler l'incident. Le conseil était bon... pour lui et son image.
Je crois vraiment que le conseil d'André est bon et que remplir à chaque "incivilité" une fiche de signalement et exiger, comme il devrait, sa transmission à l'IA, est une bonne manière d'obliger à regarder en face ce qui se passe dans nos classes et de refuser de banaliser invectives, insultes, menaces et autes violences verbales dont nous sommes régulièrement l'objet.
- KrokoEsprit éclairé
en fait, pour une main courante, il n'y a pas forcément convocation. en l'occurence, il n'y en a pas eue.
Moi je remplis je remplis je remplis les fiches ...
Moi je remplis je remplis je remplis les fiches ...
- PseudoDemi-dieu
Lorica a écrit:Pseudo a écrit:Comment la lettre de démission de la collègue et le blog de JP Brighelli sont récupérés par le FN : ici
c'est une de leurs spécialités, ça ne sert à rien de le déplorer. Laisse les faire, ignore-les. Tant pis.
Oh, mais je ne compte rien faire.
- InvitéInvité
Pseudo a écrit:Lorica a écrit:Pseudo a écrit:Comment la lettre de démission de la collègue et le blog de JP Brighelli sont récupérés par le FN : ici
c'est une de leurs spécialités, ça ne sert à rien de le déplorer. Laisse les faire, ignore-les. Tant pis.
Oh, mais je ne compte rien faire.
je veux dire: même pas la peine de le signaler ici. Tu sais, le FN adore aller chercher des "preuves" du déclin de la France. Et à l'éducation nationale, il en trouve plein! Bref, passons...
Une autre ici: les parents d'élèves chiants http://www.rue89.com/monsieur-le-pion/2011/01/27/nos-amis-les-parents-deleves-cette-colle-est-injuste-187336
Concernant les plaintes au commissariat:
il y a 10 ans, mon bahut a porté plainte pour moi. J'ai reçu une lettre de soutien du rectorat.
Il y a 3 ans, mon chef m'expliqua que j'avais moi-même provoqué l'agressivité de l'élève. je reçus une lettre de récriminations de la part du rectorat me sommant de m'adapter à mes élèves.
Ceci est un court résumé de l'attitude de nos supérieurs...
- PseudoDemi-dieu
Lorica a écrit:Pseudo a écrit:Lorica a écrit:Pseudo a écrit:Comment la lettre de démission de la collègue et le blog de JP Brighelli sont récupérés par le FN : ici
c'est une de leurs spécialités, ça ne sert à rien de le déplorer. Laisse les faire, ignore-les. Tant pis.
Oh, mais je ne compte rien faire.
je veux dire: même pas la peine de le signaler ici. Tu sais, le FN adore aller chercher des "preuves" du déclin de la France. Et à l'éducation nationale, il en trouve plein! Bref, passons...
Je sais pas.... Je vais y réfléchir. Mais à première vue, là, comme ça, j'ai bien envie de continuer à faire ce que je veux.
- InvitéInvité
ce n'est pas contre toi tu sais... j'ai tenu un blog dont les billets étaient systématiquement repris par F2souche. Ils venaient ensuite en masse (600 visiteurs) pour me pourrir les comms. J'ai appris à relativiser. J'ai appris à ne plus lire les comms sur les sites de presse.
Ce sont des activistes qui font "masse" mais il ne faudrait pas croire qu'ils sont l'opinion publique.
Ce sont des activistes qui font "masse" mais il ne faudrait pas croire qu'ils sont l'opinion publique.
- derouteÉrudit
Tu tenais quel genre de blog Lorica? Tu avais droit à quels genres de commentaires?
- InvitéInvité
deroute a écrit:Tu tenais quel genre de blog Lorica? Tu avais droit à quels genres de commentaires?
un exemple parmi d'autres:
http://myownblog.canalblog.com/archives/2008/02/18/8006107.html
- PseudoDemi-dieu
Je n'arrive pas à m'inscrire au blog pour poster mon texte. C'est dommage, le monde doit se passer de mon avis sur la chose scolaire
- V.MarchaisEmpereur
Pseudo, il faut que tu te crées un compte Google. Cela ne t'oblige nullement à changer d'adresse. Clique sur l'icône en haut à droite.
- MarieLNeoprof expérimenté
Lorica a écrit:deroute a écrit:Tu tenais quel genre de blog Lorica? Tu avais droit à quels genres de commentaires?
un exemple parmi d'autres:
http://myownblog.canalblog.com/archives/2008/02/18/8006107.html
Je n'ai pas imaginé une seconde que tu étais Lorica... la signature aurait dû me mettre la puce à l'oreille pourtant !
- InvitéInvité
Axel a écrit:Lorica a écrit:deroute a écrit:Tu tenais quel genre de blog Lorica? Tu avais droit à quels genres de commentaires?
un exemple parmi d'autres:
http://myownblog.canalblog.com/archives/2008/02/18/8006107.html
Je n'ai pas imaginé une seconde que tu étais Lorica... la signature aurait dû me mettre la puce à l'oreille pourtant !
Oh Axel, mon fidèle lecteur!
- derouteÉrudit
Lorica a écrit:deroute a écrit:Tu tenais quel genre de blog Lorica? Tu avais droit à quels genres de commentaires?
un exemple parmi d'autres:
http://myownblog.canalblog.com/archives/2008/02/18/8006107.html
OUi d'accord j'ai compris... Moi aussi ça me déprime, je n'en peux plus de ce genre de discours...
- ChocolatGuide spirituel
Je rencontre un problème qui devient... gênant car récurrent, lorsque j'essaie d'inciter des collègues à s'inscrire sur le blog C'est l'école qu'on assassine -il s'agit de la question de l'anonymat et des pseudos.
Des tas de collègues, bien intentionnés, pourtant, sont très sensibles au respect de leur vie privée et à la préservation du caractère anonyme de leur participation éventuelle à ce blog. Ils évoquent à ce propos le risque que des élèves ou des parents "débarquent" pour régler leurs comptes avec tel ou tel autre enseignant inscrit et reconnu, ce qui serait contre-productif.
Ce que nous avons pu lire sur profs-fr a dérangé, voire heurté plusieurs d'entre nous à cause du raccourci qui est fait sur la question de la crédibilité, exclusivement liée aux inscriptions sans pseudo.
La raison pour laquelle certains choisissent l'anonymat, n'est pas forcément liée au fait que les personnes concernées ne seraient pas capables d'assumer leurs écrits et leurs engagements, ou à une quelconque peur des représailles - nous sommes fonctionnaires, et nous ne risquons pas grand-chose, aujourd'hui; il s'agit tout simplement de gens habitués de la toile et qui ont pris conscience du fait que le Réseau Internet n'est absolument pas maîtrisable, et que nos propos peuvent être à tout moment détournés, pour être utilisés à des fins pas vérifiables et souvent en inadéquations avec nos intentions.
A titre personnel, j'ai envie de dire que cela ne me pose aucun problème de m'engager IRL ou sur la toile, pour défendre mes idées en tant que citoyenne et en tant qu'enseignante, celles et ceux qui me connaissent IRL savent que je le fais, et ce depuis... (trop) longtemps diraient certains ;-), et je ne m'arrange pas du tout avec l'âge!
J'avoue que j'ai fait mon inscription en utilisant mon pseudo d'ici, pour que l'on puisse établir un lien entre les deux, et sans réfléchir plus loin.
J'avoue aussi que je ne considère pas que le courage de ses opinions puisse se résumer au fait de s'inscrire sans pseudo sur un blog.
J'avoue enfin que je pense très clairement qu'en posant des conditions restrictives et intrusives, l'on pourrait en refroidir plus d'un, et je ne crois pas que ce soit l'objectif fixé au départ.
Véronique et les autres, merci de me donner vos avis sur la question soulevée ici.
Des tas de collègues, bien intentionnés, pourtant, sont très sensibles au respect de leur vie privée et à la préservation du caractère anonyme de leur participation éventuelle à ce blog. Ils évoquent à ce propos le risque que des élèves ou des parents "débarquent" pour régler leurs comptes avec tel ou tel autre enseignant inscrit et reconnu, ce qui serait contre-productif.
Ce que nous avons pu lire sur profs-fr a dérangé, voire heurté plusieurs d'entre nous à cause du raccourci qui est fait sur la question de la crédibilité, exclusivement liée aux inscriptions sans pseudo.
La raison pour laquelle certains choisissent l'anonymat, n'est pas forcément liée au fait que les personnes concernées ne seraient pas capables d'assumer leurs écrits et leurs engagements, ou à une quelconque peur des représailles - nous sommes fonctionnaires, et nous ne risquons pas grand-chose, aujourd'hui; il s'agit tout simplement de gens habitués de la toile et qui ont pris conscience du fait que le Réseau Internet n'est absolument pas maîtrisable, et que nos propos peuvent être à tout moment détournés, pour être utilisés à des fins pas vérifiables et souvent en inadéquations avec nos intentions.
A titre personnel, j'ai envie de dire que cela ne me pose aucun problème de m'engager IRL ou sur la toile, pour défendre mes idées en tant que citoyenne et en tant qu'enseignante, celles et ceux qui me connaissent IRL savent que je le fais, et ce depuis... (trop) longtemps diraient certains ;-), et je ne m'arrange pas du tout avec l'âge!
J'avoue que j'ai fait mon inscription en utilisant mon pseudo d'ici, pour que l'on puisse établir un lien entre les deux, et sans réfléchir plus loin.
J'avoue aussi que je ne considère pas que le courage de ses opinions puisse se résumer au fait de s'inscrire sans pseudo sur un blog.
J'avoue enfin que je pense très clairement qu'en posant des conditions restrictives et intrusives, l'on pourrait en refroidir plus d'un, et je ne crois pas que ce soit l'objectif fixé au départ.
Véronique et les autres, merci de me donner vos avis sur la question soulevée ici.
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- V.MarchaisEmpereur
Je crois qu'on ne peut pas répondre sans nuance à cette question. Tout dépend de quoi on parle.
S'il s'agit d'argumenter sur la nécessité de la discipline, la pertinence de la multiplication des ateliers interdisciplinaires en lieu et place des heures de cours au contenu bien défini, n'importe qui peut le faire, avec ou sans pseudo, en situant rapidement son expérience (d'où il parle - quinze ans d'enseignement ou stagiaire...), ensuite, c'est la qualité de l'argumentation qui fait la valeur de l'intervention. Chacun entend ou n'entend pas, point barre.
S'il s'agit de rassembler des témoignages dans le but de les diffuser dans les médias, il faut bien se rendre compte qu'aucun journaliste sérieux ne donnera de suite à un témoignage anonyme - forcément douteux de sont point de vue de professionnel, oui. Tous les journalistes qui ont répondu à ma lettre m'ont demandé de lever l'anonymat de Claire-Hélène avant de diffuser sa lettre, même s'ils se sont engagés, eux, à respecter cet anonymat dans leur article. Entre l'anonymat et le CV complet, il me semble qu'on peut trouver une mesure permettant de vérifier tout simplement les informations : prénom, établissement d'exercice, ou ville à tout le moins.
Enfin, il existe des situations où l'anonymat est une nécessité absolue. Je pense raconter dès que j'en aurai le temps comment mon CDE se débrouille pour rendre impossible la simple demande d'un conseil de disc par écrit, contrevenant ainsi au droit des professeurs de formuler cette demande. Je me suis déjà engueulée vivement avec lui sur ce sujet. Mais comment démontrer l'intention d'un homme qui, quand un élève insulte violemment un professeur, se lève et (passage à l'acte) intervient sur le bureau et éteint l'ordinateur pour arrêter le cours, se dépêche, ainsi qu'il le fait à chaque fois que nous aurions matière à exiger la réunion du conseil de discipline, de prononcer seul, avant même que le professeur concerné ait pu faire son rapport, une exclusion de quelques jours, et rend ainsi impossible toute autre demande de sanction pour les mêmes faits (alors qu'en temps ordinaire, quand on est dans la banalité des "incivilités" quotidiennes, et qu'il sait qu'il pourra répéter à l'envi qu'on ne réunit pas le conseil de disc pour des faits répétés, il lui faut des semaines pour prendre une mesure, sous des prétextes divers : il n'a pas de rapport écrit, il ne veut pas prendre de décision à chaud, veut se donner le temps de rencontrer X ou Y...) ? Balancer de manière irréfléchie un truc comme ça sur le net, c'est risquer le procès en diffamation. J'ai d'autres projets pour mes week end. Ici, seul l'anonymat peut permettre de dénoncer de tels procédés. Le contraire serait suicidaire - et c'est une personne qui aime d'ordinaire militer à visage découvert qui le dit.
Est-ce que cela répond à ta question ?
S'il s'agit d'argumenter sur la nécessité de la discipline, la pertinence de la multiplication des ateliers interdisciplinaires en lieu et place des heures de cours au contenu bien défini, n'importe qui peut le faire, avec ou sans pseudo, en situant rapidement son expérience (d'où il parle - quinze ans d'enseignement ou stagiaire...), ensuite, c'est la qualité de l'argumentation qui fait la valeur de l'intervention. Chacun entend ou n'entend pas, point barre.
S'il s'agit de rassembler des témoignages dans le but de les diffuser dans les médias, il faut bien se rendre compte qu'aucun journaliste sérieux ne donnera de suite à un témoignage anonyme - forcément douteux de sont point de vue de professionnel, oui. Tous les journalistes qui ont répondu à ma lettre m'ont demandé de lever l'anonymat de Claire-Hélène avant de diffuser sa lettre, même s'ils se sont engagés, eux, à respecter cet anonymat dans leur article. Entre l'anonymat et le CV complet, il me semble qu'on peut trouver une mesure permettant de vérifier tout simplement les informations : prénom, établissement d'exercice, ou ville à tout le moins.
Enfin, il existe des situations où l'anonymat est une nécessité absolue. Je pense raconter dès que j'en aurai le temps comment mon CDE se débrouille pour rendre impossible la simple demande d'un conseil de disc par écrit, contrevenant ainsi au droit des professeurs de formuler cette demande. Je me suis déjà engueulée vivement avec lui sur ce sujet. Mais comment démontrer l'intention d'un homme qui, quand un élève insulte violemment un professeur, se lève et (passage à l'acte) intervient sur le bureau et éteint l'ordinateur pour arrêter le cours, se dépêche, ainsi qu'il le fait à chaque fois que nous aurions matière à exiger la réunion du conseil de discipline, de prononcer seul, avant même que le professeur concerné ait pu faire son rapport, une exclusion de quelques jours, et rend ainsi impossible toute autre demande de sanction pour les mêmes faits (alors qu'en temps ordinaire, quand on est dans la banalité des "incivilités" quotidiennes, et qu'il sait qu'il pourra répéter à l'envi qu'on ne réunit pas le conseil de disc pour des faits répétés, il lui faut des semaines pour prendre une mesure, sous des prétextes divers : il n'a pas de rapport écrit, il ne veut pas prendre de décision à chaud, veut se donner le temps de rencontrer X ou Y...) ? Balancer de manière irréfléchie un truc comme ça sur le net, c'est risquer le procès en diffamation. J'ai d'autres projets pour mes week end. Ici, seul l'anonymat peut permettre de dénoncer de tels procédés. Le contraire serait suicidaire - et c'est une personne qui aime d'ordinaire militer à visage découvert qui le dit.
Est-ce que cela répond à ta question ?
- V.MarchaisEmpereur
Je signale à tous la migration du blog "C'est l'école qu'on assassine"
et sa transformation en site comportant une partie forum. Cette
organisation devrait permettre à tous ceux qui le souhaitent une
participation facilitée, ne nécessitant plus d'intermédiaires.
C'est ici :
http://www.ecole.plumeclavier.fr/
et sa transformation en site comportant une partie forum. Cette
organisation devrait permettre à tous ceux qui le souhaitent une
participation facilitée, ne nécessitant plus d'intermédiaires.
C'est ici :
http://www.ecole.plumeclavier.fr/
- Marie LaetitiaBon génie
V.Marchais a écrit:Je signale à tous la migration du blog "C'est l'école qu'on assassine"
et sa transformation en site comportant une partie forum. Cette
organisation devrait permettre à tous ceux qui le souhaitent une
participation facilitée, ne nécessitant plus d'intermédiaires.
C'est ici :
http://www.ecole.plumeclavier.fr/
le forum est-il également ouvert aux non-enseignants? Si oui, je fais passer le message.
_________________
Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Reine MargotDemi-dieu
mais, le blog fonctionne toujours...
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- V.MarchaisEmpereur
marquisedemerteuil a écrit:mais, le blog fonctionne toujours...
Je vais créer un message redirigeant vers le site, durant quelques temps.
- ChocolatGuide spirituel
Merci pour les infos!
(mp pour toi)
(mp pour toi)
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- bellaciaoFidèle du forum
Véronique, c'est un gros travail ! Je vais passer vraiment voir le site, j'ai envie de m'y investir.
- Reine MargotDemi-dieu
oui, merci Véronique pour ce boulot!
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- V.MarchaisEmpereur
Euh, techniquement, c'est surtout Céline Jabot qu'il faut remercier. Je n'aurais pas été capable de créer le site. C'est elle qui l'a fait. Je me contente de transférer les données (copier-coller est mon ami).
- Reine MargotDemi-dieu
je me suis inscrite sur le nouveau! la dernière conversation sur l'ancien se poursuit, avec la charmante maya. :lol:
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