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- LavidalocaNiveau 3
Bonjour à tous,
Je suis CPE dans un lycée pro avec internat , hors éducation nationale. Je gère par délégation une équipe d'AESH, en plus de l'équipe vie scolaire. Je suis en conflit avec un enseignant qui vient directement dans la vie scolaire pour ordonner aux AED de mettre des heures de colle à un tel ou un tel (il est un peu vieille école et n'y arrive pas sur Pronote), qui intervient dans les heures d'étude du soir quand il trouve que c'est trop bruyant alors que les AED sont présents, et qui explique aux AESH de ne pas faire ceci, de ne pas faire cela (et leur glisse également que l'inclusion ne sert à rien selon lui). Il les "tolère" et discute avec elles, mais il se permet aussi de leur donner des ordres.
Je précise que je soutiens toujours les enseignants face aux élèves et aux parents et que malgré ce que le message pourrait laisser penser, nos rapports sont courtois, seulement il m'arrive de pousser des coups de gueule face à son comportement, dont il se plaint ou qui l'affectent, mais qui ne changent en rien sa façon de faire. Lui ne comprends pas que je lui demande de ne pas intervenir et pense que j'ai une dent contre lui.
Cela m'intéresserait d'avoir le point de vue des enseignants sur la question. Merci Smile
Je suis CPE dans un lycée pro avec internat , hors éducation nationale. Je gère par délégation une équipe d'AESH, en plus de l'équipe vie scolaire. Je suis en conflit avec un enseignant qui vient directement dans la vie scolaire pour ordonner aux AED de mettre des heures de colle à un tel ou un tel (il est un peu vieille école et n'y arrive pas sur Pronote), qui intervient dans les heures d'étude du soir quand il trouve que c'est trop bruyant alors que les AED sont présents, et qui explique aux AESH de ne pas faire ceci, de ne pas faire cela (et leur glisse également que l'inclusion ne sert à rien selon lui). Il les "tolère" et discute avec elles, mais il se permet aussi de leur donner des ordres.
Je précise que je soutiens toujours les enseignants face aux élèves et aux parents et que malgré ce que le message pourrait laisser penser, nos rapports sont courtois, seulement il m'arrive de pousser des coups de gueule face à son comportement, dont il se plaint ou qui l'affectent, mais qui ne changent en rien sa façon de faire. Lui ne comprends pas que je lui demande de ne pas intervenir et pense que j'ai une dent contre lui.
Cela m'intéresserait d'avoir le point de vue des enseignants sur la question. Merci Smile
- Mélusine2Niveau 10
Vu de loin, c'est varié : ne pas arriver à mettre des colles tout seul, ce n'est pas bien grave, il faut lui montrer ou le faire pour lui, non ? Intervenir en étude, en revanche, c'est totalement anormal.
Vis-à-vis des AESH, même sentiment partagé : s'il leur demande de ne pas faire le boulot à la place de l'élève, ou de ne pas intervenir bruyamment en cours, il a raison. S'il se mêle du reste de leur travail, il a tort.
Vis-à-vis des AESH, même sentiment partagé : s'il leur demande de ne pas faire le boulot à la place de l'élève, ou de ne pas intervenir bruyamment en cours, il a raison. S'il se mêle du reste de leur travail, il a tort.
- zigmag17Guide spirituel
Lavidaloca a écrit:Bonjour à tous,
Je suis CPE dans un lycée pro avec internat , hors éducation nationale. Je gère par délégation une équipe d'AESH, en plus de l'équipe vie scolaire. Je suis en conflit avec un enseignant qui vient directement dans la vie scolaire pour ordonner aux AED de mettre des heures de colle à un tel ou un tel (il est un peu vieille école et n'y arrive pas sur Pronote), qui intervient dans les heures d'étude du soir quand il trouve que c'est trop bruyant alors que les AED sont présents, et qui explique aux AESH de ne pas faire ceci, de ne pas faire cela (et leur glisse également que l'inclusion ne sert à rien selon lui). Il les "tolère" et discute avec elles, mais il se permet aussi de leur donner des ordres.
Je précise que je soutiens toujours les enseignants face aux élèves et aux parents et que malgré ce que le message pourrait laisser penser, nos rapports sont courtois, seulement il m'arrive de pousser des coups de gueule face à son comportement, dont il se plaint ou qui l'affectent, mais qui ne changent en rien sa façon de faire. Lui ne comprends pas que je lui demande de ne pas intervenir et pense que j'ai une dent contre lui.
Cela m'intéresserait d'avoir le point de vue des enseignants sur la question. Merci
J'ai plusieurs interrogations :
- L'étude du soir à lieu à quelle heure? Il me paraît bizarre qu'un professeur puisse être gêné par ce qui se passe dans une salle d'étude le soir
- Tu évoques les "ordres" que donne le professeur. S'agit-il d'ordres ou de demandes?
- En ce qui concerne les AESH, même chose: cela dépend grandement du ton utilisé pour leur parler. En tant que professeur il est tout à fait normal de préciser à des AESH le fonctionnement d'une classe quand il y a lieu. Par exemple ( je te donne des exemples vécus car je travaille avec 3 AESH différentes cette année): l'AESH-Co qui se lève et vadrouille dans la classe c'est non; celle qui sort son portable c'est non; celle qui sort sa bouteille c'est non etc. Pourquoi? Parce que j'interdis tout ça à mes élèves et qu'en plus ça crée du parasitage visuel et auditif et que je dois gérer des élèves difficiles, si en plus je dois gérer un adulte je ne m'en sors pas.
Le minimum dans les échanges doit être la courtoisie et je crois beaucoup en la vertu de l'explication.
Mais attention: nous fais-tu part ici de faits que tu as directement observés ou de faits qui t'ont été rapportés?
Parce que je vis aussi des situations où le bureau de la CPE est le bureau des pleurs , et où les AESH deviennent des critiques des cours auxquels ils assistent ( hier encore, AP avec des CAP, la nouvelle AESH me dit qu'elle est très étonnée car on fait la même chose en CM2. Franchement les IPR à la petite semaine j'en ai ras-le-bol).
Les propos du collègue sur l'inclusion par exemple me paraissent surinterprétés: en effet il se trouve que dans certains cas inclure à tout prix tous les profils d'élèves relève du pur délire . Ce sont les AESH qui te rapportent ( peut-être en les déformant?) les propos que tient le collègue ou te les as-t-il tenus à toi directement et dans quel contexte?
Et il se trouve qu'en matière de tenue de classe et de pédagogie c'est le professeur qui sait quoi faire, il est expert.
Donc il est primordial de savoir si le collègue dont tu parles est réellement vindicatif et si tu l'as vu l'être, ou s'il fait simplement des remarques justifiées qui ne plaisent ni aux AED ni aux AESH.
Quant à "ordonner" de mettre des heures de colle je pense qu'il s'agit plus d'une forte demande pour quelque chose qui n'a pas été fait que d'un " ordre" venu de nulle part ( quand je ne peux pas faire l'appel sur pronote je donne l'appel sur un papier à la vie scolaire et parfois les AED ne le reportent pas directement. Je dois donc y retourner et le leur rappeler. Je ne considère pas ça comme un ordre. En cas de colle j'imagine qu'il s'agit d'élèves pour lesquels cette punition est urgente donc oui c'est important).
- zigmag17Guide spirituel
"Relation enseignant et AESH" : c'est le titre du fil.
En le relisant je m'interroge sur la mention des AED dans le message initial.
En le relisant je m'interroge sur la mention des AED dans le message initial.
- ProvenceEnchanteur
Idem.zigmag17 a écrit:"Relation enseignant et AESH" : c'est le titre du fil.
En le relisant je m'interroge sur la mention des AED dans le message initial.
Et le jugement sur le professeur « vieille école » m’interpelle.
- zigmag17Guide spirituel
Et le " nos rapports sont courtois mais il m'arrive de pousser de coups de gueule contre son comportement " est assez contradictoire aussi. Si ces "coups de gueule" sont frontaux, pas étonnant que le professeur soit tendu. Si c'est en-dehors de sa présence mais en présence des AED et des AESH, pas étonnant que ceux-ci se sentent légitimes pour lui casser du sucre sur le dos. Bref.
- LavidalocaNiveau 3
Merci pour vos réponses.
Pour préciser: quand je dis "vieille école", c'est parce qu'il me tient des propos comme quoi "avant il n'y avait pas d'aesh et ça allait très bien", "il n'y a que le travail qui peut compenser, le reste, c'est du vent", "nous à l'époque on avait (au choix: une orange à Noël, un bouchon et un bout de ficelle, une claque quand on n'était pas sage, du vin à la cantine...) et on était heureux ". Pareil pour des "Ferme ta gueule" criés aux élèves en plein cours ou devant moi. Je ne parle pas de "vieille école" en terme de pédagogie ou discipline, mais par-rapport au fait que l'inclusion et les aesh, pour lui, relèvent de la démagogie. Comme il sait que c'est moi qui ait pris l'initiative de recruter des aesh (avec délégation de la direction) pour les élèves notifiés, c'est à moi qu'il tient ces propos (pas méchamment, il m'explique juste son point de vue, et il m'écoute gentiment en retour mais je sens bien que je peux toujours causer ).
Les AESH ne se plaignent pas beaucoup, sauf une fois où il a expliqué à un élève devant l'aesh qu'il n'avait pas besoin d'elle mais juste de se mettre "un coup de pied au cul" (il l'a reconnu, on s'est expliqués, c'est réglé). Elles reçoivent en revanche des consignes d'aider ou de ne pas aider à tel moment de la séance et ont l'impression de ne pas être légitimes pour prendre leurs propres initiatives. Jamais les aesh ne se lèvent ou ne font quoi que ce soit comme parler ou être sur leur portable. L'une d'entre elle avait tendance à poser des questions sur le cours pendant le cours, ce qui ne lui a pas été permis et j'étais bien d'accord. Elles ont pour ordre d'être discrètes et de ne jamais gêner l'enseignant.
Pour les AED: l'étude est à 17h30, il est parfois encore dans l'établissement. Elles se sentent mal à l'aise de ses interventions et n'osent pas le lui dire (ce sont toujours des femmes sur ce créneau, et nous sommes déjà avec un public à dominante masculine qui peine à respecter les femmes). Le collègue a entendu mes remarques et demande à présent la permission d'entrer (sauf qu'elles ne vont pas lui dire non devant les élèves ).
Pour les colles, je préfère qu'il passe par moi pour les mettre, parce que justement certains AED (pas tous) se permettent ensuite de faire des remarques sur sa pédagogie voire lui ordonnent d'être présent pour prendre ses élèves : j'interviens ensuite auprès des AED en question parce que ce n'est pas leur rôle de faire la leçon à un enseignant, mais c'est compliqué quand il arrive avec une liste d'élèves longue comme le bras à coller toutes les semaines. De plus, pour moi, les AED ne sont pas non plus les secrétaires des profs. Chacun à sa place.
En bref, j'ai du mal à me positionner, étant responsable d'équipe et ayant l'impression qu'il intervient à ma place. J'encadre une grande majorité de femmes qui ont un peu l'impression d'être prises pour des potiches.
(Et pour les "coups de gueule", j'en reçois de bons aussi, pas d'inquiétude à ce sujet.)
Pour préciser: quand je dis "vieille école", c'est parce qu'il me tient des propos comme quoi "avant il n'y avait pas d'aesh et ça allait très bien", "il n'y a que le travail qui peut compenser, le reste, c'est du vent", "nous à l'époque on avait (au choix: une orange à Noël, un bouchon et un bout de ficelle, une claque quand on n'était pas sage, du vin à la cantine...) et on était heureux ". Pareil pour des "Ferme ta gueule" criés aux élèves en plein cours ou devant moi. Je ne parle pas de "vieille école" en terme de pédagogie ou discipline, mais par-rapport au fait que l'inclusion et les aesh, pour lui, relèvent de la démagogie. Comme il sait que c'est moi qui ait pris l'initiative de recruter des aesh (avec délégation de la direction) pour les élèves notifiés, c'est à moi qu'il tient ces propos (pas méchamment, il m'explique juste son point de vue, et il m'écoute gentiment en retour mais je sens bien que je peux toujours causer ).
Les AESH ne se plaignent pas beaucoup, sauf une fois où il a expliqué à un élève devant l'aesh qu'il n'avait pas besoin d'elle mais juste de se mettre "un coup de pied au cul" (il l'a reconnu, on s'est expliqués, c'est réglé). Elles reçoivent en revanche des consignes d'aider ou de ne pas aider à tel moment de la séance et ont l'impression de ne pas être légitimes pour prendre leurs propres initiatives. Jamais les aesh ne se lèvent ou ne font quoi que ce soit comme parler ou être sur leur portable. L'une d'entre elle avait tendance à poser des questions sur le cours pendant le cours, ce qui ne lui a pas été permis et j'étais bien d'accord. Elles ont pour ordre d'être discrètes et de ne jamais gêner l'enseignant.
Pour les AED: l'étude est à 17h30, il est parfois encore dans l'établissement. Elles se sentent mal à l'aise de ses interventions et n'osent pas le lui dire (ce sont toujours des femmes sur ce créneau, et nous sommes déjà avec un public à dominante masculine qui peine à respecter les femmes). Le collègue a entendu mes remarques et demande à présent la permission d'entrer (sauf qu'elles ne vont pas lui dire non devant les élèves ).
Pour les colles, je préfère qu'il passe par moi pour les mettre, parce que justement certains AED (pas tous) se permettent ensuite de faire des remarques sur sa pédagogie voire lui ordonnent d'être présent pour prendre ses élèves : j'interviens ensuite auprès des AED en question parce que ce n'est pas leur rôle de faire la leçon à un enseignant, mais c'est compliqué quand il arrive avec une liste d'élèves longue comme le bras à coller toutes les semaines. De plus, pour moi, les AED ne sont pas non plus les secrétaires des profs. Chacun à sa place.
En bref, j'ai du mal à me positionner, étant responsable d'équipe et ayant l'impression qu'il intervient à ma place. J'encadre une grande majorité de femmes qui ont un peu l'impression d'être prises pour des potiches.
(Et pour les "coups de gueule", j'en reçois de bons aussi, pas d'inquiétude à ce sujet.)
- Charles-MauriceNiveau 10
Voilà un témoignage qui a le mérite de ne pas économiser les clichés. Querelle des anciens et des modernes, des machos contre les faibles femmes, des pions bas de plafond contre les profs réactionnaires et du cpe fort en gueule pour fluidifier l'ensemble. Très rafraîchissant. Ça fait envie.
- zigmag17Guide spirituel
Lavidaloca a écrit:Merci pour vos réponses.
Pour préciser: quand je dis "vieille école", c'est parce qu'il me tient des propos comme quoi "avant il n'y avait pas d'aesh et ça allait très bien", "il n'y a que le travail qui peut compenser, le reste, c'est du vent", "nous à l'époque on avait (au choix: une orange à Noël, un bouchon et un bout de ficelle, une claque quand on n'était pas sage, du vin à la cantine...) et on était heureux ". Pareil pour des "Ferme ta gueule" criés aux élèves en plein cours ou devant moi. Je ne parle pas de "vieille école" en terme de pédagogie ou discipline, mais par-rapport au fait que l'inclusion et les aesh, pour lui, relèvent de la démagogie. Comme il sait que c'est moi qui ait pris l'initiative de recruter des aesh (avec délégation de la direction) pour les élèves notifiés, c'est à moi qu'il tient ces propos (pas méchamment, il m'explique juste son point de vue, et il m'écoute gentiment en retour mais je sens bien que je peux toujours causer ).
Les AESH ne se plaignent pas beaucoup, sauf une fois où il a expliqué à un élève devant l'aesh qu'il n'avait pas besoin d'elle mais juste de se mettre "un coup de pied au cul" (il l'a reconnu, on s'est expliqués, c'est réglé). Elles reçoivent en revanche des consignes d'aider ou de ne pas aider à tel moment de la séance et ont l'impression de ne pas être légitimes pour prendre leurs propres initiatives. Jamais les aesh ne se lèvent ou ne font quoi que ce soit comme parler ou être sur leur portable. L'une d'entre elle avait tendance à poser des questions sur le cours pendant le cours, ce qui ne lui a pas été permis et j'étais bien d'accord. Elles ont pour ordre d'être discrètes et de ne jamais gêner l'enseignant.
Pour les AED: l'étude est à 17h30, il est parfois encore dans l'établissement. Elles se sentent mal à l'aise de ses interventions et n'osent pas le lui dire (ce sont toujours des femmes sur ce créneau, et nous sommes déjà avec un public à dominante masculine qui peine à respecter les femmes). Le collègue a entendu mes remarques et demande à présent la permission d'entrer (sauf qu'elles ne vont pas lui dire non devant les élèves ).
Pour les colles, je préfère qu'il passe par moi pour les mettre, parce que justement certains AED (pas tous) se permettent ensuite de faire des remarques sur sa pédagogie voire lui ordonnent d'être présent pour prendre ses élèves : j'interviens ensuite auprès des AED en question parce que ce n'est pas leur rôle de faire la leçon à un enseignant, mais c'est compliqué quand il arrive avec une liste d'élèves longue comme le bras à coller toutes les semaines. De plus, pour moi, les AED ne sont pas non plus les secrétaires des profs. Chacun à sa place.
En bref, j'ai du mal à me positionner, étant responsable d'équipe et ayant l'impression qu'il intervient à ma place. J'encadre une grande majorité de femmes qui ont un peu l'impression d'être prises pour des potiches.
(Et pour les "coups de gueule", j'en reçois de bons aussi, pas d'inquiétude à ce sujet.)
D'accord, je comprends mieux le contexte et c'est plus clair pour moi. Pour que la situation s'améliore hélas je ne vois pas trop de pistes à proposer, sauf à mettre en place conjointement avec ce collègue un mode opératoire pour que lui constate que du côté de la vie sco il est entendu et pour que de ton côté tu ne sois pas considérée comme un sous-fifre. Ca commence à mon avis par ces colles qu'il met à tour de bras : il a des classes difficiles? Ces colles on-t-elles un effet auprès des élèves? Ce collègue accepterait-il un entretien individuel avec toi et les élèves concernés, en vue d'une prise de mesures communes? ( les élèves sentiraient ainsi que vous parlez d'une seule et même voix, plutôt que de ressentir les dissonances)? Est-ce que ces comportements d'élèves ont été discutés avec les autres collègues de ces classes et des mesures prises avec les PP? Quand des colles sont distribuées comme ça c'est qu'il y a un vrai problème dans la classe. Et de mon point de vue de professeur ( bien que je colle un élève qu'une fois tous les dix ans parce que je préfère régler les problèmes autrement mais c'est mon fonctionnement perso), par exemple il n'est pas tolérable qu'un élève arrive en classe au choix sans matériel, avec agressivité, dans l'espoir de retourner la classe, etc. Je travaille en LP aussi, je sais ce que c'est. Et sûrement que les élèves de ce collègue ne respectent pas les consignes qu'il leur donne. Au bout d'un moment, on cherche des solutions. Peut-être qu'aucune suite n'est donnée dans votre établissement aux punitions ou aux sanctions, peut-être qu'il y a un manque de cohésion dès le départ dans les équipes pédagogiques, et la vie scolaire doit se faire le relais des demandes des professeurs. Sinon, une réunion pour mettre à plat tout ça ( équipe pédagogique + direction) ce serait pas mal.
Son attitude est peut-être dûe à son caractère et c'est inhérent à sa personne, mais elle vient peut-être aussi d'une somme de dysfonctionnements qui à la longue épuisent et peuvent rendre aigri et injuste. Je n'en sais rien.
Edit : mais comment peux-tu savoir ce que font ou non les AESH quand elles sont en dans un cours??
- LavidalocaNiveau 3
A nouveau merci pour les réponses.
Concernant les colles, je peinerais à dire si notre public est difficile ou pas: je m'y suis habituée et je les aime bien, et lui aussi Les élèves sont dans des classes très petites, jusqu'à douze maximum et plutôt autour de huit: on peut parfois entendre les mouches voler, mais leur concentration reste très difficile. Cet enseignant colle surtout les élèves pour "manque de travail", c'est à dire leçon non apprise ou bien punition déjà donnée (lignes à copier) et non faite. Ils sont collés quatre heures le mercredi.
Nous en parlons parfois ensemble avec l'enseignant mais je ne conteste aucunement sa pédagogie, cela le regarde. Je le défends toujours au téléphone quand des parents appellent après avoir entendu l'unique version de l'élève (évidemment très objective !) et nous ne parlons toujours que d'une seule voix.
C'est du reste un collègue professeur principal avec lequel je travaille très bien pour la co-gestion de classe: nous recevons toujours les élèves ensemble, à son initiative comme à la mienne, et nous prenons les décisions ensemble (il dit quand même que je suis "le bon flic", même si j'ai tendance à sanctionner plus que lui en général pour la discipline ). Nous appelons aussi les parents à deux. Il y a très peu de travail commun avec les PP dans l'établissement (et très peu de réunions tout court, car beaucoup de tensions dans d'autres équipes) et c'est le collègue avec lequel je travaille le mieux, paradoxalement. D'autres PP (heureusement peu) ne me transmettent tout simplement pas les infos (même pas les noms de délégués) et même si j'y arrive, je suis trop en train de rattraper les informations pour être vraiment efficace. Je compense cela en étant beaucoup en salle des personnels, avec les profs et les aesh. Il m'arrive même d'y travailler sur un pc quand je fais un projet pédagogique, pour pouvoir discuter avec eux en même temps.
Je suis très présente sur le terrain comme CPE et je travaille en binôme avec un directeur adjoint très disponible et présent aussi: les colles sont mises et surveillées, les sanctions sont prises et tout conseil de discipline réclamé est effectué (avec 100 élèves, en même temps, on peut le faire).
Pour les AESH, je les vois beaucoup (en fait on se voit tous tout le temps, vu que le lycée est minuscule ), elles sont amies entre elles, viennent beaucoup en vie scolaire, veulent faire du rab pour aider les élèves en permanence et discutent de leurs situations avec moi. Nos élèves sont parfois très particuliers et elles ont beaucoup de questionnements, me soumettent beaucoup de situations... Voili voilou.
Concernant les colles, je peinerais à dire si notre public est difficile ou pas: je m'y suis habituée et je les aime bien, et lui aussi Les élèves sont dans des classes très petites, jusqu'à douze maximum et plutôt autour de huit: on peut parfois entendre les mouches voler, mais leur concentration reste très difficile. Cet enseignant colle surtout les élèves pour "manque de travail", c'est à dire leçon non apprise ou bien punition déjà donnée (lignes à copier) et non faite. Ils sont collés quatre heures le mercredi.
Nous en parlons parfois ensemble avec l'enseignant mais je ne conteste aucunement sa pédagogie, cela le regarde. Je le défends toujours au téléphone quand des parents appellent après avoir entendu l'unique version de l'élève (évidemment très objective !) et nous ne parlons toujours que d'une seule voix.
C'est du reste un collègue professeur principal avec lequel je travaille très bien pour la co-gestion de classe: nous recevons toujours les élèves ensemble, à son initiative comme à la mienne, et nous prenons les décisions ensemble (il dit quand même que je suis "le bon flic", même si j'ai tendance à sanctionner plus que lui en général pour la discipline ). Nous appelons aussi les parents à deux. Il y a très peu de travail commun avec les PP dans l'établissement (et très peu de réunions tout court, car beaucoup de tensions dans d'autres équipes) et c'est le collègue avec lequel je travaille le mieux, paradoxalement. D'autres PP (heureusement peu) ne me transmettent tout simplement pas les infos (même pas les noms de délégués) et même si j'y arrive, je suis trop en train de rattraper les informations pour être vraiment efficace. Je compense cela en étant beaucoup en salle des personnels, avec les profs et les aesh. Il m'arrive même d'y travailler sur un pc quand je fais un projet pédagogique, pour pouvoir discuter avec eux en même temps.
Je suis très présente sur le terrain comme CPE et je travaille en binôme avec un directeur adjoint très disponible et présent aussi: les colles sont mises et surveillées, les sanctions sont prises et tout conseil de discipline réclamé est effectué (avec 100 élèves, en même temps, on peut le faire).
Pour les AESH, je les vois beaucoup (en fait on se voit tous tout le temps, vu que le lycée est minuscule ), elles sont amies entre elles, viennent beaucoup en vie scolaire, veulent faire du rab pour aider les élèves en permanence et discutent de leurs situations avec moi. Nos élèves sont parfois très particuliers et elles ont beaucoup de questionnements, me soumettent beaucoup de situations... Voili voilou.
- LavidalocaNiveau 3
Charles-Maurice a écrit:Voilà un témoignage qui a le mérite de ne pas économiser les clichés. Querelle des anciens et des modernes, des machos contre les faibles femmes, des pions bas de plafond contre les profs réactionnaires et du cpe fort en gueule pour fluidifier l'ensemble. Très rafraîchissant. Ça fait envie.
Il n'y a pas besoin d'insulter des assistantes d'éducation, merci.
Fort en gueule ou pas, je ne sais pas, mais je suis responsable d'équipe.
- Patoche2024Niveau 1
Ma femme enseignante me confirme pour les AESH qui sortent le portable en classe, ou dont l'orthographe est pire que celui des élèves.
- stenchMonarque
Patoche2024 a écrit:Ma femme enseignante me confirme pour les AESH qui sortent le portable en classe, ou dont l'orthographe est pire que celui des élèves.
J'en ai une : je ne sais pas à quoi elle est utile, laisse dormir l'élève à ses côtés, et passe une bonne partie de son temps sur son portable.
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"Nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend." Yannis Youlountas
"Ils veulent dessiner l'apartheid, on dessinera le maquis."
- LavidalocaNiveau 3
Je sais bien, comme j'ai eu aussi une AED qui critiquait les profs devant les élèves et ça n'a pas été possible... Mais les AESH de chez nous ne font pas ça, promis juré ! Et les remarques de l'enseignant n'ont pas trait à ces comportements.
- LavidalocaNiveau 3
(Je rajoute comme précision que j'étais prof avant d'être CPE. Le "j'ai rien fait je sais pas pourquoi le prof m'a puni" ne passe pas avec moi. Tout comme les surveillants ou AESH qui ne seraient pas loyaux ou ne respecteraient pas un professeur. )
- ByeByeBlondieNiveau 3
Bonjour,
Les textes officiels apportent des réponses. Le travail de l'AESH est d'accompagner la scolarisation de l'élève, qui, elle, est définie et guidée par l'enseignant. C'est l'enseignant qui donne les consignes de travail à l'AESH, propose les adaptations et définit son rôle et ses interventions en lien avec le Projet de Suivi de Scolarisation (PPS) de l'élève. La plateforme CAP Ecole Incusive propose des ressources pédagogiques pour répondre aux besoins éducatifs particuliers des élèves. Vous pourrez y trouver des outils. J'en joins un à ce message.
Les textes officiels apportent des réponses. Le travail de l'AESH est d'accompagner la scolarisation de l'élève, qui, elle, est définie et guidée par l'enseignant. C'est l'enseignant qui donne les consignes de travail à l'AESH, propose les adaptations et définit son rôle et ses interventions en lien avec le Projet de Suivi de Scolarisation (PPS) de l'élève. La plateforme CAP Ecole Incusive propose des ressources pédagogiques pour répondre aux besoins éducatifs particuliers des élèves. Vous pourrez y trouver des outils. J'en joins un à ce message.
- Fichiers joints
- LavidalocaNiveau 3
Patoche2024 a écrit:Ma femme a les mêmes
ByeByeBlondie a écrit:Bonjour,
Les textes officiels apportent des réponses. Le travail de l'AESH est d'accompagner la scolarisation de l'élève, qui, elle, est définie et guidée par l'enseignant. C'est l'enseignant qui donne les consignes de travail à l'AESH, propose les adaptations et définit son rôle et ses interventions en lien avec le Projet de Suivi de Scolarisation (PPS) de l'élève. La plateforme CAP Ecole Incusive propose des ressources pédagogiques pour répondre aux besoins éducatifs particuliers des élèves. Vous pourrez y trouver des outils. J'en joins un à ce message.
Merci pour cette réponse, je vais pouvoir en parler avec lui.
Mais du coup, ça veut dire qu'il doit consulter le PPS ? Parce qu'il ne veut pas en entendre parler et n'est pas présent aux réunions avec les parents et AESH (j'ai dû limite lui tendre une embuscade pour lui présenter l'enseignante référente MDA, et il ne veut pas aller à l'ESS au motif que ça ne sert à rien et qu'il ne sait pas quels sont les besoins des élèves).
- Charles-MauriceNiveau 10
Quelle insulte ? Vous dites prof, c'est familier comme flic, pion, dirlo. Quand on respecte ses collègues, on se garde d'employer ce registre de langue. Puisqu'il faut décoder l'implicite...Lavidaloca a écrit:Charles-Maurice a écrit:Voilà un témoignage qui a le mérite de ne pas économiser les clichés. Querelle des anciens et des modernes, des machos contre les faibles femmes, des pions bas de plafond contre les profs réactionnaires et du cpe fort en gueule pour fluidifier l'ensemble. Très rafraîchissant. Ça fait envie.
Il n'y a pas besoin d'insulter des assistantes d'éducation, merci.
Fort en gueule ou pas, je ne sais pas, mais je suis responsable d'équipe.
- EloahExpert spécialisé
stench a écrit:Patoche2024 a écrit:Ma femme enseignante me confirme pour les AESH qui sortent le portable en classe, ou dont l'orthographe est pire que celui des élèves.
J'en ai une : je ne sais pas à quoi elle est utile, laisse dormir l'élève à ses côtés.
Interdire à un élève de dormir en cours relève du boulot du prof et non de celui de l'AESH qui est là pour aider l'élève à suivre malgré son handicap / trouble ! Autant je condamne évidemment l'AESH qui utilise son portable autant je trouve facile de le/la rendre responsable de l'attitude de l'élève.
- LavidalocaNiveau 3
Charles-Maurice a écrit:Quelle insulte ? Vous dites prof, c'est familier comme flic, pion, dirlo. Quand on respecte ses collègues, on se garde d'employer ce registre de langue. Puisqu'il faut décoder l'implicite...Lavidaloca a écrit:Charles-Maurice a écrit:Voilà un témoignage qui a le mérite de ne pas économiser les clichés. Querelle des anciens et des modernes, des machos contre les faibles femmes, des pions bas de plafond contre les profs réactionnaires et du cpe fort en gueule pour fluidifier l'ensemble. Très rafraîchissant. Ça fait envie.
Il n'y a pas besoin d'insulter des assistantes d'éducation, merci.
Fort en gueule ou pas, je ne sais pas, mais je suis responsable d'équipe.
"Pions bas de plafond" n'est pas fort sympathique et n'a rien d'implicite.
- LavidalocaNiveau 3
Eloah a écrit:stench a écrit:Patoche2024 a écrit:Ma femme enseignante me confirme pour les AESH qui sortent le portable en classe, ou dont l'orthographe est pire que celui des élèves.
J'en ai une : je ne sais pas à quoi elle est utile, laisse dormir l'élève à ses côtés.
Interdire à un élève de dormir en cours relève du boulot du prof et non de celui de l'AESH qui est là pour aider l'élève à suivre malgré son handicap / trouble ! Autant je condamne évidemment l'AESH qui utilise son portable autant je trouve facile de le/la rendre responsable de l'attitude de l'élève.
C'est pas faux.
Chez nous les AESH sont arrivées "tardivement" par-rapport à l'Education nationale, mais on été plutôt bien accueillies. Le souci, c'est que c'est moi qui les gère (déjà, on peut me dire que je ne devrais pas, mais bon, si je ne recrute pas et ne gère pas, il n'y en a pas. Mon bahut est un peu style associatif, c'est celui qui a l'idée de projet qui le gère ensuite de A à Z, et ça a du bon comme du mauvais).
Les enseignants sont demandeurs, en majorité ,de savoir comment se positionner face aux AESH : ce qu'elles doivent faire, ce qu'eux doivent faire... Je synthétise du coup les PPS et je fais des tableaux décrivant les aménagements pour chaque élève suivi: ce que l'aesh fait et ce qu'elle ne fait pas, à réévaluer régulièrement. Des enseignants et des AESH s'accordent également sur des modus vivendi (refaire une évaluation avec un élève absent, écrire ou ne pas écrire selon le cas...). J'ai dû mettre un peu de hola quand des enseignants disaient "il me faut une AESH" alors que celle-ci ne suit normalement pas tel élève ou telle matière, ou qu'au contraire ils leur disaient "pas besoin que tu viennes à tel ou tel cours", j'ai expliqué aussi qu'elle pouvait aider en étude mais n'était pas prof particulier.... Mais globalement ça se passe bien et on arrive à discuter et, surtout, à suivre l'élève.
Mais l'école inclusive ne marche pas super bien quand c'est une seule personne , en l'occurrence moi, qui définit en amont les activités et les missions. C'est un premier obstacle. Idem pour les PAP que je fais, refais et synthétise, alors que je ne suis pas dans les classes... Mais bon, c'est comme ça. Les dispositifs sont "acceptés" (ou tolérés) par l'équipe mais ne font pas l'objet d'une mise en œuvre collective.
C'est pour cela que quand un collègue m'explique en plus que ce qui est fait n'est pas utile, l'explique aux AESH et ne veut pas trop entendre parler des PPS et réunions, c'est tout de suite encore plus compliqué.
Voilà voilà....
- ProvenceEnchanteur
Lavidaloca a écrit:Patoche2024 a écrit:Ma femme a les mêmesByeByeBlondie a écrit:Bonjour,
Les textes officiels apportent des réponses. Le travail de l'AESH est d'accompagner la scolarisation de l'élève, qui, elle, est définie et guidée par l'enseignant. C'est l'enseignant qui donne les consignes de travail à l'AESH, propose les adaptations et définit son rôle et ses interventions en lien avec le Projet de Suivi de Scolarisation (PPS) de l'élève. La plateforme CAP Ecole Incusive propose des ressources pédagogiques pour répondre aux besoins éducatifs particuliers des élèves. Vous pourrez y trouver des outils. J'en joins un à ce message.
Merci pour cette réponse, je vais pouvoir en parler avec lui.
Mais du coup, ça veut dire qu'il doit consulter le PPS ? Parce qu'il ne veut pas en entendre parler et n'est pas présent aux réunions avec les parents et AESH (j'ai dû limite lui tendre une embuscade pour lui présenter l'enseignante référente MDA, et il ne veut pas aller à l'ESS au motif que ça ne sert à rien et qu'il ne sait pas quels sont les besoins des élèves).
Tu n’es pas le supérieur hiérarchique de ton collègue qui a parfaitement le droit de ne pas se rendre aux ESS. Pour une CPE, tu n’as pas l’air très calée sur les textes réglementaires.
- poutouNiveau 10
ByeByeBlondie a écrit:Bonjour,
Les textes officiels apportent des réponses. Le travail de l'AESH est d'accompagner la scolarisation de l'élève, qui, elle, est définie et guidée par l'enseignant. C'est l'enseignant qui donne les consignes de travail à l'AESH, propose les adaptations et définit son rôle et ses interventions en lien avec le Projet de Suivi de Scolarisation (PPS) de l'élève. La plateforme CAP Ecole Incusive propose des ressources pédagogiques pour répondre aux besoins éducatifs particuliers des élèves. Vous pourrez y trouver des outils. J'en joins un à ce message.
Totalement. Très régulièrement je dis aux AESH dans quelle mesure là elles aident l'élève ou le laissent un moment en semi-autonomie.
Et je ne tolère pas qu'un enfant parle à l'AESH (ni l'inverse) quand je donne une consigne générale à la classe.
Quant au portable de l'AESH, je ne supporte pas qu'il soit sorti et consulté. Une seule le fait et je me prends la tête avec elle à ce sujet (mais je ne suis pas la seule prof à ne pas apprécier ceci).
- LavidalocaNiveau 3
Provence a écrit:Lavidaloca a écrit:Patoche2024 a écrit:Ma femme a les mêmesByeByeBlondie a écrit:Bonjour,
Les textes officiels apportent des réponses. Le travail de l'AESH est d'accompagner la scolarisation de l'élève, qui, elle, est définie et guidée par l'enseignant. C'est l'enseignant qui donne les consignes de travail à l'AESH, propose les adaptations et définit son rôle et ses interventions en lien avec le Projet de Suivi de Scolarisation (PPS) de l'élève. La plateforme CAP Ecole Incusive propose des ressources pédagogiques pour répondre aux besoins éducatifs particuliers des élèves. Vous pourrez y trouver des outils. J'en joins un à ce message.
Merci pour cette réponse, je vais pouvoir en parler avec lui.
Mais du coup, ça veut dire qu'il doit consulter le PPS ? Parce qu'il ne veut pas en entendre parler et n'est pas présent aux réunions avec les parents et AESH (j'ai dû limite lui tendre une embuscade pour lui présenter l'enseignante référente MDA, et il ne veut pas aller à l'ESS au motif que ça ne sert à rien et qu'il ne sait pas quels sont les besoins des élèves).
Tu n’es pas le supérieur hiérarchique de ton collègue qui a parfaitement le droit de ne pas se rendre aux ESS. Pour une CPE, tu n’as pas l’air très calée sur les textes réglementaires.
https://www.monparcourshandicap.gouv.fr/glossaire/ess#:~:text=L'%C3%A9quipe%20de%20suivi%20de,MDPH)%20concernant%20les%20%C3%A9l%C3%A8ves%20handicap%C3%A9s.
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