- zigmag17Guide spirituel
Aperçu par hasard a écrit:zigmag17 a écrit:Aperçu par hasard a écrit:Pourquoi 3,14159 a écrit:
Si je comprends bien, elle veut encore nous dévaloriser...
Effectivement, la formulation est étrange. Il me semble qu'une communication dans le bon sens présenterait l'enjeu sous son aspect positif: "Je veux travailler sur la valorisation du métier d'enseignant." Quant à la "solitude"... de quoi parle-t-elle? Cela laisse entrevoir une façon de "psychologiser" qui éviterait de poser les problèmes en termes structurels.
La "solitude" à mon sens est à comprendre comme la pose d'un jalon supplémentaire vers le collectif imposé, des stages de formation aux progressions annuelles communes. Si la formulation paraît simpliste je pense que l'utilisation des mots n'est jamais innocente dans ce contexte. Constat : "Le professeur est seul". Le pauvre. On va donc l'aider à se sentir moins isolé : mise en place de réunions de concertation obligatoires, partage des ressources pour donner ses cours à des remplaçants éventuels, formations voire tutoriels obligatoires sous de fallacieux prétextes, et même recours aux coordos de chaque matière pour faire auprès du CdE un compte-rendu trimestriel de chaque étape de l'année ( tests de positionnement/ examens blancs...) pour savoir si tout le monde travaille de concert ou bien s'il y a par hasard des rebelles ou des gens qui auraient gardé leur esprit critique ( et pour les faire plier, formations obligatoires, tumoral et ça recommence).
Le glas de la liberté pédagogique.
C'est comme ça que je le vois.
Tu dis ça exprès pour me gâcher mon dimanche déjà solitaire et pluvieux, c'est ça?
Désolée
- Ajonc35Sage
Stel6584 a écrit:Ajonc35 a écrit:Bien d'accord. Ce n'est pas le ministre qui importe mais ses " conseillers" avec une influence plus ou moins néfaste. Le ministre passe, les conseillers restent, voire deviennent ministres eux- mêmes et dans ce cas passent aussi.Estelle60 a écrit:Nous avons eu des experts de l'éducation avant elle, avec les résultats que l'on connait, autant dire que ce ne sera pas pire, quoique !
Vous croyez que même ses conseillés auront une influence?
Dans la presse, il est dit que le nom de notre nouvelle ministre a été soufflé par Gabriel Attal. Barnier proposait Annie Genevard spécialiste des questions éducation chez LR.
Nommer Anne Genetet qui n'a aucune expérience dans l'éducation donne l'impression que Macron garde complètement la main sur le ministère et que cette ministre ne sera que le porte-parole de la voie présidentielle.
- SisypheHabitué du forum
J'ai choisi ce métier parce que j'aime travailler seule.
- Ajonc35Sage
Donc Macron et ses conseillers. Comme les Conseillers sont dans le même cercle, celui de ceux qui se comptent ou se redistribuent les postes, pour être toujours quelque part.Stel6584 a écrit:Ajonc35 a écrit:Bien d'accord. Ce n'est pas le ministre qui importe mais ses " conseillers" avec une influence plus ou moins néfaste. Le ministre passe, les conseillers restent, voire deviennent ministres eux- mêmes et dans ce cas passent aussi.Estelle60 a écrit:Nous avons eu des experts de l'éducation avant elle, avec les résultats que l'on connait, autant dire que ce ne sera pas pire, quoique !
Vous croyez que même ses conseillés auront une influence?
Dans la presse, il est dit que le nom de notre nouvelle ministre a été soufflé par Gabriel Attal. Barnier proposait Annie Genevard spécialiste des questions éducation chez LR.
Nommer Anne Genetet qui n'a aucune expérience dans l'éducation donne l'impression que Macron garde complètement la main sur le ministère et que cette ministre ne sera que le porte-parole de la voie présidentielle.
- zigmag17Guide spirituel
Sisyphe a écrit:J'ai choisi ce métier parce que j'aime travailler seule.
Moi aussi mais force est de constater que c'est de plus en plus difficile.
- UntitledNiveau 8
Hocam a écrit:Ben non, perdu. Ce n'est pas « tout ce que l'on trouve à faire », puisqu'ici comme ailleurs on continue de démonter bien d'autres aspects de la nomination de cette dame, entre autres. On a quand même le droit de commenter la première publication de notre nouvelle ministre sans reprendre tout l'argumentaire sur la situation politique depuis juin, quand même ? Ou il faut l'imprimatur de M. Untitled ?Untitled a écrit:Moi, ce que je trouve fou, c'est qu'on soit en train de vivre un monumental déni de démocratie et que tout ce que l'on trouve à faire, c'est de s'offusquer de l'absence de ponctuation dans un tweet
Je suis une femme
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« Los pájaros nacidos en jaula creen que volar es una enfermedad. »
- HocamSage
«Mme Untitled» (l'avatar m'a fait instinctivement penser à un homme). Ça ne change rien au reste, donc lever les yeux au ciel n'est pas nécessaire, même si je comprends que ce soit plus facile que de répondre sur le fond.
- henrietteMédiateur
La courtoisie entre membres n'est pas optionnelle sur ce forum. Nous sommes sans doute nombreux à être pour le moins mitigés au sujet de cette nomination, mais cela ne doit pas nous amener à être agressifs, méprisants ou discourtois les uns envers les autres.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- GanbatteHabitué du forum
Taillevent a écrit: @Ganbatte Tant sur le fond que sur la forme, ça me rappelle des choses. C'est qui déjà qui fustigeait "l'esprit de jouissance" en l'opposant à "l'esprit de combat" ?
Tu mélanges tout, rien à voir : c'était "l'esprit de sacrifice."
Tout de suite c'est mieux, non ?
- UntitledNiveau 8
Hocam a écrit:«Mme Untitled» (l'avatar m'a fait instinctivement penser à un homme). Ça ne change rien au reste, donc lever les yeux au ciel n'est pas nécessaire, même si je comprends que ce soit plus facile que de répondre sur le fond.
Je ne comprends pas trop le souci en fait. Je trouve dommage que l'essentiel de ce fil porte sur des détails donc je le dis. D'autant plus que ce phénomène me semble faire écho à ce que l'on observe sur les plateaux TV, où l'essentiel des analyses politiques consiste à commenter les petites phrases des uns et des autres. Désolée si ça heurte certains ici.
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- Aperçu par hasardNeoprof expérimenté
Untitled a écrit:Hocam a écrit:«Mme Untitled» (l'avatar m'a fait instinctivement penser à un homme). Ça ne change rien au reste, donc lever les yeux au ciel n'est pas nécessaire, même si je comprends que ce soit plus facile que de répondre sur le fond.
Je ne comprends pas trop le souci en fait. Je trouve dommage que l'essentiel de ce fil porte sur des détails donc je le dis. D'autant plus que ce phénomène me semble faire écho à ce que l'on observe sur les plateaux TV, où l'essentiel des analyses politiques consiste à commenter les petites phrases des uns et des autres. Désolée si ça heurte certains ici.
Probablement. Mais le questionnement sur la forme, sur le choix des termes et sur ce que ceux-ci disent "en creux" débouche aussi sur des réflexions concernant les idées et les perspectives, même si ce n'est qu'à titre d'hypothèse (voir par exemple le dernier commentaire de @zigmag17). Et il faut se rappeler que dans la partie publique du forum, commencer à développer sur un "monumental déni de démocratie" expose à se faire assez vite recadrer en violet.
- henrietteMédiateur
En indigo, pour être précis.
Et oui, effectivement, pareilles considérations sont abordées mais dans la section en accès restreint uniquement.
Et oui, effectivement, pareilles considérations sont abordées mais dans la section en accès restreint uniquement.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- LefterisEsprit sacré
J'ai la même lecture. On fait des constats vagues à chaque fois, qui évitent de poser les vrais problèmes du déclassement, à commencer par les salaires, l'indiscipline et le refus de travail, la perte d'heures etc. et les "remèdes" proposés sont toujours les mêmes : plus de réunions, plus de présence dans l'établissement, plus de gens sur le dos avec injonctions, contrôles, plus de travail en équipe ( ce qui va avec ce qui précède sous forme de "tranverse management" comme on dit en bon français)...bref tout ce qui poignarde encore un peu plus la profession, dégoûte les gens en place et fait fuir les potentiels arrivants.zigmag17 a écrit:
La "solitude" à mon sens est à comprendre comme la pose d'un jalon supplémentaire vers le collectif imposé, des stages de formation aux progressions annuelles communes. Si la formulation paraît simpliste je pense que l'utilisation des mots n'est jamais innocente dans ce contexte. Constat : "Le professeur est seul". Le pauvre. On va donc l'aider à se sentir moins isolé : mise en place de réunions de concertation obligatoires, partage des ressources pour donner ses cours à des remplaçants éventuels, formations voire tutorat obligatoires sous de fallacieux prétextes, et même recours aux coordos de chaque matière pour faire auprès du CdE un compte-rendu trimestriel de chaque étape de l'année ( tests de positionnement/ examens blancs...) pour savoir si tout le monde travaille de concert ou bien s'il y a par hasard des rebelles ou des gens qui auraient gardé leur esprit critique ( et pour les faire plier, formations obligatoires, tutorat et ça recommence).
Le glas de la liberté pédagogique.
C'est comme ça que je le vois.
Moi aussi, le déclassement salarial et social en changeant de métier un peu sous la pression d'événements non voulus était, dans ma tête, en partie compensé par trois points : cette promesse d'autonomie, la certitude d'avoir un poste proche, et la fréquentation un peu intéressante -croyais-je- de ma discipline. J'ai dû lutter de plus en plus au fil des ans pour sauvegarder le premier point, assuré le second-de toute manière bloqué, et vu disparaître le troisième. Aujourd'hui, ça serait perdant à coup sûr sur ces trois tableaux.Sisyphe a écrit:J'ai choisi ce métier parce que j'aime travailler seule.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- Aperçu par hasardNeoprof expérimenté
henriette a écrit:En indigo, pour être précis.
Et oui, effectivement, pareilles considérations sont abordées mais dans la section en accès restreint uniquement.
Et voilà que la modération m'apprend les couleurs...
Errare humanum est, à ce qu'il me semble, Henriette.
- henrietteMédiateur
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- UntitledNiveau 8
Aperçu par hasard a écrit:
Probablement. Mais le questionnement sur la forme, sur le choix des termes et sur ce que ceux-ci disent "en creux" débouche aussi sur des réflexions concernant les idées et les perspectives, même si ce n'est qu'à titre d'hypothèse (voir par exemple le dernier commentaire de @zigmag17). Et il faut se rappeler que dans la partie publique du forum, commencer à développer sur un "monumental déni de démocratie" expose à se faire assez vite recadrer en violet.
Oui bien sûr. En fait je réagissais principalement aux quelques messages qui s'offusquaient de l'absence de points dans le tweet de la nouvelle ministre. Parce que vraiment, je trouve que ça a un potentiel comique compte tenu des circonstances... Mais rien de bien méchant en fait
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- CasparProphète
Lefteris a écrit:J'ai la même lecture. On fait des constats vagues à chaque fois, qui évitent de poser les vrais problèmes du déclassement, à commencer par les salaires, l'indiscipline et le refus de travail, la perte d'heures etc. et les "remèdes" proposés sont toujours les mêmes : plus de réunions, plus de présence dans l'établissement, plus de gens sur le dos avec injonctions, contrôles, plus de travail en équipe ( ce qui va avec ce qui précède sous forme de "tranverse management" comme on dit en bon français)...bref tout ce qui poignarde encore un peu plus la profession, dégoûte les gens en place et fait fuir les potentiels arrivants.zigmag17 a écrit:
La "solitude" à mon sens est à comprendre comme la pose d'un jalon supplémentaire vers le collectif imposé, des stages de formation aux progressions annuelles communes. Si la formulation paraît simpliste je pense que l'utilisation des mots n'est jamais innocente dans ce contexte. Constat : "Le professeur est seul". Le pauvre. On va donc l'aider à se sentir moins isolé : mise en place de réunions de concertation obligatoires, partage des ressources pour donner ses cours à des remplaçants éventuels, formations voire tutorat obligatoires sous de fallacieux prétextes, et même recours aux coordos de chaque matière pour faire auprès du CdE un compte-rendu trimestriel de chaque étape de l'année ( tests de positionnement/ examens blancs...) pour savoir si tout le monde travaille de concert ou bien s'il y a par hasard des rebelles ou des gens qui auraient gardé leur esprit critique ( et pour les faire plier, formations obligatoires, tutorat et ça recommence).
Le glas de la liberté pédagogique.
C'est comme ça que je le vois.Moi aussi, le déclassement salarial et social en changeant de métier un peu sous la pression d'événements non voulus était, dans ma tête, en partie compensé par trois points : cette promesse d'autonomie, la certitude d'avoir un poste proche, et la fréquentation un peu intéressante -croyais-je- de ma discipline. J'ai dû lutter de plus en plus au fil des ans pour sauvegarder le premier point, assuré le second-de toute manière bloqué, et vu disparaître le troisième. Aujourd'hui, ça serait perdant à coup sûr sur ces trois tableaux.Sisyphe a écrit:J'ai choisi ce métier parce que j'aime travailler seule.
Moi aussi, tu oublies cependant dans ta liste "l'autonomie des établissements".
- Stel6584Niveau 7
Lefteris a écrit:J'ai la même lecture. On fait des constats vagues à chaque fois, qui évitent de poser les vrais problèmes du déclassement, à commencer par les salaires, l'indiscipline et le refus de travail, la perte d'heures etc. et les "remèdes" proposés sont toujours les mêmes : plus de réunions, plus de présence dans l'établissement, plus de gens sur le dos avec injonctions, contrôles, plus de travail en équipe ( ce qui va avec ce qui précède sous forme de "tranverse management" comme on dit en bon français)...bref tout ce qui poignarde encore un peu plus la profession, dégoûte les gens en place et fait fuir les potentiels arrivants.zigmag17 a écrit:
La "solitude" à mon sens est à comprendre comme la pose d'un jalon supplémentaire vers le collectif imposé, des stages de formation aux progressions annuelles communes. Si la formulation paraît simpliste je pense que l'utilisation des mots n'est jamais innocente dans ce contexte. Constat : "Le professeur est seul". Le pauvre. On va donc l'aider à se sentir moins isolé : mise en place de réunions de concertation obligatoires, partage des ressources pour donner ses cours à des remplaçants éventuels, formations voire tutorat obligatoires sous de fallacieux prétextes, et même recours aux coordos de chaque matière pour faire auprès du CdE un compte-rendu trimestriel de chaque étape de l'année ( tests de positionnement/ examens blancs...) pour savoir si tout le monde travaille de concert ou bien s'il y a par hasard des rebelles ou des gens qui auraient gardé leur esprit critique ( et pour les faire plier, formations obligatoires, tutorat et ça recommence).
Le glas de la liberté pédagogique.
C'est comme ça que je le vois.Moi aussi, le déclassement salarial et social en changeant de métier un peu sous la pression d'événements non voulus était, dans ma tête, en partie compensé par trois points : cette promesse d'autonomie, la certitude d'avoir un poste proche, et la fréquentation un peu intéressante -croyais-je- de ma discipline. J'ai dû lutter de plus en plus au fil des ans pour sauvegarder le premier point, assuré le second-de toute manière bloqué, et vu disparaître le troisième. Aujourd'hui, ça serait perdant à coup sûr sur ces trois tableaux.Sisyphe a écrit:J'ai choisi ce métier parce que j'aime travailler seule.
La ministre sait déjà bien de quoi elle parle. Les différentes réformes divisent les équipes et isolent les collègues qui s'y opposent parce qu'ils ont conscience qu'elles sont catastrophiques. Celle du collège est pas mal pour mettre au pas les collègues avec l'organisation des enseignements autour des progressions communes. Si un collègue refuse de se plier à des décisions d'établissement ou à l'application de certaines réformes, on sait maintenant qu'un cde peut demander la visite d'un inspecteur et que celui-ci peut imposer un accompagnement, des formations pour que le collègue ne se sente plus "isolé". On a pu lire des témoignages ici et c'est ce qui est arrivé à plusieurs de mes anciens collègues parce qu'ils avaient une pratique du métier différente ou parce qu'ils faisaient des vagues.
François Jarraud a publié un article intéressant sur la nomination de notre nouvelle ministre et sur les possibles perspectives d'avenir de notre institution.
https://blogs.mediapart.fr/francois-jarraud/blog/210924/avec-anne-genetet-leducation-face-la-tourmente-budgetaire
- henrietteMédiateur
Un message à caractère politique a été coupé. Merci de veiller à rester centrés sur le sujet de ce fil.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- ysabelDevin
Sisyphe a écrit:J'ai choisi ce métier parce que j'aime travailler seule.
Pareil
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- GanbatteHabitué du forum
Je ne sais pas s'il convient d'ouvrir un fil, ou une parenthèse, pour la nomination d'Alexandre Portier, ministre délégué à la réussite scolaire et à l'enseignement professionnel. Je note l'association assez éloquente des deux aspects.
Un parcours en philosophie dans le privé (lycée Notre Dame de Mongré à Villefranche sur Saône, Institut Catholique de Paris), puis ENS et Sciences-Po, ont précédé son intégration du monde politique via Wauquiez, dont il serait un fidèle. Je ne sais pas s'il est là sur l'insistance de ce dernier en remerciement, pour contrebalancer la voix d'Attal via Genetet, ou les deux à la fois.
Toujours est-il que ses positions sur le privé sont très affirmées :
https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/rhone/gouvernement-barnier-alexandre-portier-depute-du-rhone-devient-ministre-delegue-a-la-reussite-scolaire-et-a-l-enseignement-professionnel-3036029.html
C'est sûr que Stanislas, niveau "souffrance, discipline et rites", se pose là. Enfin un point d'accord avec Genetet !
Un parcours en philosophie dans le privé (lycée Notre Dame de Mongré à Villefranche sur Saône, Institut Catholique de Paris), puis ENS et Sciences-Po, ont précédé son intégration du monde politique via Wauquiez, dont il serait un fidèle. Je ne sais pas s'il est là sur l'insistance de ce dernier en remerciement, pour contrebalancer la voix d'Attal via Genetet, ou les deux à la fois.
Toujours est-il que ses positions sur le privé sont très affirmées :
https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/rhone/gouvernement-barnier-alexandre-portier-depute-du-rhone-devient-ministre-delegue-a-la-reussite-scolaire-et-a-l-enseignement-professionnel-3036029.html
Alexandre Portier a pris des positions récentes pour défendre l'enseignement privé lors d'une polémique autour du collège Stanislas à Paris. Il a notamment cosigné une tribune en mai dernier intitulée «Peut-on reprocher à l'enseignement privé de ne pas avoir abandonné tout ce qui a fait les beaux jours du public ?». "Arrêtons de masquer les défaillances de l'enseignement public en attaquant l'enseignement privé", écrivaient les auteurs.
C'est sûr que Stanislas, niveau "souffrance, discipline et rites", se pose là. Enfin un point d'accord avec Genetet !
- HocamSage
Ça a un potentiel comique quand on croit que ça empêche d'être clairvoyant sur le reste de son œuvre, mais quand on réfléchit deux secondes, ça n'a rien de drôle, en fait. La critique sur un détail de forme n'empêche pas de critiquer le fond, est-ce si difficile à comprendre ?Untitled a écrit:Aperçu par hasard a écrit:
Probablement. Mais le questionnement sur la forme, sur le choix des termes et sur ce que ceux-ci disent "en creux" débouche aussi sur des réflexions concernant les idées et les perspectives, même si ce n'est qu'à titre d'hypothèse (voir par exemple le dernier commentaire de @zigmag17). Et il faut se rappeler que dans la partie publique du forum, commencer à développer sur un "monumental déni de démocratie" expose à se faire assez vite recadrer en violet.
Oui bien sûr. En fait je réagissais principalement aux quelques messages qui s'offusquaient de l'absence de points dans le tweet de la nouvelle ministre. Parce que vraiment, je trouve que ça a un potentiel comique compte tenu des circonstances... Mais rien de bien méchant en fait
- PunkyNiveau 9
Je suppose que nous sommes quelques uns à penser qu'il peut exister un lien entre forme et fond, non ?
- GanbatteHabitué du forum
On va vraiment passer la journée sur ce qui est, très littéralement, un point de détail ?
- JacqGuide spirituel
Ce que je sais c'est qu'on nous ennuie avec des réformes ineptes, des expérimentations débiles, des horaires indigents, un salaire, des pactes et des remplacements qui ne servent que la statistique personnelle de la direction et du rectorat, des tests, des machins... et que rien ne va changer dans le sens de l'amélioration, rien de rien !
En fait, le ministre, je m'en fiche !
En fait, le ministre, je m'en fiche !
- BaldredSage
Ganbatte a écrit:On va vraiment passer la journée sur ce qui est, très littéralement, un point de détail ?
C'est peut-être un détail pour vous
Mais pour moi, ça veut dire beaucoup
Ça veut dire qu'il était libre
Heureux d'être là, malgré tout
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