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- Vieux_MongolFidèle du forum
Ha@_x a écrit:Vieux_Mongol a écrit:Tu te fiches du monde, comme habitude d’ailleurs quand on aborde ces sujets. Donne les articles précis qui prouvent tes dires.
On va s'arrêter là je crois.
C'est toi qui vois. Mais je ne peux qu'en conclure que tu n'as pas de vraies réponses.
- LisotchkaNiveau 4
Après un PPCR qui s'était (mal) passé avant les vacances de Noël, au retour des vacances le chef m'a annoncé que l'IPR revenait le lendemain (!) et qu'elle ne me l'avait pas dit avant pour ne pas me gâcher mes vacances. Elle m'a dit "nulle inquiétude" mais bien sûr je m'inquiétais. J'ai contacté les syndicats et on m'a conseillé de demander un écrit, ce que j'ai fait. On voulait aussi me coller un tutorat et l'IPR m'a même dit qu'il demanderait directement à la DPE en cas de refus. La proposition écrite n'est jamais arrivée. En revanche, on m'a ***é mon rapport de façon éhontée, rédigé complètement à charge. J'en suis à l'étape des "observations", imagine devoir faire un recours gracieux et être obligée d'accepter "l'accompagnement" comme ils disent. Sinon, je suis bi-admissible à l'externe, j'ai enseigné à l'étranger, en REP, été TZR...En gros, à la fin du rapport on me montre la porte de sortie...
- PonocratesExpert spécialisé
J'avoue ne pas comprendre vos deux cas. Avons-nous tant de candidats que l'Institution puisse pousser vers la sortie des collègues chevronnées ? Bon courage en tout cas.Lisotchka a écrit:Après un PPCR qui s'était (mal) passé avant les vacances de Noël, au retour des vacances le chef m'a annoncé que l'IPR revenait le lendemain (!) et qu'elle ne me l'avait pas dit avant pour ne pas me gâcher mes vacances. Elle m'a dit "nulle inquiétude" mais bien sûr je m'inquiétais. J'ai contacté les syndicats et on m'a conseillé de demander un écrit, ce que j'ai fait. On voulait aussi me coller un tutorat et l'IPR m'a même dit qu'il demanderait directement à la DPE en cas de refus. La proposition écrite n'est jamais arrivée. En revanche, on m'a ***é mon rapport de façon éhontée, rédigé complètement à charge. J'en suis à l'étape des "observations", imagine devoir faire un recours gracieux et être obligée d'accepter "l'accompagnement" comme ils disent. Sinon, je suis bi-admissible à l'externe, j'ai enseigné à l'étranger, en REP, été TZR...En gros, à la fin du rapport on me montre la porte de sortie...
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"If you think education is too expensive, try ignorance ! "
"As-tu donc oublié que ton libérateur,
C'est le livre ? "
- LisotchkaNiveau 4
Malheureusement, l'institution est parfois devenue un véritable buldozer... Seuls les élèves nous permettent de continuer à trouver du sens à notre quotidien. Crise des vocations, pas étonnant quand on tire à boulets rouges sur ceux qui sont sur le pont tous les jours... Difficile de ne pas être amer, vraiment.
- gauvain31Empereur
Quelques éléments glanés sur un site syndical :
https://68.snuipp.fr/IMG/pdf/Affiche_protocole_convocation.pdf
https://68.snuipp.fr/IMG/pdf/Affiche_protocole_convocation.pdf
- AnneNevilleNiveau 7
Mercigauvain31 a écrit:Quelques éléments glanés sur un site syndical :
https://68.snuipp.fr/IMG/pdf/Affiche_protocole_convocation.pdf
J'ai aussi eu mon syndicat qui m'a dit que la solution élégante était de signaler qu'on a un rendez vous urgent genre médical
- FenrirFidèle du forum
Lisotchka a écrit:Malheureusement, l'institution est parfois devenue un véritable buldozer... Seuls les élèves nous permettent de continuer à trouver du sens à notre quotidien. Crise des vocations, pas étonnant quand on tire à boulets rouges sur ceux qui sont sur le pont tous les jours... Difficile de ne pas être amer, vraiment.
En fonction du type d'élève, il faut relativiser.
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À quoi bon mettre son pédigrée, on est partis pour 40 ans*. ████ ████. * 42, il faut lire 42.
- LagomorpheFidèle du forum
Lisotchka a écrit:Après un PPCR qui s'était (mal) passé avant les vacances de Noël, au retour des vacances le chef m'a annoncé que l'IPR revenait le lendemain (!) et qu'elle ne me l'avait pas dit avant pour ne pas me gâcher mes vacances. Elle m'a dit "nulle inquiétude" mais bien sûr je m'inquiétais. J'ai contacté les syndicats et on m'a conseillé de demander un écrit, ce que j'ai fait. On voulait aussi me coller un tutorat et l'IPR m'a même dit qu'il demanderait directement à la DPE en cas de refus. La proposition écrite n'est jamais arrivée. En revanche, on m'a ***é mon rapport de façon éhontée, rédigé complètement à charge. J'en suis à l'étape des "observations", imagine devoir faire un recours gracieux et être obligée d'accepter "l'accompagnement" comme ils disent. Sinon, je suis bi-admissible à l'externe, j'ai enseigné à l'étranger, en REP, été TZR...En gros, à la fin du rapport on me montre la porte de sortie...
Le problème est qu'on ne peut faire de recours que contre une décision de l'administration. Or un rapport d'inspection n'est pas une décision: l'IPR est libre d'y déverser à loisir son fiel sans aucun risque d'être confronté à quelque contre-pouvoir. Tout au plus peut-on faire modifier des éléments erronés s'ils sont très factuels, mais un rapport à charge est souvent un alignement de jugements parachutés sans argument concret: "la mise en autonomie des élèves est insuffisante", "les objectifs sont mal ciblés". La contrepartie est qu'on est en droit de considérer cette prose abstraite pour ce qu'elle est: du vent.
Lisotchka a écrit:Malheureusement, l'institution est parfois devenue un véritable buldozer... Seuls les élèves nous permettent de continuer à trouver du sens à notre quotidien. Crise des vocations, pas étonnant quand on tire à boulets rouges sur ceux qui sont sur le pont tous les jours... Difficile de ne pas être amer, vraiment.
C'est vrai, mais ce genre de démolition gratuite laisse toutefois des traces. On peut continuer à trouver du "sens" à notre métier grâce aux élèves mais d'après ce que j'ai vécu et constaté chez les collègues l'ayant vécu, c'est l'enthousiasme et l'engagement qui en font les frais. Quand on s'est fait taper sur les doigts, pour rien et/ou de manière déloyale, on apprend à mettre aussi peu que possible les doigts dans la machine: effectuer (du mieux qu'on peut, et même avec une certaine joie) les heures prévues à l'emploi du temps, et surtout rien d'autre.
- EdithWGrand sage
Lisotchka a écrit:Malheureusement, l'institution est parfois devenue un véritable buldozer... Seuls les élèves nous permettent de continuer à trouver du sens à notre quotidien. Crise des vocations, pas étonnant quand on tire à boulets rouges sur ceux qui sont sur le pont tous les jours... Difficile de ne pas être amer, vraiment.
Et les collègues, quand même... sur le forum ou dans nos bahuts!
- epekeina.tes.ousiasModérateur
AnneNeville a écrit:Et ça n'était pas tout. Outre son ode à la chirurgie bariatrique ( dont je ne relève pas et que je ne souhaite pas faire en soi) elle a aussi attaque mon âge, me vieillissant de deux ans, et à sorti, quand j'ai dit ne jamais avoir habite avec un partenaire ( elle m1vait demande si javais ete en couple), " ah mais ça n'était donc pas des couples, c'était des liaisons!"
Les bras m'en tombent… De la chirurgie bariatrique, comme ça, directement à première vue ! C'est carrément n'importe quoi, et indigne d'un médecin — dont ce n'est de plus certainement pas le rôle. Et le reste est à l'avenant. C'est scandaleux, tout simplement.
Courage à toi !
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Si tu vales valeo.
- Melyne5Fidèle du forum
avant de lire la suite car c'est déjà largement suffisant pour moi, il faut savoir qu'on peut porter plainte contre un médecin fonctionnaire avec l'aide d'un syndicat !AnneNeville a écrit:Et ça n'était pas tout. Outre son ode à la chirurgie bariatrique ( dont je ne relève pas et que je ne souhaite pas faire en soi) elle a aussi attaque mon âge, me vieillissant de deux ans, et à sorti, quand j'ai dit ne jamais avoir habite avec un partenaire ( elle m1vait demande si javais ete en couple), " ah mais ça n'était donc pas des couples, c'était des liaisons!"zigmag17 a écrit:AnneNeville a écrit:Alors pour donner plus de détails :
-je reconnais que j'ai eu des difficultés ces temps ci. Suite à une visite conseil, il a été décidé que j'aurais un tutorat l'an prochain. Mais mon CDE a estimé que c'était nécessaire que ça s'accompagne d'un mi temps thérapeutique. Il a été aidé en ça par le fait que j'ai souffert d'une méchante sciatique en janvier. Il a aussi obtenu que je voie un médecin du rectorat qui ne s'est concentrée que sur mon poids à coup de la chirurgie bariatrique c'est trop bien, je suis étonnée que vous ayez des amis et fassiez du sport et je voudrais vous mettre travailleuse handicapée ( mon médecin traitant en est tombé de sa chaise tant ça sortait de nulle part)
-j'ai signalé que je ne souhaitais pas de mi temps mais mon CDE semble ne pas avoir apprécié
Une médecin du rectorat ose te dire qu'elle est étonnée que tu aies des amis??? Mais de quel droit??? Je trouve cela, en plus de l'ingérence de ton CDE, très outrageant, déplacé, anti-professionnel et je suppose que ce doit être très déstabilisant. Mettre son énergie contre la malveillance ambiante est usant en soi.
J'espère que tu pourras te faire accompagner et aider par un représentant syndical.
- LisotchkaNiveau 4
Effectivement, "cela laisse des traces" et après avoir mené des projets assez conséquents les années précédentes (dont il est évidemment nullement fait mention dans le rapport qui contient effectivement en plus des erreurs factuelles grossières), l'envie s'est bel et bien envolée. Le rapport indiquait par exemple en plus au mois de novembre (!) au futur (pas au conditionnel évidemment) que le programme et le nombre de lectures demandées ne pourraient être couverts. Au mois de juin (avant même de recevoir le dit rapport) le programme avait été bouclé et le nombre de lectures était supérieur au minimum demandé. Bref, écoeurement et tristesse quand on a l'impression de faire son travail en conscience au jour le jour... Courage à tous ceux qui sont dans des situations similaires. Serrons-nous les coudes... ça on peut encore !
- DomiNiveau 1
A mon humble avis, comme tu souffres déjà beaucoup, Anne Neville, je pense que tu devrais accepter le mi-temps thérapeutique, laisser de côté les âneries du médecin, et te recentrer sur toi-même. Je me permets de te dire cela, car j'ai également beaucoup galéré. Il ne faut pas que tu disperses ton énergie, elle est précieuse, tu en as besoin.
- LagomorpheFidèle du forum
Lisotchka a écrit:Effectivement, "cela laisse des traces" et après avoir mené des projets assez conséquents les années précédentes (dont il est évidemment nullement fait mention dans le rapport
L'Education Nationale est le temple de l'ingratitude. On devrait d'ailleurs le faire répéter mille fois à tous les entrants, ça leur évitera des déconvenues. Il n'y a pas un seul collègue autour de moi qui n'en ait un jour fait les frais. Cas typique, le projet très lourd ardemment désiré par un CDE, dans lequel on s'investit énormément - sans être forcément rémunéré à hauteur, ni même rémunéré du tout - en tablant sur le fait que ce sera pérenne et que l'investissement sera rentabilisé. Année n+1, le CDE change d'avis, ou les "priorités académiques" on changé, ou un nouveau CDE a des caprices différents. Ni merci ni désolé ni rien. Et bien entendu, tout investissement antérieur est nul et non avenu dès lors qu'il s'agit d'enfoncer quelqu'un.
Lisotchka a écrit:qui contient effectivement en plus des erreurs factuelles grossières), l'envie s'est bel et bien envolée. Le rapport indiquait par exemple en plus au mois de novembre (!) au futur (pas au conditionnel évidemment) que le programme et le nombre de lectures demandées ne pourraient être couverts. Au mois de juin (avant même de recevoir le dit rapport) le programme avait été bouclé et le nombre de lectures était supérieur au minimum demandé.
Inspection en novembre et rapport en juin ? C'est inhabituel, pour ne pas dire grotesque, mais ça te permet d'y ajouter une observation concrète et même chiffrée.
Lisotchka a écrit: Bref, écoeurement et tristesse quand on a l'impression de faire son travail en conscience au jour le jour... Courage à tous ceux qui sont dans des situations similaires. Serrons-nous les coudes... ça on peut encore !
J'espère que tes collègues te soutiendront. Les miens ont été...assez mous, je dois dire. J'ai bizarrement reçu plus de soutien de la part de collègues d'autres disciplines que la mienne. Et le soutien le plus réconfortant, c'est sur ce forum que je l'ai reçu.
- LisotchkaNiveau 4
Non aucun soutien des collègues... et je n'ose même pas franchement l'évoquer car certains sont prêts à en faire leur miel... Je suis par exemple parvenue à faire venir Bernard Friot... dont les livres sont partout sur les sites de collègues, qui a été formateur, que l'on ne présente plus... le chef d'établissement ne lui a pas même dit bonjour !
Bien sûr les erreurs "grotesques" ont été soulignées dans les observations mais je risque de devoir faire un "recours gracieux" sans beaucoup d'espoir malheureusement... Il y a quelques années quand j'étais TZR, j'avais trouvé dans mon casier de façon tout à fait inattendue une lettre de félicitations du proviseur... bref, on peut vraiment raconter l'histoire à l'envers quand on veut...
Bien sûr les erreurs "grotesques" ont été soulignées dans les observations mais je risque de devoir faire un "recours gracieux" sans beaucoup d'espoir malheureusement... Il y a quelques années quand j'étais TZR, j'avais trouvé dans mon casier de façon tout à fait inattendue une lettre de félicitations du proviseur... bref, on peut vraiment raconter l'histoire à l'envers quand on veut...
- JennyMédiateur
Tenter de muter est parfois une solution. On repart plus ou moins à zéro.
Face à une direction hostile et une salle des profs peu solidaire, je crois que je me poserais la question. Bon courage
Face à une direction hostile et une salle des profs peu solidaire, je crois que je me poserais la question. Bon courage
- gauvain31Empereur
Je rejoins les propos de Jenny. Quand il n'y a aucun soutien, ni des collègues ni du CDE, l'ambiance devient complètement malsaine et étouffante. La meilleure chose est de partir dans un autre établissement. En tant que TZR, je sais très bien que ta personnalité peut être très bien appréciée dans l'établissement n°1 et moins dans l'établissement n°2. Pour des raisons que l'on ignore totalement d'ailleurs, j'en sais quelque chose. Tu es dans une situation de maltraitance professionnelle Lisotchka dans un établissement dont il te faut t’extirper pour ta santé mentale.
Courage à toi.
Courage à toi.
- LisotchkaNiveau 4
Merci pour votre soutien ! En effet, ce n'est pas évident. Muter, j'y ai déjà songé, bien sûr. Pour l'instant la proximité de mon domicile me fait tout de même hésiter car c'est un confort matériel non négligeable. Je compte aussi sur un changement de CDE qui pourrait apporter, du moins je l'espère, un peu d'air frais... d'ici quelques années certains départs pourraient apporter aussi une bouffée d'air. Pour l'instant, j'essaie de me protéger, de penser aux élèves avant tout et de mettre pour l'instant les projets "en stand bye"... en attendant un vent meilleur. J'ai été TZR aussi pendant 5 ans et sais bien que d'un établissement à l'autre, il en va parfois tout autrement. Après 4 ans difficiles en REP... j'hésite encore. J'essaie de relativiser et de me dire que l'essentiel est ailleurs.
- MoyenCrocoNiveau 10
Ou peut-être qu'elle n'en a absolument pas envie? Ni besoin ?Domi a écrit:A mon humble avis, comme tu souffres déjà beaucoup, Anne Neville, je pense que tu devrais accepter le mi-temps thérapeutique, laisser de côté les âneries du médecin, et te recentrer sur toi-même. Je me permets de te dire cela, car j'ai également beaucoup galéré. Il ne faut pas que tu disperses ton énergie, elle est précieuse, tu en as besoin.
Tu pourrais te présenter d'ailleurs, vu que tu as beaucoup galéré, ca permettrait à certains collègues d'évoluer, qui sait...
- Mélusine2Niveau 10
D'autant qu'on ne prend pas de mi-temps thérapeutique à volonté, évidemment : imposé une fois, il peut manquer plus tard après un cancer, une dépression, enfin bref une vraie maladie. La "proposition" est indécente et indéfendable.
- DomiNiveau 1
MoyenCroco, je me présenterai volontiers quand j'en aurais le temps. Mélusine, on peut avoir plusieurs mi-temps thérapeutiques dans sa carrière, pour différentes pathologies.
- AnneNevilleNiveau 7
J'ajoute que je suis perplexe sur l'origine du " tu souffres déjà beaucoup"...MoyenCroco a écrit:Ou peut-être qu'elle n'en a absolument pas envie? Ni besoin ?Domi a écrit:A mon humble avis, comme tu souffres déjà beaucoup, Anne Neville, je pense que tu devrais accepter le mi-temps thérapeutique, laisser de côté les âneries du médecin, et te recentrer sur toi-même. Je me permets de te dire cela, car j'ai également beaucoup galéré. Il ne faut pas que tu disperses ton énergie, elle est précieuse, tu en as besoin.
Tu pourrais te présenter d'ailleurs, vu que tu as beaucoup galéré, ca permettrait à certains collègues d'évoluer, qui sait...
- DomiNiveau 1
J'ai simplement lu tes posts.AnneNeville a écrit:J'ajoute que je suis perplexe sur l'origine du " tu souffres déjà beaucoup"...MoyenCroco a écrit:Ou peut-être qu'elle n'en a absolument pas envie? Ni besoin ?Domi a écrit:A mon humble avis, comme tu souffres déjà beaucoup, Anne Neville, je pense que tu devrais accepter le mi-temps thérapeutique, laisser de côté les âneries du médecin, et te recentrer sur toi-même. Je me permets de te dire cela, car j'ai également beaucoup galéré. Il ne faut pas que tu disperses ton énergie, elle est précieuse, tu en as besoin.
Tu pourrais te présenter d'ailleurs, vu que tu as beaucoup galéré, ca permettrait à certains collègues d'évoluer, qui sait...
- Melyne5Fidèle du forum
Moi aussi , ces mots m'ont surprise. Je ne vois pas vraiment de souffrance dans les messages d'Anne mais de la maltraitance institutionnelle et médicale sur une situation qu'elle semble assumer et accepter ( ou du moins faire avec)...je me trompe peut-être!AnneNeville a écrit:J'ajoute que je suis perplexe sur l'origine du " tu souffres déjà beaucoup"...MoyenCroco a écrit:Ou peut-être qu'elle n'en a absolument pas envie? Ni besoin ?Domi a écrit:A mon humble avis, comme tu souffres déjà beaucoup, Anne Neville, je pense que tu devrais accepter le mi-temps thérapeutique, laisser de côté les âneries du médecin, et te recentrer sur toi-même. Je me permets de te dire cela, car j'ai également beaucoup galéré. Il ne faut pas que tu disperses ton énergie, elle est précieuse, tu en as besoin.
Tu pourrais te présenter d'ailleurs, vu que tu as beaucoup galéré, ca permettrait à certains collègues d'évoluer, qui sait...
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